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    Ghost In The Shell
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    T-rhy
    T-rhy

    78 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mars 2017
    Ghost in The Shell.... Adaptation live des films d'animation Ghost in The Shell et Ghost in The Shell 2 Innocence, sortis respectivement en 1995 et 2004, . Eux même adaptés du manga culte de Masamune Shirow sorti en 1989. Cette première version live est réalisée par Rupert Sanders, dont c'est le second long métrage après l'oubliable mais néanmoins distrayant Blanche-Neige et le chasseur.

    Bon, je ne vais pas y aller par quatre chemins. En sortant de la salle de projection IMAX pour l'avant première du long métrage, j'avais déjà un avis relativement tranché sur ce Long métrage, et même passé le temps de la réflexion et la nuit de sommeil, celui-ci n'a pas bougé d'un iota. Ghost in The Shell 2017 est une déception. Un film certes visuellement réussi, mais dénué d'âme, se plaisant à singer les scènes marquantes du premier film d'animation, au profit d'une histoire somme toute très classique, au dénouement convenu et ô combien déjà vu.
    Dans le film d'animation de 1995, le personnage du Major (incarné à l'écran par Scarlett Johansson) se questionne sur son existence. Elle est un cyborg. Son corps artificiel n'est pratiquement constitué que de pièces mécaniques. Ne lui reste que son esprit, sa mémoire, de ce que tout un chacun appellerai "âme", mais que dans ce monde où la frontière entre hommes et machines n'existe quasiment plus, tout le monde appelle "Ghost". Son Ghost est tout ce qui lui reste pour encore se définir comme humaine. Elle même fait l'analogie entre sa plastique quasi parfaite et un vide de plus en plus existentiel qu'elle ressent. Et malheureusement le film de Ruppert Sanders arrive véritablement à incarner cette idée, et ce dans sa totalité. C'est beau et bien réalisé, mais le reste est vide. On peine à s'investir dans l'histoire qui est extrêmement classique. Les personnages sont outrageusement caricaturaux. Pour exemple, (léger spoiler je préviens) dans l'œuvre originale, le personnage de Toguza, un des agents de l'unité spéciale du Major (connu sous le nom de Section 9) est l'un des seul qui a encore la quasi totalité de son corps fait de chair et de sang, sans augmentations physiques. Il demande au Major pourquoi elle l'a recruté dans son unité d'élite tactique, et elle lui répond qu'outre son expérience, sa présence et son point de vue son essentiels à ce que elle et toute son équipe ne perdent pas de vue leur objectif et par dessus tout leur humanité. C'est beau, intelligent, subtil et profond, en plus de servir le développement du Major. Dans le film de 2017, le personnage clame juste ne pas vouloir d'augmentations physiques, et.... Et c'est tout. Il est là parce qu'il est un des protagonistes de l'oeuvre d'origine. Il a à peine plus d'importance qu'un clin d'oeil appuyé. C'est triste, inutile au récit, et tient définitivement du détail anecdotique. Et je pourrai donner pléthore d'autres exemples de ce type.
    La réalisation est intéressante. Si les effets spéciaux sont assez impressionnants, et la mise en scène a ses moments de fulgurance, le tout reste tout de même assez passable. En particulier si l'on a déjà vu les films d'animation. La direction artistique est superbe, mais mis à part ça... Bof.
    Le scénario est, dans ses grandes lignes, extrêmement prévisible. L'idée d'avoir voulu explorer le "passé" du major était de base une mauvaise idée à mon sens. Ceci accentué par un concept supposé la rendre unique par rapport à ses coéquipiers, qui oscille entre le grotesque et le déjà vu. Une intrigue loin d'être mémorable, mais qui se laisse tout de même suivre.
    La bande son est relativement efficace. Elle sait porter les moments "contemplatifs" et les scènes d'action. On reconnait bien sûr les thèmes cultes de Kenji Kawai des films d'animation originaux, retravaillés ici par Clint Mansell (Requiem for a Dream). On a aussi un remix du thème principal des films d'animation par Steve Aoki à la mode dubstep. On aime ou pas. Moi j'ai trouvé ça correct, sans que ça me rebute. Ça ne transcende pas les musiques originales, mais ça a le mérite d'ancrer le film dans son temps.
    Les acteurs sont à mon avis tous passables. En particulier Scarlett Johansson. Malheureusement, la belle américaine, a travaillé son jeu, pour paraître la plus inhumaine et "robotique" possible. Un parti pris des plus étrange, faisant apparaître son jeu comme plus erratique et déstabilisant que "naturel" pour une "cyborg". Comme si elle avait des bugs faciaux. Si on peut comprendre la volonté derrière, l'exécution est plus que discutable à mon humble avis. Et je ne parle pas d la démarche excentrique qu'elle nous inflige durant le film. Pilou Asbeak (The Killing, The Borgias, Lucy, Ben-Hur 2016,...) qui joue Batou, le co-équipier de Major, s'en sors pas trop mal. Takeshi Kitano est clairement là pour empocher son chèque. Sans efforts, il ne prend même pas la peine de parler anglais comme ses partenaires à l'écran, et joue Aramaki (le chef de la section 9) en mode complet désintérêt pour tout ce qui se passe autour de lui. Ça en est triste. Le reste du cast n'est pas plus brillant (même Juliette Binoche), et aucuns d'entre eux ne reste en mémoire.
    Mais en définitif la question à se poser, est "Sans la connaissance de l'oeuvre originale, ce film vaut il le coup ?”.
    La réponse est "Oui et non. Tout dépend de vos attentes."
    Oui, si vous n'en attendez rien d'autre qu'un divertissement correct aux effets spéciaux et à la plastique aguicheuse. Un film pop-corn à l'histoire relativement originale en 2017, intéressant visuellement et porté par des acteurs tout justes corrects et impliqués.
    Non si vous avez déjà vu les films originaux, ou lu le manga, ou la série animée, et avez apprécié ces derniers à leur juste valeur.
    Bref, je n'ai pas aimé Ghost in The Shell. Et j'espère honnêtement que le film n'est pas précurseur de l'optique dans laquelle les studios américains vont adapter Akira (dont des rumeurs attachaient Christopher Nolan au projet) ou Gunnm ("Alita: Battle Angels" prévu en août 2018 et réalisé par Robert Rodriguez). Mais je ne le déconseillerait pas pour autant. Premièrement parce qu'il faut toujours se faire son propre avis. Et deuxièmement, car j'espère qu'à la sortie du film, des néophytes s'intéresseront à l'œuvre d'origine pour découvrir la richesse de l'univers créé par Masamune Shirow.
    x-worley
    x-worley

