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    Katie Says Goodbye
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    3,9
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    P.  de Melun
    P. de Melun

    56 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 septembre 2024
    Quel bon moment passé avec Katie ! Wayne Roberts nous offre un film touchant et émouvant, avec une inconnue à l’époque, Olivia Cooke, lumineuse, solaire, irradiante. Elle incarne de manière impressionnante l'honnêteté bouleversante de son personnage et sa confiance immuable en l'avenir. « Katie says Goodbye » est un drame social et personnel sombre, âpre et cruel qui en dit long sur la torture des âmes et l'espérance des cœurs. Un bien joli film indépendant américain, sobre et à l’image léchée qui suscite notre émotion, nos joies et nos pleurs sur son passage. Merci à toi, Katie, pour ce pur bonheur cinématographique.
    Lacroixjean Lacroix
    Lacroixjean Lacroix

    2 abonnés 114 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2023
    C'est très bien joué, original mais on n'arrive pas à croire à tant de "stupidités" de la part de Katie 🤔🤔🤔
    Je veux bien qu'elle soit un peu naïve mais à ce point là ce n'est plus crédible.
    Le film est passé à côté d'une fin plus réaliste 😉
    jthuil
    jthuil

    13 abonnés 318 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 novembre 2021
    Situé dans le sud des Etats Unis dans un monde qui semble à part, baigné dans une lumière angélique bien trompeuse, ce drame bouleversant s'avère d'une rare dureté et l'on prie pour que Katie, interprétée par une Olivia Cooke en état de grâce, réussisse à s'en sortir. Un vrai choc écrit et réalisé par un auteur à suivre.
    pierrre s.
    pierrre s.

    435 abonnés 3 309 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 octobre 2020
    Instant de vie d'une pauvre fille dont la naïveté n'a d'égal que la bêtise. A tant subir les événements, le personnage principal finir par nous devenir antipathique.
    Marjolaine A.
    Marjolaine A.

    134 abonnés 500 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2020
    Une histoire aux relents tragiques magnifiée par la prestation d'Olivia Cooke, bluffante. Émouvant, dur et optimiste à la fois.
    Laurent D
    Laurent D

    1 abonné 111 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 juillet 2020
    Un film dramatique d'une justesse rare. Olivia Cooke y est éblouissante, passant avec la plus belle simplicité d'un sentiment de candeur insouciante à celui d'un profond désenchantement
    Excellentissime.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 septembre 2019
    Très beau film, malgré le contenu qui est par moments très dérangeant. Ce film nous montre l'envers du décor américain : l'Amérique profonde dans toute son horreur dans laquelle une note d'espoir et de candeur (Katie) avance, non sans déboires, vers l'American Dream. Tout l'attachement que j'ai eu pour ce film réside dans le malaise évident qu'il y a en voyant la résilience de Katie qui croit en la vie, qui croit en son rêve de partir sur la côte Ouest, alors que clairement sa vision des choses qui l'entourent est complètement erronée. Il faudra malheureusement qu'il lui arrive le pire pour qu'elle réalise qu'elle n'a besoin ni d'argent, ni d'amour, ni d'amis pour réaliser son rêve. La performance de la jeune Olivia Cooke est exceptionnelle. J'ai rarement vu un jeu d'acteur aussi sincère, simple et naturel. Elle m'a touché, le film m'a touché. Je ne le recommanderais pas à tout le monde car il est parfois dur, mais les adeptes des drames sauront l'apprécier.
    Daniel Schettino
    Daniel Schettino

    26 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juillet 2019
    Nous avions Mère courage des années 30, voici la fille courage de notre époque. Katie est chaleureuse, gentille, ouverte aux autres, d'une grande bienveillance, pourtant elle est utilisée par tous les hommes de cette petite ville perdue au milieu de nulle part. Elle ne trouve aucun réconfort. Elle est patiente avec sa mère et son petit ami qui vont pourtant la trahir. Tous les personnages du film, exceptée la gérante du snack, abusent et exploitent la jeune femme. Pourtant n'est-ce pas too much ? Le metteur-en-scène n'en fait-il pas un peu trop ? On comprend mal le renoncement, la non dénonciation des crimes dont la jeune femme est victime. Pourquoi son indulgence envers sa collègue de travail qui vole sous ses yeux et lui fait après porter le chapeau de son méfait ? Pourquoi son silence sur son viol et les humiliations dont elle est victime ? Elle pourrait se confier à la gérante du snack, mais non ! En fait la bonté de Katie ne lui sert-elle pas à tenir le coup, à ne pas s’effondrer dans ce milieu hostile ? C'est la seule arme qu'elle a en fait. Elle refuse d'être comme les autres ou plutôt ne peut pas les combattre avec les mêmes armes. Elle se sert de sa compassion pour survivre. Par moment le film est bouleversant, porté par la jeune actrice Olivia Cooke.
    que du cinéma
    que du cinéma

