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    Katie Says Goodbye
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    3,9
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    45 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 26 avril 2018
    Je suis allée voir ce film sans trop y croire, il s'est avéré que le réalisateur était présent dans la salle. (c'était une sorte d'avant première)
    Film réellement décevant qui propose un scénario prévisible dès le début, il n'y a qu'à voir Katty qui compte tout les jours ses billets pour comprendre qu'on les lui volera et encore d'autres évènement prévisibles: la mère qui se tape le copain, le viol, le vol de la caisse bref tout est dit à l'avance. L'histoire d'amour n'est absolument pas passionnante ni intéressante non plus au fond à part l'échec amoureux cela ne signifie rien de plus. Quel est l'intérêt je me demande?? mise à part voir un personnage pure et innocent auquel il arrive tout les horreurs possibles, Alors oui certes c'est triste, la pauvre on la plaint bien mais au de la de çà? rien, ce film est plat insupportable on cherche tout simplement à nous faire pleurer!
    La musique est agaçante 3 notes tristes répétées en boucle simplement pour attiser les larmes du spectateur. Les plans sont similaires, insipides. La caméra tremble sans cesse surement pour faire un effet de "style" au de la de ça aucune recherche. Ce film donne juste envie de déprimer tant la musique, l'histoire, les personnages, les plans sont vides. Lorsque j'ai demandé au réalisateur quel était le but de ce film ou bien le message caché derrière ce scénario il m'a simplement répondu "Quand on voit la vie de Katy, tellement horrible on doit se dire que la notre n'est pas si terrible que ça et qu'on a de la chance" ou pire "j'ai voulu dans ce film dénoncer le viol et montrer que l'on peut s'en remettre" , "mes personnages sont représentatifs de la condition humaine"!!!! Réalisateur prétentieux en plus de cela qui ne sait pas de quoi il parle, bref aussi plat que son film... bien dommage. Seule note positive Olivia cook convaincante dans son interprétation
    Jorik V
    Jorik V

    1 266 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 avril 2018
    Cette chronique du fin fond de l’Amérique rurale vaut avant tout pour son beau personnage principal. Un magnifique portrait de femme comme en voit peu au cinéma. Olivia Cooke incarne la Katie du titre avec un naturel désarmant, petit bout de femme dont l’optimisme imperturbable et la candeur sans faille impactent avec bonheur un film très rude et triste. Elle porte à bout de bras un personnage pas facile qui aurait très vite pu sonner faux ou se révéler insupportable de naïveté. Mais, au contraire, cette Katie est lumineuse et elle rayonne sur « Katie says goodbye » à tel point qu’elle parvient à rendre ce film triste et parfois glauque plutôt solaire. D’ailleurs, on effleure une certaine complaisance parfois, voire un certain misérabilisme, pour ne pas y sombrer de justesse. A un moment, on a l’impression que tous les malheurs du monde vont tomber sur la jeune femme. Mais, fort heureusement, les sublimes dix minutes finales s’avèrent chargées d’une belle émotion ; elles sont presque envoûtantes laissant au film quelques notes d’espoir et d’humanisme. Cette conclusion magnifique contrebalance la sinistrose ambiante. Rien que pour ces quelques scènes de clôture, le film mérite d’être vu.

    Sinon à part ça il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent avec le film de Wayne Kramer qui ne fait que radoter ce que des centaines de films indépendants américains nous ont déjà proposé, en bien ou en mieux c’est selon. Que ce soit au niveau du décorum général, un no man’s land joliment filmé dans le désert de l’Arizona mais déjà mille fois vu, des personnages qui le peuplent, des rednecks sans autre ambition que celle de survivre et habités pour la plupart par une bêtise crasse, ou encore de l’histoire, en gros les velléités d’une vie meilleure, tout semble être le fruit d’un recyclage cinématographique malhonnête et privé d’une quelconque inspiration. Même la morale finale, bien que joliment emballée comme on l’a vu plus haut, n’est pas bien originale quand bien même elle fait du bien après tant de tristesse et de malheur cumulés. Et la philanthropie de Katie, bien qu’elle soit la soupape de décompression du film, apparaît peu crédible par moments. Il n’y a donc rien de bien nouveau sous le soleil de l’Amérique profonde et de ses habitants ordinaires, juste un nouvel avatar du cinéma d’auteur américain sans grande surprise. Ni plus, ni moins.

