Ah, depuis l’temps que j’en entendais parler de ce film, ou plutôt, de ces films puisqu’il y en 3 et bientôt 4, je l’ai enregistré lorsqu’il est passé sur NT1 en 2ème partie de soirée puisqu’il est interdit aux -12 ans mais malgré son numéro 3, j’ai quand fait car d’habitude, j’ai horreur de regardé des films sans en voir les vu les 1ers. Bon, venant en au fait, j’ai lu sur Allociné toute les critiques et paragraphes sur ce dernier. Les critiques disent aussi bien qu’il s’agit d’un film culte de par son ridicule totalement assumé, et c bien. Et d’autre qui, au contraire, l’incendie toujours par son ridicule, ses effets-spéciaux ringards et raté, et c'est pas faut. Bref, tous pour le sublimer ou l’anéantir. Alors, pour commencer, je m’attendais en tout premier à des explications sur comment ces fameuses tornades de requins se forment en plein milieu des grandes villes américaines. Et surprises que dalle, des gros nuages d’orages arrive au-dessus de Washington DC, et patatras des requins se font soulever du fleuve traversant la capitale par une tornade. Ok, je veux bien ce côté totalement drôle voir ridicule, mais bon, comment une tornade peut-elle avoir au temps de requins de toutes tailles en son ventre en quelques secondes. C complètement incohérent, aucune raison n’est donnée, donc voilà. Ensuite, venons-en à mon côté préféré et radicale dans les films, téléfilms ou séries fantastique ou de science-fiction, les effets-spéciaux, le cœur même de ces genres. Bon, j’étais directement prévenue en voyant les extraits ou affiches des films, qu’ils seraient tout bonnement laborieux. Mais comme je l’dit depuis le début de ma critique, tous y est assumé et c'est ça qui est saluer. Après tout, le ridicule ne tue pas. Mais chez moi, les effets sont non négociables, ils doivent êtres magiques, c'est comme ça c'est un fait, j’y peux rien, chuis amoureux des énormes effets. Ensuite, les situations sont comme le dirais mon amie Télé Loisir, aussi improbables qu’hilarantes. Surfer sur des toiles de maîtres, découper des requins en deux en se mettant dans des positions tout aussi surprenantes, la maison blanche démolie avec seulement 3 requins s’y étant étalé tel des crêpes, des requins en plein espace et en pleine vie. Et puis, toujours une satire sur la grandiloquence des Etats-Unis. Donc voilà, c'est fait et si j’ai un jour, l’opportunité de voir les 2 précédents et voir même, le 4, j’le regarderais avec les mêmes impressions. Hilarant et ridicule, mais totalement assumé.