    144 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 avril 2017
    Scarlett Johansson elle est géniale en filc cyborg mais le problème de ce film, c'est qu'il est filmé comme "warcraft". Du coup on se tape des plans de folie sur une mise en scène complétement plate. C'est franchement malheureux se manque de virtuosité car ça contamine tout. Et comme le scénario met quand même pas mal de temps avant de vraiment décoller ça aide pas non plus et du coup on s'ennuie un peu. Après c'est sûr, c'est pas une grosse catastrophe non plus, y'a quand même de beaux restes, mais bon.
    Hey Jude
    Hey Jude

    24 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 avril 2017
    Ghost in the shell est une agréable surprise. Pour commencer sur le défaut du film, le scénario est assez classique et, même si je n'ai pas lu le manga, j'imagine qu'il a été lissé pour s'adapter au format d'un blockbuster. Pourtant, la simplicité de l'histoire lui permet aussi une certaine cohérence et laisse le temps au film de camper des personnages émouvants : celui du docteur joué par juliette binoche, bien que secondaire, se voit offrir une belle place par la mise en scène. Mais le vrai point fort du film, c'est le fantastique travail visuel. Pour la première fois, la 3D me paraît justifiée d'un point de vue cinématigraphique : au-delà du gadget immersif, elle se met ici au service d'une ambition artistique. Chaque plan, littéralement, semble faconné avec attention, comme les plongées dans les abimes d'une sorte de Tokyo futuriste, jouant sur les perspectives et les textures, ou encore la délicatesse d'un visage humain. Le visuel évoque aussi quelques belles métaphores, notamment l'image récurrente de cet acharnement du personnage principal à « briser la coquille », en pénétrant dans l'esprit d'un autre ou en se déchirant pour ouvrir le toit d'une machine de guerre. Bref, avec un scénario un peu plus surprenant, on aurait peut etre un chef d'oeuvre.
    Rainfall_Shadow
    Rainfall_Shadow

    39 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 avril 2017
    j'avais peur que ce film soit aussi complexe que Matrix mais ouf il n'en est rien : tout est esthétiquement sublime et bien mis en image, l'action vient soutenir une histoire de terminator japonais : hommes vs machines. superbement joué, la fin nous invite à la réflexion.
    RedArrow
    RedArrow