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    rainbow34
    rainbow34

    1 abonné 26 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 avril 2018
    Dans ce film, le centre de l'attention est sur Katie. Personnage simple et complexe à la fois. Le sourire aux lèvres, une âme d'enfant qui croit en la sincérité des gens, et les trahisons qui se succèdent .....
    La fin du film est prévisible, c'est ma principale déception.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 avril 2018
    Je suis allé voir Katie sur les conseils d'une personne et le jour suivant son visionnage je pense encore à elle ... Bien qu' il soit précisé au générique que les personnages sont fictifs je ne peux m' empecher de penser à ses vies d' une dureté implacable. Je ne veux pas dévoiler la fin mais tout est dans le titre du film. On lui souhaite bien du bonheur et vivement la suite de cette trilogie !
    Alain P.
    Alain P.

    8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 avril 2018
    Un joli corps de 17 ans, des yeux à damner un saint, un sourire angélique telle est Katie .Avec conscience et légèreté, elle travaille comme serveuse dans un restoroute et fait quelques passes avec des habitués pour soutenir financièrement sa mère (une terrifiante sangsue) et constituer un magot qui leur permettra à toutes les deux de partir .......un jour à LOS ANGELES.
    Las ! Elle tombe amoureuse d'un mécano taciturne sortant de prison qui bosse pour le garagiste du coin ( un parfait salopard).Les catastrophes vont alors s'enchaîner pour la pauvre petite amoureuse qui vit plutôt candidement dans un monde de brutes et de tarés..Avec un tel scénario on pourrait s'attendre à un film dégoulinants de poncifs.Tout au contraire on est pris à la gorge par les pièges successifs qui se referment sur l'héroÎne trop pauvrement soutenue par les rares personnages positifs du film : la patronne du restoroute et un vieux routier ancien client de Katie la putain.
    Car c'est bien à cause de cette activité , qu'elle veut quitter, qu'on va abuser d'elle.
    A la fin du film, dépouillé de tout , c'est un petit corps misérable, un tas de sanglots qui git au bord de la grand route ou passent les grands camions. Cependant il est suggéré que tout espoir n'est pas perdu.
    C'est un des films les plus triste que j'ai jamais vu.
    Si vous n'avez pas honte de pleurer, allez y !. L'actrice principale est bouleversante , les autres, excellents. Les prises de vue m'ont rappelé le grand "PARIS TEXAS".
    Il parait qu'un deuxième opus est prévu On l'attend avec impatience
    poet75
    poet75

    269 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2018
    Certains films sont illuminés par une présence, par un jeu, par une grâce. Dans « Katie says goodbye », on ne peut qu’être bouleversé, chaviré par la personnalité si belle, si lumineuse de l’actrice Olivia Cooke qui joue le rôle d’une jeune femme qui se prostitue. Katie a bien un travail de serveuse, cela dit, mais un travail dont les revenus ne suffisent pas, pas même pour payer le misérable loyer du mobile home qu’elle partage avec sa mère, une mère qui passe son temps à ne rien faire, si ce n’est à recevoir des hommes. Katie a de qui tenir, mais, pour elle, tout semble décomplexé et presque simple. Elle met de côté l’argent gagné à tapiner afin de réaliser son rêve : quitter son pitoyable hameau de l’Arizona pour aller à San Francisco et y apprendre le métier d’esthéticienne. En attendant, pas une journée ne s’achève sans qu’elle songe à son père, un père dont elle ne sait pas ce qu’il est devenu mais à qui elle rend grâce pour ce qu’elle a vécu.
    Ses remerciements se font encore plus intenses à partir du jour où sa route croise celle de Bruno (Christopher Abbott), le nouveau mécanicien du garage local. On raconte qu’il sort de prison, mais qu’importe, pour Katie c’est un coup de foudre. Rien à voir avec tous ceux pour qui, jusqu’ici, elle a monnayé son corps. Katie aime si fort qu’elle ne tarde pas à se déclarer : elle sait alors, même furtivement, ce que c’est qu’un amour vrai, échangé, elle découvre avec ravissement ce que c’est qu’être aimée et non pas seulement prise. Bruno, cependant, n’est pas quelqu’un de simple, il ne partage en rien la sorte de candeur que personne n’a pu enlever à Katie. Les rumeurs vont bon train à propos de cette dernière et, bien sûr, parviennent aux oreilles du garçon.
    La naïve, la gentille Katie entame alors un chemin de douleurs. Ses pauvres illusions tombent les unes après les autres. Après avoir découvert la beauté de l’amour, c’est l’horreur de l’avilissement, de la souillure et de la trahison qu’elle doit supporter. Pourtant, rien ne peut totalement la priver d’une sorte de lumière intérieure : oui, elle, la prostituée qu’on n’a que trop tendance à mépriser, elle est habitée de générosité, d’innocence, de bonté. En choisissant Olivia Cooke pour ce rôle, Wayne Roberts, le réalisateur, a fait, semble-t-il, le meilleur choix possible : qu’elle sourie ou qu’elle pleure, Katie nous ébranle jusqu’au tréfonds.
    Ufuk K
    Ufuk K

