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    La Mort de Louis XIV
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    62 critiques spectateurs

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    Yves G.
    Yves G.

    1 500 abonnés 3 518 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 décembre 2016
    Louis XIV se meurt. Louis XIV va mourir. Louis XIV meurt.

    Résumer le film d’Albert Serra n’est pas bien difficile. Car on y assiste pendant près de deux heures à l’agonie du roi de France. On ne sort pas de sa chambre. On n’apprend rien de ce qui se joue probablement en coulisses : les peurs des tenants du régime qui craignent pour leur place, les espoirs des autres qui attendent avec espérance que les cartes du pouvoir soient rebattues.

    Il y aurait eu un film passionnant à réaliser sur les jeux de pouvoirs qui se nouent pendant l’agonie d’un monarque. Mais tel n’est pas le parti retenu par le réalisateur catalan qui choisit de s’en tenir à son seul sujet : le roi, de tous les plans qui, sans trop s’en plaindre, se laisse lentement glisser vers la mort. On aurait imaginé le monarque plus acrimonieux. Joué avec une étonnante retenue par Jean-Pierre Léaud – qu’on connaît pourtant plus nerveux – il est étonnamment placide.

    Autour de lui quelques personnages s’activent. Son médecin dont les erreurs de diagnostic révèlent autant les limites de la médecine de l’époque que le charlatanisme de l’intéressé. Son premier domestique indéfectiblement loyal à son maître. La Maintenon toute de noir vêtue. Le jeune Louis XV, âgé de cinq ans à peine, bientôt propulsé sur le trône.

    Pendant une heure et cinquante cinq minutes, on reste confiné dans cette chambre pourpre à l’odeur irrespirable. Pas un répit dans cette longue agonie dont on connaît déjà l’issue. Certaines critiques ont crié au génie ; moi, je crie au secours !
    Daniel C.
    Daniel C.

    150 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2016
    Alors, d'abord, il y a la beauté de Jean-Pierre Léaud. Parfois dans un regard, on capte l'œil malicieux du jeune Antoine Doinel des quatre cents coups. Et c'est sublime de voir ce roi autrefois si lumineux, s'assombrir et ne pas finir d'agoniser. Le film d'Albert Serra pourrait être qualifié, selon moi, de film pictural : en effet nombre de prises de vues donnent lieu à de véritables scènes de tableaux. Louis XIV est entouré de façon quasi continue, essentiellement par des hommes. Souvent il n'esquisse qu'un râle de douleur, puis, subitement, il a une demande ou une question fort précises, qui réclament leur exécution immédiate. Chacun obtempère aux injonctions royales. Jean-Pierre Léaud est sublime dans son immobilité. En tant que spectateurs, on est peu à peu fasciné par cette mort annoncée et que l'on attend et qui ne vient pas. On oscille entre espoirs de guérison et moments où l'on espère capter le dernier instant de vie dans le regard du roi. La mort devient l'objet central que l'on suit pas à pas. Le rythme est lent. C'était pour le moins audacieux d'entreprendre une telle expérience historique. Je ne connaissais pas ce jeune réalisateur catalan de 41 ans, qui apporte une nouvelle manière de faire du cinéma.
    moreapacifique1
    moreapacifique1

    9 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 novembre 2016
    Film lugubre, éclairé à la bougie et à la bande son incompréhensible.Huis clos montrant une série de trognes ne connaissant pas le coiffeur.Film sans musique sauf à un moment où une symphonie magistrale soulage un instant l’atmosphère.Film qui tout au long de ses deux heures signe surtout la lente agonie du malheureux spectateur; A côté, le huis clos de Sartre est un divertissement!
    saxoman
    saxoman

    16 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 janvier 2017
    Quel film ennuyeux et inintéressant alors qu'il y aurait eu tant à dire et à faire autour de la mort de Louis XIV. Non, Albert Serra s'est contenté de filmer l’agonie du roi de France. Pour meubler les silences interminables, le réalisateur a rajouté des chants d'oiseaux insupportables alors que visiblement les lourds rideaux de la chambre sont tirés sur des fenêtres fermées. La seule musique classique que l'on peut entendre (du Mozart) est complétement anachronique puisqu'elle est arrivée 50 ans plus tard ! Non seulement notre réalisateur n'est pas mélomane mais il n'a pas l'oreille fine : c'est ainsi que l'on peut entendre le son de sirènes dans une scène de la fin qui aurait dû normalement être rejouée.
    Je n'ai pas dû voir le même film que celui encensé par les critiques. Je mets quand même une étoile pour la belle interprétation de Jean-Pierre Léaud.
    Petitgraindesable
    Petitgraindesable