    1 663 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 avril 2017
    Adapter en live "Ghost in the Shell", l'oeuvre de Masamune Shirow et premier film d'animation culte de Mamoru Oshii, mais quelle chouette idée, punaise ! Enfin, sauf quand elle émerge dans la tête de producteurs hollywoodiens qui n'hésitent plus à traverser tous les océans possibles pour piller les autres pays de leur patrimoine culturel, le pauvre Japon étant devenu une de leurs cibles favorites depuis quelques temps.
    Et, là, on peut dire qu'ils ont fait très fort ces grands accros au billets verts : oser s'attaquer à tel monument en déclenchant des polémiques autour du choix d'une star américaine dans un rôle qu'on ne saurait imaginer autrement qu'interprété par une actrice asiatique ("pas grave, les, gars, on compensera avec un casting international, ça fera avaler la pillule") ou encore en engageant le réalisateur du banal "Blanche-Neige et le Chasseur" pour le diriger ("il a rapporté plein d'argent en un film, lui, on va le mettre là-dessus, juste pour voir s'il réitère un jackpot"), c'est tout de même assez gonflé.
    On regardait la production du film de loin avec les quelques photos du tournage, on n'en attendait pas grand chose à vrai dire mais l'apparition des premières bandes-annonces et leur promesse d'un univers somme toute assez respectueux de l'oeuvre d'origine ont éveillé notre intérêt. Qu'en savait-on après tout ? Peut-être que, malgré nos a priori, cette adaptation-live allait se muer en bonne surprise que l'on désespérait de voir venir...

    Commençons par la meilleure des nouvelles : visuellement, "Ghost in the Shell" est pratiquement inattaquable. Rupert Sanders surprend, voire émerveille, par une direction artistique bluffante nous plongeant dans un monde futuriste se muant très vite en gourmandise pour les yeux. Les trailers n'avaient pas menti : la précision et le respect graphique indéniable de l'oeuvre d'origine (et de son univers étendu) étourdissent de virtuosité en étant magnifiés par une 3D maîtrisée et, pour une fois, indissociable des ambitions esthétiques du film (un visionnage en 2D risque d'ailleurs de considérablement amoindrir l'ampleur des efforts déployés). Bref, à ce niveau, on se régale vraiment et on se surprend même à vouloir naviguer plus longtemps avec la caméra dans ce Hong-Kong aux ramifications de détails éblouissants. Tout ce qu'on avait adoré découvrir dans l'univers originel est bel et bien présent, parfois de manière quasiment identique ou bien juste sous forme de clins d'oeil mais le souci de nous reconstituer l'ambiance si particulière de "Ghost in the Shell" version animation dans des dimensions "palpables" ne cesse d'impressionner.

    Poursuivons avec la pire des nouvelles : c'est hélas tout...
    En fait, pendant que nos yeux se régalent, notre esprit est, tout comme le Major, assailli de glitches de la complexité de l'oeuvre d'origine. Simplifiés à l'extrême, les enjeux de l'intrigue sont réduits à leur teneur la plus basique et oublient complètement en cours de route l'alliage détonnant entre l'intelligence et l'émotion que pouvait nous faire ressentir le questionnement philosophique sur la condition de cette étrange héroïne (en ce sens, la fin convenue sur son choix est la pire des trahisons du film).
    En piochant pourtant un peu partout dans le film d'animation et ses dérivés, "Ghost in the Shell" n'aboutit que sur un récit horriblement classique (une quête de souvenirs et de découverte d'identité) que toute la richesse visuelle paradoxalement, elle, complexe, ne parvient à masquer. Il en résulte ainsi un long-métrage qui interdit en quelque sorte toute implication d'un spectateur ayant déjà goûté à cet univers, la meilleure traduction de cet hermétisme agaçant est d'ailleurs le choix de Scarlett Johansson pour le rôle principal : on ne voit que l'actrice jouer le Major sans jamais parvenir à discerner le personnage lui-même.
    Peut-être que ce choix de simplification pour s'ouvrir à un public plus large (synonyme de plus grande rentabilité) aura l'opportunité de séduire les néophytes à cet univers mais il risque incontestablement de décevoir ceux qui étaient venus pour voir un blockbuster beaucoup plus intelligent que la moyenne (il l'est juste un tout petit peu plus en fait).
    Sur le fond, on sauvera quand même la relation entre le Major et Batoo ou la personnalité torturée de Kuze (enfin qui n'en a que le nom, on est plus devant un mix du Puppet Master et de Kuze dont l'interprète s'avère être une très bonne surprise et trop rare dans ce genre de productions), vectrices des rares moments d'émotion d'un film qui a oublié d'avoir un coeur mais, là encore, la forme rattrape le fond car l'excellente partition de Clint Mansell y octroie une plus-value certaine.
    On soulignera également la qualité des seconds rôles emblématiques interprétés par des acteurs qui le sont tout autant (Juliette Binoche, Takeshi Kitano,...), eux aussi, souvent coincés entre leur volonté visible d'apporter une profondeur par le jeu et une écriture qui ne leur en offre pas l'opportunité par les facilités dans lesquelle elle choisit de s'engouffrer.

