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Un visiteur
3,5
Publiée le 14 mai 2016
Un film sympa sur la vie de Eddie Edwards. Au début on est surpris par l'Eddie un peu niais au point de se demander si les traits du personnage n'ont pas été épaissis. Mais plus on suit Eddie dans ses aventures et plus celui-ci devient attachant. Il y a des scènes drôles et des scènes émouvantes, voire trop émouvantes ce qui décrédibilisent un pue ce biopic.
Yes he can ! whouua que ça fait du bien un film comme celui ci. Belle histoire qui montre la volonté la ténacité l'exploit sportif et le vertige du saut à ski. l'émotion est là. superbement filmé. j'ai adoré.
Quelle année de JO ! Il ne faudrait pas oublier Rasta Rocket, (d'ailleurs il y est fait allusion un court instant), les canadiens ont eu beaucoup de chance de connaître ces moments d'émotions. Ce film est un bon moment fort bien interprété.
Le dépassement de soi et le courage font partis de vos préceptes ? Vous aimez les histoires vraies originales ? Vous avez envie de voir une comédie bonne enfant non prise de tête ? Et bien Messieurs, Dames, "Eddie The Eagle" est fait pour vous !! Basée sur l'incroyable story de Michael Edwards (un garçon que rien ne prédisposait au sport et qui, par acharnement et volonté devint le premier représentant britannique de saut à ski depuis plus de 60 ans aux JO d'hiver de Calgary en 1988 !), "Eddie The Eagle" est un film très rafraîchissant qui va nous illustrer les deux adages « l'important, c’est de participer » et « il faut croire en ses rêves ». Le film comporte plusieurs actes décrivant la jeunesse d'Eddie, sa confirmation pour le saut à ski, l'entraînement et l'accès difficile aux JO et les JO de Calgary eux-mêmes pour finir. Bien entendu cela ne sera pas de tout repos pour notre héros puisqu'il devra continuellement se heurter aux railles des autres :spoiler: les autres enfants, ses parents, les autres sportifs, le comité olympique britannique et même celui qui pourtant deviendra son entraîneur et ami . Alors, si tout ceci vous rappelle furieusement "Rasta Rockett", je vous dirais que vous n'avez pas tout à fait tort : sans être pour autant un plagiat de la comédie culte de Disney, "Eddie The Eagle" possède beaucoup de ressemblances avec "Rasta Rockett", ne serait-ce que par sa construction narrative. Et comme ce dernier, le film est tout simplement super agréable à regarder, avec ses moments de drôlerie (le courage/insouciance d'Eddie amène souvent à des situations cocasses comme spoiler: ses nombreuses prises de bec avec son père ou les nombreuses tentatives désespérées de Peary pour lui faire ouvrir les yeux sur sa situation ! ) et ses passages émouvants (spoiler: ses premières chutes à ski, les railleries des autres sportif, la remise en question de Peary qui cherchera finalement à travers Eddie une sorte de rédemption face à son tumultueux passé ). Mais les coïncidences ne s'arrêtent pas là : c'est aux mêmes JO de Calgary que l'équipe jamaïcaine de bobsleigh avait fait parler d'elle...et oui : deux phénomènes pendant les mêmes olympiades !! Bref, "Eddie The Eagle" est un bon feel good movie mené tambour battant par deux acteurs dont l'enthousiasme est d'une justesse remarquable (Taron Egerton, bien loin de son personnage de "Kingsman : Services Secrets", et Hugh Jackman qui démontre une fois de plus qu'il peut tout jouer) dont la fraîcheur a le potentiel de charmer le plus large public possible. Et si ce film vous a donné des envies (ce qui ne m'étonnerait pas le moins du monde ! ^^), dépêchez-vous car, si c'est un peu juste pour ceux d'été à Rio cette année, les prochains JO d'hivers que dérouleront à Pyeongchang en Corée du Sud en 2018 !!
Au delà du film qui est plutôt bon mais pas exceptionnel pour autant. Il faut retenir l'incroyable abnégation d'un type qui a constamment été rabaissé et qui n'a jamais abandonné pour réaliser son rêve qui était à sa porté. L'important ce n'est pas de participer, c'est le cheminement pour y parvenir!
Un bon petit film, mais pouvant être vu tranquille à la maison.
