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jaja77
61 abonnés
1 326 critiques
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3,0
Publiée le 7 octobre 2014
pas le film de l'année, une comédie simple classique sympathique avec une petite dose d'humour. un bon duo sophie marceau et patrick bruel, mais une préférence pour le monsieur qui est plus crédible que madame selon moi. à voir pour passer un peu de son temps libre .
Tu veux ou tu veux pas n'est pas un grand film loin s'en faut, mais bien une petite comédie romantique banale qui mise tout sur son casting. Réunir à l'écran les 2 sexes symboles d'un génération ( Sophie Marceau et Patrick Bruel ) était une bonne idée même si leur couple ne fonctionne pas tellement. Pas hilarant, tout juste passable et assez sage, on est loin des comédies américaines traitant de la chose mais le tout se laisse suivre comme si on assistait à un téléfilm de tf1. Ce que l'on retiendra tout de même, ce sont les différents couples qui passent au cabinet et qui sont le point d'orgue du film, les meilleurs moments, souvent les passages les plus drôles.
Film léger, pour ne pas dire mineur, "Tu veux ou tu veux pas" ne tient que par le rôle à contre-emploi des deux protagonistes : Sophie Marceau étincelante en croqueuse d'hommes à la libido débridée et Patrick Bruel totalement décalé en homme cherchant du sentiment... Il faut croire aussi au postulat débile qu'un homme peut résister plusieurs jours à une Sophie Marceau très entreprenante. Mouais.... Il y a plus crédible comme scénario ! Cette hypothèse acceptée, on se laisse porter par une histoire sans surprise qui fait de temps en temps sourire, mais n'emporte, à aucun moment, le spectateur dans son délire des rôles inversés. Restent les prestations d'acteur, tout à fait réjouissantes, avec un Patrick Bruel totalement timoré et une Sylvie Vartan qui fait un retour sympathique. Sans oublier un Jean-Pierre Marielle dans son propre rôle, vieilli et touchant, qui rappelle une réalité un peu crue : le couple est la meilleure antidote de la grande vieillesse... Quant à notre Sophie nationale, elle a bien évolué depuis la Boum. Mais le demi-siècle lui va comme un gant : belle à damner et un charme à défroquer toute une promotion de jésuites séminaristes. Décidément, je ne serai jamais objectif pour juger ses prestations... Mais c'est bien comme cela !
Dans le genre de film qui n'apporte rien, juste à rassembler quelques acteurs à la renommée qui n'est plus à faire pour attirer le client, celui-ci n'est pas mal... Le scénario tourne simplement autour d'une histoire de sex addicts qui se rencontrent et qui se tournent autour durant tout le film. Pas vraiment d'intérêt... Pas de surprise...
rien de très original dans cette comédie, pas très amusante et pas très attachante, bref une comédie sentimentale tiède. Sophie Marceau et Patrick Bruel font une bonne prestation
Encore une comédie complètement raté. Pourtant, le sujet (l'addiction au sexe) avait un fort potentiel pour un drame et même une comédie. Mais ici, tout est bâclé. Les personnages sont lisses à souhait, les gags faciles et le final on ne peut plus prévisible. Rien d'original dans ce film alors qu'il y avait matière avec beaucoup beaucoup mieux.
Sophie Marceau plus séduisante que jamais est le principal atout de cette bluette, qui se voudrait drôle mais dont les gags tombent constamment a plat. Rien d'original non plus au niveau du scénario dont on devine le dénouement dès le début... Un ratage de plus dans le long catalogue des comédies françaises.
Bon. Par ma note, vous allez supposer que je prends à contre-pied les avis des allocinéens dans leur ensemble. Oui et non. Pour tout vous dire, j’ai le sentiment qu’on n’était pas loin d’un très bon divertissement. Mais avant de vous dire que je nage en plein délire à propos de "Tu veux ou tu veux pas", laissez-vous aller à lire l’argumentation qui suit. Disons que tout le meilleur du film se situe grosso modo dans la première moitié : c’est frais, pétillant, le rythme est soutenu, certaines répliques sont succulentes par leur double sens (« je suis bonne ? ») et les deux acteurs principaux cabotinent à loisir. Certes on peut reprocher cette lubie qui consiste à montrer la capacité de Judith à voir les hommes dans leur plus simple appareil et à faire disparaître toutes les femmes de sa vue, ou cette relative insistance sur le fantasme de Lambert à propos des chaussures ouvertes. Mais bon, que voulez-vous ? Les fantasmes sexuels sont parfois curieux mais comme je dis souvent, il faut de tout pour faire un monde. Et puis heureusement que nous n’avons pas tous les mêmes désirs tout comme les façons de voir les choses ou tout simplement de vivre, car le monde dans lequel nous évoluons serait bien ennuyeux sinon. Déjà que ce n’est pas toujours très folichon… Bref ! revenons à nos moutons, ou plutôt à nos émoustilleries. La vedette reste Sophie Marceau. D’accord, c’est une belle femme. Une femme sur qui le temps ne semble avoir aucune emprise. Mais elle révèle ici une de ces aptitudes à séduire, houlala ! « Votre bas est en train de filer ! C'est pour vous indiquer le chemin...». Comment voulez-vous résister face à un raz de marée de propositions toutes plus directes les unes que les autres ? Parce que Judith n’a de cesse de revenir à la charge encore et encore tant qu’elle n’a pas eu ce qu’elle voulait. Patrick Bruel, lui, est plus sur courant alternatif : tantôt pas très bon (ses premières