Derniers Avis : Sharknado 3: Oh Hell No! - Page 3

Nanar assumé, Sharknado nous livre son (déja) 3ème opus.
Rien de nouveau excepté la surenchére de situations grotesques dont nous livre le réalisateur.
Ian Ziering sait tout faire, tout conduire ou piloter et c'est tellement aberrant qu'on subit le film comme une fatalité.
Queques "guests" font une apparition, mais ce n'était pas obligé.
Reste le néant absolu, vu la fin je pense qu'une suite est prévisible mais aprés l'espace, que vont ils inventer?

Après les désastreux sharknado 1 et 2 qui aurai pu croire qu'ils insisteraient et nous pondraient une 3ème bouse. Encore pire que ses prédécesseurs ce dernier volet 'on l'espère) nous abrutis avec toujours plus d'incohérences et de prévisibilités qui même si vous êtes sous effets de drogues ou d'alcool semblent illogique, le jeu des acteurs d'une lourdeur et le scénar d'une idiotie incommensurable.
Bref, si vous aimez les effets spéciaux version roumain et les films à regardez pas au 1er ni au 2eme mais au 101degrés ce film est fait pour vous.
P.S. : était ce vraiment obligatoire les requins dans l'espace ???

Pour commencer ayant vu les 2 premier je savais que ce film serai un nanar assumé et se fut bien le cas.Le scenario est complétement loufoque,les acteurs surjoues,les effet spéciaux sont ignoble tout comme les tenues (celle de l'astronaute).Seul les guest apportent un peu de saveur a ce film car a vouloir trop en faire et tout exagéré on se retrouve avec un film qui n'a plus aucun sens.Pour conclure même en adorant les nanar (ce qui est mon cas) on n'a du mal a adhérer a ce Sharknado 3 tant celui ci joue dans l’absurdité et je ne vous parle même pas de la fin qui a elle toute seule représente bien le film a voir une fois pour les très très grand fan de nanar.

L'intro est sympa et jouissive mais le reste du film est naze quand même, effets spéciaux ridicule et acteurs bidons ^^ Globalement j'ai pas aimé même si c'est un nanard assumé 1,5/5

un classique du nawak a la Asylum Production et un excellent casting, le réal' s'en tire agréablement bien malgré un budget plus qu'étriqué!

Bon, il faut le dire le deuxième Sharknado avait été une semi-déception. Trop foutraque, trop désordonné, tout était plus gros plus énorme mais moins incisif finalement. Le troisième pouvait laisser craindre le pire donc. Si c’est toujours très grandiloquent, heureusement c’est plus maitrisé, et plus parodique, ce qui est une bonne chose.
Le casting s’est enrichi de plein de seconds rôles guest-star qui viennent faire des apparitions, et, pour Hasselhoff, un peu plus. Ces derniers semblent globalement s’amuser, même si finalement on assiste plus à une galerie de portraits sympas qu’autre chose dans l’ensemble. Les acteurs principaux des précédents épisodes sont de retours, avec le même entrain pour Ian Ziering, tandis que Tara Reid est un peu en retrait. Elle ne m’a pas semblé assez exploitée, et sa présence a presque quelque chose d’anecdotique, au profit de deux brunes : Cassie Scerbo et Ryan Newman.
Le scénario relève bien sûr du grand n’importe quoi, mais on sent une volonté de construire une sorte de « mythologie » autour de ces Sharknado, et de créer du liant dans la saga, ce qui est une bonne chose. Il y a par ailleurs un second degré complétement assumé ici, ce qui autorise des parodies notables, et permet des gags plus délirants. Il y a des moments vraiment marrants, jusqu’au final, qui part là complétement en cacahuète, et qui aurait mérité d’être un peu moins « speed ». Il y avait de quoi creuser un peu plus, quitte à sortir du format traditionnel d’1 heure 30. Enfin en tous les cas c’est très rythmé, et c’est un point à souligner. Pas de temps mort c’est essentiel dans ce genre de production.
Visuellement c’est là aussi du n’importe quoi. Effets spéciaux risibles, réalisation bordélique, décors et photographie grisâtres et franchement moche parfois (mais assez imaginatif pour ce qui est du parc par exemple), Sharknado 3 respecte l’âme esthétique de la série. Bien sûr cela pourrait être un défaut, mais compte tenu du projet du film c’est un point important à cultiver, qui participe de la dimension « nanar volontaire » que l’équipe a voulu offrir. Je regrette toujours un peu que le nombre de requins soit privilégié aux détriments d’apparitions singulières plus approfondie. Les meilleurs moments du film restent ceux où on voit un requin souvent dans une situation ridicule avec des humains, et pas tellement ceux où ils pleuvent en trombe.
Sinon bel effort sur la bande son, bien dans le ton du film.
En somme ce troisième Sharknado est au-dessus du 2, mais il reste des pistes d’amélioration notables tout de même. Il serait bon aussi, pour un éventuel quatrième volet mais cela aurait pu être pensé dès ce film, de délocaliser franchement l’action dans un autre lieu, dans un autre contexte, histoire de renouveller un peu une recette qui risque de se fatiguer. La fin laisse supposer cela, mais enfin, à voir. 3.5.