    On vous évitera le jeu de mot facile sur le fait que le film est un superbe "Shell" (coquillage) vide mais il est vraiment dommage que le "Ghost" qui l'habite ait oublié d'avoir ce supplément d'âme indispensable pour parvenir au titre de vrai réussite. Aucunement honteux, "Ghost in the Shell" ressemble surtout à une vraie débauche d'énergie de talents freinée par des finalités commerciales horripilantes.
    Néanmoins, on gardera désormais un oeil sur les prochains projets de Rupert Sanders, il y a quand même un vrai réalisateur qui est né dans tout cette affaire.
    romano31
    romano31

    278 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2017
    Adaptation du film d'animation culte de Mamoru Oshii, ce Ghost in the Shell version 2017 n'est pas aussi mauvais que certains critiques ou fans de l'animé veulent bien le faire entendre. Bien au contraire. A la fois identique et différent au film d'animation de 1995, cette version 2017 arrive à imposer sa patte et son histoire même si cela diffère de l'oeuvre originale. Sur le plan technique c'est visuellement bluffant. Les effets spéciaux sont vraiment top, le style visuel est très proche de celui de l'animé et la réalisation de Rupert Sanders est totalement maîtrisée en nous livrant des plans sublimement reproduits de l'animé. Côté casting, j'ai trouvé Scarlett Johansson vraiment impeccable dans le rôle du Major. Elle a une gestuelle et des expressions faciales qui font très cyborg ce qui colle parfaitement au personnage. Pilou Asbaek est plutôt bon dans le rôle de Batou, Juliette Binoche est convaincante dans son rôle de docteur et c'est toujours un plaisir de retrouver Takeshi Kitano dans un film. Cet acteur est tellement charismatique. En revanche, j'ai été un peu déçu de la musique composé par Clint Mansell qui a portant signé d'excellentes b.o comme celles de Requiem for a Dream ou Black Swan de Darren Anofnofsky notamment. Mais là aucune musique marquante ce qui est bien dommage quand on connait la magnifique b.o de l'animé signée Kenji Kawai. En conclusion, je dirais que ce n'est pas parce que l'on est totalement fidèle à l'oeuvre d'origine que c'est forcément mauvais et ce Ghost in the Shell version 2017 en est un bon exemple. D'ailleurs, pour ceux qui ne connaissent pas du tout l'univers de Ghost in the Shell, ce film est une bonne première approche avant de découvrir l'excellentissime film d'animation de Mamoru Oshii.
    tony-76
    tony-76

    1 071 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 avril 2017
    Rupert Sanders repasse derrière la caméra (après un Blanche Neige et le Chasseur plutôt distrayant sorti en 2012, qui rencontrait un franc succès dans les salles), il réalise son second blockbuster qui est une adaptation d'un célèbre manga nommé Ghost in The Shell. Avec ce film, on est plus dans l'aspect technologique de la science-fiction plutôt que dans le fantastique ! Alors il est vrai que le public en prend plein les yeux et c'est très convaincant car visuellement, Ghost in The Shell a peu de défauts mais le problème vient d'un scénario basique et monotone... Il passe à côté de son propos, cela manque de profondeur, de spiritualité et surtout d'une âme parce que le film n'a pas de personnalité, ni de charme et s'oublie vite... spoiler: Après une introduction sur les origines de la protagoniste dans un laboratoire, le film nous plonge (pourtant) dans l'action, sur un conflit entre une compagnie robotique et un pirate informatique.
    Major (Scarlett Johansson) aura la mission de spoiler: retrouver le détracteur et ainsi le détruire.
    Et constatera que ceux qui l'ont créée lui ont menti sur son passé. Et, on échappe pas aux clichés du genre sur le passé du Major... L'actrice Scarlett Johansson - une habituée des films d'action - s'efforce d'avoir une âme torturée à son personnage mais cela n'est pas très crédible. Le Danois Pilou Asbæk incarne un allié attachant ! Ghost in the Shell nous offre un univers original qui n'est pas complètement étranger aux classiques du genre à savoir Total Recall et certains gros plans sont assez intelligents. Comme son nom l'indique, Ghost in The Shell possède une jolie coquille mais ça manque de contenu pour confirmer cette apparence. L'expérience a été laborieuse et décevante...
    Théo A
    Théo A

