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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 octobre 2021
Film nul à chier mais divertissant Le divertissement est supportable au début mais la fin donne envie de se pendre tellement elle est nulle, le charme du divertissement est rompu par la nullité et le caractère éculé du plot twist final (le méchant se rend compte que c'est pas gentil d'être méchant donc il renonce à tuer le gentil et le laisse finir sa grande quête)
Ready player one n'est pas désagréable à regarder mais il faut vraiment avoir gardé son âme d'enfant. Les gentils sont très gentils et les méchants très méchants. Bref, film assez bêbête, vite vu et aussi vite oublié.
Pas trop mal sur le concept, les idées et le potentiel futur qui nous attend.
Par contre, c'est long et certains moments sont ennuyeux... Et que dire du scénario? Plus que classique, réchauffé, banal, conventionnel, qu'importe le mot on sait dès les premiers minutes ce qu'il va se passer. J'insiste sur les premières minutes. Il n'y a aucune surprise dans le déroulé du film! Et on parle de Spielberg bordel, pas du premier clampin venu!
A part certains clins d'oeil et parce qu'il dépeint une société future vers laquelle on avance doucement, ce film n'a pas réellement d'intérêt.
Oulala quelle déception au vue des critiques dithyrambiques! Comment peut on parler de chef d’œuvre pour un film avec une introduction aussi mauvaise et paresseuse, des clichés sur les personnes qu’on ne pensait plus revoir, un méchant aussi quelconque et des lignes de dialogues culcul la praline? Si l’oasis est bien réalisé, bien que débordant de couleurs criardes et sons assourdissants, finalement fatiguant et sans réelle beauté, le monde réel est bâclé et incohérent . A priori ça ne gène pas Spielberg que les gens soient esclaves du virtuel dans un monde de taudis misérables si on se déconnecte deux jours dans la semaine ( bonjour la philosophie profonde! Quelle réflexion, ça m’a retourné) . Aucune émotion dans ce monde réel, même quand les gens y meurent. Pour le reste, ça vomi de la référence anglo-saxonne (forcément) geek et années 80´ à ce stade ce n’est plus des clins d’œil mais une liste exhaustive casée pour faire plaisir aux champions qui vont se croire intelligents en voyant la référence. Sauf que du coup le film n’a aucune identité. On a un catalogue Wikipedia de trucs supposês être des références pour la population dans 35 ans après deux guerres. On sent bien le besoin de la culture américaine de s’inscrire dans la durée et de se panthéoniser. Mais franchement en 2050 l’ado va évidemment draguer sur le disco 70. C’est comme si actuellement vos gamins maîtrisaient Piaf pour enchanter la demoiselle d’en face. Bref… Aucune réflexion dans ce film qui se contente d’ériger au sommet et sans contrepartie ni remise en question une culture pop et vidéo ludique asservissante et américano centrėe. Décevant.
Un film en forme de quête tout à fait passionnant, avec des effets spéciaux haut de gamme et surtout des acteurs vraiment attachants, autant les avatars que les acteurs. Les nombreuses références, extraits, clin d'oeil, etc... à la pop culture sont savamment dispersés tout au long du film et permet à tous d'y trouver son compte ! Un grand Spielberg... Bref, un film excellent !
