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x-worley
148 abonnés
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2,0
Publiée le 4 juin 2019
Niveau spectacle y'a un peu de mieux c'est vrai, mais bon sang que c'est brouillon! C'est mal filmé, on ne profite de rien(et pourtant je l'ai vu en projection laser 4K)et le scénario est vraiment mal fichu. Les personnages passent leurs temps enfermés dans des vaisseaux ou dans des bunker et les bastons sont filmées, alors certes sans cut, mais platement. Y'a vraiment aucun plaisir a suivre ça. Et en plus la scène finale est digne de "Jurassic World"! Donc voila encore une fois c'est décevant.
Un scénario simplet pour pré adolescents Une mère apprentie sorcière qui est prête à sacrifier toute l humanité pour se consoler de la mort de son fils tue par un monstre qu elle a elle même réveillé Bref la mentalité américaine en route pour sacrifier la planète pour préserver leurs pauvres petits interets
Est il vraiment nécessaire de réaliser un tel film? Les acteurs semblent perdus dans les méandres presque indigestes de ce scénario. À réserver uniquement aux inconditionnels de ce monstre... qui attendent déjà la troisième partie... sinon passez votre chemin!
Ce nouveau film mettant en scène le célèbre lézard nippon est certainement le pire, avec le recul même la version tellement critiquée de Roland Emmerich il y a vingt ans nous semblant plus sympathique, c’est dire! Elle avait au moins le mérite d’être fun et divertissante. Ici, accordons tout de même au réalisateur Michael Dougherty quatre ou cinq plans très picturaux. D’une beauté indiscutable, ils nous font admirer les monstres en action de la plus belle des façon grâce à des effets spéciaux dernier cri. Sinon? Et bien pas grand-chose voire rien durant deux longues heures. Car oui tout le reste de cet interminable blockbuster est éreintant pour les yeux et pour le cerveau. Le premier volet avait peut-être des défauts mais il pouvait se targuer d’un semblant d’histoire et de l’atmosphère singulière qui s’en dégageait. De plus, il savait ménager le suspense et les scènes de destruction massive étaient rares mais généreuses et parfaitement chorégraphiées. Quant au « King Kong, Skull Island » du même univers partagé, il était efficace au niveau de l’aventure et du divertissement tout en assumant son côté décérébré. On ne s’ennuyait pas un seul instant mais il souffrait clairement d’un déficit total de psychologie au niveau du contingent humain. Et bien ici on retrouve le même problème, en bien pire.
En effet, la psychologie des personnages est réduite à peau de chagrin. Leurs échanges sont d’une trivialité soporifique et leur utilité est purement mécanique, uniquement destinés à légitimer chaque apparition d’un monstre du bestiaire mis en branle ici. On est face à des dialogues de seconde zone constitués de phrases toute bêtes et toutes faites, à tel point interchangeables qu’on pourrait les placer dans n’importe quel film. Leurs actes sont souvent sans queue ni tête et le film ne lésine pas sur les sacrifices à deux francs six sous, tellement mal amenés et peu crédibles qu’ils ne suscitent aucune émotion. Et que dire du sort du personnage de Sally Hawkins, qui a certainement dû rempiler juste parce qu’elle était sous contrat. Un scénario vraiment vide et sans ambition autre que de servir la soupe à des affrontements entre monstres. Et à ce niveau on a déjà vu bien mieux, que ce soit le « King Kong » de Peter Jackson ou le premier « Pacific Rim » de Guillermo del Toro qui étaient tous deux d’une qualité bien supérieure à ce qui nous est proposé ici. Et il est clair que ce « Godzilla, roi des monstres » est le film le moins bon de cet univers partagé déjà pas bien folichon et que ce sur quoi on l’attendait le plus, en l’occurrence les batailles dantesques, il déçoit sur toute la ligne.
Les effets spéciaux sont certes probants mais en même temps l’inverse serait le comble avec les progrès faits dans le domaine et notamment dans ce genre de productions où les trois quarts du budget pharaonique sont engloutis. On ne peut donc s’empêcher d’être déçus, frustrés et circonspects face à ces duels plus bruyants et vains que véritablement impressionnants. Car ici tout est constamment baigné dans une tempête sombre ou de nuit, ce qui rend la vision du film pénible. Notons qu’en plus, il y a plus d’agitation que de véritables combats dignes de ce nom, on en a pas pour son argent. Quant au final, censé être l’apothéose, il suit le même constat et on sort de là exsangue et fatigué. Ce n’est plus du divertissement de masse mais de l’abêtissement de masse que l’on subit plus que l’on n’y prend plaisir. Et ajoutons qu’il ne reste pas grand-chose de la mythologie et de la fascination que le spectateur est censé avoir pour ces titans légendaires, la réalisation et le script annihilant toute portée mythique. Tout est broyé dans le rouleau compresseur hollywoodien, sans véritable respect du matériel original. En l’état, « Godzilla, roi des monstres » est tout ce que le cinéma à grand spectacle a de plus déplaisant, en espérant que le prochain affrontement entre King Kong et Godzilla redresse quelque peu le niveau.
