Je pensais voir une comédie mais c'était plus un drame. Le personnage est tellement pathétique qu'il donne envie de pleurer. Il ne vit que des galères catastorphiques et sa vie est juste minable. Il n'y a que deux ou trois moment de léger rire. Certaines scénes sont même émouvantes même si certains passage sont mal joués. Quand on s'attend à une comédie pour rigoler on n'a pas envie de voir une descente aux enfers d'un pauvre type paumé qui ne fait que des mauvais choix. Bref une très très mauvaise comédie mais un drame amère pas trop mauvais si c'est ce qu'on veux voir.
Rien de nouveau sous le soleil de la comédie française. On a aucun mal à deviner les ficelles derrière les vannes, mais elles fonctionnent parfois. Un bon film du dimanche après-midi.
La moitié d'une étoile et pour cause ce film est une grande déception propre a dégouté du cinéma français, tant critiquer(avec ce film on pourrait presque comprendre). Tout d'abord une grande désillusion la bande annonce nous propose un film a mourir de rire or c'est a peine si il fait sourire, chaque moment de la bande annonce et sortie de son contexte le personnage étant un connard nous ne pouvons adhérer a ses réactions qui sont pourtant si drôle dans la bande annonce. L'histoire, elle est trop bancale, ce film est un début on s'attend avec la bande annonce a une chute puis une remontée au sommet mais on assiste a une chute ridicule. Le personnage principale Thomas ne fait que des mauvais choix ou presque. On ne comprend pas le personnage. Mise a part deux ou trois scènes qui font soufflée on ne s'amuse pas. A éviter
Un bon scénario, des gags drôles et un film contemporain. Mais on reste sur notre faim. Et puis la fin est surprenante car on se dit spoiler: qu'il va réussir à se qualifier pour les J.O. et lorsqu'il y arrive, on nous dit qu'il a été contrôlé positif au test de dopage . Du coup, on se demande quelle est la morale du film puisqu'on pensait que c'était quelque chose du genre spoiler: "il faut toujours y croire même si on est au fond du trou", alors qu'en fait on a un sportif qui tombe au fond du trou et qui termine mal sa carrière . C'est juste pour le côté comique, pour qu'on en rigole.
Ce film nous présente un sportif "bling-bling" caricatural, qui n'est pas sans rappeler certaines stars du foot, entre sexe, drogue, alcool et argent. Thomas Ngijol campe cet athlète avec beaucoup de justesse, débile, crétin, superficiel...etc. Je n'ai pas complètement adhéré à l'histoire, mais j'ai passé un agréable moment malgré tout.
Imparfait, certes, mais prometteur. Thomas Ngijol a des idées et il les met en scène de façon très originale, donnant à son film des moments d'intense émotion mais aussi de franche hilarité...
On retrouve ici Thomas Ngijol pour sa deuxième réalisation après Case départ, la première en solo. Il est toujours devant la caméra et à l'écriture. Le tout nous donne une comédie qui navigue entre le potache et le caustique, dont on se demande toujours si c'est du premier ou de du second degré. L'ensemble est donc assez inégal, parfois très...
Après "Case Départ" et "Le Crocodile du Bostwanga", Thomas Ngijol décide enfin de réaliser un film seul sans son ami Eboué (je vous rassure tout de même : Fabrice est présent pour un tout petit caméo !). Et il a choisi un thème intéressant qui est un vrai phénomène de société : la célébrité express et démesurée. L’histoire est celle de Franklin, un sprinter dont le seul moment de gloire est d’avoir gagné, sept ans auparavant, une médaille d’argent aux Jeux Olympiques dans des circonstances insolites et contestées. Depuis, il vie dans une certaine médiocrité en racontant à qui veut l’entendre qu’il va remonter la pente…Le personnage de Franklin permet donc à Ngijol de critiquer avec une certaine habileté ce phénomène nombriliste consistant à se mettre tout le temps en avant aux yeux des autres, quelques soient les médias et notamment sur les réseaux sociaux (génération « Nabilla »). A la manière de ces insupportables empotés narcissiques imbus de leurs compétences (incompétences ?), nourris aux idéaux d’une célébrité express, dans le culte du bling bling et du cash, notre héros vie en permanence dans le déni de la réalité comme nous le prouve le running gag de la Range Rover qu’il persiste à vouloir garer là où il ne le peut pas. Ne mettant jamais son personnage en valeur (au contraire : il met l’accent sur la médiocrité d’une vie gâchée par un style de vie puéril et régressif qui éloigne l’individu des vraies valeurs et de ses racines), Thomas Nigijol nous livre un véritable festival de successions de situations grotesques amusantes, et ce avec un véritable sens de l’auto-dérision et un réalisme presque terrifiant (il n’y a qu’à voir la fin surprenante et sans concession du film !!) soutenu par les bonnes prestations de Karine Rocher, Julien Boisselier, Yazid Ait Hamoudi et Olivier Marchal (impressionnant de beaufitude !!). Même le rappeur Kaaris livre un jeu honnête bien qu’il interprète son propre rôle. Original dans son sujet et son traitement, "Fastlife" est une bonne surprise qui nous fait passer un agréable moment grâce à l’énergique implication de son réalisateur/acteur. On attend le prochain avec impatience mon cher Thomas...
pas le film de l'année c'est sure mais on passe un moment sans prise de tête, un personnage vraiment très "con" et qui se l'a pète. Le bling bling ne fait pas tout, le talent ça se travaille mais bon c'est une comédie donc prenons le comme tel sans se prendre la tête.
Quelle déception !! La bande-annonce était plus drôle que le film ! On avait adoré Case Départ et le Crocodile du Botswanga mais Fastlife n'est pas du tout drôle, pathétique même à certains moments...
Franchement déçue, cette fois-ci vraiment trop caricatural, ce doit être du 250 ème degré, que vient faire Karole Rocher dans cette galère ( même si c'est la compagne de Thomas Ngijol)?
Bonne comédie sur le monde de la célébrité et ce qu'elle a pour conséquence chez Franklin. Un Thomas Ngijol qui reste dans la continuité de ses films avec Patrice Eboué (qui y fait un caméo). Des scènes marrantes aussi bien que par les dialogues que par le jeu d'Ngijol. Ses réactions sont hilarantes parfois. C'est sympa de voir Kaaris qui n'est pas la juste pour décorer. La fin, je dois avouer qu'on ne si attend pas du tout, une très bonne chute.