    21 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2016
    Tragi-comédie
    La prouesse de ce film est d’avoir traité le drame de la mort sur un mode à la fois contemplatif (certains trouveront le temps très long) et résolument comique, ce qui en fait au sens propre une tragi-comédie. Les images sont splendides, essentiellement des plans extrêmement rapprochés. Tableau après tableau, portrait après portrait éclairés à la Rembrandt, révèlent tous les sentiments humains : l’orgueil, la peine, l’espoir, le désespoir, la fatuité, la bêtise. Le son est remarquable, presque pas de musique mais quand elle arrive, elle arrive à point, grandiose. Jean-Pierre Léaud exprime à la fois la grandeur et la vanité de sa fonction de manière époustouflante et sobre à la fois. Le film est constamment sur le fil du paradoxe, et c’est sa grande originalité. Il ne joue pas sur les émotions mais sur l’observation de la tragédie humaine.
    Sylvain P
    Sylvain P

    341 abonnés 1 358 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 novembre 2016
    Si œuvre d'art il y a, elle est malheureusement faite au détriment du spectateur qui s'ennuie ferme à la vue de l'interminable agonie du Roi Soleil, certes magistralement interprété par Jean-Pierre Léaud. Les râles, les cris de douleur, la gangrène, l'autopsie, rien ne nous est épargné. Quel est finalement le but de ce spectacle morbide ?
     Kurosawa
    Kurosawa

    591 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2017
    C'est un peu plus qu'un film, c'est une cérémonie funèbre. Albert Serra réalise le plus inattendu des paradoxes en liant le roi Louis XIV non pas au divin ou au céleste mais au corporel. Car le roi se meurt pendant près de deux heures, agonise d'une gangrène que les courtisans ont refusé d'admettre, conserve une autorité écrasante sur ces derniers qui ne le lui laissent pourtant aucun répit. D'un point de vue purement spatial, le roi n'est jamais seul; sa solitude est intérieure et personne ne peut y remédier. Ce que montre parfaitement Serra, c'est le rapport hyper respectueux entre le monarque et ceux qui l'accompagnent et en quoi ce lien - totalement conventionnel - rend impossible tout remède, qu'il soit moral ou physique : dans les vingt dernières minutes, alors que le roi a perdu sa jambe depuis longtemps et que le mal s'est imprégné dans le corps entier, ses fidèles s'acharnent en vain (par obligation) pour tenter de le sauver. Si l'expérience proposée par Serra est parfois difficile car exigeante, elle n'est jamais ennuyeuse car, d'une part, il y a toujours du mouvement dans le cadre, dont la sublime composition picturale permet de s'attarder sur une multiplicité de détails visuels et sonores et, d'autre part, le cinéaste intègre malicieusement un humour pince-sans-rire qui désamorce quelque peu le sérieux de l’événement. Majestueux et passionnant, "La Mort de Louis XIV" n'est pas le film conceptuel soporifique auquel on aurait pu s'attendre mais un geste grand et ambitieux, à la hauteur de l'acteur qui incarne le Roi Soleil, Jean-Pierre Léaud magnifique dans sa capacité à jouer aussi bien la fragilité que la ténacité.
    dominique P.
    dominique P.

    844 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 novembre 2016
    Le sujet du film est intéressant et l'acteur livre une très grande prestation.
    Cependant l'ambiance générale est vraiment âpre, lourde, difficile et pesante.
    Pendant tout le film le roi est dans sa chambre.
    On suit sa souffrance sur plusieurs jours.
    C'est un film glauque et étouffant.
    soulman
    soulman

    92 abonnés 1 227 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2017
    Un film ambitieux où la beauté des compositions picturales crée l'atmosphère mortuaire recherchée. Dans le rôle du monarque, Léaud est phénoménal, tout en haussement de cils et en murmures étouffés.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 097 abonnés 3 970 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mars 2017
    La mort de Louis XIV est sans doute le film le plus traumatisant que j'ai pu voir depuis bien longtemps. Plusieurs fois j'ai eu des moments de recul devant mon écran tant le film est violent dans ce qu'il montre, et dans ce qu'il suggère.

    Le film est visuellement magnifique, sans doute inspiré des peintures de de La Tour, où chaque plan est parfaitement composé, utilisant judicieusement le clair obscur, ce qui permet de jouer sur les ombres, de donner du relief au tissu, aux perruques portées, mais aussi de cacher un détail horrifiant quelque part dans le cadre et que l’œil a le temps de voir grâce au rythme funèbre du film.

