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Votre avis sur Vicky ?
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Comédie usant de la vulgarité pour tenter de faire rire. Rythme correct et au moins un peu féministe, légèrement osé. Pas suffisant pour que ce soit réussi. Chansons moyennes donc dans la lignée !
2,4/5
2,4/5
Vicky est un film réalisé par Denis Imbert et sorti en 2016.
Les thèmes abordés par le film sont intéressants (l'émancipation, la difficulté à se faire une place dans un environnement qui nous étouffe) mais malheureusement, ils sont traités de manière superficielle et ennuyeuse. Le scénario n'arrive pas à dépasser le cadre des petits soucis existentiels de son héroïne dont l'interprétation est parfois agaçante. Les personnages interprétés par Jonathan Cohen, François Berléand et Chantal Lauby sont caricaturaux et manquent de vie et d'entrain. Les situations comiques tombent systématiquement à plat, la faute au manque de rythme du métrage.
Un film dispensable à oublier malgré des sujets abordés qui auraient mérités un autre traitement.
Les thèmes abordés par le film sont intéressants (l'émancipation, la difficulté à se faire une place dans un environnement qui nous étouffe) mais malheureusement, ils sont traités de manière superficielle et ennuyeuse. Le scénario n'arrive pas à dépasser le cadre des petits soucis existentiels de son héroïne dont l'interprétation est parfois agaçante. Les personnages interprétés par Jonathan Cohen, François Berléand et Chantal Lauby sont caricaturaux et manquent de vie et d'entrain. Les situations comiques tombent systématiquement à plat, la faute au manque de rythme du métrage.
Un film dispensable à oublier malgré des sujets abordés qui auraient mérités un autre traitement.
Etrange que la note public soit moins bonne que la presse ... Film de bobo-parigo ? Ben... Pas plus cliché que "coup de foudre à Manhattan.
Doit-on encore couper les têtes des "bien nés" ? Ou les caricaturer pour faire rire le peuple ?
Le "frère" interprété par jonathan Cohen est conforme à ce cher Nicolas Bedos, l'autodérision fonctionne bien.
Une belle comédie romantique, bien jouée, bien ficelée, avec des acteurs qu'on aime !
Drôle, bienveillant et bien plus sympa que
Humour, Amour, Musique, "Paris" filmé bien mieux que le made in US !
Et la tendresse, bordel, ça fait du bien
Doit-on encore couper les têtes des "bien nés" ? Ou les caricaturer pour faire rire le peuple ?
Le "frère" interprété par jonathan Cohen est conforme à ce cher Nicolas Bedos, l'autodérision fonctionne bien.
Une belle comédie romantique, bien jouée, bien ficelée, avec des acteurs qu'on aime !
Drôle, bienveillant et bien plus sympa que
Humour, Amour, Musique, "Paris" filmé bien mieux que le made in US !
Et la tendresse, bordel, ça fait du bien
C'est un grand malaise qui vous envahit des les premiers images. TOUT est repoussant dans cette tentative de film. Il n'y a rien à sauver à tel point que l'on en vient à ce demander comment personne n'est intervenu avant,pendant ou après le tournage pour signaler le gros Iceberg devant ce Titanic de bêtise.J'espere juste que cette ''oeuvre'' n'ait pas été distribuée â l'étranger.
Une petite comédie bourgeoise, parisienne et vaniteuse, où la fille Bedos cherche à exister. Le film n'a pas grand chose à dire, et s'il est parfois sympa, il est souvent nul.
Au secours! C'est vraiment une perte de temps! La pauvre fille Bedos, on comprend qu'elle ne décolle pas de chez ses parents, elle a rien a dire, pas de talent, et aucune forme d'intelligence. Elle va rien faire de sa vie. Dramatique! Le pire c'est qu'il y ai du budget pour ce genre de gros navet...
Bouse intersidérale, sans valeurs, on suit l histoire d une fille de ( en l occurence la fille de Guy Bedos) afin de savoir avec qui elle va coucher( ce sont ses uniques problèmes à cette pauvre petite) film malaisant, gênantet on en vient à se demander qui finance ce genre de film caprice.Tout est honteux dans ce film
Bref nul
Comment perdre 2 heures de sa vie pour rien.
Personnages sans intérêt, les chansons aussi on dirait une petite fille de 4 ans qui chante.
Comment perdre 2 heures de sa vie pour rien.
Personnages sans intérêt, les chansons aussi on dirait une petite fille de 4 ans qui chante.
C'est un film que j'ai adoré. C'était drôle et sans complexe.
Victoire fait une crise. Toujours vu comme la fille modèle, elle va prouvée de un qu'il n'y a pas d'âge pour faire un crise mais surtout qu'il ne suffit pas d'avoir un Nom pour tout avoir. Vicky, c'est une fille déjantée quand elle ose enfin se lâcher et ne plus écouter son père.
