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Votre avis sur Whiplash ?
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Le sergent de Full Métal Jacket est devenu mélomane et donne maintenant des cours de jazz dans un conservatoire.
Même méthodes de harcèlement psychologique, même idée sous-jacente que pour tirer le meilleur d'un élève il faut le pousser dans ses derniers retranchements pour voir ce qu'il a au fond de l'estomac.
Il serait facile de faire une dissertation sur le sujet avec thèse/antithèse et cette violence verbale reposant sur l'humiliation détournera inévitablement un certain nombre de spectateurs.
Au delà de cette absence de morale, le jeu sans fausse note des deux acteurs JK Simmons (Terence Fletcher) et Miles Teller (Andrew), le caractère de leurs personnages et tout cet univers musical m'ont accroché à une histoire pourtant très simple qui peut se résumer à un "je te prends parce que tu es talentueux puis je te vire parce que tu n'es plus le meilleur puis je te reprends parce que..."
Captivant même pour celui qui n'est pas amateur de jazz, magistralement interprété (JK Simmons m'a scotché au tabouret de mon air-batterie) et une réalisation réglée comme une partition de musique.
Même méthodes de harcèlement psychologique, même idée sous-jacente que pour tirer le meilleur d'un élève il faut le pousser dans ses derniers retranchements pour voir ce qu'il a au fond de l'estomac.
Il serait facile de faire une dissertation sur le sujet avec thèse/antithèse et cette violence verbale reposant sur l'humiliation détournera inévitablement un certain nombre de spectateurs.
Au delà de cette absence de morale, le jeu sans fausse note des deux acteurs JK Simmons (Terence Fletcher) et Miles Teller (Andrew), le caractère de leurs personnages et tout cet univers musical m'ont accroché à une histoire pourtant très simple qui peut se résumer à un "je te prends parce que tu es talentueux puis je te vire parce que tu n'es plus le meilleur puis je te reprends parce que..."
Captivant même pour celui qui n'est pas amateur de jazz, magistralement interprété (JK Simmons m'a scotché au tabouret de mon air-batterie) et une réalisation réglée comme une partition de musique.
La force du film, surtout, est d'épouser cette furia malade sans jamais nier sa dimension fasciste, bien au contraire : tout comme le batteur lutte avec la technique pour débusquer le sublime, le film dépense son énergie à extirper la beauté logée dans la rigueur extrême.
Whiplash est un film qui joue avec vos émotions comme des notes de musique. Nous sommes contraints à suivre la vie rythmée et mouvementée d’un jeune batteur inscrit à l’école de New York Schaffer Conservatory et qui rêve de faire partie du meilleur orchestre de jazz. Nous suivons le protagoniste dans son évolution à travers un scénario solide avec quelques rebondissements et un montage facile à comprendre. Nous ressentons également ce que les personnages ressentent de manière authentique et brutale grâce au choix techniques, cinématographiques du réalisateur et au jeu excellent des acteurs. Nous observons les conséquences directes et indirectes du conflit entre personne. C’est un film saisissant et intéressant qui a le mérite de méditer autant sur le travail que sur la relation sociale avec une fin musicalement réjouissante.
Artriste
Avec Whiplash, Damien Chazelle nous offre un drame musical encensé par la critique, un peu trop à mon goût. L'histoire de cet étudiant qui apprend la musique dans la plus prestigieuse école du pays rempli de grandes ambitions qui rencontre un professeur tyrannique est un poil répétitive et n'arrive jamais vraiment à décoller hormis dans sa toute dernière partie. Tout le film repose sur la relation entre Andrew l'étudiant et Terence le professeur. Le premier interprété par Miles Teller manque de profondeur et j'ai trouvé l'acteur très talentueux pour jouer d'un instrument mais beaucoup moins doué pour transmettre de l'émotion même si l'on souffre autant que lui lors de ses répétitions mais je pense avoir plus souffert que lui de la répétitivité des scènes. Le second à savoir le professeur interprété par J.K. Simmons est énormément plus intéressant. L'acteur joue à merveille son rôle de mentor aux méthodes très particulières étant extrêmement autoritaire, violent dans ses propos souvent insultants et dans ses gestes. Il est intransigeant, faisant répéter inlassablement ses élèves et en leur mettant constamment la pression en faisant jouer la concurrence. Malgré cela son personnage est plus touchant que celui d'Andrew car au fond ce n'est pas quelqu'un de mauvais mais un perfectionniste un peu trop névrosé. Car au delà de la passion nous sommes dans l'obsession et le travail ne laisse pas de place au plaisir. Les dialogues sonnent juste mais j'ai un peu été déçu par la b.o. En effet on ne profite pas vraiment des chansons car on en entend presque toujours que des petits extraits et plus globalement je n'ai pas été transporté par cette ambiance jazzy même si c'est fascinant de voir quelqu'un jouer de la musique. Pour ce qui est de la réalisation, elle se veut somme toute assez classique. Elle fait le travail mais elle manque d'identité et d'envergure. Reste vingt dernières minutes plus réussi que le reste même si la fin brutale m'a un peu laissé sur ma faim. Au final, Whiplash donne lieu à une confrontation ou un seul combattant est monté sur le ring et même si c'est un bon film ce n'est clairement pas un indispensable et l'on retiendra ici surtout la performance de J.K. Simmons.
