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    20th Century Women
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    Laurent C.
    Laurent C.

    260 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mars 2017
    Elle s'appelle Dorothea, elle est née dans les années 1925, et elle approche aujourd'hui les 55 ans, en pleine tourmente culturelle et sociale des années 70 aux Etats-Unis. Tourmente relative, car elle se projette sur un futur contemporain, le nôtre, et raconte un monde qui ne serait plus le même sans l'Internet, les téléphones mobiles, la consommation à outrance, etc. "20Th Century Women" est une grande éducation sentimentale version US, dans la ville de Santa Barbara où il est difficile à la fois d'être une mère célibataire, une femme libre, dans un contexte où les modèles éducatifs, politique, sociaux, changent et le monde avec. Finalement, ce film nous rappelle peut-être que la modernité a commencé avec les grandes crises pétrolières qui ont instigué des référentiels nouveaux de pensée, de sexualité et de place des acteurs dans la société. Le film peut paraître brouillon. En vérité, le scénario est taillé au ciseau. Tout est prévu, ordonné, clair, et il faut attendre la fin du film pour mesurer le monstrueux travail de mise en scène, d'écriture et de montage à l'œuvre. La reconstitution des décors qu'ils soient intérieurs ou extérieurs, est bluffante, tant les détails comme les appareils ménagers, les tourne-disques, les costumes, les décorations etc. plongent le spectateur dans une période finalement assez éloignée, voire oubliée, mais toujours très présente dans nos inconscients collectifs. Le rythme, les dialogues font penser à un film de Despléchin à la façon américaine, tant le point de vue cinématographique se mêle à la densité des dialogues et à la littérature. "20th Century Women" raconte l'histoire d'un féminisme qui se réinvente. Il raconte aussi l'histoire d'un siècle, à travers ses gens et ses espoirs, ses enfants et ses adultes, ses illusions et ses malheurs. Bref, il raconte le cinéma dans toute sa splendeur.
    Soren.K
    Soren.K

    45 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 avril 2017
    Hmm, mais encore... ?
    20th century women est un film en suspension. Soit il s'agit d'une beauté incompréhensible, mais j'en doute, soit il s'agit d'un charabia de la célébration de la femme, qui considèrerait donc que les femmes ont besoin de la fiction pour vivre et survivre dans la réalité. Paradoxal. En fait je mets 2,5 parce que le travail de caméra et de dialogue le mérite, dans sa prétendue originalité et son esthétisme enjolivé. Je mets 2,5 aussi pour les acteurs, et pour le silence. En dehors de cela, j'ai été assez dérangé par ce film, qui selon moi n'est pas du tout l'éloge qu'il se veut être de la femme.
    Certes le personnage de Jamie est remarquable et intelligemment représenté et il permet une magnétisation de ces portraits de femmes, mais ce sont ces portraits qui me posent souci, puisque ce sont trois clichés situationnels qui enferment justement dans des cases la femme libre qu'ils sont censé montrer.
    On a la mère incomprise et à bout qui élève seule son enfant, l'ado libertine qui joue avec sa jeunesse et qui teste sa sexualité et se cherche en tant que femme, et enfin la femme artiste qui inclut une dimension morale et philosophique à l'histoire mais qui demeure un personnage de roman.
    Donc, en fait, l'éloge ici, est celui de l'adolescence d'un garçon qui voit les supercheries et les beautés du monde et qui se forge un jugement en lien direct avec les multiples visages de l'humanité. En revanche, la femme est, selon moi, montrée comme irréversiblement différente de l'homme et comme un être incompris aux soucis naturels. Pas très féministe.
    Alors oui l'on est en 1970 et l'on veut montrer que justement les femmes se battent et qu'elles étaient inégalement respectées et c'est vrai, mais cela ne doit pas justifier une telle représentation, au contraire.
    Cette représentation "moraliste" est faussée par les relations de genre et de sexe et la mise en scène complètement calculée et irréaliste d'une société paradoxalement libre alors que l'on nous présente des femmes qui se battent moralement et psychologiquement contre l'inégalité.
    On nous présente donc des femmes qui, pour être libres, s'appuient sur les hommes : le fils, les amants, le voisin gentil homme à tout faire. Franchement, c'est une montagne de stéréotypes cinématographiques et romanesques. L'on veut nous montrer des femmes libres fortes et insoumises alors qu'elles-même se rattachent éperdument aux hommes ?
    Il y a décidément un charabia qui ne va pas dans ce film. Toujours des cases, des portraits, de l'identification à n'y plus rien comprendre. On veut nous expliquer le monde au sein d'une copropriété de 5 personnes dont 4 sont des stéréotypes flagrants...
    Alors ça demeure joli, lyrique, le film tente de façonner un échappatoire de bonheur, mais peu de choses concordent et coïncident...
    valvie75
    valvie75