Vicky va découvrir les joies du sexe et de la musique.
C'est un film où l'on retrouve tous les clichés des comédies bourgeoises. Il n'y a pas vraiment d'histoire derrière ce film. C'est juste une bonne comédie sur l'émancipation.
Victoire fait une crise. Toujours vu comme la fille modèle, elle va prouvée de un qu'il n'y a pas d'âge pour faire un crise mais surtout qu'il ne suffit pas d'avoir un Nom pour tout avoir. Vicky, c'est une fille déjantée quand elle ose enfin se lâcher et ne plus écouter son père.
Vicky va découvrir les joies du sexe et de la musique.
C'est un film où l'on retrouve tous les clichés des comédies bourgeoises. Il n'y a pas vraiment d'histoire derrière ce film. C'est juste une bonne comédie sur l'émancipation.
Un film qui vole pas haut que soit dans son histoire et concept et sait parole ainsi que les acteurs vraiment un espisode lourd
Alexarod
J’aimais bien le père Bedos, moins le fils, donc je voulais voir ce que donnait la fille, et ce malgré les récompenses façon Razzie ou la tête très typée de Victoria.
Au départ ça commençait mal : musique agaçante, montage anarchique, acteurs peu inspirés, une histoire bateau, des dialogues qui touchent le fond, rien de marrant, un voix off désespérante (surtout quand on sait que c’est Claude, le sexe de l’héroïne qui ne sert à rien, tombe comme un cheveu dans la soupe et n’amène rien), et un côté film français bien lourd, comme trop souvent. Le problème c’est que ça ne démarre jamais, donc on reste sur ces débuts, sans raison ni fil conducteur. Un exemple pour le montage c’est le sort des parents. Clairement Berléand et Lauby sont les têtes d’affiches, l’intrigue les concernant se résume en 2 phrases : « elle sort avec Bertrand » et « reste, je sais que tu t’ennuies », c’est tout. Donc tu ne sais rien, au contraire de Vicky, de ses répétitions et de ses états d’âmes. Pourquoi en parler ou les aborder si on les élude et on s’en désintéresse à la moindre occasion ? De toute façon, le guest star c’est Benjamin Biolay, puis le 2nd rôle (Banjo) est un faire-valoir de quelqu’un qui ne vaut rien, c’est dire le level.
Bon faut dire que tout ça c’est les conséquences d’un orgasme féminin, ça pose la profondeur du sujet. Certes c’est original comme histoire, mais intéressant ? Non, surtout que la trame est classique, tout est prévisible, du coup on décroche. Comme on ne peut jamais accrocher par manque de contenu, et que le rythme est haché par trop de longueurs, le réalisateur n’a aucune possibilité de remonter la pente. C’est vrai que ça tente d’aborder le thème de la différence de l’amour vu selon les sexes, mais c’est tellement bateau et mal fait qu’on s’en désintéresse rapidement. Quant à la crise d’ado vantée par l’affiche, on l’attend toujours, ou on n’a pas la même définition de ce que c’est, à moins que d’avancer dans la vie en soit le sens. Le seul bon point c’est la reprise du King, les autres chansons étant moches, surtout quand Vicky chante, et il y en a trop. Dommage qu’elle n’ait pas de voix.
J’ai voulu tenter, donner sa chance à un long métrage en allant à l’encontre des préjugés, mais non. Je me range à l’avis général : c’est n.ul, long à débuter vu que ça ne part jamais vraiment, et c.hiant bien sûr. En fait c’est déprimant vu que ça montre la capacité de la production française, et là t’as peur.
Au départ ça commençait mal : musique agaçante, montage anarchique, acteurs peu inspirés, une histoire bateau, des dialogues qui touchent le fond, rien de marrant, un voix off désespérante (surtout quand on sait que c’est Claude, le sexe de l’héroïne qui ne sert à rien, tombe comme un cheveu dans la soupe et n’amène rien), et un côté film français bien lourd, comme trop souvent. Le problème c’est que ça ne démarre jamais, donc on reste sur ces débuts, sans raison ni fil conducteur. Un exemple pour le montage c’est le sort des parents. Clairement Berléand et Lauby sont les têtes d’affiches, l’intrigue les concernant se résume en 2 phrases : « elle sort avec Bertrand » et « reste, je sais que tu t’ennuies », c’est tout. Donc tu ne sais rien, au contraire de Vicky, de ses répétitions et de ses états d’âmes. Pourquoi en parler ou les aborder si on les élude et on s’en désintéresse à la moindre occasion ? De toute façon, le guest star c’est Benjamin Biolay, puis le 2nd rôle (Banjo) est un faire-valoir de quelqu’un qui ne vaut rien, c’est dire le level.