    4 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 avril 2019
    Film indépendant très réussi. Film qui raconte l'histoire d'une prostitué qui tombe amoureuse et qui essaie tant bien que mal de vivre ses rêves. L'actrice qui joue a un très beau sourire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 avril 2019
    Malmenée par l’existence et par ceux qu’elle aime, Katie ne considère pourtant pas la vie comme un échec. Ses choix sont déterminés par la vie qu’elle doit affronter du fin fond de l’Arizona et celle, meilleure, qui l’attend. Son incroyable optimisme illumine ce film et magnifie la triste destinée de cette frêle jeune femme. Véritable révélation, l’actrice Olivia Cooke interprète de manière lumineuse ce personnage fort et incroyablement optimiste qu’est Katie. Sincérité et douceur éclaboussent la pellicule dans son sillage.

    Katie says goodbye ouvre avec grâce, et promesse, la trilogie prévue par Wayne Roberts. Le réalisateur vient de terminer le second volet, Richard says goodbye, avec Johnny Depp à l’affiche. Patience donc, il ne devrait pas tarder à arriver sur nos écrans !
    Serge K
    Serge K

    14 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 février 2019
    Olivia Cooke est une artiste que j'ai découvert dans Bates Motel elle y tient un second rôle parfait, mais a mon avis, elle n'a rien à voir avec son rôle dans ce film, film qui n'a aucune logique, assez décousu, on attend des réactions devant des situations qui le méritent, mais elles n'arrivent pas, donc on va de déception en déception avec un sentiment de frustration,
    RedArrow
    RedArrow

    1 674 abonnés 1 535 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 décembre 2018
    Avec ce coin perdu d'Arizona où l'espérance d'un avenir meilleur est une idée obsolète dès la naissance, "Katie Says Goodbye" dessine un cadre bien connu des standards du cinéma indépendant américain. Le désert, des mobil-homes où une misère humaine stagne, laissée sur le bord de la route d'un monde extérieur qui avance sans elle, des habitants conscients qu'ils ont loupé le coche à un moment ou à un autre de leurs existences et dont la moralité s'adapte à leur façon de tromper un ennui permanent, un restaurant intemporel et seule grande activité de la bourgade en mouvement avec sa clientèle nomade de chauffeurs de poids-lourds... Vu le décor habituel de ce premier film de Wayne Roberts, on serait presque tenté de dire que l'on connaît déjà tous les contours de son héroïne avant de la découvrir : une serveuse rêvant forcément de s'échapper de cette prison à ciel ouvert pour des horizons meilleurs.
    C'est bel et bien le cas mais rien ne nous avait préparé à la lumière émanant de Katie (Olivia Cooke), à cette espèce d'optimisme inaltérable qui, contre toute attente, est parvenue à survivre pendant des années malgré le pessimisme de ce cadre. Attention, le personnage n'est ni stupide ou naïf, non, Katie s'est simplement construit son propre système de croyances où la pureté de ses émotions est égale à sa détermination pour rejoindre un jour la destination de ses rêves, San Francisco.
    En attendant ce moment, Katie se laisse guider par cette espérance en mettant tout en oeuvre afin qu'elle se concrétise au plus vite et en faisant des ombres qui l'entourent une force pour y parvenir. Le père qu'elle n'a jamais connu est ainsi devenu une présence invisible bienveillante auquel Katie s'adresse chaque soir avant de dormir. Sa mère (Mireille Enos) est une épave qui n'hésite pas à dépenser l'argent de sa fille avec ses nombreux amants mais ce n'est pas un problème, pour payer leur loyer, Katie travaillera le double... ou se prostituera.
    Car, oui, aussi étonnant que cela puisse paraître vu la description du personnage, Katie entretient des rapports tarifés avec une grande partie de la population masculine du coin. Pourtant, cela s'inscrit parfaitement dans sa logique, elle ne voir absolument aucun mal à s'adonner à cette activité (le film nous fait ressentir assez bien la considération très banale que Katie a autour de cela malgré nos a priori forcément contraires) puisque c'est un des moyens qui lui permettra de quitter cette petite ville sans avenir. Elle a grandi avec une mère qui en faisait autant et a donc assimilé le fait d'utiliser son corps contre de l'argent comme un acte anodin pour augmenter rapidement le montant de ses économies. Seulement, cette manière d'agir est un venin hérité d'une mère qui ne s'est jamais considérée comme telle et ses effets d'abord latents vont prendre une ampleur dévastatrice lorsque les yeux amoureux de Katie vont croiser la route d'un repris de justice mutique (Christopher Abbott).

