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tony-76
1 074 abonnés
1 410 critiques
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2,5
Publiée le 2 octobre 2014
Comme souvent, on met les meilleurs moments drôles dans la bande annonce... Et malheureusement pour cette comédie, c'est le cas. Tu veux ou tu veux pas est une comédie romantique qui est basée sur le sexe. Une idée originale du scénario mais qui, hélas manque de mise en scène et surtout de rythme. Bien évidemment, le tandem d'acteurs fonctionne plutôt bien. Patrick Bruel est convenable et assez amusant à certains passages accompagné de la séduisante Sophie Marceau qui est complètement, on peut le dire une nymphomane provocante. On a aussi des caméos délicieux comme Pascal Demolon, Mathieu Madenian. Aussi, Jean-Pierre Marielle est de la partie, un moment réjouissant. Par contre, le personnage de Philippe Lellouche est totalement inutile. Quelques répliques bien senties dans la comédie de Tonie Marshal, pourtant c'est assez vulgaire. L'humour est plus visé dans le pointu, politiquement incorrect. On découvre le métier de conseiller conjugal, qui est intéressant avec les nombreux clients que Bruel et Marceau accueillent, c'était savoureux. Il y a juste sa de drôle. Le reste, l'est moins ! C'est prévisible et s'étire inutilement en longueurs. Tu veux ou tu veux pas est un léger divertissement et qui avait du potentiel mais j'étais déçu à cause de son rythme inégale et de sa mise en scène qui manque de dynamisme. Une absence de piment, quelque chose de croustillant pour nous captiver et nous séduire. Attendez la sortie DVD, il ne vaut pas sa place au cinéma. C'est juste passable.
13 726 abonnés
12 426 critiques
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2,0
Publiée le 25 octobre 2014
« Votre bas est en train de filer ! C'est pour vous indiquer le chemin...» Même si la rèalisatrice s'en dèfend, on devine ici l'influence de Jean-Pierre Amèris pour son film "Les èmotifs anonymes". C'est bien le même sentiment de guèrison et de frustration qui habite ses deux personnages! Une affiche superbe de glamour où le charme dèvastateur de Sophie Marceau fait encore des ravages! Ça reste malheureusement qu'une affiche et on aurait aimè que le film de Tonie Marshall soit du même calibre! Sèduction, dèsir, interdit, jalousie...rien ne manque à l'appel sauf le scènario, banal et guère passionnant! La mise en scène est plate et ne suffit pas à masquer le côtè balourd de l'histoire! Le duo sexe et sexy est très bien! Sophie Marceau et Patrick Bruel sauvent par bonheur une comèdie prèvisible qui ne livre que ce que l'on connaît dèjà, avec tous les ingrèdients possibles du genre. "Tu veux ou tu veux pas" (chanson populaire à succès de la fin des sixties) nous vaut en outre la prèsence de Andrè Wilms et Marie Rivière qu'on est toujours ravi de retrouver dans un film! Sans compter la participation exceptionnelle de Jean-Pierre Marielle qui joue son propre rôle dans une scène rèussie! En revanche, Sylvie Vartan (inutile), Philippe Lellouche (pènible) et Patrick Braoudè (ridicule) ne sont jamais à la hauteur de leurs rôles et font même peine à voir! On se gardera bien de dire en quoi le couple vedette Marceau-Bruel diffère des autres couples vedettes du cinèma français en limitant la casse et en comblant d'aise les amateurs de romance à l'eau de rose sur l'amour compliquè et finalement indispensable! Et puis les mots formidables de Françoise Hardy collent tellement au personnage de Judith qu'on a envie d'y croire le temps d'une sèquence : « Mais si tu crois un jour que tu m'aimes, ne crois pas que tes souvenirs me gênent. Et cours, cours jusqu'à perdre haleine, viens me retrouver »...
Peut-être existe-t-il encore, quelque part en France, des personnes qui continuent à considèrer, plus de trente ans après La boum 1 et 2, Sophie Marceau comme un sex-symbol. C’est en tout cas ce sur quoi a voulu miser Tonie Marshall en la mettant face à Patrick Bruel dans les rôles de deux obsédés attirés l’un par l’autre, espérant miser sur le charme et la popularité du couple pour assurer le succès de sa petite comédie de mœurs. Le choix de casting ne s’avérera pas judicieux tant, à force d’en faire trop, aucun des deux acteurs ne parvient à être crédible une seule seconde. Leur insupportable surjeu peut être mis sur le dos d’une direction d’acteurs déplorable puisqu’ils sont en fait à la hauteur de la réalisation du long-métrage, à savoir celle d’un téléfilm à peine digne d’une diffusion lors d’une après-midi automnale sur TF1. Avoir voulu traiter avec légèreté de l’addiction sexuelle aurait pu être un sujet aguicheur, et peut-même un brin insolent, si le scénario de ce film ne se contentait pas de multiplier des dialogues creux et mal écrits et les gimmicks les plus nunuches des comédies romantiques édulcorées et inoffensives.
Pour une comédie ce n'est pas très drôle. La rencontre de 2 sex addicts n'est pas très passionnante et le petit jeux du chat et de la souris qu'ils se livrent est à la limite du malsain.