    6 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 avril 2017
    Cette adaptation du célèbre manga est visuellement assez réussie et dans l'ensemble bien réalisée.
    Toutefois, elle demeure loin de l'original : scénario extrêmement simplifié et prévisible, bande son correcte mais incomparable avec celle des films de Mamoru Oshii, jeu d'acteurs inégal (principalement la démarche "robotique" de Scarlett Johansson et certaines réactions de Juliette Binoche). Nous sommes face à un film grand public et occidental, qui, sans être complètement mauvais, risque de décevoir les fans de l'œuvre de Masamune Shirow. Bref, il y a le shell, mais pas le ghost.
    Nicothrash
    Nicothrash

    366 abonnés 3 025 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 avril 2017
    Avant même sa sortie, "Ghost in the Shell" divisaient déjà les spectateurs et ça ne s'est pas arrangé par la suite. Il y a d'un côté les puristes qui crient au blasphème et de l'autre les amateurs de SF qui ne connaissent pas forcément le manga éponyme et ont apprécié le film comme il se doit. Pour ma part je connais le manga et ai tout de même beaucoup apprécié cette adaptation qui soit dit en passant réussit à parfaitement nous transporter dans une atmosphère sombre et futuriste mais surtout maîtrisée. Alors bien évidemment l'ensemble est clairement moins envoûtant que le manga et le scénario, bien trop vulgarisé, manque de relief, en revanche, visuellement, il apparait bien difficile de critiquer en mal quoi que ce soit, c'est très beau et les effets spéciaux sont redoutables, certaines scènes, carrément aériennes, retiennent vraiment toute l'attention. Les acteurs, Scarlett Johansson en tête, collent parfaitement à leurs personnages, cette dernière campe le Major avec sobriété et talent tout en restant assez sublime à voir, mention pour Pilou Asbaek, enfin sur le devant de la scène et particulièrement intéressant en Batou. Il me semble vraiment que l'ensemble est au point et Rupert Sanders a sans aucun doute fait du très bon travail sur cette adaptation, je peux comprendre les déçus mais j'ai passé un très bon moment de ciné, et de SF, pour ma part.
    Ti Nou
    Ti Nou

    492 abonnés 3 494 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 avril 2017
    Le pire était à craindre, mais finalement Rupert Sanders signe une adaptation respectueuse, dans son fond et dans son rythme, du film de Mamoru Oshii qui, si il en reprend les plans les plus iconiques, en réécrit l’intrigue en se centrant davantage sur son héroïne et sa quête d’identité. Il réalise un beau et bon film de science-fiction.
    L'Otaku Sensei
    L'Otaku Sensei