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Vivre en harmonie, avec un pareil film paraît impensable. Horrible du début à la fin, calvaire de tous les instants. Dans la fureur du pire, le pire engendre le pire.
Episode tres mauvais , tout est rate, les comediens sans charisme , l'histoire et le scenario sans interet , les effets speciaux tres moyen et le tout donne un resultat tres ennuyeux.
" Godzilla 2 , Roi des monstres " suite sympathique de " Godzilla " .
Cinq ans après que Godzilla est sauver la ville de San Francisco en combattant les monstres MUTO qui avait envahit la ville en détruisant tout sur leurs passage l’organisation Monarch continue plus que Jamais de surveiller les différents monstres qui hante les entrailles de la Terre afin d’assurer la sécurité des gens . Ils ont réussit à découvrir plus d’une dizaine de nouvelle espèces . La paléontologiste Emma Russell ( Vera Farmiga ) qui travaille pour Monarch à été traumatisé par la mort de son fils pendant l’attaque de San Francisco cinq ans plus tôt . Depuis elle c’est engager corps et âmes pour aider Monarch à combattre ses monstres . Elle a mis au point l’Orca une machine imaginer par son ex mari Clark ( Kyle Chandler ) qui permet de capter les signaux émis par les monstres afin de les repérer . Mais son invention attire les convoitises et est volé par un mystérieux groupe d’hommes mener par un type nommer Alan Jonah ( Charles Dance ) qui réveille les différents monstres à différents endroits de la planète pour un projet machiavélique mystérieux créant ainsi un véritable chaos à travers le monde . Alan Jonah décide de prendre également en otage Emma et sa fille Madison ( Millie Bobby Brown ) pour qu’elle laide à faire fonctionner l’Orca . Clark son ex mari va alors tenter de secourir à la fois son ex femme Emma et sa fille Madison et tenter de rétablir la situation avec les monstres . Pour cela il va s’allier à l’organisation Monarch qui décide de refaire appel à Godzilla pour tenter de combattre les monstres qui ont envahit la planète ...
" Godzilla 2 , Roi des monstres " est une suite sympa du film " Godzilla " de Gareth Edwards sortit en 2014 . Le film est également la suite du film " Kong , Skull Island " sortit en 2017 vu qu’il se situe dans le même univers . Dans le film on fait d’ailleurs pas mal référence au King Kong de " Kong , Skull Island " sans trop en dévoiler . Cette suite , mis en scène cette fois ci par le réalisateur Michael Dougherty , est bien sympa et divertissante avec Godzilla qui va donc combattre de nouveaux monstres qui ont envahit la Terre et sa va être explosif donnant lieu à son lot de suspense , de tension , de rebondissements , d’action et de scènes spectaculaires bien divertissantes comme on les aimes
spoiler: ( le combat de Godzilla et du monstre à 3 têtes en Antarctique , le monstre volant qui poursuit l’avion , le combat finale dans la ville entre Godzilla et le monstre a 3 têtes ... )
. Le film est sympa et divertissant mais souffre quand même de quelques défauts et est un peu décevant sur certains points . Déjà , comme pour le premier film , Godzilla est un peu mis au second plan nottament pendant la première partie du film qui se concentre pas mal sur les différents monstres qui vont envahir la Terre . Bon heureusement il est quand même plus présent que dans le premier opus
spoiler: et il fait une entrée fracassante lors de la dernière partie du film nottament lors du combat final face au monstre à trois tête dans la ville .
D’ailleurs quand on s’intéresse à Godzilla
spoiler: c’est pour tenter de le rescusitter pour qu’il rétablisse la situation face aux monstres suite à sa mort face au monstre à 3 tête ce qui met trois plombes et casse le rythme au milieu du film ou ce passage tire clairement en longueur .
. Ensuite on pensait voir un vrai combat de titans entre Godzilla et les différents monstres qui ont envahit la Terre ( en tout cas la bande annonce nous l’a vendu comme ça ) et c’était vraiment alléchant mais au final c’est un peu la douche froide car
spoiler: Godzilla ne combat réellement que le monstre a 3 têtes
. J’avoue que sa fait quand même un peu pétard mouillé et que je reste un peu sur ma faim . Et enfin les combats sont par moment un peu illisibles nottament
spoiler: pendant le combat final ou par moment on arrive pas trop à distinguer ce qui se passe .