Affligeant de bout en bout, "Tu veux ou tu veux pas" est un pur produit marketing qui ne raconte rien de plus que le visuel de son affiche. Tout y sonne terriblement faux, et le film est d'un ennui mortel : moins bien qu'un téléfilm médiocre, mais dix fois plus cher à produire tout de même... Le cinéma français devrait investir son argent ailleurs.
On se demande vraiment où est passé le talent et la verve de Tonie Marshall… Entre « Pentimento » et ce dernier avatar, elle donne l’impression de s’être vidée de toute substance, de tout humour. « Tu veux ou tu veux pas » est un non film, et un non sens. Très mal joué (Marceau et Bruel sont lamentables), un scénario sans intérêt puisant quelques idées un peu partout (cinéma, pub…) sans cohérence, mal fagoté (mise en scène mollassonne et frisant l’amateurisme), bref on pourrait tenir là un vrai nanar. Mais le terme « Nanar » est bien trop affectueux pour le coller à ce machin. Une étoile c’est bien payé… juste pour le caméo de Micheline Presle à la fin !
Beuuuuuuuurk ! Nullissime ! Le bruel est minable (acteur mauvais) quand a la Marceau elle ne sait plus faire de bons films ! Bref une daube ! A éviter d'urgence !
Nullissime . Comment est il possible en 2014 de produire encore de si gros navet français? Tout est de mauvais goût dans ce film,du choix des acteurs, a l'affiche du film en passant par la bande original, et cela sans parler du niveau lamentable du scenario et de l'intrigue de l'histoire.
Que dire sur cette comédie française ! Déjà, comme d'habitude c est mal joué et les dialogues sont mal écrits a partir de la , on y croit pas ! et qui a envie de voir ces deux anciens jeunes premiers dans ce genre de rôles!
Scénario digne de la collection Harlequin, dialogues ridicules, acteurs en roue libre et le tout filmé comme un téléfilm. Seule la courte séquence avec l'excellent Jean-Pierre Marielle est amusante. Un vrai navet.
Mauvais et particulièrement affligeant. On n'aimerait sourire à défaut de rire devant les mimiques de Bruel, ou la composition de Marceau en "chaudasse". On aimerait se dire que c'est le ton du film qui veut que les dialogues soient aussi lourds et souvent à la limite du graveleux. Bref de l'un comme pour l'autre il n'en est rien à part un excellent bouche à oreille polarisé sur le duo Marceau-Bruel. By the way, ce qui pourrait fonctionner aux USA autour de la plastique d'une Aniston ou Elizabeth Banks est difficilement transposable avec une Sophie qui en dépit de tout ses atouts me semblent in peu boudines dans ces chemisiers et autres jupes ultra moulantes. Bref on ne peut même pas espérer se rincer l'oeil dans la salle obscure. Rien à sauver donc, passez votre chemin !
A ce point d'indigence (forme et fond), c'est presque de l'Art ! Sophie Marceau est au moins agréable à regarder (pour les messieurs)... au contraire de Bruel, qui n'a même pas cette vertu, et est d'une nullité de jeu totale (comme toujours). Tonie Marshall a fait nettement mieux dans le passé - elle a même été la seule femme à recevoir un César pour la réalisation, en 2000 ("Vénus beauté..")... Ce "Tu veux ou tu veux pas" est, lui, AFFLIGEANT. Mais très court, heureusement.
Vu en avant-première le 3 septembre à l'UGC de Lille en présence de la réalisatrice et des deux acteurs. La rencontre avec le public était sympathique. Mais en ce qui concerne la comédie en elle-même : malgré quelques scènes drôles (heureusement), j'ai trouvé le film décevant, parfois longuet puisque je me suis presque ennuyé par moment. C'est également assez lourdingue, répétitif et caricatural alors que je n'avais pas d'a priori sur le thème (addiction au sexe ou sexualité très active, selon les cas et les interprétations) mais qui aurait mérité une exploitation plus subversive, afin de davantage remettre en cause les préjugés (même si c'est par le rire). Pourquoi pas y aller dans une optique d'aller voir du très léger - qui plaira plus ou moins selon l'humour - mais ne pas s'attendre à être vraiment surpris par le style...
Judith cherche un job. Ex directrice commerciale, elle s'est fait virer pour cause de relations sexuelles répétées avec ses clients. Lambert, ex sexe addict, dirige un cabinet de thérapie conjugale et cherche à recruter une assistante. Judith se présente au cabinet, allume le futur patron. Lambert, loin d'être insensible à ses charmes, la "prend" à l'essai.
Les couples qui défilent au cabinet de thérapie sont on ne peu plus désopilants. Beaucoup d'humour, de savoureux dialogues avec quiproquos à connotations sexuelles. Ce film bénéficie d'une bonne distribution avec la toujours pétillante Sophie Marceau dans le rôle de Judith et de Patrick Bruel, comme toujours très juste dans le personnage de Lambert. Nous découvrons également d'excellents seconds rôles avec François Morel jouant le conseiller de Lambert accompagné de Philippe Lellouche dans le rôle de Bruno, l'ami dragueur de Lambert.