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    Bodybuilder
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    3,3
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    benoitG80
    benoitG80

    3 408 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2014
    "Bodybuilder" se concentre avec force et justesse sur les retrouvailles entre un fils plongé dans de sales draps et un père lui, plongé dans un autre monde, celui du bodybuilding !
    Cette rencontre va devenir l'enjeu essentiel du film en reposant sur l'observation fine, précise de ces deux personnages étrangers l'un à l'autre que tout oppose et que tout réunit à la fois !
    Autant l'un semble faible, voleur, menteur, dissimulateur, autant l'autre a un mental et un corps d'acier, une volonté et une détermination sans failles ou presque...
    Mais sous ces apparences, tout n'est pas aussi évident et tranché !
    Chacun cache une part de soi qui va se révéler à l'autre, au contact et au rapprochement de ces deux êtres.
    On est donc complètement pris par cette relation père/fils et à son évolution qui comme fonctionne le système des vases communicants, chacun va en effet prendre et apprendre de l'autre !
    Ce père qui s'est reconstruit une vie à travers son physique et sa passion, a en effet laissé de côté son rôle de parent pour lequel il n'était pas fait en démissionnant complètement étant jeune ! Comme si cette reconstruction pourtant bien égoïste sur le fond, à l'image de ce monde si particulier, lui donnait toute la légitimité et la force qu'il n'avait pas à l'époque, pour maintenant pouvoir reprendre en main son fils...
    Tandis qu'Antoine, lui de son côté, balance entre amusement et admiration face à ce besoin presque puéril de de s'admirer, de se montrer, de s'exhiber, tout en apprenant à connaître et à comprendre cet homme si différent de lui.
    Pour mener à bien cette étude psychologique très fouillée, les deux comédiens font ensemble un travail sacrément puissant et d'une grande justesse, tant dans leur regard si expressif où les yeux parlent plus que les mots, que dans les expressions et les postures du corps et cest ainsi, que le moindre dialogue, la moindre remarque sont d'une intensité remarquable !
    Les quatre vérités que chacun des deux se crachera à la figure, résonnent ainsi avec éclat et beaucoup de vérité...
    On ne s'étonne pas du talent de Vincent Rottiers, fascinant et toujours à l'aise dans ce genre de composition mais on reste également ébahi face aux qualités d'interprétation de ce colosse qu'est Yolin François Gauvin !
    Quant aux seconds rôles, on ne peut que saluer l'apport et la crédibilité de chacun afin de donner un équilibre et une dimension forte à ce film, avec une mention toute particulière à Marina Foïs, très douce et humaine dans ce monde du spectacle du muscle.
    Un beau film intelligent et prenant que nous offre là, Roschdy Zem qui est paradoxalement d'une infinie délicatesse quand on songe aux images véhiculées tout au long de cette histoire de gros bras...
    La fin surprenante et pleine d'humour en est d'ailleurs une excellente illustration !
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 639 abonnés 12 391 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 octobre 2016
    « Le body, c'est no limit ! Si tu n'as pas compris ça, tu n'as rien compris ! »...dixit Yolin François Gauvin! Ce sport à outrance, c'est un peu ça ici! Avec Roschdy Zem, on entre dans un monde à part, avec des gros bestiaux et des gros biscotos! Le film doit essentiellement à la prestation convaincante de Yolin François Gauvin, acteur dèbutant qui incarne un père champion de culturisme face à son fils dèlinquant que joue Vincent Rottiers! Leurs relations et leurs affrontements sont mis à rude èpreuve tout au long de cette peinture sociale! On comprend grâce à "Bodybuilder" que le culturiste recherche en permanence l'èquilibre et l'harmonie musculaires, avec beaucoup d'entraînement et de souffrance! Le modèle de la discipline ? Arnold Schwarzenegger bien sûr, l'ex Monsieur Univers, avec quelques extraits du culte "Pumping Iron". Certes, l'ensemble est parfois convenu mais l'acteur-rèalisateur de "Mauvaise foi" redonne à ce sport fascinant et finalement peu connu ses lettres de noblesse! Satisfaisant et de quoi passer un bon moment avec pas mal d'humour spoiler: (Adel Bencherif qui se la joue boss du quartier)
    même si Rottiers commence à jouer un peu la même chose...
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    323 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2014
    Je reproche souvent qu’en France, on se contente souvent de faire toujours la même chose au cinéma : soyons franc, à part des comédies ou des drames, on n’a pas beaucoup de choix. Et je ne cache pas que le drame, le social, le pathos larmoyant…tout ça me gave réellement. Cependant, il faut parfois admettre que quand c’est bien fait, on peut prendre plaisir à regarder un drame ou un film social. Et c’est justement ce que réussit le nouveau film de Roschdy Zem, "Bodybuilder". Oui car, si cette histoire d’un jeune ado paumé qui est poursuivit par tous ceux à qui il doit du pognon et qui part vivre chez son père qu’il n’a pas vu depuis plusieurs années peut paraître aux premiers abords assez cliché et déjà vu, Zem nous la livre avec beaucoup de maîtrise et de réalisme en l’insérant dans un milieu peu commun qu’il dépeint avec respect sans jamais tomber dans la caricature ou le documentaire. Cela nous permet de nous y immerger facilement, d’autant plus qu’on s’attache immédiatement aux personnages : ces derniers sont tous consistants et impeccablement interprétés par un casting cinq étoiles (Vincent Rottiers épatant, Marina Foïs émouvante, Nicolas Duvauchelle attachant et Roschdy Zem poignant) au sein duquel émerge une révélation en la personne de Yolin François Gauvin, véritable ex bodybuiler (qui a été 3 fois champion de France, 3 fois vice-champion du monde et 1 fois champion du monde, excusez du peu !!), qui nous livre une belle performance pour son tout premier rôle : imposant, charismatique, touchant et rempli de pudeur, il crève tout simplement l’écran. J’ai hâte de le voir dans son prochain rôle ! "Bodybuilder" est une très bonne surprise et prouve qu’on est encore capable de faire de bons films en France et ce, même si c’est dans un genre commun avec une trame archiclassique. Sans jamais tomber dans un voyeurisme malsain ou dans la mièvrerie écœurante, on est transporté dans l’univers quotidien d’un monde qui nous est inconnu mais qui nous donne grandement envie de le découvrir grâce à une sincérité des plus généreuses. Bravo Roschdy : ton troisième film est une vraie réussite !
    ffred
    ffred