    "Katie Says Goodbye" va alors précipiter son héroïne dans des ténèbres dont personne ne pourrait sortir indemne. Cet amour qui aurait dû être une nouvelle force pour l'accompagner vers la réalisation de son rêve va en fait devenir le catalyseur de tous les dégâts que son comportement insouciant a provoqué depuis des années. Le personnage aura beau tenter de stopper l'engrenage dont elle se retrouve prisonnière en essayant de mettre un terme à ses activités de prostitution, rien ne parviendra à stopper sa terrible chute où toutes les ombres qu'elle ignorait volontairement jusqu'alors vont reprendre leurs droits pour la détruire. Quelques piliers résisteront face à cette lame de fond comme ces figures parentales de substitution incarnées par une serveuse plus âgée (Mary Steenburgen) et un habitué de sa "clientèle" (Jim Belushi) mais, au final, ces rares remparts auxquels Katie tentera de se raccrocher ne pourront rien ou si peu face aux abysses auxquels la jeune fille paraît désormais destinée.

    Alors que les plus terribles épreuves s'accumuleront sur les épaules de la petite serveuse jusqu'à nous laisser imaginer une fin de parcours d'une noirceur sans nom, "Katie Says Goodbye" nous prendra complètement à revers sur le terrain de l'émotion en allant puiser une nouvelle fois dans la volonté de son personnage dont on n'avait en réalité à peine mesurer l'étendue. Pendant que l'on peinera à se relever de tout ce que Katie a subi, l'héroïne, elle, nous aura précédé et nous irradiera une dernière fois de toute sa lumière, de cette force que tous ont essayé de mettre à terre sans y parvenir. Ce qu'on avait pris comme une simple flamme chez le personnage était en réalité un buisson ardent dont la puissance atteindra des sommets avec ce fameux "goodbye" tant espéré de Katie...

    Évidemment, "Katie Says Goodbye" doit beaucoup à la prestation exceptionnelle d'Olivia Cooke dont la caméra de Wayne Robets nourrit le film grâce la subtilité et la sensibilité de son jeu souvent en gros plans. À l'instar de son personnage, l'actrice brille, constamment, avec ce fabuleux portrait de femme, écrin parfait pour renforcer ce sentiment d'une comédienne qui cesse de monter en puissance dans une filmographie éclectique. Mais, la réussite de "Katie Says Goodbye" est aussi à mettre au crédit de la justesse de la vision d'ensemble de Wayne Roberts. Pour son premier long-métrage, le cinéaste évite astucieusement tous les directions attendues vers lequel ce sujet très connoté "indé US" le prédestinait. Non seulement, "Katie Says Goodbye" nous attache et nous surprend par le caractère si particulier de son héroïne mais le film parvient à creuser un minimum tous les personnages gravitant autour au lieu d'en faire les leviers habituels sur la route d'émancipation de la jeune femme. Ainsi, Mireille Enos aura l'occasion de montrer les failles de cette mère consciente de ses manques mais auxquels elle ne peut remédier, Christopher Abbott de traduire toute la détresse de son personnage ayant cru trop vite à l'innocence de ce nouvel amour comme possible rédemption ou encore Jim Belushi de construire en quelques regards un rôle pas facile oscillant entre une tendresse véhiculée par de réels sentiments et son statut pas vraiment enviable d'habitué des faveurs sexuels de Katie...

    Bref, "Katie Says Goodbye" est sans doute ce que le cinéma indépendant US peut nous proposer de meilleur lorsque celui-ci s'empare de ses ingrédients les plus classiques pour chercher à leur donner un traitement inédit et non pas de les répéter à l'infini dans une formule connue de tous. Si l'intelligence de cette approche s'ajoute au réel investissement de son auteur pour ses personnages et à des comédiens conscients qu'on leur offre là des rôles en or, on obtient une pépite comme on en croise trop rarement. Au revoir, Katie, et merci.
    mat niro
    mat niro

    357 abonnés 1 833 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2018
    Premier volet d'un triptyque, Wayne Roberts nous emmène dans l'Amérique profonde où Katie réside dans un mobil-home avec sa mère alcoolique et prostituée. Rêvant d'une vie meilleure, Katie se prostitue également mais avec une candeur désarmante. Olivia Cooke est extraordinaire de par son pouvoir à encaisser tous les coups bas de cette vie où elle croit trouver l'amour. Son optimisme est contagieux et pousse le spectateur vers une empathie devant la souffrance contenue de cette jeune femme. "Katie says goodbye" est un film qui dégage une énorme puissance émotionnelle. Vivement la suite!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 juin 2018
    Une petite surprise ce film qui ne paie pas de mine. Passé inaperçu et c’est bien dommage. Katie une serveuse particulièrement naïve du fin fond de l’Arizona tombe sous le charme d’un mécano taciturne et taiseux. Elle rêve de quitter son patelin sinistré avec lui pour une vie meilleure à San Francisco et ne trouve que comme solution pour s’en sortir la prostitution... on ne peut être que toucher par sa naïveté et son envie de s’en sortir. A voir !
    gonin.robert
    gonin.robert

    5 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juin 2018
    Le début est un peu long.
    Le scénario est cousu de fil blancmais les acteurs sont bons et j'ai aimé
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