    311 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 avril 2017
    Ghost In the Shell (2017), qu'est ce que je l'ai attendu mais qu'est ce que je l'ai attendu ce film !!!
    Vraiment, ce film faisait parti de mon top 5 de mes plus grosses attentes ciné de l'année (avec SW8, Transformers 5, Pirates des Caraïbes 5 et Coco). Annoncé depuis 2014, je dois dire que j'ai très vite été hypé quand j'ai appris l'existence de ce remake du film d'animation SF Japonais culte avec Scarlett Johansson, la "Black Widow" des Avengers ^^.
    Entre temps, j'ai bien sur pris le plus grand soin de visionner l'oeuvre animée de Mamoru Oshii de 1995 au préalable, et les bande annonce m'avaient progressivement ultra hypé jusqu'à me faire croire à un futur chef d'oeuvre de la Science Fiction..
    22 ans après le dessin animé original, le manga Seinen cyberpunk-policier culte de Masamune Shirow se voit être de nouveau porté sur grand écran.
    Une actualisation que l'on doit au réalisateur Britannique Rupert Sanders. 5 ans après le remake de Blanche Neige à la sauce Dark Fantasy avec Bella de Twilight,Thor et Furiosa de Fury Road (XD), le gars revient en trombe en s'attaquant à un morceau de choix !
    Ghost In The Shell, un classique du cinéma de science fiction mondialement reconnu, nous emmène à Tokyo. Dans le Japon futuriste des années 2030, pour combattre la Cybercriminalité, le gouvernement en coopération avec la société High Tech "Hanka Robotic", développe un projet visant à créer des cyborgs. De ces expérimentations est née le Major Mira Killian, une humanoïde cybernétique luttant contre les plus dangereux Hackers. Lorsqu'un nouvel ennemi répondant au nom de Kuze apparaît et révèle au Major que le gouvernement et Hanka Robotic lui cache la vérité, la cyborg décide d'enquêter en solo dans le but de découvrir ce qui se trame derrière ces projets top secrets..
    Mais quels sont les véritables desseins de la société Hanka et du gouvernement ? Que cachent-ils ? Qui est réellement le Major ? Humain ou arme de haute technologie sans libre arbitre ?
    Voilà pour le pitch global sans spoiler.
    Qu'en est-il ?? Ghost In The Shell (2017), Un Kiffe !
    J'avais des attentes parmi les plus élevées...et je n'ai pas été déçu le moins du monde. Pile poil dans la veine de ce que j'attendais: Un film de Science Fiction tout bonnement excellent et une Cyber bonne (XD) adaptation! C'est LE Blockbuster du moment à aller voir.
    Décidément, force est de constater que l'effet adaptation/reboot porte ses fruits en ce moment; nan sérieux, après La Belle et la Bête en film de chez Disney actuellement en salle, voilà une autre adaptation de très bonne facture.
    L'histoire original a été très soigneusement respectée par un réalisateur qui, on le sent, avait vraiment envie de rendre hommage à l'oeuvre première.
    Le récit de GITS (2017) à su garder toute la profondeur philosophique de la réflexivité scientifique d'origine intact, sans trace de rouille dans les circuits. Un Cyborg, mi humain mi robot, a t-il une âme ? des sentiments ? A-t-il besoin d'un vécu ?
    Doit il être considéré d'avantage comme l'un ou comme l'autre ? Cette hybridité entre la machine et 'homme constitue t-elle une menace pour l'humanité ? Ou plus globalement encore: un cyborg à -t-il sa place aux côtés des humains ?
    Des questionnements "Asimoviens" sans aucun manichéisme, qui ont même de mon point de vue gagnés encore plus d'épaisseur et une épaisseur émotionnelle plus grande.
    Les principaux défauts que je reprochais au film d'animation ont été corrigés, du moins je les ai trouvé nettement améliorés.
    Premièrement, le premier et principal défaut du film de Mamoru Oshii était sa durée....1h23 ^^....bien trop court pour expliquer les enjeux politico-scientifiques d'un univers aussi riche et complexe.
    Conséquence, le personnage du Major restait trop énigmatique pour que le processus d'identification marche et qu'on soit connecté à 100% avec.
    Avec une durée d'1h47, Sanders à su éclaircir les zones d'ombres et rendre le discours sur la thématique de la Machine et l'Homme plus abordables. Le découpage est meilleur, une narration meilleure qui permet de mieux représenter les tourments de cette héroïne robotique tragique au coeur du "logiciel" initiatique.
    L'interprétation de Scarlett Johnasson est plus qu'à la hauteur, l'actrice, toujours aussi badasse, a parfaitement réussie sa mission de décrypter la protagoniste du manga de Shirow pour en saisir les données et se les approprier dans un jeu d'acteur bien grandiose.
    Les autres acteurs, Pilou Asbaek et Juliette Binoche (pour une petite touche made in France) sont convaincants, et le fait d'avoir laissé Takeshi Kitano s'exprimer en Japonais dans le film est un bon choix car permet l'évitement d'une américanisation trop prononcée de l'oeuvre.
    Coincidence assez rigolote, le film dans son esthétique et son ambiance semble piocher à droite à gauche dans des films de SF...eux mêmes inspirés par l'oeuvre original de la fin des années 80.
    Une ville High tech futuriste bourrée d'hologrammes hauts en couleurs, des grattes ciel, des néons à la Blade Runner ou les Nouveaux Héros de Disney, et des scènes d'actions explosifs et intenses façon Matrix ou les films de Neil Blomkamp dans ce qu'il fait de mieux !
    Après la déception amère que fut Assassin's Creed de Justin Kurzel en début d'année, Ghost In The Shell remonte largement le niveau côté blockbuster ! Une adaptation maîtrisée de bout en bout dans les moindres paramètres, sans virus ni bugs dans le système qui ravira les fans du film d'animation de Mamoru Oshii et plaira également aux néophytes, à aller voir d'urgence !
    " Je suis le Major et j'approuve l'excellent travail de Mr Rupert Sanders".
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 328 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 avril 2017
