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Votre avis sur Arnaud fait son 2ème film ?
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A 45 ans Arnaud veut avoir un enfant avec Chloé et tourner son deuxième film mais il est bloqué. Je ne savais même pas qu'il en avait fait un premier. Après avoir quitté Chloé il retourne enseigner le théâtre ce qui est beaucoup mieux pour lui et pour le spectateur qui regarde ce film ennuyeux...
Une autofiction tendre et touchante et un poil maladroite, bon voilà...ça ne fait pas mouche a tous les coups mais la bienveillance du personnage a quelque chose de contagieux ... J'ai bien aimé toutes les scènes avec ses élèves...
Petit film sympathique sans plus, qui vaut surtout pour les scènes du cours Florent. Arnaud Viard avec son faux air de François Truffaut apporte une touche à la fois désuète et drôle. Irène Jacob n'est pas s'en rappeler Fanny Ardant bien que son rôle ne soit pas très intéressant. Quelques moments d' émotion avec le personnage de la mère ne versent pas trop dans le mélo et arrivent à trancher avec le ton du film plutôt léger dans l'ensemble.
Pas grand-monde à part moi ne doit se souvenir du joli Clara et moi réalisé par Arnaud Viard en 2004. Je me désespérais un peu de ne plus avoir de ses nouvelles en dehors d'une mini sitcom comme Un gars, une fille en a inspiré à la pelle : Que du bonheur diffusée sur TF1 en 2008 avant le journal télévisé. D'ailleurs, Arnaud Viard se moquera souvent de cette parenthèse télévisuelle en remarquant qu'on le reconnaît dans la rue avant tout pour son rôle de Jean-Jacques dans la série. D'humour, il en sera souvent question pour montrer la difficulté pour un auteur de pouvoir trouver de l'argent aujourd'hui pour faire un film. Baffie l'avait déjà fait en son temps avec Les Clefs de bagnole. Viard accentue le côté autobiographique en parlant de son activité de prof de théâtre (pour l'argent avant tout, il a le mérite d'être honnête), des relations compliquées avec ses sœurs, de la difficulté avec sa compagne d'avoir un enfant. On pourrait lui faire remarquer qu'il n'est pas seul à galérer. Jacques Doillon, Bertrand Blier, Costa-Gavras ont énormément de mal à monter leurs films et tournent beaucoup moins depuis les années 2000. Son enthousiasme presque enfantin est néanmoins communicatif et on en apprend beaucoup sur le métier de comédien que je serai bien incapable de faire. Que ce soit pour apprendre des tartines de texte ou pour se mettre à nu devant un public. Un métier qu'il égratigne (certains le font simplement pour la célébrité voire se servent de lui comme d'un tremplin pour des projets plus intéressants) et pour lequel il déclare aussi son amour. Car il me semble qu'il est impossible de le faire, avec toutes les rencontres qu'on fait, si on n'aime pas les gens. Comme chaque profession, elle a juste ses bons et ses mauvais côtés. Et au moins, son film, il peut en être fier car il existe même produit avec trois bouts de ficelle. Comme quoi, la ténacité paie. Même s'il y a aussi une bonne dose de chance et de relations à avoir. C'est bien pour lui. D'autres réalisateurs de (mauvaises) comédies arrivent sans problème à se faire financer. Il faut qu'il y ait de la place pour tout le monde.
Arnaud fait son deuxième film bon ok, je n'ai pas vu le premier mais ce titre m'intrigue.
Alors, je le regarde sans rien attendre vraiment de tout cela et puis je reste scotchée,en gros nous somme spectateurs d'un moment de sa vie, de ses doutes,de ce qu'il a envie.
C'est pas spécialement intéressant mais c'est frais, c'est touchant, on esquisse un sourire parfois c'est pas mal, un petit film français sans pretention mais qui à la fin du visionnage nous laisse une impression sympathique.
Alors, je le regarde sans rien attendre vraiment de tout cela et puis je reste scotchée,en gros nous somme spectateurs d'un moment de sa vie, de ses doutes,de ce qu'il a envie.
C'est pas spécialement intéressant mais c'est frais, c'est touchant, on esquisse un sourire parfois c'est pas mal, un petit film français sans pretention mais qui à la fin du visionnage nous laisse une impression sympathique.