Certes le pitch de départ fait fortement penser à "Rasta Rocket", mais la comparaison s'arrêté là.
Ce film est bien moins déjanté et excentrique. On est plus dans le film américain à la "Joy" au final.
En effet l'accent est mis sur l'aspect dépassement de soi, aller poursuivre ses rêves envers et contre tous.
La réalisation est très classique, bien que maîtrisée ; la musique, années 80 est sympathique, tout comme le fait de voir Jackman sans ses griffes!
Surtout Taron Egerton est convaincant dans ce rôle de quasi marginal, pas beau gosse et un peu pataud, soit à l'opposé du rôle qu'il tenait dans le très bon Kingsman.
Faisant clairement penser a "Rasta rocket", c'est une noble production que voila de la part de Matthew Vaughn ("Kingsman", "Kick-ass"), un biopic sur Michael "Eddie" Edwards surnommé "The eagle". Qui a toujours voulu participer aux JO et finit par se lancer dans le saut a ski. C'est beau comme film car il montre qu'il ne faut rien lâcher, toujours croire en ses rêves même si tout le monde se moque ou ne croit pas en "Eddie". Dès le début, on s'attache a cette petite bouille qui casse lunettes après lunettes en s'essayant a toute sorte de sports. Le réalisateur Dexter Fletcher (plus acteur que réalisateur) a avoué que le film serait a "90% non conforme a la réalité" mais ca n’enlève rien a la magie de l'histoire. Taron Egerton est méconnaissable avec ses grosses lunettes et sa moustache rousse. A noter que Hugh Jackman en coach alcoolique est sympathique tout ça en restant dans un rôle très sobre.
C'est l'histoire d'un gosse qui veut devenir un "olympien", qui rêve en fait d'être un athlète qui représente son pays aux jeux olympiques. Inspiré en plus d'une histoire vraie, difficile de ne pas éprouver en empathie profonde pour ce Eddie, presque naïf et en même temps honnête et déterminé. Les acteurs sont top, il y a une jolie dynamique entre la découverte de Kingsman et le mutant aux griffes d'adamentium. La musique est d'enfer, très ancrée années 80, avec son côté électronique et joyeux (un peu comme celle du flic de Beverly Hills, elle bien celle là non ?). L'histoire est entrainante et c'est juste un très bon moment. Je suis sorti de la salle avec un grand sourire et fasciné par la combativité de ce Eddie. Marre des supers-héros tout en latex et effets spéciaux, des comédies calibrées pour Tf1 le dimanche soir ? Envie d'un film positif mais pas du tout cul-cul la praline ? Ce film est simple mais pas simpliste, émouvant mais pas larmoyant, drôle mais pas vulgaire, optimiste mais pas irréaliste. Bref, une jolie surprise.
j'ai adoré ce film qui nous montre un loser qui , par sa volonté et son amour du sport et des jeux olympiques , parvient à réaliser son rêve .le personnage est très attachant et son interprète ,taron egerton est remarquable.dans la distribution on retrouve hugh jackman toujours excellent et le grand christopher walken dans un petit rôle.les scènes de saut à ski sont impressionnantes,les paysages magnifiques,on rit,on s'émeut,on sort heureux de la salle!
Eddie The Eagle est un film foncièrement positif. Quand on voit l’histoire à la base, on ne peut que penser à Rasta Rocket (de Jon Turteltaub sortie en 1993), enfin peut-être pas les plus jeunes mais ils devraient le voir aussi ! On retrouve ici ce même esprit, cette force de volonté, cette envie de réussite envers et contre tout pour des athlètes improbables et un coach un peu raté. C’est peut-être un peu moins drôle qu’avec la fine équipe de la Jamaïque, mais c’est aussi cool à voir, aussi vivifiant. On ressort de la salle avec l’envie de se dépasser ! Bref, un bol d’air frais très agréable !
Film sympathique, parfois drôle et porté par de bons acteurs, Eddie the Eagles n'en reste pas moins un énième biopic convenu. Truffé d'invraisemblances, de raccourcis et de personnages caricaturaux, on se demande encore si l'histoire est crédible. Un seul exemple : le saut à 90 m pour lequel il faut des années d'entraînement et que le héros réussi du 1er coup. Rien n'est expliqué sur le handicap mental d'Eddie, sa situation. Tout est lâché brut et il faut se satisfaire de musique à pleurer, de mièvrerie et de patos pour un happy end haut en émotion. Pas déplaisant mais aurait mérité une bien meilleure mise en scène.
