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KingJulian
26 abonnés
93 critiques
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3,0
Publiée le 2 juillet 2017
Un mix entre the last of us et the walking dead (le jeu vidéo). La photographie y est magnifique mais le scénario y est un peu trop simpliste. Il se laisse regarder mais ça sera pas vraiment une référence en terme de film post apocalyptique, à voir une fois tout de même si on est fan du genre.
Le titre et la typo en France rappelle beaucoup trop le jeu vidéo de Naughty Dog, à la limite du plagia.
" Wouah ! Mais, c'est incroyable ... Après le film classique "La nuit des morts vivants", l'horrifique "Evil Dead", le violent "28 jours plus tard", les comiques "Zombieland" et "Shaun of the dead", le psychologique "Contracted", le romantique "Warm bodies", le film à found footage "REC", les films d'action : "World war Z" et "Dernier train pour Busan" etc ..., les films de zombies continuent à varier et enrichir leur style scénaristique ! Pff ! Quelle imagination fourmillante pour continuer à nous déstabiliser et à nous faire peur ! Wouah ! En une fraction de seconde, on est complètement dans le film "The last girl. Très intriguant, ce film qui me frappe déjà par les images violentes où une enfant prisonnière dans une cellule, est attachée de sangles sur leurs poignées et leur front par des militaires et amenée vers une classe souterraine dans un bunker en pleine campagne anglaise ! Est-ce des enfants délinquants dans une prison ? Pourquoi on les éduque attachés ? Eh bien, non, il s'agit des enfants infectés par un virus zombie mais ils sont capables de penser et de ressentir des émotions ... Quelle idée originale ! Wouah ! Le film "The last girl" raconte l'histoire de Mélanie, jeune fille infectée, qui est passionnée par les cours de mythologie grecque et qui s'attache à l'enseignante Hélen Justineau. Cette dernière n'approuve pas les méthodes dures envers les enfants bien dressés. Bon, un jour, la base militaire est envahie par des zombies. Mélanie, l'enseignante Hélène, la scientifique froide, tellement convaincue qu'elle sera capable de créer un antidote contre le virus zombie et quelques militaires s'échappent, ils vont se réfugier dans une ville Londres, envahie par de mystérieuses plantes dans l'espoir de trouver une laboratoire pour faire des expériences scientifiques et pour trouver un antidote ... A Londres, on découvre des zombies démunis de toute forme de conscience ... Justement, qui sont les enfants zombies capables de penser ? D'où vient le virus "Zombie" ? Encore, l'idée de son origine est originale, je ne vous en dis pas plus pour ne pas gâcher vos surprises ... Le casting est parfait. Sennia Nanuna qui joue le rôle d'une jeune fille zombie, pourtant charmante et respectueuse, est surprenante dans sa personnalité tellement ambiguë qu'on ne sait vraiment pas si on a bien fait de la suivre pour se protéger ... On est déboussolé face à son sourire mystérieux et ses regards malicieux. On s'interroge si elle n'est pas en train de fomenter une piège ... Quels sont ses réelles intentions par rapport à l'enseignante, à la scientifique et aux quelques militaires ? En faire de futures proies ou bien les protéger ? On guette alors le moindre signe annonciateur de rebondissements à venir ou de danger ... D'ailleurs, j'ai bien aimé les scènes teintées de couleur verdâtre, pour accentuer l'impression d'être dans un univers post-apocalyptique et nous faire comprendre que la nature a repris le dessus de l'humanité ... J'ai beaucoup aimé ce film tellement fascinant, intriguant ! Pas mal ! "
Cinéma d'horreur zombifié fortement tendu, The Last Girl prend à la gorge le spectateur dans un monde moderne post-apocalyptique, très fortement pompé sur le jeu vidéo à succès The Last of Us. Le plagiat est évident pour les connaisseurs, mais les simples cinéphiles apprécieront une histoire aisée à suivre et bien interprétée, ainsi qu'une oppression de tous les instants. Et pour tous, un excellent film d'horreur-action.
Dans un monde de zombie une petite minorité d'enfants touchés par ce germe cannibale sont utilisés pour devenir un vaccin !
Pourtant une faille dans le système va venir contrarier les recherches...
Le début du film est prometteur mais à un moment ca bascule dans l'absurde et le film devient moins captivant et cohérent.... dommage car ce film aurait pu être très bon.
Je pense que les scénaristes ont voulu faire du psycho et de la philosophie dans un film d'épouvante.
The Last Girl réserve une première partie tonitruante, et imaginative. Dans un monde dominé par les zombies, les enfants, toute la nouvelle génération, arrive relativement à contrôler les pulsions meurtrières de zombies. Le casting est efficace, la mise en scène tres vive, offrant des scènes d'action impressionnantes, l'écriture des personnages est précises et inventives, et la bande originale est renversante. La deuxième partie perd en rythme et en tension, mais permet d'étirer le destin des protagonistes dans un final inattendu et à double sens.