Bon voilà mis à part ses quelques petits points négatifs le film est quand même dans l’ensemble un bon divertissement qui nous fait passer un bon moment de détente sans prise de tête . Le film est d’ailleurs porter par un sympathique casting en grande majorité venant de la télévision avec nottament le trio Kyle Chandler ( " Demain à la une " ) , Véra Farmiga ( " Bates Motel " ) et Millie Bobby Brown ( " Stranger Things " ) qui jouent les membres d’une famille qui vont tenter d'aider l’organisation Monarch et Godzilla à sauver le monde face aux monstres lâcher sur Terre à cause d’un homme nommer Alan Jonah très bien jouer par l’acteur Charles Dance ( " Alien 3 " , " Last Action Hero " , " Game of Thrones " ... ) parfait dans le rôle du méchant pour un projet machiavélique . Ils font plutôt bien le job dans le rôle de cette famille qui va devoir jouer les héros bien malgré elle pour sauver le monde face à des monstres qui ont envahir la Terre . Ce sont trois acteurs que j’aime beaucoup dans trois séries que j’adore . Sa fait plaisir de les voir réunit tout les trois dans le même film . J’aime particulièrement le personnage jouer par Vera Farmiga
spoiler: qui s’avère être au final être une grosse manipulatrice qui a tout manigancer avec le personnage de Alan Jonah jouer par Charles Dance pour relâcher les monstres sur la Terre et qui est persuader de faire ça pour le bien de l’humanité . Elle joue très bien ce rôle .
Les effets spéciaux qui donnent vie aux différents monstres et nottament à Godzilla sont encore une fois très réussit . Les monstres ont vraiment de la gueule et son vraiment impressionnant nottament Godzilla et le monstre à trois têtes . Le film est très bien mis en scène par le réalisateur Michael Dougherty qui nous offre de très beaux plans avec un belle esthétisme par moment notamment
spoiler: quand les différents monstres sortent de Terre . La scène où le monstre sort du volcan en éruption sa a de la gueule visuellement . Ou encore les combats face à Godzilla et nottament le combat final sous la pluie visuellement sa a de la gueule . Sans oublier la scène finale avec Godzilla entourer de tout les monstres qui finissent par lui prêter alégance sa a également de la gueule .
. Le film contient des clins d’œil très sympa aux autres films de la franchise " Godzilla " ( qui compte une trentaine de versions différentes du célèbre monstre je le rappelle ) nottament le tout premier film sortit en 1954 .
spoiler: Par exemple la scène où le gars de Monarch decide de se sacrifier en allant sous l’eau pour faire exploser une bombe afin de rescusitter Godzilla fait clairement écho à la scène finale du " Godzilla " de 1954 quand un gars décidait de se sacrifier en allant sous l’eau avec une invention pour détruire Godzilla .
Ne louper pas la scène finale juste après le générique de fin qui nous montre
spoiler: le colonel Alan Jonah jouer par Charles Dance récupérer la tête du monstre à 3 tête sûrement pour continuer son projet machiavélique
. Cette scène nous montre sûrement les événements à venir dans les prochains films consacrer à " Godzilla " et " King Kong " qui se situe je le rappelle dans le même univers et nottament le crossovers " Godzilla vs Kong " prévu pour l’année 2020 . On a vraiment hâte de voir cette rencontre et ce face à face entre les deux plus célèbres monstres de l’histoire du cinéma . Sa risque d’être épique .
Pour résumer " Godzilla 2 , Roi des monstres " est une suite sympathique et divertissante du film " Godzilla " sortit en 2014 malgré quelques points négatifs .
Là on touche le fond. C'est l'un des pires nanar que j'ai eu à voir. Le scénario est indigent, truffés/bourrés d'incohérence. C'est le néant. Franchement, j'ai souffert et n'ai qu'un regret : m'être obstiné à rester jusqu'à la fin et avoir lutté à ne pas m'endormir profondément. Seul point positif : les effets spéciaux. Mais quand on paie pour aller au cinéma, c'est pour voir un film, pas un clip aux effets sonores abrutissant....