    513 abonnés 1 467 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 avril 2018
    "Katie says goodbye " présente lors du dernier festival de deauville est un drame prenant .En effet , nous y suivons le quotidien de "Katie " brillamment interprétée par olivia cooke, l'histoire est dur car le réalisateur nous montre le sombre côté de l'Amérique celui des sans espoirs ou les hommes écrasé les femmes , ou la pauvreté y règne. Le dénouement entrevoit un peu d'espoir pour Katie .
    Willy C
    Willy C

    30 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 avril 2018
    Ce film est un petit bijou, Olivia Cooke, l'actrice principale délivre une performance à couper le souffle, Christopher Abbott en brun teigneux et autiste est également grandiose. On pourrait en dire que c'est un film triste, voir dépressif, mais en fait, c'est une ode à l'humanité, jouissif !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 avril 2018
    Katie est une jeune serveuse dans un drive-in restaurant d’un bled perdu dans l’Arizona. Pour arrondir ses fins de mois et surtout s’occuper de sa mère irresponsable et sans emploi, elle vend son corps avec grande simplicité. En effet, pour Katie, la prostitution est une activité banale comme une autre. Son rêve est de quitter ce monde. Y arrivera-t-elle ? Ce qui impressionne chez ce personnage, c’est sa candeur. Elle tombe amoureuse de Bruno, un mécanicien qui sort de prison, personnage peu expressif et taiseux. Rien n’est simple pour Katie, à qui va arriver des malheurs en peu de temps (c’en est même limite risible tant la situation dégénère), mais Katie est une femme forte, généreuse qui ne se prend pas la tête. Le film est porté par son actrice principale Olivia Cooke complètement transformée physiquement mais aussi dans un registre inhabituel, loin des rôles qu’on lui connait, adolescente malade dans la série Bates Motel, et plus récemment, geek dans ready player one. Ce drame social est plus appréciable sur la forme que sur le fond. La photographie est une de ses qualités.
    Yves G.
    Yves G.

    1 448 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 avril 2018
    Katie a la vie dure mais garde le sourire. Elle vit seule avec sa mère dans un bled perdu au fond de l'Arizona. Elle rêve de partir à San Francisco et de changer de vie. Elle travaille dans un café et, pour faire bouillir la marmite, se donne avec une sincérité désarmante aux plus offrants pour une poignée de dollars.
    Mais tout change lorsqu'elle rencontre Bruno. Pour l'amour de ce garagiste taiseux à peine sorti de prison, elle accepte de changer de vie. Son sacrifice sera-t-il payé de retour ?

    Au concours du film le plus triste de l'année, "Katie Says Goodbye" l'emporterait haut la main. Rien n'est plus déchirant que le destin de cette jeune femme sur laquelle tous les malheurs du monde semblent s'abattre. Rien n'est plus bouleversant que son sourire immarcescible. On pense à Bess l'héroïne de "Breaking the Waves" de Lars von Trier dont l'amour fou pour Jon la conduit au sacrifice ultime.

    Le scénario de Wayne Roberts est un modèle du genre. Sans se presser, il serre autour du cou gracile de Katie un nœud coulant qui jamais ne se desserrera [Non ! ce n'est pas un spoiler ! Elle ne meurt pas pendue]. Sans jamais être prévisible (si ce n'est peut-être s'agissant de ses économies qu'elle accumule dans une boîte à chaussures dont on se doute qu'elles finiront par lui être dérobées), il ne quitte pas Katie d'une semelle qui enchaîne les déconvenues. La malheureuse accumule les revers de fortune et les encaisse tous avec la même masochiste résilience - jusqu'à une scène finale dont on ne dira rien.

    Olivia Cooke est bouleversante dans le rôle de Stella. On l'avait déjà vue dans la série "Bates Motel". Elle tient le premier rôle féminin dans le dernier Spielberg "Ready Player One". Il se murmure qu'elle interprétera la fille de Han Solo dans le prochain "Star Wars". Une valeur à suivre...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 avril 2018
    Personnages époustouflants de sincérité, dans une Amérique rurale que chaque plan met en valeur! Le personnage de Katie n'est pas si naïf que certaines critiques le présente, et le film ne tombe jamais dans un misérabilisme cliché, il se borne à montrer ce que peut être le quotidien d'une frange non négligeable de délaissés... Film très juste et bouleversant.
    Dunno The Movie
    Dunno The Movie