Dès les premières images de « The Last Girl », on sent que l’on va vivre une expérience cinématographique intense. Le thème musical récurrent du film entête dès la séquence d’entame, les images sont très fortes (on y voit une enfant sanglée par des militaires et amenée dans une salle de classe souterraine dans un bunker) et on sent que tout cela va nous emmener vers quelque chose de différent. Cette première impression ne se démentira pas une seule seconde durant les presque deux heures de projection. Tout juste pourra-t-on reprocher un premier quart d’heur un peu long à démarrer jusqu’à la fantastique attaque de la base militaire et l’apparition d’enfants zombies au comportement pas très probant dans la dernière partie. Mais ce premier film vous scotche durablement à votre siège pour ne plus vous lâcher dans un sous-genre pourtant rebattu du film d’horreur. Comme peut l’être le film de possession par exemple, le film d’apocalypse zombie a été vu et revu dernièrement sur grand écran. Un genre dans le genre mis sous toutes les formes qu’elle soit comique (« Shaun of the Dead »), télévisuelle (« The Walking Dead »), blockbusterisée (« World War Z ») ou même romantique («Warm Bodies »). Le traitement est ici cent pour cent sérieux, dans le pur respect du genre, et aucune note d’humour (ni d’espoir) ne viendra entamer la progression du film jusqu’à l’inéluctable et inattendu dénouement.
« The Last Girl » parvient donc à faire entendre sa petite musique dans un périmètre cinématographique codifié et balisé. D’abord par le biais de ces enfants à moitié zombies mais capables de comportements humains qui donnent une teneur et une saveur toute particulière au long-métrage. On apprécie également la manière dont Colm Mc Carthy développe la direction artistique de son film. De la base militaire du début, aux banlieues environnantes d’un Londres dévasté par l’épidémie jusqu’à cette tour végétale qui prend feu, les décors sont magnifiés par une mise en scène adaptée et des effets spéciaux soignés. Sa vision d’un monde rongé par un virus où la nature reprend ses droits interpelle et fait froid dans le dos. C’est aussi beau que terrifiant. Quant aux pistes prises par le scénario concernant ces enfants particuliers et l’évolution du champignon, ils sont à la fois probants et passionnants et portent « The Last Girl » à un niveau bien supérieur que ce que celui auquel ce genre de production nous habitue. Enfin, les scènes d’action et de poursuites sont parfaitement maîtrisées ce qui termine de rendre ce film captivant et prenant. Une œuvre de cinéma bis qui accroche la rétine (et notre mémoire) pour s’en extraire et s’imposer comme magistrale et essentielle dans l’édifice du film de zombies. Envoûtant et surprenant.
Le film brille par ses premières scènes d'introduction et une conclusion surprenante. Entre les deux, rien de nouveau pour le genre "apocalypse zombies" dont on pourrait finir par croire que le cinéma les TV Show ont fait largement le tour. La prestation de Senia Nenuana est remarquable !
Je pleure rarement au cinéma, et surtout pas dans un film de zombie. Et là, bim, dès la 2ème séquence. Le film est poignant. L'intrigue est habituel : survivre. Mais cette fois-ci les raisons pour lesquelles chacun veut survivre vous tiennent en haleine. Aujourd'hui, les productions préfèrent faire des films qui vont plaire au public. Les choix artistiques restent dans le zone de confort. Or ici, tout les techniciens (artistes) s'aventurent dans les zones à risques et ils en reviennent tel guerrier victorieux. Le chef-op a fait des choix risqués, surtout en matière de colorimétrie et gamma. Mais ça marche. Le son, encore une fois, beaucoup d'originalité, et pourtant ça marche. Comme le scénario. Que dire du casting ? Chaque rôle est joué à merveille par l'acteur respectif. Des roles principaux aux roles secondaires, chaque acteur incarne tellement son personnage, qu'on vit, qu'on respire, qu'on éprouve les sentiments avec eux. Un grand bravo au réalisateur ! Un grand bravo !
The Last Girl - Celle qui a tous les dons est un film de zombie original. Il ne faut pas s'attendre à un film d'horreur avec des zombies qui démembrent les humains pour les manger, ici, on se retrouve avec un film qui sera finalement plus poétique et assez surprenant sur son développement. Malgré l'originalité du film, on ne peut s'empêcher de remarquer quelques défauts qui auraient pu être évités facilement. Sans compter sur une scène ridicule et une fin surprenante, mais tout de même décevant. Gemma Arterton démontre son talent d'actrice tandis qu'elle se fait talonner par Sennia Nanua, qui est angoissante dans ce film. Un film de zombie original et loin des clichés habituels du genre.
Voila je vous présente le navet de l'année 2017 par Universal ... 🍅🍅🎥
note 1/2⭐️/5 1. Acteurs absolument médiocre 2. Images médiocre 3. Bande son absolument ignoble et médiocre (Je connais pas l'ingénieur son, mais si je le croise, je lui retire son diplôme) 4. Histoire nulle, Sans objectifs, Sans Fin ... 5. L'actrice principale .... j'en parle pas
Un NAVET !!!
Donc allez voir se film et je vous condamne pour haute trahison envers le Bon cinéma ...