    8 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mars 2017
    J'ai adoré ce film. Un portrait d'une femme qui élève son fils seule à la fin des années 70. Annette Bening est formidable. La relation mère fils est décrite avec beaucoup de justesse et de tendresse.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 mars 2017
    20th Century Women est un joli film. Un bon mix entre le "feel-good" movie et le drame qui pose des réflexions intéressantes sur la sexualité, la famille, le temps qui passe... Un beau casting. Des moments drôles et parfois émouvants. Seul bémol : quelques longueurs. Mais c'est globalement un film de qualité.
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    197 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mars 2017
    J'ai été un peu déçue par ce film assez mou. Le film tourne autour d'un ado de 15 ans qui grandit sans père et dont la mère demande à ses amies femmes de lui montrer comment devenir un homme. Même si les visages peu familiers que l'on y voit sont rafraîchissants, il manque la petite étincelle pour que l'engouement se fasse entièrement.
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    139 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2017
    un portrait très autobiographique autour de femmes touchantes qui ont eu un rôle dans la vie du réalisateur. Un féminisme assumé et une audace maitrisée.
    FaRem
    FaRem

    8 809 abonnés 9 645 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 mars 2017
    Après avoir essayé de faire entrer des hommes dans sa vie pour que son fils ait une figure paternelle dans son entourage, Dorothea décide de faire appel à Abbie qui loue une chambre chez elle et Julie, une amie de son fils pour l'aider à l'élever. Mike Mills dresse le portrait de ces trois femmes, mais à travers une histoire semi-autobiographique raconte également le récit initiatique d'un adolescent qui se cherche et découvre le monde grâce à ceux qui l'entourent. Ce film, qui a un côté féministe assumé, touche-à-tout et aborde de nombreux thèmes grâce à des personnages différents qui à chacun leur tour racontent leur histoire le tout dans un contexte détaillé grâce à l'utilisation d'archives. J'ai bien aimé la construction pleine de délicatesse, le développement de l'histoire et des personnages ainsi que l'utilisation des voix off qui permet notamment de conclure parfaitement. Il n'y a peut-être pas de réels enjeux, mais c'est un très joli film vraiment agréable à suivre qui doit beaucoup à ses personnages attachants et aux excellents acteurs notamment les trois actrices qui sont superbes.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    252 abonnés 884 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2017
    Avec ces images léchées et sa galerie de personnages attachants, 20th Century Women démarrait vraiment très bien mais à étirer son histoire sur près de deux heures sans véritable scénario, Mike Mills perd progressivement les spectateurs qui finiront par trouver le temps long face à des scènes qui ont tendance à ressasser les mêmes choses. Alors que la promotion du film met beaucoup l’accent sur sa cause féministe, le message n’est pourtant pas si flagrant et on aura du mal à comprendre comment ses femmes, certes en quête de liberté, mais profondément en souffrance peuvent être considérées comme des piliers et des modèles. C’est surtout pour son casting impeccable que ce long métrage pourra séduire les spectateurs. [lire la critique complète sur le site]
    Flaw 70
    Flaw 70

    262 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mars 2017
    Mike Mills est un cinéaste encore peu connu, qui commence doucement mais surement à faire parler de lui. Après un premier long métrage en 2005, Thumbsucker, et quelques courts métrages, il s'est vraiment fait connaître en 2011 avec Beginners, une dramédie sympathique mené par Ewan McGregor. Très vite Mills s'est imposé comme un cinéaste de l'esprit libre cherchant à briser les normes imposées par la société traitant de sujets tels que la sexualité mais surtout la barrière de l'âge. Ces films prenant la forme d'une conversation entre plusieurs générations qui sont contraints d'évoluer ensemble et donc cherche à se comprendre. Son dernier film, 20th Century Women baigne dans cette esprit libertaire et offre un portrait générationnel revigorant.

    Avec l'aide d'un excellent casting, où Annette Bening (malheureusement un peu oubliée ces dernières années) démontre encore une fois être une actrice indispensable au cinéma, le scénario brosse le portrait de 5 personnages totalement attachants. Trois portraits de femmes d'une finesse admirable qui explorent l'apprentissage des générations, où l'ancienne qui n'arrive plus à suivre le monde qui l'entoure décide de céder son pouvoir à une jeunesse qui affirme ses convictions. Il y a quelque chose de très symbolique autour de cette mère trop âgée pour élever son fils et qui demande à deux femmes plus jeunes de le faire avec elle. Car nous ne sommes pas élevés par des hommes ou des femmes mais avant tout par des idées. Cette mère de famille à évolué dans un autre temps, et suite à la révolution sexuelle et à la liberté des mœurs, elle ne sait plus vraiment comme transmettre son traditionalisme sans que celui-ci devienne une entrave. C'est peut être le personnage le plus complexe du film, qui au delà de son ouverture d'esprit incroyable, s'érigeant comme l'avant-garde de la femme libérée, elle reste aussi un produit de son temps et garde une vision un peu vieux jeu de ce que doit être la vie. Pourtant 20th Century Women évite avec habilité le manichéisme entre ce qui est dépassé et ce qui doit être encouragé. La jeune génération présentée n'est pas stable, elle se cherche encore et malgré ses bonnes volontés trébuche face à son excès de zèle.