On commence le film sans grandes attentes. Un film autocentré sur la vie Arnaud Viard me paraissait assez pompeux, et pourtant on se laisse prendre au jeu. Les dialogues sont subtiles. Les musiques très belles. L'histoire se montre drole et touchante à la fois. Arnaud Viard nous libre un film léger, subtile et finalement très beau.
Un navet consternant par sa collection de platitudes et de bons sentiments, mal filmé, mal écrit, mal joué, mal monté, très cours Florent dans le mauvais sens du terme. A fuir !
Cinéphiles 44
Après Clara et moi, Arnaud Viard, réalise pour de vrai son second film. Avec un budget minimal, le cinéaste s’essai à une comédie à l’instinct, comme s’il était effectivement en train de réfléchir puis réaliser son deuxième film en notre compagnie. Le long-métrage pressent donc l’autobiographie. Mais sans narcissisme, l’histoire est éclatante de vitalité. La mise en scène spontanée à la sauce française séduit. Des rythmes sont inégaux, des constructions de séquences tombent parfois à l’eau, mais c’est justement cette déstructuration qui fait le charme d’Arnaud fait son 2ème film.
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Des scènes assez drôles (avec Frédéric Bel), des envolées poétiques mais que ca se regarde le nombril... Ça intéresse qui ??
L'autofiction, ni pour ni contre, bien au contraire... Le nombrilisme est pardonnable tant qu'il est supportable, intéressant et sait rester modeste. C'est globalement le cas ici. S'il ne transcende rien et qu'il aurait pu s'abstenir d'une certaine vulgarité dans les dialogues qui n'apporte rien, le 2e film d'Arnaud est somme toute honorable, et rappelle même, dans ses meilleurs moments, Woody Allen (ce qui n'est pas un mince compliment venant de ma part !)
Arnaud a fait son deuxième film… C’est bien pour lui ! Un nouveau souffle lui a permis de réaliser un nouveau film à petit budget. Les petites tribulations d’Arnaud entre visites chez le psy et mises en scène au Cours Florent manquent singulièrement de consistance. Irène Jacob en faire-valoir ne parvient pas à donner un peu de goût à l’épopée de ce réalisateur méconnu. Notre névrosé au large sourire, tel un étendard, empli d’humanité, déambule dans la vie, zappant entre impudeur et bienveillance, entre chagrins et moments de grâce. L’atmosphère bobo bleutée emprunte de souffrance, de gentillesse et de légèreté hausse le niveau sans atteindre le but escompté : la satisfaction d’avoir vu un bon film !
Le titre n'est pas bien choisi je trouve, car Arnaud qui fait son deuxième film on s'en fiche un peu... Arnaud on ne connait pas et de son métier et de son désarrois à faire son film on s'en contre fout, et pourtant... Et pourtant ce film est du genre qui fait du bien car Arnaud Viard est un bon réalisateur, très bon même. Il aurait mis Jean Dujardin à sa place ce film aurait été un carton car il est drôle, frais, juste, et il est "enveloppé" dans le sens où il est tenu de bout en bout, tenu et chaleureux. Même s'il a couté trois cacahuètes il tient chaud et on est avec lui est ses proches pendant une heure quinze et on n'est pas lâché, et c'est en cela que c'est un très bon réalisateur. Rares sont les bons films français actuellement et s'il est passé inaperçu c'est peut etre par manque d'un casting (même si le réalisateur producteur comédien scénariste... ouf! est bon), il aurait fallu peut être un autre acteur plus connu pour le faire décoller car il méritait bien ses centaines de milliers d'entrées. Bravo Arnaud Viard qui visiblement a tout fait et bien fait.
Un film forcément nombriliste mais l’enthousiasme du réalisateur/acteur est communicatif.
defleppard
Des dialogues subtiles, une réalisation intéressante. On passe un bon moment, je conseille. 3 étoiles.
C'est l'histoire d'un intermittent du spectacle, avec des hauts et des bas (émotionnels, professionnels - surtout - fiscaux...), qui met 1 h 20 à couper le cordon (dans tous les sens du terme). Thème vu et revu du type qui fait un film sur un type (lui, par économie) qui veut faire un film - son 2e. Dans la douleur, plus que dans la joie. Du vécu, de l'autobiographique. Quelques passages bien troussés, mais un ensemble sans surprises de narration, et/ou de mise en scène. Dispensable.
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