Godzilla cru 2019 a tous les symptômes du mauvais blockbuster américain post-2001 : un goût exacerbé pour la destruction massive, la propension à transformer ses héros en martyrs, une incapacité à rendre au chaos sa puissance déstructurée et imprévisible. Car chaque scène ici n’est qu’une perle que le film enfile l’une à l’autre pendant plus de deux heures, et ne semble dotée d’aucune répercussion sur la suivante : les monstres apparaissent et disparaissent selon une logique de jeu vidéo, et la clausule voit logiquement s’affronter tous les titans pour la grande apothéose d’ailleurs invraisemblable. S’il fallait pourtant motiver le visionnage de cette suite ô combien inutile (exception faite des effets spéciaux réussis et d’une certaine vision de l’apocalypse), ce serait à coup sûr cette terreur qui imprègne l’écran, cette terreur américaine de perdre le contrôle face à une puissance supérieure. Nous ressentions ce même état face à Jurassic World lorsque, par exemple, un dresseur recourait à ses dinosaures pour se tirer d’embarras, ou encore quand une jeune fille libérait dans la nature toute une cave remplie de monstres (la conclusion de Godzilla calque d’ailleurs celle du second Jurassic World, plan pour plan). Et pour pallier l’angoisse de l’anéantissement, chaque affrontement place sur le même plan les monstres et les hommes, comme s’il fallait prouver que l’humanité détenait en elle un gigantisme susceptible de rivaliser, voire de surpasser – n’oublions pas que les titans se font les marionnettes des ambitions scientifiques et militaires – les forces à l’origine de la création de l’univers. En jonglant ainsi avec les deux échelles, le film réduit le mythe qu’il est censé incarner à une ressource énergétique que l’homme vient exploiter quand la situation s’aggrave. Derrière le pseudo-message écologiste se cache, en fin de compte, un plaidoyer pour la domination humaine sur toutes les espèces, de la même façon qu’Hollywood pense régner en maître sur les cultures : la sénatrice, le colonel Diane Foster et l'officier Barnes incarnent la minorité afro-américaine, les docteurs Serizawa et Ilene la minorité asiatique. Et de leur bouche jaillissent les pires clichés sur la civilisation qu’ils représentent : les afro-américains sont des chefs de guerre intrépides, les chercheurs asiatiques des philosophes de l’âme humaine et animale, capables de sagesse et de sacrifice de soi (le samouraï n’est jamais loin). Si Godzilla: King of the Monsters manque cruellement d’intelligence, c’est parce qu’il ne constitue qu’une étape intermédiaire entre le mythe originel et sa fusion avec d’autres grands noms américains tel King Kong : pièce d’un puzzle plus vaste sous forme de gloubi-boulga artistique et de reniement du cinéma au profit de la structure sérielle, le film pousse les forces en présence tellement loin qu’elles finissent par s’annuler et lasser le spectateur. Toujours plus haut, toujours plus gros, toujours plus insipide. On attend la confrontation du Roi avec les super-héros des deux écuries qui, à force de fulgurances, finira bien par mettre le feu à la pellicule.
Le film est efficace rien à dire et on en a pour son argent. En même temps, ce n'est pas ma tasse de thé donc je me suis quand même ennuyée. Aussi, la première heure est assez plate. Et c'est tout à fait le blockbuster américain bien calibré.
Ce "film" est la pire daube que j'ai vu au cinéma depuis des années- et dieu sait si j'en ai pourtant vu quelques unes. Mais là, on atteint le fond du fond. Aucun scénario : baston de montres sur une musique assourdissante et omniprésente. Voila, voila....Bref, si vous avez plus de 7 ans d'age mental, un conseil : fuyez !
Après un très bon Godzilla et un Kong : Skull Island que j'ai bien apprécié, Ce Godzilla 2 (pour raccourcir) part complètement dans le virage "kaiju" et destruction massive. Vous aimez ça ? Tant mieux, moi aussi ! J'ai beaucoup apprécié le film, on en prend plein dans la tronche pendant plus de 2h. Du pur divertissement avec des visuels très beaux et des effets spéciaux impeccables. Certes le scénario est convenu mais disons-le franchement : est-ce qu'on cherche vraiment ça dans ce genre de films ? Pour moi non. Les acteurs sont plutôt pas mal sans être transcendants (mention pour Millie Bobby Brown très bonne actrice) . La réalisation est franchement propre, je m'attendais à bien pire vu le CV du réal mais le film est parsemé de visuels très beau et d'un gigantisme appuyé, on sent la menace. On est pas au niveau de réalisation d'un Gareth Edwards mais c'est franchement bien. J'aime bien aussi que les personnages humains que l'on suit soient différents à chaque film et que les personnages principaux soient ces Titans.
Bref si vous aimer les monstres/kaiju, films apocalyptiques, la destruction et le grand spectacle ce film et fais pour vous et vous en donne pour votre argent. Sinon ça risque de ne vraiment pas vous plaire.
c'est un film bof. Le scenario trop faiblard pour ne pas dire inexistant, sans tête ni queue, j'avais décroché avant le milieu du film et pour ne rien arrangé même les effets spéciaux était bien trop brouillon, rempli de brouillard. La seul chose que je voulais c'était que le film se termine. Je n'ai absolument rien senti durant tout le projection du film. J'ai rien compris