    La femme libérée incarnée par Greta Gerwig malgré ses idées qui façonneront le monde tel qu'il évolue aujourd'hui, elle subit le contre-coup de la génération punk. Bien trop insouciant d'elle-même pour vraiment faire la différence mais posant les bases d'un vent de révolte qui portera ses fruits. Le féminisme étant quelque chose qui commence seulement à vraiment faire parler de lui. L'adolescente tourmentée incarnée par une très juste Elle Fanning, n'en connait d'ailleurs pas tout les biens faits même si elle commence à la vivre à travers sa sexualité. Une sexualité d'ailleurs traité de manière instable et chaotique qui véhicule plutôt bien la passion enivrante et incontrôlable d'une génération qui tente de s'affirmer. Et plus que de parler à travers les générations, 20th Century Women est aussi une oeuvre qui parle à travers les sexes s'imposant comme un récit autant féminin que masculin. L'enjeu même du film est d'ailleurs d'ouvrir l'esprit d'un jeune homme à ce vent libertaire qu'il pourra transmettre à son tort. On a presque le sentiment que le Mills nous parle de lui à travers ce film, de son vécu et de ce que lui ont appris les femmes de sa vie pour qu'il puisse nous l'apprendre aussi à nous. Il transmet avec beaucoup de sobriété le flot peu maîtrisable d'informations que doit gérer l'adolescent, qui doit aussi faire le tri avec les erreurs de sa génération mais aussi celle de la précédente. Ici l'humain est tout aussi destructeur que source d’enseignement et malgré ses bonnes volontés, il répète aussi les mêmes erreurs. La fin est d'ailleurs plus amère qu'on aurait pu le croire. Elle tranche avec l'humour et la douceur du reste à travers le destin pas aussi lumineux que les personnages s'étaient imaginées pour eux-mêmes.

    Malgré toute ses qualités, 20th Century Women reste perfectible sur quelques points. Au delà de quelques bonnes idées visuelles, Mike Mills offre une mise en scène minimaliste et attendue notamment dans son envie de paraître cool. A travers sa sélection musicale et ses passages plus teen movie, il cherche grossièrement à mettre le spectateur dans une zone de confort et à tendance à répéter ses effets. Comme des passages où l'image se distord et s’accélère pour offrir un joli effet psychédélique mais qui est utilisé à de biens nombreuses reprises. On sent l'envie d'évoquer le documentaire Koyaanisqatsi de Godfrey Reggio mais cela manque de subtilité surtout quand le film se permet de mettre des passages du documentaire pour appuyer son propos. Le plus gros défaut de 20th Century Women sera d'ailleurs là. Il se repose bien trop ses références et se sent toujours obligé de matérialiser ses idées à travers des œuvres déjà existantes . On ne compte plus les scènes où les personnages vont lire des passages de livres soulignant le message que la scène précédente nous faisait déjà passer.

    20th Century Women est un bon film. Souvent drôle et très touchant, il s'impose comme une oeuvre haute en couleurs et pétillante qui est rafraîchissante dans le paysage cinématographique. Le film n'est reste pas exempts de défauts en raison d'un manque subtilité évident, d'une tendance à la citation pouvant agacer et une réalisation quelconque qui recycle les codes des productions indépendantes US. Pourtant avec son excellent casting et sa belle sincérité, 20th Century Women trouve le moyen d'apparaître comme un vrai vent de liberté dont il serait dommage de se priver.
    poet75
    poet75

    276 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mars 2017
    Dorothea (Annette Benning) avait l'âge de 40 ans quand elle a mis au monde son fils Jamie. 15 ans plus tard, alors qu'elle s'est séparée depuis longtemps du père de son garçon, elle mesure la distance qui la sépare de cet adolescent avec qui elle a bien du mal à communiquer. Comme ce dernier est proche de deux jeunes filles, Abbie (Greta Gerwig) qui est la locataire de la maison et Julie (Elle Fanning), c'est à elles que Dorothea demande de l'aide. Ce drôle de trio s'emploie donc, chacune à façon, à "éduquer" le garçon. Nous sommes à Santa Barbara en 1979 et ce film montre à merveille l'état d'esprit de cette époque (fin des années 1970), époque si proche et si lointaine à la fois (il n'y avait pas encore Internet, c'est dire!). Il est beaucoup question de sexe et de sentiment amoureux dans ce film, bien évidemment, puisqu'on a affaire à un adolescent que cela interroge et fascine. Malgré quelques longueurs qui l'alourdissent, c'est un long-métrage qui m'a paru totalement juste (et il l'est d'autant plus que le réalisateur a manifestement puisé dans sa propre histoire pour écrire ce scénario). 7,5/10
    DarkAkuma02
    DarkAkuma02