Ps : remerciez moi, je vous fais économiser 1h30 de votre temps et 7,50 euros
Un film à la fois haletant, brutal, et surtout bouleversant. On est plongé dans l'histoire dès la 1ère scène et on n'en sort pas avant la dernière ! En plus de ça, ce n'est pas un film à base de morts-vivants comme les autres: là, on voit l'histoire et le cadre post-apocalyptique différemment. Le jeu d'acteur bluffant rend le film encore plus troublant dans le sens où il n'y a finalement ni méchants ni gentils. Tout du long, le film place l'aspect psychologique aux côtés du stress et de l'action, et pour la première fois dans un film «de zombies» l'Homme n'est pas forcément le héros qu'on attend... De mon point de vue, c'est LE film à voir en ce moment ! Il mérite vraiment d'avoir du succès...
"The last girl" raconte l'histoire de Melanie, jeune fille surdouée touchée par un virus qui change les gens en morts-vivants, et dont elle semble maitriser les effets. Transformée en cobaye ainsi qu'un certain nombre d'enfants de son âge, elle est étudiée par des scientifiques sous la surveillance de l'armée dans une base britannique à proximité de Londres, cernée par la population infectée.
La réalisation de "The last girl" a été confiée a Colm McCarthy, réalisateur de la série Peaky Blinders.
"The last girl", prix public au festival de Gerardmer 2017, constitue une belle tentative de renouveler le genre du film post apocalyptique. Débordant de réalisations plus ou moins réussies depuis un dizaine d'années, le genre s'essoufle un peu par manque d'originalité et multiplication des films et séries.
Teinté de féminisme (ses premiers rôles sont tenus par des artistes féminines: Melanie, interprétée par"la révélation" Sennia Nanua, Helen Justineau interprétée par Gemma Arterton et Glenn Close dans le rôle du docteur Caldwell, chargée de trouver un vaccin), le film fait parfois penser à "28 jours plus tard", avec davantage de sensibilité. La relation entre Mélanie et Helen Justineau s'apparente presque à une relation mère fille. Mélanie est d'ailleurs le personnage qui renouvelle le genre, interagissant avec ses semblables infectés comme avec les humains. Capable de sauvagerie mais instinctive et intelligente, elle est une partenaire ou une adversaire redoutable.
Personnage masculin le plus consistant, le sergent Parks interprété par Paddy Considine, se révèle au final un personnage attachant. Le film pose un questionnement plutôt intéressant sur l'avenir de l'humanité et son épilogue assez inattendu.
spoiler: Mélanie a les clefs de l'avenir du genre humain, elle choisit de le faire évoluer plutôt que de continuer à combattre pour le préserver tel quel. La fin du film est en revanche un peu hasardeuse avec les petits cannibales hirsutes, contemporains de Mélanie, qui montre les dents comme des petits sauvageons issus du Néanderthal.
Signalons également une BO "tribal house", so british, inspirée de Cristobal Tapia de Veer.
"The last girl" confirme en tous les cas la très bonne santé du cinéma de genre britannique.
Peu coutumière des films d’épouvante ou d’horreur, je me suis laissée tentée par le casting de « the last girl » (Gemma Aterton, Glenn Close).
La jeune Sennia Nanua (Melanie) est fascinante.
Dans une base militaire, quelque part en Angleterre, des enfants, on ne sait pourquoi, sont tenus prisonniers et sanglés manu militari sur des fauteuils roulants lors de leurs déplacements. Malgré ces conditions, une institutrice leur fait cours chaque jour et les initie à la mythologie grecque. Des liens privilégiés se nouent entre une élève, Melanie, et l’institutrice. Un médecin (Glenn Close) fait des expériences sur les enfants.
Un jour la base est envahie par des zombies, Melanie, l’institutrice, le médecin et des militaires parviennent à s’échapper.
J’en ai déjà trop dit … Le film a le grand mérite de ne révéler les choses importantes que progressivement, le spectateur va seulement comprendre au fur et à mesure de quoi il en retourne.
A part quelques effets spéciaux sanguinolants et zombiesques et le côté très inquiétant des enfants, le film pourrait être une métaphore de l’évolution. Il peut faire penser aux hommes de Néandertal et de Cro Magnon.
Se pose aussi la question de l’humanité (Qu’est-ce qu’être « humain »), très finement posée.
La BO est parfaite, les images d’un Londres dévasté très réussies.
Le tout donne une atmosphère très singulière, dépassant les cadres du film d’horreur avec un sentiment d’étrangeté. La fin se montre déprimante ou pleine d’espoir, selon le point de vue.
Pour davantage d'articles, mon blog : larroseurarrose.com
La jeune inconnue Sennia Nanua incarne la petite "vorace" de façon à la fois soft et innocente, parfois même trop. En effet le fait qu'elle soit plus intelligente que les autres n'est jamais exploitée et/ou expliquée. Pour une fois il ne s'agit pas d'un virus bactériologique plus ou moins créé par l'homme de façon directe ou non mais juste la mère nature qui montre sa force, une force qui va à l'encontre de l'humanité telle que l'humain la conçoit aujourd'hui. Mais doit-on pour autant fermer les yeux à de nouvelles formes d'évolution ?! Là est la question essentielle du film. Site : Selenie