    1 690 abonnés 4 014 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2014
    Après Mauvaise foi et Omar m'a tuer, voici le troisième film derrière la caméra de Roschdy Zem. Sorti un peu en catimini, ce drame familial ne manque pourtant pas de qualité. Même s'il peut paraitre assez classique, aussi bien sur la forme que sur le fond. Tous les ressorts attendus des retrouvailles père/fils, tous les passages obligés sont là. Mais c'est bien écrit et bien mis en scène. Une ambiance tendue dans le milieu particulier du culturisme. Cela commence pourtant en douceur, mais on s’attache assez vite aux personnages et le tout prend rapidement de l'ampleur et de l’intérêt. L'interprétation est solide. Vincent Rottiers, acteur bizarrement peu connu du grand public, est parfait. Dans le rôle du père, un vrai champion de bodybulding Yolin François Gauvin dont c'est la première apparition au cinéma. On sent que ce n'est pas un acteur mais il colle parfaitement au rôle et est, du coup, très convaincant. Une très belle présence. Autour d'eux, Nicolas Duvauchelle, Marina Fois, Dominique Reymond et Roschdy Zem lui-même qui a parfaitement dirigé tout ce petit monde. Au final, un beau film, touchant et attachant, empli d'une belle émotion. Pour moi, le meilleur de son metteur en scène à ce jour.
    tony-76
    tony-76