Bon faut dire que tout ça c’est les conséquences d’un orgasme féminin, ça pose la profondeur du sujet. Certes c’est original comme histoire, mais intéressant ? Non, surtout que la trame est classique, tout est prévisible, du coup on décroche. Comme on ne peut jamais accrocher par manque de contenu, et que le rythme est haché par trop de longueurs, le réalisateur n’a aucune possibilité de remonter la pente. C’est vrai que ça tente d’aborder le thème de la différence de l’amour vu selon les sexes, mais c’est tellement bateau et mal fait qu’on s’en désintéresse rapidement. Quant à la crise d’ado vantée par l’affiche, on l’attend toujours, ou on n’a pas la même définition de ce que c’est, à moins que d’avancer dans la vie en soit le sens. Le seul bon point c’est la reprise du King, les autres chansons étant moches, surtout quand Vicky chante, et il y en a trop. Dommage qu’elle n’ait pas de voix.
J’ai voulu tenter, donner sa chance à un long métrage en allant à l’encontre des préjugés, mais non. Je me range à l’avis général : c’est n.ul, long à débuter vu que ça ne part jamais vraiment, et c.hiant bien sûr. En fait c’est déprimant vu que ça montre la capacité de la production française, et là t’as peur.
Vicky avait sûrement une idée de départ prometteuse car elle nous raconte l'histoire de Victoire Bonhomme (Victoria Bedos). Une jeune fille de trente ans coincée entre un père égocentrique et conservateur, un frère insupportable et une mère moderne qui se résigne à sa vie ennuyeuse (Chantal Lauby). Le film s'ouvre sur une succession de séquences démonstratives qui donne au film ses notes de déséquilibre. Car le récit s'enlise depuis sa mise en place en nous emmenant au cœur de flashbacks franchement embarrassants. Bref une comédie musicale dispensable qui tente d'essayer des choses sans jamais donner un sens à son ensemble...
Un film nul. Meme pas un nanard.
Victoria Bedos a écrit le scenario, il est nul.
Victoria Bedos joue le 1er role, elle est nulle.
La bande originale (oui, encore Victoria Bedos) est nulle.
Aucun talent. Nulle part. Ca tient du prodige.
Victoria Bedos a écrit le scenario, il est nul.
Victoria Bedos joue le 1er role, elle est nulle.
La bande originale (oui, encore Victoria Bedos) est nulle.
Aucun talent. Nulle part. Ca tient du prodige.
Caine78
De la famille Bedos, je connaissais le père et le fils, mais pas la fille : c'est (malheureusement?) chose faite avec « Vicky », comédie légèrement dramatique et probablement autobiographique à pas mal d'égards. Comme quoi, le talent n'est pas toujours héréditaire, car rarement j'ai eu l'occasion de voir spectacle aussi pauvre, triste, d'une platitude de tous les instants dans ses dialogues comme ses situations, seules quelques visions pouvant faire sourire
spoiler:
(et encore, cette histoire de vagin auquel l'héroïne parle : WTF??!!)
. Pourtant, ne serait-ce que par son récit d'émancipation, son éloge de la liberté, le film devrait fonctionner ne serait-ce qu'un peu, mais non. Il faut dire que de s'accorder le rôle principal n'était probablement pas l'idée du siècle pour Victoria Bedos, tant celle-ci est fade, transparente. C'est mieux du côté des seconds rôles, les seuls à apporter un peu de substance à l'ensemble, la présence de François Berléand, Chantal Lauby et à un degré moindre de Jonathan Cohen apportant un semblant d'humour et de personnalité à un titre particulièrement insipide. Allez, quelques textes de chansons sont plutôt sympas... et c'est à peu près tout. Bref, si l'avenir me donnera peut-être tort sur les réelles capacités de la jeune Victoria, en attendant, difficile d'avoir une quelconque attente la concernant après un tel gadin quasiment à tout point de vue.
. Pourtant, ne serait-ce que par son récit d'émancipation, son éloge de la liberté, le film devrait fonctionner ne serait-ce qu'un peu, mais non. Il faut dire que de s'accorder le rôle principal n'était probablement pas l'idée du siècle pour Victoria Bedos, tant celle-ci est fade, transparente. C'est mieux du côté des seconds rôles, les seuls à apporter un peu de substance à l'ensemble, la présence de François Berléand, Chantal Lauby et à un degré moindre de Jonathan Cohen apportant un semblant d'humour et de personnalité à un titre particulièrement insipide. Allez, quelques textes de chansons sont plutôt sympas... et c'est à peu près tout. Bref, si l'avenir me donnera peut-être tort sur les réelles capacités de la jeune Victoria, en attendant, difficile d'avoir une quelconque attente la concernant après un tel gadin quasiment à tout point de vue.
La bande annonce était alléchante et finalement, elle se révèle trompeuse et c'est raté. Long, plat, mou on souri à peine .
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