Dès les premières images de cette success story comme le public les affectionne tant on saisit que l’on entre sur le terrain du film rétro. Certains diront que les images du réalisateur Dexter Fletcher sentent la naphtaline mais si l’on est perspicace, on trouvera tout simplement qu’elles collent au plus près de l’imagerie eighties. Des costumes à la reconstitution discrète mais honnête de ces années-là en passant par la bande-son au poil et les inserts, tout est là pour faire vibrer la nostalgie indissociable de cette décennie. Alors bien sûr le metteur en scène n’offre pas de réalisation révolutionnaire mais au moins elle colle au propos. La prestation de Taron Edgerton en skieur naïf, quelque peu simplet mais motivé pourrait énerver tant il offre une collection de mimiques à la limite de l’exagération. Malgré cette impression qu’il en fait trop, il réussit quand même à provoquer l’empathie envers son personnage. Mais lorsque le générique final défile et que l’on voit la photo et des images du vrai Eddie, on comprend que finalement sa composition semble coller à la réalité. Avec Hugh Jackman et les deux acteurs qui jouent ses parents (et en font de très sympathiques seconds rôles), on tient un casting adéquat à ce feel good movie. Le ski n’est peut-être pas le sport le plus ciné-génique mais ça passe relativement bien, le temps d’un film et de cette incroyable histoire vraie qui met en exergue courage, abnégation et persévérance. Les sauts sont impressionnants quoique répétitifs tandis que les moments d’entrainement, inhérents aux films de sport, sont peu palpitants. On sait comment tout cela va finir mais pourtant on ne peut s’empêcher de verser une petite larme sur la fin tellement cette belle histoire force le respect et transpire l’émotion délestée de tout pathos forcé. Un sympathique film sur le dépassement de soi-même et la relation entre un entraineur sur le retour et son poulain qui vont finalement apprendre l’un de l’autre.
Magnifique biopic de l'incroyable épopée olympique de Michael Edwards qui représenta la Grande Bretagne au Jeux Olympiques de Calgary en 1988. La force de ce film tient beaucoup par l'extraordinaire histoire du jeune Michael Edwards qui n'a eu de cesse que de poursuivre, depuis sa plus tendre enfance, son rêve d'Olympisme. Juste un poil de morale pour illustrer son incroyable obstination et le regard bienveillant et fan à l'infini de sa maman. Du rire aux larmes, des larmes aux rires...
Du gros pathos qui tache, un scénario sans finesse et tout en caricature, avec des acteurs qui en font des tonnes... On se croirait dans un Disney des années 80' ! Un conte pour toute la famille donc, façon "Rasta Rockett", avec des personnages attachants, un rythme relativement soutenu, un peu d'humour, et si vous avez la larme facile beaucoup d'émotions. C'est du prémâché, mais des fois ça fait du bien.
Bon, d'accord, Taron Egerton donne un peu trop dans le jeu d'acteur. D'accord aussi d'un sentiment de déjà-vu : quand on vous rabâche que vous n'y arriverez jamais, que tout le monde tombe par terre en hurlant de rire quand ils vous voient, qu'il existe ce sacro-saint principe : "Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas , c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles ", etc... Mais, mais le résultat donne un film sympa, un personnage sympa, pardon, des personnages sympa (même les pas-sympa comme le comité olympique britannique ou les concurrents). On sort de là avec la pêche parce qu'on a passé un bon moment, avec même avec des scènes touchantes, avec l'excitation et les trépidations du spectateur pendant une compétition comme si on y était, avec des paysages enneigés splendides. Pour la petite histoire faisant partie de la grande Histoire des JO, 1988 fut une cuvée très particulière, car c'est cette année-là qu'aux jeux d'hiver apparurent, puis disparurent, Michael Edwards (notre Eddie the Eagle), ainsi que la très fameuse équipe jamaïcaine de bobsleigh (si, si, vous vous rappelez ?), l'un comme l'autre ayant du se battre contre des dragons pour y arriver. Dernière bonne surprise, et pas des moindres, c'est l'apparition éclair, hélas trop éclair, du grand Christopher Walken.