    Je pense à ce plan où après quelques longues secondes je me suis rendu compte que l'on voyait le pied du roi dépasser du draps et qu'il était totalement gangrené... L'horreur dans la banalité du quotidien. Ici il n'y a pas d'effets pour rendre ça spectaculaire, c'est l'exact inverse. On ne traite pas de la Cour du roi, on traite juste de l'agonie.

    Une agonie de deux heures qui s'amplifie, forcément... où les mêmes plans se répètent, où l'on voit le roi diminuer de plus en plus... Le film est aussi lent qu'insoutenable, répétant sans cesse les mêmes scènes où l'on voit même pas le quotidien du roi, mais l'agonie en direct...

    Le film ne cherche pas à divertir, il ne cherche pas à occuper l'esprit, c'est assez rare de parvenir à cela, où il n'y a plus de frontières entre ce que montre le film de terrible et ta propre réflexion liée au fait que tu n'es pas diverti et que tu penses à ta propre mortalité.

    Parce que la grande force du film c'est de montrer Léaud/Louis XIV mourir, certes roi le plus puissant de France, voire du monde, certes immense acteur ayant parcouru le cinéma français depuis plus d'un demi-siècle, mais de le voir crever comme ça, dans l'impuissance, n'étant même plus capable de boire... Cette mort là, c'est celle qui nous attend tous... Peut importe qui l'on a été... peut importe ce que l'on a fait... On sera comme Louis/Léaud, dans notre lit, les infirmières auront remplacé les valets, mais on est privé de tout pouvoir, jeté à la merci des médecins, des chirurgiens qui se disputent pour savoir quoi faire... sans même respecter un temps à notre mort avant de se jeter sur nos entrailles pour en apprendre plus sur notre maladie... et faire mieux la prochaine fois.

    C'est un film qui glace le sang, un film qui alterne les moments d'émotions pures, où l'on voit Louis XIV retrouver ses chiens, heureux, puis à la limite des larmes lorsqu'ils doivent le quitter... où l'on voit pendant un long plan Louis XIV essayer de manger un biscuit trempé dans un verre de vin, puis après s'être renversé le verre dessus en essayant d'en boire, le repose, incapable de s'alimenter, le tout pendant que la seule musique du film donne un souffle encore plus funèbre à la scène et que Léaud semble regarder la caméra en la suppliant de l'achever, d'en finir...

    Malgré donc la beauté du film, la photographie est absolument hallucinante, les plans fixes, leur durée, font que l'on n'est pas quelque chose de tape à l’œil, on est l'horreur de ce que c'est que la mort et ceci peu importe qui l'on est.

    Au travers de cette situation très particulière, Albert Serra nous parle de l'universel, de notre mort à tous, gisant incapables sur notre lit... Il n'empêche que c'est on ne peut plus politique de présenter cette mort comme ça, l'homme le plus puissant à l'époque qui meurt comme n'importe quel manant... en exigeant un verre de cristal certes, mais en souffrant comme n'importe qui d'autre.

    Aussi tragique que sublime, mais quel désespoir, regarder ce film c'est accepter d'être vidé totalement.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 novembre 2019
    Bon, il est temps d'annoncer la mauvaise nouvelle au peuple, en l'an de grâce 1715, l'année pour un roi à l'agonie pendant 2h, rend son dernier souffle pas sereinement, le corps gangrené, c'est une réalisation morbide.
    Avec ses gros plans sur sa propre personne intouchable, le devoir des conventions, ça en devient lassante cette drôle de mise en scène.

    Le roi Soleil état de décomposition, s'achève un cycle de règne laissant le soin à son enfant Louis, la succession dynastique, c'est prémonitoire ce film dans un unique décor glauque, la chambre royale, Madame de Maintenon le maintien ferme à son chevet.
    Le spectacle mortuaire continue avec ces médecins d'autres régions, ce qu'il n'y a plus rien à sauver quand l'heure est venue.

    La noblesse, le clergé et le tiers état, des serviteurs qui pleurent leur protecteur, sire votre seigneur, on verra ce qui attend les capétiens XV et XVI et bastille annoncée pour le plus grand roi de France cité.
    Bernard D.
    Bernard D.

    114 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2016
    Alors que l’histoire peut se résumer en une seule ligne, Alain Serra nous livre avec « La mort de Louis XIV » un chef-d’œuvre de près de 2 h mêlant de 2 histoires se déroulant dans un quasi huis-clos puis lit-clos mais pas au sens breton du terme :
    1) L’agonie de Louis XIV suite à une gangrène du pied, qui s’articule autour du magnifique kyrie eleison de la messe en ut mineur de Mozart, en 2 phases. Au début le roi tient à assumer son rôle de monarque avec toute la déférence due à son rang et ses caprices spoiler: (il exige un verre en cristal pour boire de l’eau, mange des biscotins trempés dans un vin d'Alicante, il convoque le cardinal de Rohan pour recevoir l’extrême onction mais le renvoie ne jugeant pas l’heure venue …)
    puis épuisé par l’extension de la gangrène à son abdomen, il va s’abandonner après avoir préparé sa succession spoiler: (conseils au jeune dauphin, destruction de lettres de son père …)
    et abandonner toute lutte pour vivre son agonie jusqu’à son dernier râle.
    2) Les états d’âme de son médecin, le Dr Fagon (Patrick d'Assumçao), qui va initialement refuser tout conseil puis accepter l’idée du chirurgien Mareschal spoiler: (une amputation que le roi refusera même s’il déclarera plus tard « si le membre était parti, le corps ne partirait pas »), puis acceptera
    de faire venir les médecins de la faculté de Paris spoiler: qui « enseignent dans les amphithéâtres et les livres plus qu’il ne s’occupent des malades »
    et la potion d’un guérisseur qui sera ensuite embastillé. Le docteur Fagon demandera le pardon du roi de ne pas avoir su le guérir et après l’autopsie, dira « la prochaine fois, nous essaierons de mieux faire ».
    Comme dit dans la bande annonce, l’image est sublime du fait des décors, des costumes, de la lumière … avec une succession de tableaux à la Rembrandt alors que la caméra fait des plans de plus en plus serrés nous montrant le faciès grimaçant de Jean-Pierre Léaud dont l’interprétation est époustouflante et justifie la palme d’honneur reçue à Cannes alors que le film était hors compétition … avec la triste impression d’un décès annoncé de cet acteur fétiche de François Truffaut.
    La bande son est magnifique avec au début les bruits de la cour (gloussements et applaudissements des dames lorsque le roi daigne manger un peu, son lointain d’un concert qui nous rappelle l’intérêt du roi pour la musique et la danse …) puis simplement des phrases échangées parfois sans faire attention à la présence du malade, puis un quasi silence entrecoupé par les gémissements de douleur et à la fin après le mélange du piaillement d’un petit oiseau en cage, le bourdonnement des mouches et au loin le croassement des corbeaux, un grand silence qui se prolonge au début du générique.
    Ce film nous montre d’une certaine façon la beauté d’une lente agonie – comme dans « Cris de chuchotements » de Bergman - mais ici l’agonie d’un puissant et pour ma part, je n’ai pu m’empêcher de penser à celle de François Mitterrand.
    Stéphane C
    Stéphane C

    64 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2016
    Une œuvre baroque crépusculaire de toute beauté. La lente agonie - "peinte" en clair/obscur - du Roi Soleil est aussi angoissante que fascinante ... c'est un film radical donc impossible à conseiller !
    schemaman
    schemaman

    20 abonnés 277 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2016
    Filmé tourné exclusivement en intérieur (sauf peut-être la 1ère scène), en plans serrés, quasiment sans dialogue, ce film intimiste se penche résolument sur le for intérieur. Pas de mots pour exprimer la lente descente vers la mort de ce roi prestigieux qui garde jusqu'au bout, au moins dans ce film, sa noblesse, sa prestance, sa classe. Jean-Pierre Léaud semble parfait dans ce rôle d'expression de l'intériorisation des sentiments, tout en stoïcité malgré la connaissance d'une fin inéluctable. Et comment ne pas souligner la qualité picturale du film où les gros plans et les clairs-obscurs nous emportent dans la peinture de Georges de La Tour où celle de Rembrandt : les visages sont burinés, marqués, expressifs et les couleurs sont chaudes, rouge carmin, ocre, pourpre...
    PaulGe G
    PaulGe G

    112 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 décembre 2016
    que l'agonie d'un roi peut être longue. pendant deux heures d'images fixes et de scènes interminables dans une huis clos éclairé a la bougie , et pour finir avec l'éviscération !!! .c'est un essai de cinéma très particulier et en fin de compte très ennuyeux, qui est réservé a un public très averti de la chose médicale du 17 ème siècle.Jean Pierre Léau a d'impressionnantes mimiques faciales , mais il n'avait pas d'autre chose a faire.
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