AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
2,3
365 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Le Projet Atticus ?
5
2 critiques
4
8 critiques
3
20 critiques
2
14 critiques
1
8 critiques
0
4 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
🎬 RENGER 📼
Premier long-métrage (en solo) pour Chris Sparling, le scénariste du très mitigé Buried (2010), avec Ryan Reynolds, qui s'est attelé ici à un faux documentaire nous replongeant au coeur des années 70.
N'y allons pas par quatre chemins, a la vu des différents visuels qui traînent sur la toile, on parvient aisément a deviner (et ce, sans même prendre la peine de regarder une once de bande-annonce et encore moins, de lire le synopsis) qu'il sera fort probable que The Atticus Institute aka Le Projet Atticus (2015) sera un énième film traitant de la possession et ou d'exorcisme.
Pourtant, le début du film ne laissait rien présager, le long-métrage en lui-même est un mockumentaire (faux documentaire) et qui fort heureusement, n'a pas été réalisé en found-footage (c'est pourtant très à la mode ces derniers temps, nous pouvons d'ors et déjà remercier Chris Sparling de nous avoir évité cela). Les première images s'enchaînent par de nombreuses interviews, très narratif dans son ensemble, le film traite essentiellement de patients développant des capacités paranormales, telles que la parapsychologie, la voyance, la psychokinésie, et bien d'autres étrangetés...
spoiler: Ce n'est réellement qu'au bout de 30 minutes que le film vire à 180°C dans, non pas le grand n'importe quoi, mais clairement dans le paranormal et le fantastique, à grands coups de possessions. C'est donc à partir de ce moment bien précis qu'une partie des spectateurs seront susceptibles de décrocher si ce genre de thème (récurrent) les agacent.
Cependant, il faut bien admettre que le film s'avère efficace tant dans sa mise en scène que dans sa facilité à nous fondre dans le décor.
Ce DTV au (on l'imagine) budget infinitésimal (aucun tournage en extérieur, quant aux décors intérieurs, ils se comptent sur les doigts de la main), a bénéficié de lieux de tournage qui jouent en sa faveur, puisque l'équipe du film a posé ses valises au Linda Vista Hospital, à Los Angeles (les amateurs d'UrbEx seront comblés, les premières images du film nous immisce au coeur de cet hôpital désaffecté ouvert en 1920 et fermé en 1970), autant vous dire que le boulot du chef déco était prémâché, même si, reconstitution oblige, ils leur a fallut faire un certain travail au niveau de la déco très 70's.
Il faut bien l'admettre, ce faux documentaire avec ses images d’archives et ses interviews de l’époque des faits assurent le spectacle, suffisamment pour se laisser prendre au jeu, même si parfois, le film va trop loin (on fera notamment référence au Gouvernement qui s'intéresse de près aux étranges capacités paranormales que détient le personnage principal, au point de prendre le contrôle de l'institut), cependant, l'idée de base s'avère intéressante et lorsque l'on comprend où veut en venir le Gouvernement, on finit par se dire que ce n'est pas si bête du tout.
Si le film évite de succomber au sempiternel found-footage, estimons-nous heureux que l'on n'y trouve pas non plus une avalanche de jump-scares comme c'est trop souvent le cas ces dernières années avec les films de genre, aussi bien en salles qu'en DTV.
Le casting quant à lui s'avère convainquant, aucune tête d'affiche à l'horizon. On y retrouve William Mapother (habitué aux seconds rôles) avec sa dégaine très 70's (j'ai trouvé qu'il avait des faux airs de François Truffaut). A ses côtés, on y trouve Rya Kihlstedt, qui, si elle ne brille pas par sa filmographie, s'avère néanmoins très efficace dans le rôle de la vociférante Judith Winstead.
N'y allons pas par quatre chemins, a la vu des différents visuels qui traînent sur la toile, on parvient aisément a deviner (et ce, sans même prendre la peine de regarder une once de bande-annonce et encore moins, de lire le synopsis) qu'il sera fort probable que The Atticus Institute aka Le Projet Atticus (2015) sera un énième film traitant de la possession et ou d'exorcisme.
Pourtant, le début du film ne laissait rien présager, le long-métrage en lui-même est un mockumentaire (faux documentaire) et qui fort heureusement, n'a pas été réalisé en found-footage (c'est pourtant très à la mode ces derniers temps, nous pouvons d'ors et déjà remercier Chris Sparling de nous avoir évité cela). Les première images s'enchaînent par de nombreuses interviews, très narratif dans son ensemble, le film traite essentiellement de patients développant des capacités paranormales, telles que la parapsychologie, la voyance, la psychokinésie, et bien d'autres étrangetés...
spoiler: Ce n'est réellement qu'au bout de 30 minutes que le film vire à 180°C dans, non pas le grand n'importe quoi, mais clairement dans le paranormal et le fantastique, à grands coups de possessions. C'est donc à partir de ce moment bien précis qu'une partie des spectateurs seront susceptibles de décrocher si ce genre de thème (récurrent) les agacent.