explications sur sa condition sont marquées par un jeu sentant un peu trop l’école), tantôt excellent. Le baiser volé (et très appuyé) vaut son pesant de cacahuètes ! Donc oui, la première partie qui consiste à faire rencontrer les deux personnages (et à les faire apprendre à se connaître) est dans son ensemble très bonne malgré quelques petites faiblesses ici et là. Mais après, bizarrement, ça s’essouffle : rythme, humour, surprises… pire, on a l’impression de tourner en rond. Car on retourne vers du plus convenu. Alors on devine comment tout cela va se terminer. Et c’est moins drôle. On sent même une baisse d’intensité dans le jeu d’acteurs. Et je ne parle même pas de la présence pénible de Sylvie Vartan. Et encore, je suis gentil en disant « pénible ». En revanche j’ai trouvé les apparitions de Patrick Braoudé et de Jean-Pierre Marielle intéressantes dans la profondeur du propos. Si le dernier est égal à lui-même, on peut tout de même se questionner sur la façon un peu ridicule de mettre en scène Patrick Braoudé. Globalement, la seconde partie se révèle quand même assez ennuyeuse. Et donc extrêmement décevante quand on a eu une première partie aussi enlevée et empreinte de bonne humeur. Aussi je comprends que les allocinéens puissent être énormément frustrés au point de sanctionner aussi sévèrement le long métrage de Tonie Marshall. Bon c’est vrai que Sylvie Vartan amène un goût de gâchis. Par contre j’ai lu à plusieurs reprises des commentaires assez assassins à propos de Philippe Lellouche. Oui, il est agaçant. Ou plutôt oui son personnage est agaçant. Et alors ? Vous n’en connaissez pas de gens qui n’hésitent pas à détourner dans l’entourage de ses proches et/ou de ses potes l’objet de son désir ? Ou au pire entendu parler ? Allons allons bien sûr que si ! Et puis son personnage sert à installer la notion de jalousie dans ce jeu de la séduction inspiré des désirs les plus vifs puisés dans l’interdit ou du moins dans l'indécent. Il est simplement dommage que le scénario finisse par tomber dans une triste et regrettable banalité sans saveur.
On aurait pu craindre que le titre de cette "scie musicale" plagié par ce film (il n'est 'ailleurs pas le seul) qui fit un temps la renommée du chanteur Zanini, viendrait abusivement polluer ce film mais heureusement il n'en est rien. Ce manque d'imagination, cette platitude, cette mollesse de la rengaine, se retrouvent d'ailleurs dans le scénario de cette histoire neu-neu et c'est consternant qu'ils aient dû se mettre à plusieurs pour accoucher d'un scénario aussi plat. La réalisatrice, Tonie Marshall, n'avait pas fait de film depuis six ans lorsqu'elle s'est remise à l'ouvrage avec celui-ci, et ça se sent : elle devait être rouillée car il est très moyen pour ne pas dire affligeant ! On se demande où est passé le budget conséquent de cette aventure ? Dans la distribution ? Le casting racoleur n'est que de la poudre aux yeux car on ne voit que très peu certains bons acteurs, Marlelle par exemple. Par contre, Sylvie Vartan est infecte comme actrice et le copinage n'est d'ailleurs pas étranger à sa présence. ! Bref, on semble avoir créé certains rôles pour "meubler" une histoire bancale, à moins que ce ne soit pour se faire plaisir l Question rire, on repassera et le relatif succès semble dû à la promesse d'un duo Marceau- Bruel alléchant. Mais il ne semblent pas toujours convaincus et leur heu a été plus inspiré.. Ce film a tout de même enregistré un peu plus d'un million d'entrées en salles à sa sortie, et 5 millions de téléspectateurs le soir de la date citée plus haut face il est vrai, à une concurrence des chaînes inexistante : en l'occurrence une rediffusion de l'insupportable Barnaby sur France 3. willyxcopresto
Une grande impression de "déjà-vu" chaperonne cette production. L'histoire, bien peu crédible, est d'une piètre linéarité. A part l'évident plaisir de Sophie Marceau à jouer ce rôle, il n'y a pas malheureusement pas grand chose à retenir. Au mieux, "Tu veux ou tu veux pas" pourrait être un téléfilm diffusé en milieu d'après-midi...
Une bonne comédie romantique grâce au couple Marceau Bruel. Cette première joue très bien la femme désireuse et Bruel est une fois de plus excellent dans le rôle du sexe adict en thérapie. Le film fonctionne par cette différence entre les 2 personnages et par la situation dans laquelle c'est mit Bruel. Il m'a fait rire et sourire de nombreuse fois. Après malgré une mise en situation originale, les péripéties sont un peu trop grossières (hein Sophie Marceau ? ) et répétitives. Mais bon ce jeu de séduction est au final fort agréable.
En dépit de deux acteurs connus (je ne dirais pas bons acteurs), on s'ennuie. Le thème est agaçant. Le coté nunuche de Sophie Marceau tape sur le système. Ses mimiques, ses grimaces, ses minauderies (...) on connait. Bruel semble un peu mieux sauver le scénario qui reste d'une pauvreté massacrante. Une perte de temps.
Moi j'ai trouvé que, pour une fois, Tonie Marshall, a réussi son coup. L'angle est original, et le sujet est à la fois léger et profond (l'éternel débat entre amour charnel et éternel, entre partenaire unique ou succession d'amants), le tempo et le scenario sont assez bons (son vrai point faible), même si le nombre de tirades "chaudes" de Sophie Marceau (qui en fait des tonnes) prête à rire et même si l'issue est prévisible. Ca ne casse pas trois pattes à un canard mais on passe un très bon moment en compagnie de deux acteurs qui s'en donnent à cœur joie.