Derniers Avis : Ready Player One - Page 16

Tout simplement génial, les références nous font sourire, effets spéciaux au top, on ne voit pas la différence

Quand j'ai lu le résumé, j'étais peu optimiste mais après avoir vu ce film, je me suis dit que j'ai bien fait de le voir. Les effets spéciaux sont bien faits. Ready Player One est un très bon film de science-fiction. Sympathique et divertissant, j'espère qu'ils sortiront une suite.

Voilà un film avec des atouts bien réels : le scénario est assez astucieux, c'est visuellement très bien fait. La grande mêlée finale rappelle quelque peu la bataille sur la planète Hoth dans L'empire contre-attaque. Du beau travail donc, avec des clins d’œil ininterrompus aux jeux vidéos et films cultes. C'est donc une génération bien particulière de spectateurs qui est visée. Si on a 10 ans de plus ou de moins que le public cible, on ne saisit pas les références et on risque fort de s'ennuyer... Ce n'est pas le discret message qui recommande de se méfier d'un excès de virtualité qui apportera beaucoup de fond au film. Car trop discret justement. Ready Player One est un pur divertissement, ce qui en fait autant sa force que sa faiblesse.

Film intéressant avec énormément d'easter eggs !
En tant que chasseur de succès Steam on a vraiment aimé :). Vivement que la VR soit encore plus aboutie !!!

J'ai vraiment apprécié. C'est un très bon film, original avec des acteurs qui jouent bien. Il y également de l'action et du suspense. De plus, les effets spéciaux sont très réalistes, le budget est là. Un film très bien réalisé mais qui selon moi aurait mérité d'être plus court.

Un classique instantané! Je n'attendais pas grand chose vu le synopsis et je suis resté hypnotisé devant le défilé jubilatoire de références artistiques servant un propos bien plus nuancé qu'il n'y paraît. Une surprise comme on les aime!

Papy Spielberg érige une ode à la pop-culture geek où ses centaines de références nous éclatent en pleine face tel un rêve éveillé.

Voilà plus de dix ans que Spielberg alterne le bon et le moins bon. Son précédent film, Pentagon Papers, ne m'avait pas emballé, et je préfère ne pas évoquer davantage le Bon Gros Géant devant lequel je n'ai pas tenu plus de 15 minutes. Ce qui est bluffant, en revanche, avec Steven, c'est sa capacité à alterner des films de genres très différents et à savoir briller dans chacun d'entre eux, même si il le fait avec de moins en moins de régularité. Ready Player One frappe d'abord par la réussite totale de l'univers dans lequel il se situe. Des univers, devrais-je dire, puisque l'intrigue repose sur la relation diptyque qui existe entre le réel et le virtuel, dans un monde qui se situerait dans un futur proche totalement accro et dépendant à la "réalité virtuelle", soit un mélange de ces deux entités qui tend à nous faire perdre pied sur la véracité de tout ce que les personnages vivent. Fort de ce paysage à architecture minutieusement menée, l'intrigue est elle aussi au niveau où on l'attend. Suspense, humour, clins d’œil s'enchainent à un rythme soutenu et c'est avec plaisir qu'on se laisse mener dans cette quête du Graal. Seul défaut que je trouve au film, la qualité esthétique du monde virtuel, pénible à mon goût.

Minimum syndicale pour un Spielberg, la forme et là, et encore perso je n'ai pas aimé le design des avatars. Cependant le scénario est juste trop téléphoné quand il n'est pas totalement incohérant.

Avec ce film, nous plongeons dans le pouvoir du jeu video. On passe un très bon moment mais le film souffre de quelques défauts de scénario.

j'avoue avoir hésiter avant de l'écouté mais ce fut tout de mème un bon moment d'écouté ce film les effect spéciaux son super, j'aime bien l'idée du scénario on ne vois pas sa souvent dans d'autre film

Je viens de subir un viol… Celui de l’innocence de mes souvenirs, par une esthétique numérique rococo, une orgie multicolore en habit de guimauve hystérique, une vomissure bariolée de teintes acides, aux formes d'une mollesse frénétique. Deux heures de torture visuelle et mentale, que résume parfaitement la vacuité de la dernière réplique, dont l’énoncé n’amorcera même pas un début de révélation : "La réalité est la seule chose qui est réelle”. J’en ressors éreinté par une vulgarité abyssale, nourrit d’un scénario digne d’une intelligence artificielle des années 90… Et accessoirement, une envie de me passer la corde au coup, l’âme salie dans ce cloaque artificiel, relevé d'épileptiques exhausteurs d’images creuses, péniblement soutenus aux bout de poncifs scénaristiques fébriles, rebattues d’une musique empruntée, dans tous les sens du terme.
Steven créa Spielberg ; Spielberg viens de tuer Steven.
N.B. Il faut encore enlever le demi-point obligatoire de ma note, pour tendre vers l’humiliation glaçante, de ma mémoire souillée.

Un très bel hommage au jeu vidéo et à la culture nerd, dans la multitude des clins d'oeil, bien sûr, mais aussi dans la construction même du film. Ça reste une superproduction hollywodienne, donc les protagonistes sont un peu caricaturaux et le scénario assez manichéen. Malgré tout, le film contient un propos politique pas très complexe, certes, mais qui a le mérite d'être là. L'univers est très bien réalisé, les effets spéciaux sont dingues, on en prend plein les yeux. Les scènes d'action sont dynamiques et pas dépourvues d'originalité. Un futur film culte, à voir.

Un film bien fait... mais un film pour (grands) enfants qui fait penser a une super production Walt Disney... avec une belle happy-end un peu ridicule a la fin. Si vous cherchez du bon Spielberg, vous serez déçu.

Un très bon film sur l'influence de la réalité virtuelle dans le futur. Un bon Spielberg sur un avenir high tech qui nous rend accro et idiot.