    Entendons-nous bien. Ceux qui me connaissent le savent mais il me semble utile de le notifier pour tous les autres : je suis un gros fan du « Ghost In The Shell » de Mamoru Oshii. Et histoire de vous permettre de bien évaluer le degré de la chose, je précise d'emblée que dans mon cas, ce film, je le classe facilement parmi les dix films qui m’ont le plus marqué dans toute ma vie de cinéphile, si ce n'est parmi les cinq premiers. Donc oui – forcément – le regard que je porte sur cette mouture 2017 est un regard de fan très susceptible ; le regard d’un spectateur potentiellement terrifié du fait qu’on ait osé toucher ainsi à l'une de ses œuvres phares... Mais bon, malgré tout – et je ne pense pas vous mentir ni me mentir à moi-même en vous disant cela – je me suis quand même efforcé d'aller voir cette nouvelle mouture avec une certaine ouverture d'esprit. D'ailleurs sachez-le : aussi paradoxal que cela puisse paraître, je suis loin de considérer que l’œuvre d’Oshii soit irréprochable. Pour moi une approche moins sèche pouvait avoir sa pertinence ; une remise à jour visuelle aussi… Donc voilà, j’y suis allé à fleur de peau certes, mais avec une certaine marge de tolérance quant au résultat final. Je n’attendais pas un copier-coller de l’original. J’acceptais à l’avance les concessions qui seraient sûrement faites aux codes du blockbuster américain de notre époque, tout comme je m’étais préparé à l’idée que la philosophie de l’œuvre originale serait fort probablement diluée dans une démarche plus clinquante et action-movie… Et comme quoi la surprise aurait pu être possible puisque ce film a d'abord commencé par me séduire. Pour le coup l'intro a vraiment bien fonctionné sur moi. Certes il y avait parfois ce côté tape-à-l’œil que je n’aime pas dans les scènes de CGI d’aujourd’hui, mais globalement, il y avait quand même un réel savoir-faire et une vraie ambiance qui est posée. Et puis quand j’ai vu le casting qui défilait pendant cette introduction là – entre Takeshi Kitano, Pilou « Borgen / GOT » Albaek, Michael Pitt, Juliette Binoche et Clint Mansell à la musique – je me suis dit qu’il y avait quand même du bien joli monde ! ...Enfin... Du bien joli monde certes, mais malheureusement pas aux postes les plus indispensables ! Excusez-moi de ce qui pourrait apparaitre comme du mépris à l'égard de Rupert Sanders mais, pour commencer, « Ghost In The Shell » méritait bien mieux que le réalisateur de « Blanche-Neige et le chasseur ». Pareil, quand il y a plus de deux noms dans la case « scénaristes » c’est rarement bon signe… Et puis bon, enfin, à côté de tout ça, eh bah j'avoue que j'aurais aussi beaucoup à redire sur le premier rôle. Bah oui : Scarlett quoi… Alors que la petite intro m’avait bien mis dedans – BAM ! – la tronche de Scarlett m’en a tout de suite ressorti. Et je suis désolé de le dire, mais cette actrice elle ne colle clairement pas au rôle. Mais alors vraiment pas du tout... Qu'elle soit blanche, personnellement moi je m'en moque. Mais par contre son jeu – notamment son jeu de visage – m'est apparu bien trop grossier. Et puis maintenant, grâce à Luc Besson, voilà que je ne peux plus m’empêcher d’associer cette actrice à Lucy, le personnage le moins crédible du monde… Le pire, c’est que lorsque j’ai vu le film se dérouler, j’ai vraiment eu l’impression qu’au fond, ce « Ghost In The Shell » new-look, avait peut-être cet objectif dès le départ : marcher sur les traces de « Lucy ». Parce qu'au fond, dans tout ce métrage là, l'univers « Ghost In The Shell », il fait juste déco et rien de plus. Et encore, quand je parle de l’univers de « Ghost In The Shell » dans ce film, je devrais plutôt dire « quelques noms de personnages et quelques éléments d'intrigue » parce que, pour le coup, difficile de reconnaître l'univers original. Cette ville flashy, clinquante, overdosée de CGI immondes, ça fait bien plus Besson des mauvais jours plutôt que du véritable « Ghost In The Shell » ! Pareil, quand je constate que le film se contente de dérouler une banale intrigue d’affranchissement / vengeance / quête du moi intérieur comme simple justificatif à une flopée de scènes de flingues ultra-nerveuses ou de prouesses CGI qui dégoulinent de partout, là aussi je me dis que c’est bien plus le trip d’un « Lucy » que d’un Oshii… Alors après – encore une fois – je n’interdis pas à un auteur de s’approprier l’œuvre pour en faire quelque-chose de nouveau. Seulement là, je trouve qu’on n'est clairement pas dans de l’œuvre d’auteur. Ce film, c’est juste un cahier des charges stéréotypé typique de tous les films d’actions-CGI du moment. Certes, il y a bien quelques trucs sympas comme spoiler: les yeux bioniques de Bateau, la scène de combat dans l’eau en combinaison thermo-optique ; les décors parfois minimalistes et minéraux de la vieille cité…
    Mais bon, quand on prend bien le temps d’y réfléchir, tous ces détails sympas du film sont en fait tous issus du « Ghost In The Shell » original. D’ailleurs, sur ce point, c’est assez surprenant que ce film ait parfois pris le parti de reprendre presque plan par plan certaines scènes cultes du dessin-animé. Alors certes, c'est chouette parce que tout de suite ça rend la réalisation beaucoup plus pausée et l'atmosphère beaucoup plus prégnante, mais d'un autre côté ça jure totalement avec le genre général du reste du film et - surtout - ça créé un effet de comparaison entre les deux œuvres qui ne se fait vraiment pas en faveur de cette version 2017... Enfin bref, au final que m’est-il resté de tout ça ? Eh bah pas grand-chose justement… J’ai trouvé ça hideusement clinquant ; j’ai trouvé ça bruyant ; j’ai trouvé ça abrutissant ; j’ai trouvé ça stéréotypé ; j’ai trouvé ça creux… Bref, j’ai trouvé ça vain… Et au fond, ce qui me dérange le plus dans ce film, c’est le simple fait qu’on ait osé appeler ça « Ghost In The Shell ». Franchement à part quelques visuels (les seules choses intéressantes du film d’ailleurs), il n’y a rien de « Ghost In The Shell » là-dedans. A l'origine, « Ghost In The Shell » c’était un film sec, très épuré, aussi bien dans les décors, les personnages, les scènes d’action ou de dialogues. « Ghost In The Shell » c’était un film au propos bien costaud qu’il fallait d’ailleurs savoir retrouver au milieu d’une intrigue bien complexe. « Ghost In The Shell » c’était une philosophie ; c’était un regard sur l’humain, c’était un étourdissement… Qu’est-il resté de tout ça dans ce film de 2017 ? Des CGI dégueus dans tous les coins ? De nouveaux personnages caricaturaux au possible ? (Non mais Cutter quoi ! J’avais l’impression de revoir le général dans « Final Fantasy : The Spirit Within » ! C’est dire ! ) Et une philosophie qui se retrouve réduite à quelques punchlines tout droit sortis de fortune-cookies ? Non mais… Non mais franchement non là les gars… Au-delà des opportunités de se faire de l’argent, il y a quand même aussi le respect des œuvres ; les respects des noms ; le respect des gens… Alors après – c’est vrai – je n’ai pas l’impression qu’on m’ait forcément sorti le pire des blockbusters, mais j’ai quand même l’impression d’avoir été traité avec aussi peu d’égard qu’on peut le faire actuellement vis-à-vis d’un mangeur de comics… Et dire qu’après avoir vu ce film, certains néophytes se diront : « En fait c’est que ça Ghost In The Shell ? » Eh bah juste pour ça, c’est quand même triste moi je dis…
    kal-el 02
    kal-el 02