    57 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 mars 2017
    En 1979, une femme de 55 ans vit avec son fils de 15 ans. Elle partage également sa maison avec une jeune femme atteinte d'un cancer ainsi qu'avec un homme, qui sont tous les deux ses locataires. Sentant que son fils s'éloigne d'elle, elle demande à la meilleure amie de ce dernier et à sa locataire de s'en rapprocher afin qu'il ait des points de vue différents sur le monde.
    J'ai trouvé que ce film se suivait avec plaisir. À travers la thématique des relations familiales, l'histoire dresse un joli portrait de trois femmes à la forte personnalité dans les Etats-Unis de la fin des années 1970 et dispose ainsi d'un côté très féministe. La présentation de chacun des personnages est originale, faite à travers de courts portraits expliquant leur histoire. spoiler: Vers la fin, un épilogue est fait de la même manière pour tous les protagonistes
    .
    Yves G.
    Yves G.

    1 501 abonnés 3 518 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mars 2017
    En 1979, à Santa Barbara en Californie, Dorothea (Annette Bening), la cinquantaine, élève seule son fils Jamie. Elle loue dans sa grande maison deux chambres, l’une à Abbie (Greta Gerwig), une photographe punk, l’autre à William (Billy Crudup), un bricoleur-né. Une jeune voisine, Julie (Elle Fanning), s’est quasiment installée à demeure.

    Née en 1963, ayant grandi à Santa Barbara, Mark Mills réalise un film largement autobiographique. Son précédent film l’était déjà tout autant. Dans « Beginners », il racontait le coming out de son père à soixante dix ans passés. C’est ici à sa mère, morte d’un cancer en 1999, qu’il dresse un mausolée et à une époque, la fin des années soixante-dix, qu’il consacre une rétrospective.

    Annette Benning est fabuleuse dans le rôle d’une mère tiraillée entre deux sentiments. D’un côté, elle a la tentation de couver son fils, de le protéger de la dureté du monde. De l’autre, en femme de son temps, sortie victorieuse des luttes d’émancipation menées dans les années soixante, elle entend le laisser libre de se forger ses propres expériences, notamment dans ses rapports aux femmes.

    L’adolescent se voit du coup confier par sa mère aux bons soins de Abbie et de Julie. L’heureux homme ! Entre Greta Gerwig, avec laquelle il lit les essais féministes de Judith Butler sur les mystères de l’orgasme clitoridien, et Elle Fanning, auquel l’unit un amour platonique, Jamie murit vite.

    « 20th Century Women » est un beau portrait de femme(s) nimbé de la nostalgie d’une époque. En 1979, les années punk jettent leurs derniers feux. Jimmy Carter ne parvient pas à rassurer une Amérique en proie au doute depuis le bourbier vietnamien et le scandale du Watergate. Sans doute leur invocation séduira-t-elle le spectateur quinquagénaire – que je ne suis pas tout à fait encore. Emouvra-t-elle les plus jeunes ?
    bsalvert
    bsalvert

    418 abonnés 3 596 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 mai 2017
    On est juste dans la relation d'une mère et son fils qui fait ses premières expériences. elle tente donc de le protéger, mais les longueurs surement palpitantes dans le livre dont le film est tiré sont trop importantes et perdent le spectateur.
    PLV : retour d'une actrice rare sur les écrans.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    174 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 mars 2017
    Un film rare tant les comédiens jouent avec authenticité cette chronique d'une communauté de la fin des années 1970. Les personnages sont d'une grande complexité. Le jeu remarquable de cette petite bande est magnifié par une superbe mise en scène où la couleur joue un rôle déterminant. C'est extrêmement inventif ; on voudrait pouvoir figer chaque plan pour en apprécier les subtilités formelles. Et quel voyage dans la Californie des années 1970 ! L'ambiance si particulière de ce morceau d'Amérique et le basculement sociétal marquant cette période sont parfaitement restitués. Certes, il y a quelques longueurs mais on quitte avec grande tristesse cette "famille" à laquelle on s'était tant attaché. Moi, je cours le revoir...
    dominique P.
    dominique P.

    844 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mars 2017
    Voilà une petite comédie dramatique américaine relativement sympathique et qui change les idées.
    C'est mignonnet et agréable.
    Cependant, on s'ennuie un peu quand même.
    Bref c'est pas mal sans plus.
    Les meilleurs films de tous les temps
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