Il est clair que Sharknado 3, encore plus que les deux opus précédents doit être considéré comme "au delà du nanar"... Cela ne me pose aucun problème. Donc les sfx complètement nazes, le manque de cohérence et de réalisme et le jeu des acteurs WTF font partie de l'univers Sharknado. J'ai adoré la première partie du film à Washington, où tous les éléments précédemment cités étaient à leur paroxisme... Ensuite l'arrivée de Cassie Scerbo (Nova mmmm) m'ont rappelé les meilleurs souvenirs du premier... Mais ensuite le film s'est essoufflé en scènes parodiées d'autres films et ces scènes n'avaient pas leur place... C'est vraiment dommage parce que sur la première demi-heure le film était vraiment culte... La deuxième partie c'est un "petit bien". Donc 4/5... Vivement le 4ème opus tout en espérant que dans Sharknado, ce que le spectateur préfère est "Shark" et un peu le "nado".

Sharknado 3 est encore une fois,une surprise pleines de WTF,d'incompréhension & de débilités assumés ou non. Cette fois-ci,Ian Ziering & Tara Reid se font attaqués encore une par des "Sharknados" à plusieurs endroits du planisphère (ou de l'univers). Washington en allant dans l'Espace tout en passant faire un petit coucou au studio Universal,The Asylum montre encore une fois leurs intérêts à faire des films loufoques & qu'ils n'ont aucunement envie d'arrêté,quitte à aller loin & à ne pas avoir peur de se confronté aux studios de BlockBuster. Ce Sharknado 3 fait aussi beaucoup de clin d’œil à divers films a succès (Top Gun,Amageddon,Star Wars...) & n'hésite pas à jouer la touche de second degrés durant tout le film. La fin laisse cependant le téléspectateur en doute,surfant sur une fin digne d'Avatar,laissant une intrigue incomplète.

Pour parlé des autres acteurs,aucuns ne sont vraiment convaincant. Les acteurs surjouent,sont lents & ne savent pas se positionné devant la caméra.Assez surpris aussi des nombreux Guest (Dont George RR Martin,le créateur de GAME OF THRONES.),