Je vois enfin Ready Player One, qui est toujours soit considéré comme l'un des meilleurs films de Spielberg ou l'un des pires. Et effectivement, sur certains points, je comprends que le film divise. Je vais commencer par citer les choses qui ne fonctionnent pas très bien. Tout d'abord, le style visuel de RPO est globalement très réussi mais le seul point où ça ne colle pas, c'est pour la modélisation des personnages. Ces derniers manquent d'authenticité dans leurs émotions et on a vraiment l'impression de suivre des personnages creux. Ensuite, on peut reprocher la musique d'Alan Silvestri : cette dernière est tout juste correcte selon moi et encore, car elle est parfois presque inexistante (je me suis retrouvé étonné devant plusieurs scènes d' action à n'entendre finalement que les bruitages et aucune musique, ça a tendance à limiter l'impact de ces scènes malheureusement). Enfin, le fait que RPO se passe à 90% dans l'oasis remet totalement en question l'utilité du film. Je suis peut-être l'un des seuls à avoir ressenti ça, mais je me suis souvent fait la réflexion que si rien n'est réel, alors tout ce qui se passe est anecdotique, et cela vient encore réduire la force émotionnelle du film, déjà pas aidé par ses personnages. Une fois tout ceci dit, on pourrait croire que je n'ai pas du tout aimé RPO mais malgré tous ces éléments, le film reste bluffant. Les visuels sont extrêmement réussi et permettent à Spielberg d'avoir une mise en scène sans aucune limite, ce qui offre des scènes impressionnantes en terme de chorégraphie et de démesure. Le rythme du film est de ce fait excellent, j'ai vraiment eu la sensation d'avoir passé 1h40 devant alors qu'il dure 2h20 ! Enfin, c'est très rare pour être souligné, mais le fan service abondant est pour une fois justifié par le concept de l'Oasis. Même si ça reste facile d'accrocher le spectateur quand on ne lui montre que des vieux classiques comme Shining, King Kong ou Retour vers le futur, la présence de ces guests ne nuisent jamais à la cohérence de l'univers et Spielberg réutilise ces références et les modifie afin d'en faire quelques chose de nouveau (la relecture du Shining est par exemple très intéressante du point de vue de Aech). Bref, le film garde beaucoup de défauts pour être un véritable chef d'œuvre selon moi, mais en termes de divertissement, on fait difficilement plus amusant et grandiose. Un film qui impressionne davantage les yeux que le cœur, mais la mise en scène suffira à faire de ce RPO un film tout à fait mémorable. Je recommande !
Du pur divertissement. Bon là on est plus dans le fan service mais trois level au dessus. On ne s'amuse même plus à repérer les citations tellement elles sont présentes à chaque image. C'est plutôt bien rythmé. Bon les gentils sont gentils et les méchants bien caricaturaux, mais le truc qui me gène vraiment à chaque visionnage, c'est le personnage geek limite demeuré et grimage postiches ridicules de Halliday. Mais là aussi ça doit faire référence aux années 80.
Une overdose d'effets spéciaux numériques ne saurait remplacer un bon scénario, d'autant qu'ici en fait de scénario on est au niveau de Fort Boyard. Le film joue au petit malin en nous balançant toutes les 5 minutes des références à la pop culture en mots, en musique ou en images dont certaines nous passent par-dessus la tête. Quant aux personnages on se fout complètement de ce qui peut leur arriver et d'ailleurs j'ai laissé tomber l'affaire une demi-heure avant la fin, ce film ne m'apportant décidément strictement rien.
Très bon divertissement... Bourré de clin d œil à des références de la pop culture du cinéma, jeux vidéos, musique etc... L histoire est sympa... Les personnages sont attachants... Peut être un peu long pour ce que ça raconte...
Une thématique "facile" du monde virtuel qui envahit la population humaine pour lui éviter de se poser des questions. Des moyens à la hauteur pour le réalisateur Spielberg. Cela donne évidemment un film spectaculaire mais peut-être bien de ça de ce que l on aurait pu attendre : scénario manquant quand même d originalité et d une intrigue moins convenu.
Que dire.... c'est Spielberg ! Un génie ce monsieur et son équipe, pratiquement aucun de ses films laissent indifférent. Néanmoins ce film ne plaira pas a tout le monde, mais ceux qui adore les jeux et l'univers geek ca sera une belle expérience.
Un grand film de science-fiction. Spielberg ne perd pas son fil et continuer de parler aux ados (et même aux anciens ados), à leurs espoirs et à leurs rêves de manière toujours bienveillante. Sans oublier les plus âgés, qu'il étonne avec un déluge de références culturelles des années 80-90. Le conflit entre le virtuel très rude, et la réalité pas beaucoup mieux, est un des thèmes centraux du film. Les animations sont magnifiques, on n'oublie pas qu'il sait y faire et qu'il a fondé Dreamworks... Bref un excellent film pour toute le famille, avec le bémol de la violence, des poursuites et des explosions qui ne cessent pas pendant deux heures. George Lucas s'autorisait des moments plus calmes et plus oniriques !