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Votre avis sur Housebound ?
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"Jackson's Touch !"
La Nouvelle-Zélande n'est pas seulement le pays des moutons et de Gandalf. Non, c'est aussi le berceau d'un certain cinéma fantastique décomplexé apparu au milieu des années 80 grâce à Peter Jackson, En effet quand on voit « Housebound », on ne peut s'empêcher de penser à des péloches telles que « Bad Taste », »Braindead » ou plus récemment « Fantômes contre Fantômes ». Le film de Gérald Johnstone lui est un mix de tout ça, mais c'est surtout une incroyable galerie de personnages aussi barrés les uns que les autres évoluant dans une atmosphère de « Ghost Story » des plus inventives, avec quand même une petite touche Yankee que n'aurait pas renié Wes Craven, mais je n'en dirais pas plus...Le scénar pêchu et sans faille nous balade entre la comédie et l'épouvante voir les deux en même temps. Une fois de plus, la Nouvelle-Zélande donne un nouvel élan au cinéma fantastique. Et quand tels des moutons, le gros du troupeau se rue dans les salles pour voir des films fades et formatés, le cinéma des Antipodes lui, est comme une vaste prairie fertile. Et là j'y go (d'agneau) !
La Nouvelle-Zélande n'est pas seulement le pays des moutons et de Gandalf. Non, c'est aussi le berceau d'un certain cinéma fantastique décomplexé apparu au milieu des années 80 grâce à Peter Jackson, En effet quand on voit « Housebound », on ne peut s'empêcher de penser à des péloches telles que « Bad Taste », »Braindead » ou plus récemment « Fantômes contre Fantômes ». Le film de Gérald Johnstone lui est un mix de tout ça, mais c'est surtout une incroyable galerie de personnages aussi barrés les uns que les autres évoluant dans une atmosphère de « Ghost Story » des plus inventives, avec quand même une petite touche Yankee que n'aurait pas renié Wes Craven, mais je n'en dirais pas plus...Le scénar pêchu et sans faille nous balade entre la comédie et l'épouvante voir les deux en même temps. Une fois de plus, la Nouvelle-Zélande donne un nouvel élan au cinéma fantastique. Et quand tels des moutons, le gros du troupeau se rue dans les salles pour voir des films fades et formatés, le cinéma des Antipodes lui, est comme une vaste prairie fertile. Et là j'y go (d'agneau) !
C'est un film new zélandais, qui sont très rares d'ailleurs. Des films de l'autre bout de la planète. Là il s'agit de l'histoire d'une femme qui doit être confinée chez elle, enfin chez sa mère, et qui habite dans une maison hantée. Enfin la femme ne l'a découvre pas cette maison car apparemment elle y a passé son enfance, donc et par conséquent, c'était pas une découverte cette maison hanté. Mais non, apparemment elle découvre des armoires. Elle découvre des nounours et des poupées qui lui ont toujours appartenus et qui ont toujours été là, dans cette maison hantée. Après il y a son agent d'approbation et qui est aussi chamane, chasseur de fantômes à ses heures perdues. Ben cela tombe bien, car il habite dans le quartier et de plus sa cliente est harcelée par un fantôme. Pis il y a sa mère, encore plus bizarre que la fille. Mais c'est un bon film néanmoins.
L'histoire est familière, est peut-être comparée au film "The Boy"ou à d'autres films différents, mais ça ne fait rien. Une femme qui n'a pas peur facilement, rencontre enfin sa peur ultime après être retournée chez sa mère où elle a grandi, pour découvrir que la maison de celle-ci est hantée. Des performances impressionnantes qui nous maintiennent toujours dans le suspense. Les rires sont livrés sous forme de comédie noire. Voilà l'équilibre parfait entre l'horreur et la comédie. Ce n'est pas un film parodique, mais plutôt un film d'horreur qui contient des scènes amusantes. C'est la raison pour laquelle j'aime les films d'horreur indépendants. Et c'est l'un de mes préférés de ces dernières années. Peut-être l'une des meilleures comédies d'horreur que je n'ai jamais vue car elle vous fait rire et sursauter. Impressionnant, effrayant et drôle a la foi !!!
dans la ligné des premier peter jackson , le film oscille tout de même entre plusieurs style sans jamais réellement nous convaincre.... je l'ai trouvé un peu surnoté. Heureusement les mimiques de l'actrice principal nous sauve de l'ennui.
Film "d"horreur"à l'humour décalé qui pourra trouver son public. Ayant été assez peu réceptif justement à cet humour, je suis resté malgré tout en dehors de l'histoire. C'est pas vraiment une réussite mais, pour une première réalisation, il y a des éléments prometteurs dans le style.
Scénario très ingénieux, qui prend complètement à rebours les habituels clichés des films d'horreur les plus récents. Humour très fin au début, qui va crescendo jusqu'à un final de plus en plus hilarant. Une interprétation aux petits oignons, toute en subtilité. Bref, une parfaite réussite comme j'aimerais en voir plus souvent.
Nanar mais malgré un démarrage un peu lent il y a un peu d'actions ensuite. Scénario quand même vraiment tiré par les ficelles.
A cheval entre horreur et comédie et bon dans les deux domaines, Housebound parvient à faire rire tout en étant un film d'horreur décent et sans tomber dans les facilités et le cliché, que ce soit au niveau des personnages ou du scénar.
Rien à dire, Juste Enorme!...A voir Absolument ...Quand l'humour se mélange tellement bien avec le suspens, juste super bien!
Yannickcinéphile
Housebound est un film audacieux et curieux, que je n’ai pas craint, mais qui reste souvent maladroit.
Ce qui retient l’attention, c’est bien sûr le mélange des genres, les hésitations entre le fantastique, le thriller, le polar peut-être même, la comédie, le drame social (si, si !), un mélange qui peut faire peur sur le papier, mais qui n’est pas mauvais au final. En tout cas les différents éléments s’harmonisent honorablement entre eux, avec des petites touches de chaque, notamment la comédie qui s’insinue toujours de façon parcimonieuse et bien vus. Le film sait être accrocheur aussi, même si dans le genre il est difficile de faire franchement original. En revanche, il y a des incohérences, des invraisemblances aussi, et des ellipses à la crédibilité discutable. Je peux difficilement les exposer sans révéler des moments importants du film, mais je dirai que la plupart concernent le personnage de Graeme, et dans une moindre mesure celui d’Amos. Même si le film se prend souvent au second degré, ça m’a gêné malgré tout. Et je ne parle pas de certaines ficelles scénaristiques, sans doute erreur d’un débutant.
Le casting est composé d’acteurs peu connus, mais globalement pertinents. Morgana O’Reilly trouve le ton juste, même si les évolutions de son personnage sont un peu brusques. Pour autant elle est solide et son rôle intéressant dans le genre. Elle est entourée de bons interprètes, notamment un Cameron Rhodes très remonté, et Rima Te Wiata séduit par son jeu sobre et percutant à la fois. J’ai beaucoup aimé l’interprétation dans l’ensemble, avec des personnages pour certains très classiques du genre (le voisin), mais écrits avec suffisamment de solidité, et avec des interprètes suffisamment pertinents pour n’en rien laisser paraître !
Formellement Housebound est un métrage qui recourt à l’esthétique du cinéma d’horreur, là c’est évident. Décors gothiques, photographie sombre mais avec un côté un peu trop lisse et passe-partout, musique d’ambiance assez neutre, Housebound semble prendre peu de risques, ce qui est le cas en fait. Néanmoins la mise en scène est convaincante, c’est propre, c’est un premier film qui recycle des formules un peu usées, mais qui le fait avec suffisamment d’application pour ne pas décevoir, c’est déjà cela. Il y a tout de même de vraies bonnes idées de réalisation par moment, ce qui dénote un talent en émergence ! Niveau horreur il n’y a en réalité que deux scènes qui sont vraiment sanglantes, donc il ne faut pas trop attendre niveau graphique.
Housebound n’est donc pas un grand film d’horreur, mais c’est un premier film propret, suffisamment bien fait et bien interprété pour combler une soirée d’un public pas trop initié au genre. Même si j’ai été quelque peu agacé des trous scénaristiques, je reconnais qu’il y a une franche volonté de bien faire, et surtout d’innover par le mélange des genres, ce qui comble partiellement l’impression de déjà-vu. 3.
Ce qui retient l’attention, c’est bien sûr le mélange des genres, les hésitations entre le fantastique, le thriller, le polar peut-être même, la comédie, le drame social (si, si !), un mélange qui peut faire peur sur le papier, mais qui n’est pas mauvais au final. En tout cas les différents éléments s’harmonisent honorablement entre eux, avec des petites touches de chaque, notamment la comédie qui s’insinue toujours de façon parcimonieuse et bien vus. Le film sait être accrocheur aussi, même si dans le genre il est difficile de faire franchement original. En revanche, il y a des incohérences, des invraisemblances aussi, et des ellipses à la crédibilité discutable. Je peux difficilement les exposer sans révéler des moments importants du film, mais je dirai que la plupart concernent le personnage de Graeme, et dans une moindre mesure celui d’Amos. Même si le film se prend souvent au second degré, ça m’a gêné malgré tout. Et je ne parle pas de certaines ficelles scénaristiques, sans doute erreur d’un débutant.
Le casting est composé d’acteurs peu connus, mais globalement pertinents. Morgana O’Reilly trouve le ton juste, même si les évolutions de son personnage sont un peu brusques. Pour autant elle est solide et son rôle intéressant dans le genre. Elle est entourée de bons interprètes, notamment un Cameron Rhodes très remonté, et Rima Te Wiata séduit par son jeu sobre et percutant à la fois. J’ai beaucoup aimé l’interprétation dans l’ensemble, avec des personnages pour certains très classiques du genre (le voisin), mais écrits avec suffisamment de solidité, et avec des interprètes suffisamment pertinents pour n’en rien laisser paraître !
Formellement Housebound est un métrage qui recourt à l’esthétique du cinéma d’horreur, là c’est évident. Décors gothiques, photographie sombre mais avec un côté un peu trop lisse et passe-partout, musique d’ambiance assez neutre, Housebound semble prendre peu de risques, ce qui est le cas en fait. Néanmoins la mise en scène est convaincante, c’est propre, c’est un premier film qui recycle des formules un peu usées, mais qui le fait avec suffisamment d’application pour ne pas décevoir, c’est déjà cela. Il y a tout de même de vraies bonnes idées de réalisation par moment, ce qui dénote un talent en émergence ! Niveau horreur il n’y a en réalité que deux scènes qui sont vraiment sanglantes, donc il ne faut pas trop attendre niveau graphique.
Housebound n’est donc pas un grand film d’horreur, mais c’est un premier film propret, suffisamment bien fait et bien interprété pour combler une soirée d’un public pas trop initié au genre. Même si j’ai été quelque peu agacé des trous scénaristiques, je reconnais qu’il y a une franche volonté de bien faire, et surtout d’innover par le mélange des genres, ce qui comble partiellement l’impression de déjà-vu. 3.
Excellent scénario atypique, oscillant entre l'horreur, le thriller et la comédie. Les comédiens s'inscrivant dans un jeu abouti, collent parfaitement aux personnages déjantés du film. Des scènes burlesques parsèment l'histoire avec bonheur, apportant habilement oxygène au suspense. Décoiffant et original !
Une jeune délinquante se retrouve condamnée à être réinsérée au domicile de sa mère, insupportable et crispante pipelette convaincue que sa maison est hantée, et de son mari, taciturne bricoleur aussi joyeux qu un poisson mort. Elle réalise vite que son retour après plusieurs années semble appeler celui de phénomènes étranges dans la demeure : panne de courant, bruit indéterminés dans les murs et les toits, disparitions d objets, affolements électroniques, etc...
Ce qui apparait d abord comme un film noir, violent à base de drames sociaux, familiaux et juridiques, vire bientôt en une brillante et croustillante comédie d horreur, policière, d humour et de fantastique. Avec les interventions de plus en plus déterminantes de l agent de réinsertion amateur communications ectoplasmiques, de l inquiétant et crasseux voisin au passé trouble, du doucereux et insaisissable psychologue policé d Etat, de deux flics creux et dubitatifs et de la créature étrange qui semble vivre dans les cloisons des maisons mitoyennes, le déferlement bascule carrément dans le burlesque, l humour sanglant, les excès jonglant entre vaudeville et cartoon, dont l abomination n empêchera pas bien des surprises, des frissons, de grands éclats de rire et une morale bienvenue.
Ce qui apparait d abord comme un film noir, violent à base de drames sociaux, familiaux et juridiques, vire bientôt en une brillante et croustillante comédie d horreur, policière, d humour et de fantastique. Avec les interventions de plus en plus déterminantes de l agent de réinsertion amateur communications ectoplasmiques, de l inquiétant et crasseux voisin au passé trouble, du doucereux et insaisissable psychologue policé d Etat, de deux flics creux et dubitatifs et de la créature étrange qui semble vivre dans les cloisons des maisons mitoyennes, le déferlement bascule carrément dans le burlesque, l humour sanglant, les excès jonglant entre vaudeville et cartoon, dont l abomination n empêchera pas bien des surprises, des frissons, de grands éclats de rire et une morale bienvenue.
Vinz1
Ce petit film néo-zélandais, patrie de Peter Jackson, mélange le film d'horreur à l'humour. Ce parti-pris discutable ravira certainement une partie des spectateurs mais, en revanche, laissera les fans de films d’angoisse dubitatifs tant c'est long et déjà-vu, pour ceux qui connaissent "Le sous-sol de la peur". Pris dans son ensemble, "Housebound" se laisse toutefois regarder, mais il souffre de nombreux petits défauts dont un manque de personnalité latent et d'absence de scènes chocs qui l'empêchent d'en faire un futur film culte. Cependant, cela peut suffire l'espace d'une soirée....
Gerard Johnstone est un nom qui ne vous dit sans doute rien, et c'est plutôt normal. A l'origine de quelques séries inconnues en France, le bonhomme ne se démonte pas et décide de réaliser un étrange long métrage, à la durée étonnante, et aux idées originales et bien menées. Housebound est drôle, cynique, et ses nombreuses fausses pistes nous entraînent tranquillement au fil d'un histoire totalement folle, à laquelle on ne croit jamais. Mais avec des personnages si attachants, si originaux, et une mise en scène travaillée totalement au service de son histoire, on se retrouve face à un OFNI qui tente beaucoup, réussit parfois, et essaie de renouveler le genre. Ou en tout cas de proposer quelque chose d'un peu différent. C'est frais, gentil mais jamais sage, et cynique à souhaits. Tu vois ? Ca ne coûte pas plus cher de tourner un bon film !
« Housebound » est un excellent film qui aura su mixer l’horreur et la comédie. Le scénario est habilement ficelé, nous laissant croire au film d’épouvante pour basculer progressivement dans le slasher. L’intrigue évolue, mais reste bien présente. Le rythme est bon, et les acteurs sont excellents. On passe un délicieux moment avec ce film, qu’on ne peut que recommander !
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