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Hollywood-Biographer
205 abonnés
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2,0
Publiée le 4 juillet 2017
Malgré l'excellente interprétation de la jeune Sennia NANUA, "The Last Girl - Celle qui a tous les dons" ne se révèle pas indispensable dans le paysage cinématographique du genre zombie. Le scénario du film de Colm McCARTHY possède pourtant une idée de départ originale (l'éducation d'enfants à demi contaminés) et de bonnes séquences, mais le réalisateur ne parvient pas à sublimer le genre. Son film manque cruellement d'enjeu et la mise en scène se révèle très plate. Le final se révèle aussi très décevant, frisant le ridicule et laissant le spectateur sans la moindre explication.
Le film ne révolutionnera pas le genre, mais l'approche tentée ici, en centrant le récit sur une jeune fille infectée mais encore assez humaine pour arriver à se contrôler et penser, est une bonne idée et permet une lecture un peu différente des autres production du genre. Le personnage de la jeune fille est attachant, son interprète brillante, le reste du casting est bon et la réalisation est de qualité. Après, on n'échappe pas à quelques personnages stéréotypés et certains comportements peu crédibles.
Franchement : film long très long car d'un ennuie..... je ne le recommande pas ! On attend désespérément la fin.... ET cette fin est plutôt bonne et bien pensée. Bon film de fin du monde. Mais voila ça commence plutot bien mais c'est très vite longuet et pas toujours bien joué. 5/20. A oublier. Surtout qu'a aucun moment on s'attache vraiment aux personnages.
Les 20 premières minutes du films sont captivantes, On s'attend à un film de zombie novateur et original mais la suite du film nous fait tomber dans un ennuie glaçant... Aucune trame scénaristique, aucun moment de stress ou de tension. Vu en VF et l'adaptation française est très mauvaise. Certaines scènes du film sont risibles et la bande son est horrible !! Scènes longues et bourrées de non sens, les clichés et personnages stéréotypés s'accumulent pour un jeu d'acteur plus que médiocre. Même Glenn Close n'est pas crédible. Honnêtement, je ne comprends pas les bonnes critiques de ce film. Un conseil; ne payez pas une place de cinéma pour ce film de seconde zone.
" the Last girl " est certe un énième film de zombie mais il réussit à faire son effet . En effet même si le film est loin du niveau du sublime " dernier train pour busan" ce film propose une réflexion sur l'humanité, la société et l'écologie avec quelques scènes de zombies impressionnante.
Un énième film de zombies ? Surement pas, la révélation finale et la réflexion qui en découle est très intéressante. A éviter pour ceux qui souhaitent de l'action nerveuse, à encourager a ceux qui ne supportent plus les zombies et consorts.
Un film original sur les zombies qui rapel grandement The last of us pour son univers esthétique mais la violence en moins. Malheureusement certaines scènes dénotent avec l'atmosphère global du film qui avait matière à être bien plus sombre... sans doute du à un manque de moyen.
Habitué à mettre en boîte des épisodes de séries anglaises ("Doctor Who", "Sherlock", "Peaky Blinders", ...), Colm McCarthy s'essaye ici au grand format avec une histoire de zombies qui a clairement pris le parti pris d'explorer les territoires vierges du film de morts-vivants. Ici, l'agent pathogène est un champignon et donne à ses porteurs une tronche de moisissure plus que de cadavre sur pattes. Mais la vraie nouveauté, c'est que des enfants, contaminés dans le ventre de leur mère, se son transformés en être mi-zombies, mi-humains, des sortes de gentils écoliers capables de vous sauter à la gorge pour vous l'arracher. "The Last Girl" est un film qui joue la carte de la nouveauté et qui parvient, la plupart du temps, à le faire avec une certaine classe. Le filme enchaîne les séquences saisissantes comme cette superbe scène où les survivants circulent lentement au milieu de corps inertes, suspendus dans le temps mais prêt à se jeter sur une proie quelconque au moindre mouvement brusque. Et l'histoire n'est pas en reste, regorgeant d'idées assez novatrices pour dépoussiérer un genre mis au placard depuis le carton de "The Walking Dead". Et pour cette équipée sauvage et mortelle, trois acteurs de choix : Glenn Close en médecin insensible, Gemma Arterton en professeur porteuse d'espoir et surtout Paddy Considine dans un rôle bien bad-ass. Toute cette petite virée fonctionnerait à merveille si justement le metteur en scène britannique n'avait pas sacrifié l'émotion sur l'hôtel de l'audacieux. En effet, le début présage un quatuor de personnages aux buts opposés et à la fois similaires tout en créant de réels enjeux dramatiques entre eux. Il est regrettable que plus le film avance et plus cette intensité perde en vitesse, qui plus est qu'amputé de la dernière scène, le film aurait sans doute pu sauvegarder une partie de cette intensité. Un film qui fait plaisir à voir, ne serait-ce que pour nous redonner goût à un cinéma d'horreur capable de se renouveler.
Avec sa jeune héroïne, The Last Girl – Celle Qui A Tous Les Dons a presque des allures de films de zombies pour adolescents malgré son interdiction aux moins de 12 ans. Si son manque d’originalité aura du mal à en faire une nouvelle référence pour les fans du genre, le film de Colm McCarthy pourra servir de porte d’entrée aux plus jeunes pour s’initier en douceur au genre. Il aurait cependant fallu plus de tension et un scénario un peu mieux ficelé pour vraiment devenir marquant face à la nombreuse concurrence.
The Last girl sort des sentiers pré définit du film de Zombie avec une histoire original et surtout sans trame scenaristique de base ! Livré à eux mêmes, les survivants créer le scénario eux mêmes par leurs actions de la vie de tout les jours sans vraiment de file conducteur. La jeune actrice est formidable, à la fois méchante et gentille, difficile de ne pas la trouvé craquante par moment et "choquante" à d'autres ! C'est fort ! Une fin qui manque de développement et j'ai mal ressenti l'aspect "sentimental" du film Je recommande quand même !!
entre survival, road movie, thriller, sf, fantastique et horreur, ce petit film à grand impact, loin des mega productions sans âme du genre, n'est pas une enieme variation d'un mode à la genre : le film de zombie ; réflexion sociale, écologique, aventure, science ; un twist final amusant et inattendu ; une musique fascinante ; tout cela pour prouver qu'avec de la passion, du talent, de l'intelligence, peu de moyens et d'ordinateurs, on arrive encore à faire du vrai cinéma...
Ce qui s'annonçait comme un film de zombies novateur avec pour point de départ un centre pour enfants contaminés s'étiole sur la longueur et ressemble au final a un long épisode de The Walking Dead, qui manque de rythme et d'originalité, avec un final totalement raté. Au moins, c'est bien filmé, mais rien de nouveau dans le genre.
Le concept et le scénario de ce film sont plutôt pas mal et changent des histoires habituelles de zombies. Cependant, j'en suis ressortie assez déçue. Déjà, pas d'attachement aux personnages, donc on regarde le film avec une certaine distance. Niveau rythme, c'est irrégulier. Le début démarre plutôt bien, l'intrigue se met en place mais très vite cela retombe et on s'ennuie, il ne se passe pas grand chose. La fin est plutôt bien quand on réalise l'enjeu qui découle de la fillette, en quelque sorte destin de l'humanité, mais étant donné que je ne me suis pas vraiment attaché à tout ça, je n'ai pas été « secouée ». Intéressant mais pas assez captivant.
C'est un thriller qui parle de zombies. Le monde entier a été ravagé. Pour faire court, on va suivre une enfant moitié infectée avec quelques adultes qui vont essayer de survivre dehors au milieu de ce qui reste de la ville de Londres au milieu de zombies en partie endormis. Cette histoire est terrifiante, inquiétante, passionnante. C'est vraiment palpitant et j'ai beaucoup apprécié.