Alors comme je ne suis pas forcément le meilleur oubli pour ce genre, il est très compliqué pour moi d apprécier ce genre de film positivement à la base. Ce n est pas ce film qui m a convaincu du contraire, je l ai trouvé très ennuyeux, je n ai pas du tout accroché aux acteurs, je ne les ai pas trouvé crédibles, est ce l effet de le voir en VF ? Je suis passé à côté du chef d œuvre que les critiques ont identifié manifestement...
Entrainant !! C'est le mot que j'utiliserai pour décrire la façon dont Andrew Neiman nous emmène au coeur du jazz band !!
Etant grand fan et clarinettiste de jazz, j'étais obligé d'aimer ce film !! De plus les acteurs principaux y sont vraiment incroyaux mais à un niveau astronomique et en particulier J.K. Simmons qui nous livre içi une prestation folle et qui nous fait détester son personnage !!
De plus le rythme (autant du Caravan que du film) est parfaitement bien maitrisé et suis un peu la structure de certains grands classiques du Jazz !! Ce point donne un énorme point fort au film car il se regarde vraiment sans aucun problème !
En outre, le fait qu'on soit toujours avec le personnage joué par Milles Teller nous permet de plus nous identifier à lui et de comprendre la frustration montante et l'envie passionnelle et totalement irrationnelle tellement commune au monde de la musique !!
Enfin bref, si vous voulez voir un film grandiose et que vous aimez le jazz, je vous le conseille !!
Etant grand fan et clarinettiste de jazz, j'étais obligé d'aimer ce film !! De plus les acteurs principaux y sont vraiment incroyaux mais à un niveau astronomique et en particulier J.K. Simmons qui nous livre içi une prestation folle et qui nous fait détester son personnage !!
De plus le rythme (autant du Caravan que du film) est parfaitement bien maitrisé et suis un peu la structure de certains grands classiques du Jazz !! Ce point donne un énorme point fort au film car il se regarde vraiment sans aucun problème !
En outre, le fait qu'on soit toujours avec le personnage joué par Milles Teller nous permet de plus nous identifier à lui et de comprendre la frustration montante et l'envie passionnelle et totalement irrationnelle tellement commune au monde de la musique !!
Enfin bref, si vous voulez voir un film grandiose et que vous aimez le jazz, je vous le conseille !!
Le film est incroyable. JK. Simmons joue tellement bien que ca en fait peur, et Miles Teller sait nous accrocher dans son histoire. Une claque autant dans le scénario que dans la réalisation On en ressort bouleversé.
Pour son premier film, Damien Chapelle met en scène un face à face psychologique d’une intensité folle entre un jeune batteur prometteur et son prof tyrannique. Un thriller musical mené tambour battant d'une virtuosité incroyable, porté par l’excellente confrontation entre un J.K Simmons habité et Miles Tellers convaincant.
C’est tout simplement un de mes films préférés, j’ai été en dépression et ce film a éveillé ma productivité , les répliques et la motivation des personnages m’ont énormément aidé à me reprendre en main. Je le recommande
Film plébiscité par la critique, Whipash est effectivement un très grand film. Réalisé par le tout jeune Damien Chazelle (même pas 30 ans à sa sortie!), on nous plonge dans le parcours d'un batteur (Andrew 19ans) au sein d'un conservatoire prestigieux. Superbement tourné avec des plans caméras et un montage exceptionnels, un duo d'acteurs principaux brillants. Le film a un scénario assez simple mais installe une tension qui monte crescendo jusqu'à la scène finale à couper le souffle et son solo de batterie impressionnant. Le film évite d'ailleurs le happy-end, et son conclu au bon moment et de la meilleure des manières.On est presque aussi lessive qu'Andrew ! Si les amateurs de jazz seront évidemment comblés, Whiplash est accessible à tous (je ne connaissais rien au jazz et au conservatoire). Un film déjà culte qui a eu un impact la manière de faire du cinéma et de filmer ! Immanquable !
Un film sur la musique: Inhabituel, improbable. Un milieu que l'on imagine feutré.
Un film d'une tension extrême. Déroutant.
La musique, le jazz, se révèle être à la fois être le centre gravitationnel du scenario et le sel sonore du film.
Visages, lumière, champs/contre champs. Les plans sur les instruments, le jeu des musiciens. La réalisation, la photo et les acteurs sont impeccables. Très belle distribution. spoiler: (J.K. Simmons, effrayant!)
Et cette tension, intacte du début à la fin. Tout se bouscule: le beau, la haine, le sacrifice, le renoncement, l'absolu, le dépit, la trahison, les insultes... la peur!
La trame est fine mais extrêmement dense, rythmée par cette batterie irradiante et contrariée.
Tout l'esprit tortueux et torturé du jazz est dans ce film.
Le spectateur, lui, est circonspect, à sa place: dans l'obscurité.
Un film d'une tension extrême. Déroutant.
La musique, le jazz, se révèle être à la fois être le centre gravitationnel du scenario et le sel sonore du film.
Visages, lumière, champs/contre champs. Les plans sur les instruments, le jeu des musiciens. La réalisation, la photo et les acteurs sont impeccables. Très belle distribution. spoiler: (J.K. Simmons, effrayant!)
Et cette tension, intacte du début à la fin. Tout se bouscule: le beau, la haine, le sacrifice, le renoncement, l'absolu, le dépit, la trahison, les insultes... la peur!
La trame est fine mais extrêmement dense, rythmée par cette batterie irradiante et contrariée.
Tout l'esprit tortueux et torturé du jazz est dans ce film.
Le spectateur, lui, est circonspect, à sa place: dans l'obscurité.
L’histoire s’ouvre sur un jeune homme à la batterie qui s’entraîne, ensuite un homme entre et c’est le commencement. Ce film est excellent, un film de musique comme on en a jamais, avec une fin qui donne des frissons, je dirais même à couper le souffle. Un film très bien tourné avec des plans caméras magnifiques. Si vous aimez la musique et le jazz, ce film est fait pour vous,
Contrairement aux critiques à zéro étoiles, je trouve que ce film dénonce justement le comportement du professeur. Il ne faut pas oublier l'histoire de l'élève Seans je crois, spoiler: l'accident de Andrew en est un rappel en quelque sorte.
Il dénonce en nous faisant haïr le personnage du professeur. Ce qu'il faut retenir ce n'est pas que c'est grâce au professeur mais que c'est la ténacité du personnage principal qui lui amène la réussite.
Il dénonce en nous faisant haïr le personnage du professeur. Ce qu'il faut retenir ce n'est pas que c'est grâce au professeur mais que c'est la ténacité du personnage principal qui lui amène la réussite.
Sylvain P
Véhiculant des valeurs puantes et réactionnaires, Whiplash est le portrait d'un combat de coqs entre deux mâles alpha ignobles. Bref, ce film complaisant avec les insultes homophobes, racistes, antisémites et sexistes, aurait dû signer l'arrêt de la carrière cinématographique de Damien Chazelle, d'autant qu'il n'est qu'une succession de saynètes répétitives sur le thème "Je t'aime moi non plus" assez barbantes. Qu'en retenir donc? Pas grand chose... un peu de jazz, un montage plutôt énergique pour un scénario pourtant inconsistant, mais surtout qu'après trois désastres, il faut oublier Chazelle.
Film très bien réalisé, on ne sait pas trop où on va être mené.
Bonne performance d'acteur surtout Simmons qui rappelle aisément le sergent de Full Metal Jacket.
Je suis un peu déçu du final et j'ai du mal à cerner l'intérêt de plusieurs scènes de l'oeuvre.
Bonne performance d'acteur surtout Simmons qui rappelle aisément le sergent de Full Metal Jacket.
Je suis un peu déçu du final et j'ai du mal à cerner l'intérêt de plusieurs scènes de l'oeuvre.
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