En bref,c'est un bon Sharknado,mieux que le 2 mais moins bien que le 1

3/5

Les téléfilms, c'est vraiment la poubelle du cinéma pop corn. Enfin, la plupart du temps. Mais bon, comme 90% d'entre se composent de daubes indépendantes ou de métrages de chez Asylum ou ScyFy ( au choix ), la décision arbitraire n'est point tout à fait longue : il n'y a rien à en attendre, et il n'y aura sûrement jamais d'intérêt à les suivre à la trace. Et pourtant, c'est exactement ce que je fais. Pourquoi? Je dois être atteint d'une quelconque maladie mentale, ou d'un truc du genre. Et pourtant, il arrive parfois que, parmi tous les pommes mortes ou racies, se trouve une petite perle, une légère pépite qui vous redonnera le sourire. Et cette perle, ce n'est clairement pas "Sharknado". Ce que je dis ne s'applique pas aux films Asylum. Eux, ils sont ... spéciaux. Seulement, ces célèbres faux nanars font, tout de même, bien plaisant au spectateur avisé qui, devant cet hallucinant spectacle de tripailles et de poissons volant, demeurera béat, sans réellement comprendre ce qu'il regarde. En fait, "Sharnado", ça te met dans un état second, un état indescriptible, un état que tu ne peux retrouver que dans ce film. En fait, "Sharnado", ça te défonce complètement le ciboulot, ça te déchire le cerveau plus que deux pets et trois railles de coke. En fait, "Sharknado", ce n'est pas humain; non, c'est bien plus que cela. C'est puissant, c'est unique, c'est une expérience à vivre en famille ou entre potes, après un bon petit coup dans l'nez. Parce que "Sharknado" c'est génial, et que ça l'est vraiment, il faut que vous le voyiez. Parce que "Sharknado" tient simplement du génie, il ne peut être simplement comparé à ses concurrents directs ou non, qu'ils soient bons ou mauvais, la plupart demeurant, comme vous devez sûrement vous en douter, dans la seconde catégorie de goûts. Si une chose est sûre, c'est que l'on se trouve devant le summum du mauvais goût et tout ce qui se fait de pas bon, mais qui le fait de manière volontaire. Et contrairement à "Zombievears", le truc part complètement dans un délire stupide, et échappe à la simple comédie de genre. C'est une fine ligne qui sépare les deux oeuvres, certes, mais c'est une séparation quand même. Bien sûr, c'est hilarant : voir un mec jouer à Rambo sur des requins qui volent dans la Maison Blanche ( ouais non mais là, les scénaristes se sont tapé un foutu délire de gros malade mental ), c'est incroyable. Mieux, c'est littéralement intemporel. Parce qu'en fait, quand on y réfléchit, quelque chose de moche dès le départ, quelque chose qui est naturellement vieux, eh bien cette daube ci va bien moins vieillir que le dernier film que tout le monde encense et dont personne ne se souviendra deux ans plus tard. Le film pourraves, au moins, personne n'en aura rien à faire, si c'n'est les paumés cinématographiques dans mon genre. Et puis niveau écriture, c'est pas forcément très mauvais. C'est pas bon, oui, mais c'est meilleur que le pire des téléfilms du genre. En fait, c'est le meilleur du pire, pour résumer. Et étonnement, il existe de bonnes idées dans ce film. Oui, c'est bel et bien vrai. Détail plutôt anodin mais qui fait véritablement la différence : les annotations en bas d'écran. Et là, tu comprends que les mecs qui ont fait cette daube ne sont pas stupides. Non, ils sont très intelligents, sûrement plus que ceux qui ont décidé de sortir un "Transformers" like, par exemple. tous font preuve d'une autodérision et d'une imagination débordante qui m'ont rendus hilare. J'en pouvais plus. Véridique, j'en avais les larmes aux yeux. Quel délire ! Et puis, bien entendu qu'il faut qu'on parle des acteurs. Et là, t'as clairement l'impression que t'es tombé dans une cour où se déroulerait le duel du siècle, tu vois : la team "New Generation" menée par Diacaprio, Bale, Cruise, Crowe, Hopkins et Cumberbatch contre la "Old Generation", de Brando à Grant, en passant par Bogart et Stewart. En gros, c'est le top du top. Mais non, je plaisante, c'est tout le contraire ! Bien entendu, les principaux protagonistes jouent comme des pieds. Et là, une question me taraude : qu'est-il arrivé à Tara Reid pour tomber si bas? Concrètement, elle n'a jamais été au top, mais bon, pour tomber si bas, faut l'faire, quand même ! Et bien sûr, les seconds rôles sont fameu...seument stupides. Outre un David Asselhof qui semble, depuis quelques temps, abonné aux productions de merde du rayon "nanar", on trouvera un inhabitué du genre qui, à n'en pas douter, le deviendra très prochainement : Frankie Muniz, à la défunte carrière. Ce nom vous dit quelque chose? C'est normal, c'est Malcolm. C'était. Depuis, le mec n'a rien fait pour, à l'échéance, s'échouer lamentablement dans la tristesse du monde nanardesque. Idôle déchue de mon enfance, que me reste-t-il d'autre, à présent, que le lointain souvenir d'un acteur qui fut bon, et qui ne le sera, visiblement, plus jamais. Néanmoins, l'honneur est sauf : j'ai ri comme pas possible, j'ai kiffé comme rarement. Les effets spéciaux sont, de manière évidente, excessivement moches, et les dialogues ne dérongent évidemment pas à la règle. Il reste une dernière chose : ils les ont envoyé dans l'espace !! Ils ont enfin fait ce que je désirais qu'ils fassent, et réalisé la meilleure chose possible pour la trilogie, évidemment future saga : nous produire des films pourraves mais débridés et, principalement, bourrés d'action et d'hémoglobines. Jamais n'aurai-je pensé pouvoir écrire cela : aussi bon que mauvais.