    1 069 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2015
    Bodybuilder est la troisième réalisation de Roschdy Zem. Une comédie dramatique qui reflète l'univers des culturistes tout en évitant les clichés. Ce film français ne tombe jamais dans la moquerie, parodie ou dans le documentaire. Le réalisateur a su travailler avec une certaine finesse la relation entre les personnages principaux. On trouve un casting vraiment attachant et très plaisant. Vincent Rottiers et le culturiste Yolin François Gauvin sont révélateurs. Des performances imposants et surtout vrais. Et, les seconds rôles sont aussi bien développés. Marina Fois est ravissante, Nicolas Duvauchelle est assez convaincant. Egalement, plusieurs apparitions du réalisateur à savoir Roschdy Zem. Le jeu d'acteurs est très satisfaisant. Une atmosphère noire comme on envoie peu dans le cinéma français. Quelques brins d'humour noir et de références cinématographiques sont présentes dans la production. Très peu de temps mort, on reste captiver jusqu'au bout de son dénouement. En conclusion, Bodybuilder est un très bon film qui est à la fois touchant et prenant dans l'ensemble. Zem signe là une oeuvre originale, bourrées d'intelligence et de sincérité. Sobre et juste en tout point.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 octobre 2014
    Le réalisateur d’Omar m’a tué revient pour son troisième film. Bodybuilder de Roschdy Zem nous amène à suivre un jeune délinquant se mettant au vert chez son père. Le jeune Vincent Rottiers, révélation de La Marche à la filmographie de plus en plus étoffée et promettante, est au côté du champion du Monde de culturisme François Yolin Gauvin. Ce dernier à remplacer au pied levé Antoine de Caunes qui a préféré présenter Le Grand Journal de Canal Plus. Incroyable mais vrai, on a probablement gagné au change.

    Antoine (Vincent Rottiers) est un jeune écorché vif qui vit de petite magouille. Malheureusement pour lui, il doit de l’argent à un petit caïd de Lyon surnommé Luigi (Adel Bencherif). Pour lui échapper le temps de récolter l’argent, il va se réfugier chez son père bodybuildeur, Vincent (François Yolin Gauvin), qu’il n’a pas vu depuis cinq ans.

    Bodybuilder nous invite dans un monde méconnu et souvent raillé. Par le biais de retrouvailles entre père et fils, Zem donne de la consistance à un film sur le milieu culturiste. Au milieu des pilules et des sachets protéinés se cacheraient des cœurs comme les nôtres. Étonnamment, le pari d’en parler sérieusement intrigue dans un premier temps puis finis par séduire. Il est vrai que le sujet se prêterait facilement à une comédie franchouillarde moyenne voir-même à une bande-dessiné du style Les blondes. Mais on est ici bien loin de Salut les musclés. En ouverture du film, juste avant le générique, des images d’archives mettent en scène Arnold Schwarzenegger expliquant qu’il n’est pas aller à l’enterrement de son père pour continuer sa préparation. Cette capacité d’abstraction, cette éloge du néant est l’image exact que l’on a du bodybuildeur. François Yolin Gauvin, dont c’est le premier rôle au cinéma, va faire mentir nos convictions. S’il y a dans sa préparation, une forme certaine d’égocentrisme, Vincent s’avérera être plus complexe qu’un simple tas de muscle. Bodybuilder creuse au-delà des apparences. Le fils est un petit malfrat qui s’est pris pour Bernard Madoff. Le père est patron d’une salle de sport en difficulté financière. Le premier se drogue pour pallier la réalité de ces ennuis, le second se drogue pour réaliser sa passion. Leur dépendance est la seule chose qui les rassemble. L’un et l’autre sont empêtrés dans des erreurs qu’ils sont bien maladroit pour rectifier.