    64 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 avril 2018
    Tranche de vie solaire et poignante, Katie Says Goodbye est d’une beauté bouleversante, entre naïveté et espoirs mis à mal, à travers le parcours d’une jeune femme à l’optimisme aveugle qui se confronte brutalement à une réalité brutale et injuste. Le film de Wayne Roberts touche en plein cœur, par sa sincérité qui évite brillamment le pathos pour offrir de belles émotions, et par son ambiance ensoleillée qui dessine une Amérique loin des cartes postales et douloureusement humaine. La révélation du film c’est surtout Olivia Cooke, qui livre une performance superbe, donnant à son personnage une douceur inattendue et incroyablement attachante.
    velocio
    velocio

    1 297 abonnés 3 121 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2018
    Pour la réalisation de "Katie says goodbye", Wayne Roberts, originaire de l’Alaska, est allé poser sa caméra à Belen, une bourgade du Nouveau-Mexique située à une cinquantaine de kilomètres au sud de Albuquerque. Ce film, réalisé en 2016, a été présenté dans un nombre impressionnant de festivals avant de sortir en salles, 2 ans plus tard. "Katie says goodbye" est le premier volet d’une trilogie réalisée par Wayne Roberts. Le deuxième volet, "Richard says goodbye", avec Johnny Depp en tête d’affiche, en est à l’étape de la postproduction (un espoir : qu’il soit présent à Cannes 2018 !). Quant au troisième, "Billie says goodbye", il permettra de retrouver Johnny Depp et Olivia Cooke, l’actrice qui interprète le rôle de Katie.
    La première perception qu'on peut avoir d'un film réside très souvent dans la lecture du synopsis. Concernant Katie says goodbye, il y a le synopsis officiel, fourni par le distributeur et que vous pouvez lire ci-dessus ; il y a aussi le synopsis qu'on peut lire sur Wikipedia : "Katie est une jeune fille de 17 ans qui vit avec sa mère dans le sud-ouest américain. Elle ne rêve qu'une seule chose : quitter son job précaire de serveuse et débuter une nouvelle vie à San Francisco. Pour se faire de l'argent plus facilement et le mettre de côté, elle se prostitue et couche avec des clients différents : un routier de passage, un flic, un bon père de famille... Jusqu'au jour où elle rencontre un garagiste, Bruno, qui n'est d'autre qu'un ancien taulard. Les deux tombent amoureux l'un de l'autre mais il découvre qu'elle se prostitue...". A votre avis, lequel de ces deux synopsis donne le plus envie d'aller voir le film ? Celui qui parle de rêve, de premiers amours, d'honnêteté ou celui qui parle également de rêve, mais en insistant surtout sur la prostitution, les coucheries et le passé de taulard de Bruno ?
    Ce premier long métrage de Wayne Roberts est une grande réussite qui provient de la somme de la mise en scène et de la direction d'acteurs du réalisateur, de la photographie de Paula Huidobro avec, en particulier, sa capacité à venir scruter les visages, et de l'ensemble de la distribution avec un accent particulier concernant Olivia Cooke. On attend avec impatience "Richard says goodbye", le deuxième volet de la trilogie imaginée par Wayne Roberts, en rêvant très fort qu'il soit présent dans un mois sur la Croisette. La présence de Johnny Depp en tête d'affiche peut aider !
    Lartimour
    Lartimour

    10 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 septembre 2017
    Voilà un très beau portrait de personnage féminin.
    Katie est une femme qui illumine son entourage par sa fraîcheur, mais elle travaille dur comme serveuse dans un bar et parvient à subvenir à ses besoins et fait vivre sa mère. Elle augmente ses maigres ressources en se prostituant. En tombant amoureuse d'un homme énigmatique qui travaille au garage du village, elle promet d'arrêter de se prostituer. Un drame va se jouer, va-t-elle manquer à sa parole ? Katie trouvera-t-elle la force de rebondir ?
    Olivia Cooke, jeune actrice britannique qui interprète le personnage de Katie, illumine le film de toute sa fraîcheur, sa "naïveté" et sa "pureté".
    Alice025
    Alice025

    1 653 abonnés 1 360 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mars 2018
    Nouveau petit coup de cœur pour ce drame réaliste et intimiste. Katie est trop gentille, trop naïve, elle tient ses promesses et elle est toujours souriante. Un rien la rend heureuse, elle garde espoir en la vie. Mais quand le sort s'acharne, quand les gens vont commencer à profiter d'elle, l'histoire gentillette se transforme en véritable cauchemar. C'est un film assez dur moralement, mais on est néanmoins impressionné par la véritable force de Katie. Malgré son côté mielleux et doux se cache une femme forte. Un portrait réussi.

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