Cependant, il faut bien admettre que le film s'avère efficace tant dans sa mise en scène que dans sa facilité à nous fondre dans le décor.
Ce DTV au (on l'imagine) budget infinitésimal (aucun tournage en extérieur, quant aux décors intérieurs, ils se comptent sur les doigts de la main), a bénéficié de lieux de tournage qui jouent en sa faveur, puisque l'équipe du film a posé ses valises au Linda Vista Hospital, à Los Angeles (les amateurs d'UrbEx seront comblés, les premières images du film nous immisce au coeur de cet hôpital désaffecté ouvert en 1920 et fermé en 1970), autant vous dire que le boulot du chef déco était prémâché, même si, reconstitution oblige, ils leur a fallut faire un certain travail au niveau de la déco très 70's.
Il faut bien l'admettre, ce faux documentaire avec ses images d’archives et ses interviews de l’époque des faits assurent le spectacle, suffisamment pour se laisser prendre au jeu, même si parfois, le film va trop loin (on fera notamment référence au Gouvernement qui s'intéresse de près aux étranges capacités paranormales que détient le personnage principal, au point de prendre le contrôle de l'institut), cependant, l'idée de base s'avère intéressante et lorsque l'on comprend où veut en venir le Gouvernement, on finit par se dire que ce n'est pas si bête du tout.
Si le film évite de succomber au sempiternel found-footage, estimons-nous heureux que l'on n'y trouve pas non plus une avalanche de jump-scares comme c'est trop souvent le cas ces dernières années avec les films de genre, aussi bien en salles qu'en DTV.
Le casting quant à lui s'avère convainquant, aucune tête d'affiche à l'horizon. On y retrouve William Mapother (habitué aux seconds rôles) avec sa dégaine très 70's (j'ai trouvé qu'il avait des faux airs de François Truffaut). A ses côtés, on y trouve Rya Kihlstedt, qui, si elle ne brille pas par sa filmographie, s'avère néanmoins très efficace dans le rôle de la vociférante Judith Winstead.
RedArrow
En plus d'être raté, "Le Projet Atticus" trouve le moyen d'être un mockumentary d'un ennui confondant, très fort ! Imaginez un épisode de ces mauvaises émissions genre "Phénomènes paranormaux" qui pullulent sur les chaînes de la TNT mais en version 70's et étiré en long-métrage, ben voilà, c'est ça le machin Atticus ! Bon, reconnaissons tout de même que le travail de reconstitution de l'époque est plutôt bien foutu visuellement (encore qu'il est très loin d'atteindre le niveau d'excellence du très mésestimé "Apollo 18" par exemple). Mais dans quel but ? Car "Le Projet Atticus" n'a absolument rien (mais vraiment rien !) à raconter reprenant l'idée archi-rabattue d'un institut de l'époque qui étudie les phénomènes parapsychiques jusqu'à tomber sur la perle rare (une possédée bien sûr !). Les rares bonne idées - l'intervention du ministère de la Défense pour exploiter le potentiel de ce phénomène - ne débouchent jamais sur rien, le film se contentant de nous balancer tous les clichés habituels, sans aucun génie, comptant probablement sur le contexte et sa forme pour pallier son manque d'originalité mais, manque de bol, ca ne prend jamais ! En effet, du fait de son statut de faux documentaire sans sujet suffisamment fort, "Le Projet Atticus", complètement parasité par les témoignages actuels des participants de l'époque (qui passe la majeure partie de leur temps à nous asséner à quel point le cas de Judith Winstead est extraordinaire), pourrait faire passer les "Paranormal Activity" pour du Michael Bay tant l'ennui pointe le bout son nez toutes les cinq minutes. Et, bien sûr, le film n'évite pas le ridicule : aah cette scène hilarante du trombone, heureusement qu'Harry Groener est suffisamment bon acteur pour nous faire avaler ça.
Bref, un truc-bidule sans intérêt, quoi...
Bref, un truc-bidule sans intérêt, quoi...
Revoilà le mode documentaire ! Rien de nouveau n'est amené, pas de frayeur ressentie... Une déception de plus ! Mis à part quelques visages connus et de bons maquillages, ce film est vide.