    Antoine, dans l’espoir de rembourser ses dettes, vole les clients de son père. Vincent adopte une attitude très froide. L’incompréhension est totale pour le jeune citadin qui ne comprend pas ce culte du corps. Le jeune homme en veut énormément à son père d’avoir délaissé ses enfants. C’est là que l’armure du bodybuildeur se morcelle. Peu à peu, avec une justesse incroyable, François Yolin Gauvin dévoile les blessures d’un père que la vie a éloigné de sa famille. Vincent n’a pas toujours été culturiste, c’est une passion qui a rempli sa vie qui devenait vide de sens après son divorce. Vincent s’est occupé de ses enfants, un week-end sur deux, pendant quelques années. Mais le couple que formait Vincent et son ancienne femme, Murielle (Dominique Reymond) était incapable de maintenir des relation saines. Et comme dans beaucoup de familles recomposés, les enfants pris à partie font des choix qu’on leur intime plus ou moins. Et, se confie Vincent à son fils, les refus répétés d’Antoine, à l’adolescence, de voir son père, on aidait ce dernier à s’en éloigner. C’est cela, aussi, le thème de Bodybuilder, l’érosion des liens filiaux qui parfois se fait jour lorsque les adultes séparés se comporte comme des enfants. Il n’est malgré tout jamais trop tard pour construire des liens hors des bêtes liens du sang. Passer la culpabilisation réciproque d’Antoine et Vincent qui considèrent n’avoir pas remplis leur rôle familial, c’est une relation d’amitié et de confiance qui peut voir le jour. Pour les accompagner dans cette démarche douloureuse mais salvatrice, Léa (Marina Foïs) la nouvelle compagne de Vincent est une présence douce et rassurante.

    Bodybuilder a le mérite de ne pas caricaturer un milieu facilement risible. Roschdy Zem prend le temps de montrer toutes les facettes des compétitions de culturisme : l’abnégation des sportifs, les dangers pour la santé et malgré nos a priori, l’aventure humaine dans laquelle se lance les athlètes, souvent pour la gloire. Bodybuilder est aussi un film poignant sur la difficile reconstruction de liens mis à mal dans des familles elle-même brisées. François Yolin Gauvin, dont la carrière est finie, espère trouver sa place sur les planches. Nous ne doutons pas de son talent dramatique, une vraie surprise et c’est ainsi que nous lui souhaitons de nombreuses propositions pour les années à venir.

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    Critique de Monique Pantel dans Europe 1
    Critique de Monique Pantel dans Europe 1

    76 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 octobre 2014
    Un film très attendu, Bodybuilder. Très attendu mais très nul. Et en plus avec Marina Foïs que j'aime beaucoup d'habitude, qui est bien d'ailleurs, mais elle a rien à faire. Alors Vincent Rottiers joue un petit voyou bête comme ses fesses, poursuivi par des créanciers qu'il veut pas payer. Alors du coup il se retire chez son papa qu'il connaît à peine. Son père est un brave type, et il joue très bien d'ailleurs. C'est un vrai bodybuildé, qui dirige un centre de musculation, et c'est un vrai, un vrai, un vrai, qui s'appelle Yolin François Gauvin. qui joue merveilleusement bien. Heureusement qu'il est là parce que le petit nul joue merveilleusement mal et qu'on a envie de lui taper dessus. Voilà, c'est nul, quoi.
    dominique P.
    dominique P.

    832 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2014
    Très bonne comédie dramatique française toute simple et très juste.
    J'ai passé un très bon moment de détente, c'était très sympa.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 3 octobre 2014
    Film d une garde richesse émotionnelle vraiment à voir . Presque à contre courant. Une vraie classe.
    Caine78
    Caine78

    6 671 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mai 2015
    Drôle de projet, a priori pas franchement attirant. Mais bon, j'ai toujours eu une certaine sympathie pour Roschdy Zem, et le voir à la tête de l'entreprise me rassurait un peu. Alors si vous n'êtes pas familier de ce milieu, il vous sera difficile de vous enthousiasmer, toutefois il faut lui reconnaître quelques vraies qualités à ce « Bodybuilder ». D'abord, cette plongée n'a rien de caricaturale ni superficielle, et même si ces critères de « beauté » font parfois franchement sourire, l'acteur-réalisateur a la bonne idée de ne pas trop en rajouter, rendant celle-ci intéressante sans être idéalisée. De plus, même si l'intrigue principale n'a rien de neuve, elle a le mérite d'éviter les situations trop convenues et le sentimentalisme à outrance, gardant une hauteur de vue salutaire et permettant à l'ensemble de tenir la route. Enfin, Zem a pris le soin de nous offrir quelques personnages de belle qualité, rendant cette relation père-fils plus complexe qu'au premier abord, les prestations de Vincent Rottiers et Yolin François Gauvin, champion de France de culturisme à la ville n'y étant pas étrangères, sans oublier celle de Marina Foïs dans un excellent second rôle. Pas de quoi se rouler par terre donc, mais voilà un film français qui essaye, propose un point de vue et parvient à nous parler d'un univers auquel on aurait jamais imaginé s'intéresser plus de quelques secondes : une bonne surprise.
    cylon86
    cylon86

    2 499 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2014
    Pour sa troisième réalisation, Roschdy Zem nous dévoile l'univers des bodybuilders à travers l'histoire d'un fils qui apprend enfin à connaître son père. Le premier est une petite frappe obligé de fuir Lyon et les mecs à qui il doit de l'argent, le deuxième est un homme sans regrets qui se prépare activement pour un concours de bodybuilding. Les deux hommes vont apprendre à se connaître et surtout à se comprendre malgré leurs différences. Avec "Bodybuilder", Roschdy Zem avait dans la main tous les éléments pour réaliser un énième film sur l'histoire d'un père et d'un fils qui se retrouvent mais le réalisateur évite les clichés et livre un film touchant porté par de solides acteurs. Véritable surprise, Yolin François Gauvin impressionne dans le rôle du père. Pour son premier rôle au cinéma, ce bodybuilder dégage un certain magnétisme qui ajoute énormément au film. Comportant quelques maladresses, le scénario parvient tout de même à opérer de sa magie et le film se pose comme une véritable bonne surprise.
    Craoux
    Craoux

    29 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 février 2015
    J'apprécie Roschdy Zem, en tant qu'acteur ou dans son registre de réalisateur. Mais là, il n'emporte pas mon adhésion. A vouloir courir après deux lièvres, il ne donne pas la densité nécessaire à son propos. En effet, pour partie, son film flirte avec le documentaire (sur le bodybuilding ... beaucoup trop présent dans le film à mon goût), et pour l'autre, il nous raconte de manière un peu trop fragmentaire la session de rattrapage à laquelle se livrent un père et son fils pour reconstruire une relation inexistante jusque là. Entre ces deux registres abordés, je n'ai pas vu que Roschdy ait réussi à poser de vraies passerelles pour conférer une cohérence au résultat. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 mars 2015
    excellent réussite pour Rochdy Zem, sobriété absolue tout comme dans le second rôle qu'il s'est accordé et remarquable interprétation du bodybuilder pro qui joue pour la première fois au cinéma
    Philippe A.
    Philippe A.

    9 abonnés 147 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 février 2015
    Peut on être culturiste amateur et acteur , ce film répond par évidemment non , il suffit de s'en rendre compte dès qu'il ouvre la bouche , n'est pas acteur qui veut , en revanche , ce film montre assez bien (je connais assez bien le milieu ) la dépendance , l'esclave , auquel sont confrontés même les culturistes amateurs ( narcissisme, dépendance aux produits dopants, irritabilité en période de régime), l'image n'est évidemment pas flatteuse , le culturisme est donc un état d'esprit à l'image de ces culturistes "enceintes" ( syndrome du gros ventre du à l'abus d'hormone de croissance ), un film donc qui tire plus du documentaire qu'autre chose donc vraiment pas terrible, véhiculant une image négative de ce sport, dommage j'aurais préféré qu'il soit mieux traité
    stallonefan62
    stallonefan62

    284 abonnés 2 547 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 août 2015
    comédie dramatique sympa, traitant un sujet peu banal : le bodubuilding !!! le casting est bon
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