    114 abonnés 843 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2017
    L'une des series de mangas la plus marquante, l'univers de "Ghost in the Shell" fascine. Pas étonnant qu'une version Live soit réalisée regroupant les deux films et la série autour du personnage de Major. Le scénario est bien construit et reprend bien les éléments du manga. Le personnage de Major est bien exploité. L'ambiance visuelle correspond à ce qu'on a pu voir dans le manga, un esprit futuriste tel qu'il fut imaginé, en grande partie, dans les années 90.les décors du Japon futur et impressionnante, La réalisation est très maitrisée et nous emmène bien dans l'histoire. Scarlett Johansson, habituée des films d'actions et de super-héros est époustouflante et endosse très bien le personnage de Major. La présence de Juliette Binoche surprend, un peu comme dans Godzilla, mais c'est avec plaisir qu'elle voit dans ce genre de film. C'est donc une très bonne exploitation de l'univers du célèbre manga, très attendue, et qui annonce l'arrivée d'autres films inspirés des mangas japonais
    Josh the Husky
    Josh the Husky

    5 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2017
    C'est un film d'action et de science fiction honorable et de bonne facture. Effets spéciaux propres, quelques belles images. La BO est un peu décevante car... on ne l'entend pas ! Alors que la musique était si présente dans le film d'animation original. Cela reste somme toute de la science fiction édulcorée et sans innovation, qui laissera les fans sur leur faim.
    HarleyQuinn52
    HarleyQuinn52

    25 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 août 2017
    Pour les non initiés comme moi aux mangas et à cet univers c' est un peu compliqué à rentrer dans l' histoire. Ce film comporte beaucoup d' erreurs. La plus grosse étant le casting ! Pourquoi diable avoir pris une actrice blanche pour incarner le personnage principal ? J'aurais plutôt pris quelqu'un de type asiatique ça aurait été sûrement plus cohérent déjà. Bon ceci étant dit, il y a également un gros problème niveau bande sonore. Aucune musique n' est appropriée c' est affolant. De plus le film fait fouillis, c'est énervant. On a la désagréable sensation que c'est un gros blockbuster sans scénario. Un film pour les pigeons... À fuir.
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