Recherches en paranormal qui virent à la possession démoniaque, implication des autorités gouvernementales sur fond de guerre froide... Le Projet Atticus tire son épingle du jeu grâce à ses choix narratifs immersifs, son casting brillant et sa reconstitution des années 70 simple, mais suffisamment convaincante. Et s'il paraît difficile aujourd'hui de faire original dans le monde du faux documentaire et du film de possession, cette petite série B réalisée par Chris Sparling n'en demeure pas moins une bonne surprise à découvrir. Notre critique complète est en ligne sur le site Terreurvision.
franchement je comprends pas les notes sur ce film c est une pure merveille vraiment très réussi !!! terrifiant et angoissant !!!! j ai adoré !!!!
Quelle bonne surprise ce Projet Atticus ! Sous ses allures de documentaire, ce film nous plonge dans une histoire absolument immersive. Les acteurs sont très bons, l'ambiance également et, bon sang, que cette Judith fout les jetons. A voir pour les amateurs du genre, le meilleur que j'ai vu depuis le Projet Blair Witch.
Guillaume
Trop ambitieux au point d'en devenir incompréhensible... Il est impossible d'accrocher à l'histoire. Franchement mauvais et ennuyeux !
Une bonne,très bonne surprise que ce petit film d'horreur tourné à la manière d'un documentaire.La tension monte crescendo,et ça ne tourne pas au grand-guignol entre autre!
Raphaël O
Un film d'épouvante au format faux documentaire très intéressant mais une histoire dépourvue du moindre jump-scares. Dommage, il y avait de quoi faire un bon truc.
Si l'époque est bien reconstituée et les méthodes de recherche sur le paranormal assez bien décrites dans leur contexte. la fin du film vire à la catastrophe conventionnelle des plus décevantes, alors que tout était en place pour une excellente surprise. le côté documentaire sur le vif était aussi sympathique, mais pourquoi "spoiler" la personne possédant des pouvoirs pareils seraient systématiquement mauvaise ! "spoiler". Bref ! De loin, je préfère "Hantise", bien moins tarte intellectuellement.
Film réalisé comme un documentaire et faisant perdre toute l'horreur car chaque scène est entrecoupée par des interviews. C'est très mal monté, il n'y a aucun intérêt à le regarder sous ce format.
J'aime le style documentaire plus que le Found footage, mais le film échoue absolument dans sa réalisation. C'est un film bon marché avec des effets spéciaux et des acteurs terribles et beaucoup trop de clichés. Certaines images censées être des années 70 ne ressemblent même pas à des images des années 70. Dans ce film il a des idées intéressantes mais le réalisateur ne les a pas trop utilisées. Je préfère dans le style de vrais documentaires et je préfère des effets plus pratiques ou au moins des bons effets spéciaux. Le Projet Atticus déborde de certains de mes clichés les plus détestés y compris "regarder ce film est dangereux pour vous", c'en est presque risible...
Si vous n'êtes pas habitué à ce genre vous allez vous régalez. L'histoire est drôlement bien ficelée et surtout on se pose réellement la question de si c'est une histoire vraie ou non grâce aux différents témoignages. La fin n'est pas surprenante et ce n'est ni très flippant mais on est vraiment immergé, le doute subsiste même donc je mets 4*! Puis le jeu d'acteur est top !
Le "projet Atticus" est un film fantastique portant sur les recherches scientifiques de l'institut Atticus fondé par Henry West. Ce centre était spécialisé dans l'étude des phénomènes paranormaux notamment les phénomènes de télékinésie et de télépathie. Ce centre étudia des dizaines de patients depuis sa fondation à la fin des années 60 -sans recensements ni découvertes notables- jusqu'à ce que la route de Judith Winstead croise celle des scientifiques....
Ce film est basé sur des faits réels.
Ce film sorti directement en DVD rappelle beaucoup de films sur la possession tournés ces dernières années. Le dernier patient étudié montrera des signes et des facultés allant bien au delà de ce qu'attendaient les scientifiques. Pour autant, le récit narratif a posteriori retire tout suspense au long métrage, celui-ci ne présentant pas beaucoup d'originalité par ailleurs.
Au casting figurent notamment William Mapother (professeur West) et Rya Kylstedt (Judith Winstead).
Ce film est basé sur des faits réels.
Ce film sorti directement en DVD rappelle beaucoup de films sur la possession tournés ces dernières années. Le dernier patient étudié montrera des signes et des facultés allant bien au delà de ce qu'attendaient les scientifiques. Pour autant, le récit narratif a posteriori retire tout suspense au long métrage, celui-ci ne présentant pas beaucoup d'originalité par ailleurs.
Au casting figurent notamment William Mapother (professeur West) et Rya Kylstedt (Judith Winstead).
Très bon ! La manière documentaire est géniale et on a l'impression que tout est vrai. J'ai vraiment bien aimé le tout sans les éternels effets / ficelles qu'on peut avoir dans les films traditionnels. Très bonne surprise !
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse