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    Qu’Allah bénisse la France
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    benoitG80
    benoitG80

    3 410 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 décembre 2014
    "Qu'Allah bénisse la France" retrace et pour cause l'histoire et à fortiori le livre du réalisateur lui-même, Abd Al Malik...
    On pense comme beaucoup à l'excellent film "La Haine" de Kassovitz dont d'ailleurs l'inspiration et le traitement des images sont assumés et revendiqués, en en ayant la patte et l'apparence.
    Il faut reconnaître que l'on est pris de suite par le jeu de Marc Zinga et par celui des comédiens qui l'accompagnent tout au long de son cheminement...
    Quelle intensité et quelle vérité chez ces acteurs qui sont tels que ce qu'ils sont dans la réalité surtout quand on les a connus dans le cadre d'une mission d'enseignement ou d'éducation !
    À tel point qu'il faut suivre tous les dialogues et répliques qui fusent, car entre la langue au débit hyper rapide et le vocabulaire très "spécialisé" , il faut essayer de tout comprendre...!
    Mais c'est surtout à travers cette peinture sociale, le cas de Abd Al Malik qui reste intéressant, ce brillant lycéen poète et slameur, admis en hypokhâgne menant en parallèle une double vie à savoir cette vie, en opposition complète, de dealer et de voleur à la tire, avec ses acolytes, tout ça afin de mener son projet de groupe de Rap à bien...
    Bien que la violence nous soit épargnée, pour ce qui est de la dimension humaniste et des valeurs morales prônées par bon nombre de critiques, je serais par contre bien plus réservé, ne serait-ce que par rapport à la façon dont ce jeune s'en sort en comparaison de son frère et de sa bande, qui eux connaissent un autre sort bien moins enviable !
    Abd Al Malik montre d'ailleurs sans cesse sa différence par sa culture et son exigence qu'il fait bien remarquer, en se hissant ainsi à un autre niveau, en se positionnant tel un héros !
    Malgré certains aspects gênants et même ambigus, il reste cette histoire étonnante et le jeu à fleur de peau de Marc Zinga, les superbes images dont le noir et blanc renforcent la beauté et le cadrage, qui à eux seuls invitent à la découverte de ce film malgré tout intéressant sur le fond !
    alain-92
    alain-92

    318 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 décembre 2014
    "Ce film est une histoire d’amour dans tous les domaines : avec ma mère, avec Naouale, avec la musique, avec mes frères, avec mes potes, avec l’école, avec la cité et avec la France", a déclaré le réalisateur.

    Le très lettré, Abd Al Malik réalise ce premier long-métrage avec une certaine audace. Un coup de pied à l'intolérance qui se repend aujourd'hui.

    Pour mettre en images son roman éponyme, le réalisateur a misé sur une remarquable photographie en noir et blanc, signée par Pierre Aïm.

    Toutefois, les dialogues n'arrivent pas à traduire à l'écran la force des mots du roman. La réalisation, souvent incertaine fait penser à celles de certains clips vidéos.

    L'éclatant sourire de Sabrina Ouazani et quelques passages musicaux réussis ne suffisent pas à captiver de bout en bout.

    Sans être un chef d'œuvre, je reconnais volontiers le courage et l'humanisme de l'entreprise. L'espoir qui devrait poindre, aussi.
    Julien D
    Julien D

    1 196 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 décembre 2014
    Pétri de bonnes intentions et de mélancolie, le rappeur strasbourgeois Abd Al Malik nous livre une adaptation de son roman autobiographique. Le résultat en est un pamphlet moral, écrit de façon très littéraire et didactique, et filmé avec amateurisme (hormis bien sûr la qualité des images en noir et blanc due au talent du directeur la photographie qui avait, il y a vingt ans, travaillé sur La haine dont Abd Al Malik a voulu reproduire l’univers visuel), doublé d’une quête initiatique à la première personne qui s’apparente moins à une confession intime ou à un exutoire qu’à une autoglorification. Malgré son absence de subtilité et son égocentrisme flagrant, le film ne manque ni d’émotions ni d’humour, et devient en cela un agréable moment à passer. Si l’on exclue le parti-pris délicat d’avoir présenté la musique (et le foot, la seule autre activité qui ne soit source de conflit dans les cités) comme unique possibilité de s’émanciper socialement, le message d’espoir et de tolérance est très fort. Le fait d’avoir en plus posé une réflexion sur la place de la foi musulmane dans la France actuelle, et dans l’industrie musicale en particulier, rend le film d’autant plus audacieux et salutaire dans notre pays de plus en plus rongé par des idéaux intolérants et archaïques.
    Loïck G.
    Loïck G.

    335 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 décembre 2014
    C’est quasiment un film en vase clos. Il raconte l’histoire vraie du rappeur Abd Al Malik qui avant de connaître la sérénité au sein d’une culture qui lui ressemble, passera par toutes les couches d’une société gangrénée. Excellent à l’école, Régis n’en demeure pas moins dealer, et chouraveur avec ses copains de la cité, tout en cherchant sa voie dans le rap. Auteur du roman éponyme, Abd Al Malik se charge avec maladresse de la réalisation de ce film, pendant juvénile (pour ne pas dire amateur) à celui de Kassovitz « La Haine ». L’ensemble est assez manichéen, sans consistance, avec cet étrange ressentiment que le cinéaste semble trimballer tout au long de son scénario, en lui donnant des coups de gomme, rageurs. La parité entre le bien et le mal, le noir et le blanc, la religion et la laïcité. Un parfait équilibre qui ne fait pas forcément un film parfait. Loin de là
    Pour en savoir plus
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 063 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 janvier 2015
    Je ne voulais pas voir ce film, je m'en tamponne pas mal d'Abd Al Malik et de sa conversion à l'islam et de sa pseudo musique... mais bon, on m'a poussé... et vu que je suis taquin je ne dis jamais non... J'aurai dû m'abstenir, mais je le savais avant d'y aller. Mais quelque chose je me réjouissais car je me disais : ah enfin on va voir Strasbourg au cinéma qui est une ville superbe ! Seulement le film est une immondice... Donc les paysages strasbourgeois je peux faire une croix dessus. C'est ça le souci d'Abd Al Malik, il est moins intelligent que ce qu'il croit... Il m'énerve dès l'introduction avec son discours méta sur l'histoire en disant que toutes les histoires commencent par "il était une fois"... qu'il raconte déjà son histoire au lieu de déjà vouloir discourir sur l'histoire racontée (conte de fées, toussa toussa).

    Déjà visuellement c'est d'une laideur, c'est absolument atroce, le noir et blanc, alors que ça m'a l'air d'être tourné en numérique de mauvaise qualité, ça pique les yeux... sans compter que le point n'est pas fait... Il n'a pas engagé de chef op' c'est pas possible, l'image est immonde, souvent le point est fait sur un truc inutile au premier plan (genre la rambarde d'un pont) alors qu'on a les maisons alsaciennes de Strasbourg et les personnages en arrière plan qui sont flous... génial...

    On se tape des gros plans absolument atroces, limite je me suis reculé dans la salle de cinéma pour ne pas avoir à subir ça en si gros plan... indécent !

    Il n'arrive même pas à donne vie à ses lieux car il vire tous les bruits de fonds, les bruits de la rue... On entend juste les personnages parler... comment veux-tu créer un environnement crédible en supprimant tout ce qui fait le réel ?

    Et le pire de tout, c'est qu'il est gentil Abd Al Malik, mais comme disait Céline : "Si on se laissait aller à aimer les gens gentils, la vie serait atroce." Et ça tombe bien je n'aime pas les gens gentils, je ne supporte pas Abd Al Malik avec son air et son ton moralisateur (enfin l'air de l'acteur, mais il a le même). Parce qu'il veut nous montrer que la France lui permet de sortir de sa banlieue, de vivre sa vie, de lui avoir fait découvrir de grands auteurs, etc. Arrgg. Mais pourquoi ça doit être aussi niais ?

    On prend quelqu'un comme Kechiche l'a déjà fait avec l'esquive, c'était infiniment mieux, parce que déjà il ne se racontait pas en se donnant le beau rôle (parce que oui, ok, il dealait, mais il se la joue responsable et tout, moraliste !) mais surtout c'était brillant ! Là la fille dont il tombe amoureux j'ai juste envie qu'elle meurt tant elle est fausse avec son petit rire forcé insupportable !

    Le film n'explique rien, ne dit rien, il ne fait que narrer des trucs dont on se tamponne le coquillard ! Il montre comment il devient musulman, mais on ne sait pas pourquoi... Quel intérêt de devenir musulman ? J'aurai aimé savoir... Parce qu'on le voit lire Rousseau... Rousseau explique très bien dans l'Emile (c'est pas le livre qu'on le voit lire, mais bon) que les trois religions abrahamiques c'est la même chose et que ça dépend juste de là où on est né (en Europe, dans les pays Arabes...). Lorsque l'on sait ça, lorsqu'on est Républicain comme se prétendant l'être Abd Al Malik... Quel intérêt de se convertir ? C'est ça qui est intéressant !

    Après malgré un message républicain qui met beaucoup d'eau dans son vin, on a quand même des choses un peu troublantes et je pense que si c'était retourné contre eux, ces personnes n'aimeraient pas... On a une scène où un imam dit qu'un arabe n'est pas supérieur à un autre (par rapport aux noirs, il ne voulait pas marier sa fille à un noir) mais qu'il peut l'être par sa foi ! Qu'est-ce-que ça veut dire ? Si je venais et que je m'amusais à dire que telle foi était supérieure à une autre on m'accuserait de racisme... ou d'intolérance... à une époque laïcarde (sic) où on tente de faire croire que tout se vaut.

    Là où L'esquive ou Bande de filles arrivaient à rendre la banlieue humaine malgré ses défauts et ses problèmes évidents, Abd Al Malik donne juste envie de bombarder tout ça. Il n'y a rien d'humain dans sa banlieue... J'ai travaillé au neuhof, j'ai vu ces gens faire des weelings sans casque à deux sur un scooter comme dans le film... Que fait Darwin ? et la sélection naturelle dans tout ça. Heureusement la réponse ne se fait pas attendre au travers d'un plan où on apprend comment finissent les gens présents. Les personnages du film ne méritent pas la vie, c'est triste à dire, mais c'est comme ça...

    Même lui lorsqu'il chante sa pseudo musique informe, c'est ignoble ! C'est ça le pseudo philosophe et pseudo littéraire, tous ces textes lus pour ça ? Parce que oui, il faut le voir venir parler de philo dans son film "le cosmos". J'ai hurlé de rire ! Il aurait mieux fait d'écouter un peu plus de musique, de lire ce que Nietzsche dit sur la morale religieuse et sur la musique, ça lui aurait fait le plus grand bien !

    Et si quelque part dans le fond je suis d'accord avec son message, la France de grands auteurs et l'école fait tout pour permettre de réussir (ou du moins elle essaye, et lorsqu'on a un telle crise de l'autorité et des gens de si peu de bonne volonté c'est difficile) et Rousseau peut sauver des vies (il a sauvé la mienne ce grand moraliste), c'est dit sans intelligence, l'aspect biopic est raté et finalement le message passe très mal parce que c'est très narratif, il raconte sa vie en voix off en se prenant pour un poëte (c'est assez désolant), mais surtout il passe à côté de l'essentiel... Parce que s'il veut s’intégrer, c'est une bonne chose, j'intègre tout le monde qui le désir, pourquoi changer son prénom ? (bon Régis c'est moche, on est d'accord, sans doute un hommage au sketch des Nuls...) Pourquoi changer de religion ? La France est une terre avant tout chrétienne, pourquoi passer par l'islam pour s'intégrer...

    Bref il passe à côté des vraies question pour nous sortir un truc niais et gentillet qui montre juste qu'il ne rend ni hommage à Strasbourg, ni aux auteurs qu'il aime...

    Mais surtout c'est atrocement long... je n'en pouvais plus sur mon siège !

    Bref allez voir l'esquive, la graine et le mulet, ça c'est des vrais films avec de vrais personnages sur ce que la République peut faire de meilleur sur des individus issus de l'immigration ! Pas ça !
    THE-CHECKER
    THE-CHECKER

    111 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 juillet 2015
    Véritable supplice dès ses premiers instants, "Qu'Allah bénisse la France" le film, est au cinéma ce que le Gansta rap est à la poésie!

    Troussé à la mesure de l'égo de son auteur (adapter sa propre autobiographie? Quelle leçon d'humilité en effet!) dont le parcours parfaitement quelconque ne sert qu'à flatter des idées visant plus à maintenir une certaine hiérarchie sociale qu'à prôner quelque intégration que ce soit, le film d'Abd al Malik débute en guise d'authenticité, par la relecture cinématographique d'une séquence empruntée à un reportage sur la délinquance juvénile (ce qui en dit long par ailleurs sur la véracité du discours de l'auteur...) rejouée ici pour mieux souligner le décalage du personnage principal d'avec son environnement et ses proches, spoiler: celui-ci faisant la morale à un parent dans le fourgon pour bien montrer que dans l'affaire, le héros pétrit de morale Républicaine, c'est lui et personne d'autre
    (posture partagée avec le personnage de Nawel, soit Wallen son épouse dans la "vraie" vie

    Cinématographiquement abjecte, le film emprunte à quasiment tout ce qui a pu se faire en la matière, de près ou de loin (La Haine, 8 miles, Raï, L'esquive...) trahissant un opportunisme certain chez un Régis tellement dans l'auto-satisfaction, qu'il déambule dans la rue comme un halluciné, déclamant sa prose grotesque de l'histoire déjà en marche du gars réduisant toute ambition d'élévation spirituel aux liasses de billets qu'il pourra en tirer (parce qu'en cité, t'as pas le choix entre devenir rappeur, braqueur, ou terroriste!

    Schizophrène jusque dans sa démarche religieuse (à moins d'entériner le fait que tout Muslim soit en parallèle vendeur de p'shit) le film expose malgré lui la duplicité d'un Abd al Malik visiblement incapable d'investir une cause sans l'exploiter au mieux de ses intérêts, entre conversion à l'arrache avec un Mc Jean Gabin improvisé Imam (pour le cheminement spirituel on repassera) et prosélytisme Soufi (parce que tu comprends, la religion c'est avant tout dans le coeur, ou autour du coup dans une main de Fatma absolument pas Musulmane au passage) Skyrock compatible, comment a t-on pu raisonnablement penser qu'un tel film puisse fédérer autre chose que des arrivistes avides de strass et de paillettes, surtout quand dans la foulée on distille l'air de rien, les mêmes poncifs sur la banlieue, l'Islam et les Muslims que les adeptes d'une laïcité dévoyée en service commandée pour la droite extrême (en gros, si t'es un tant soit peu pratiquant, t'es forcément un fanatique lobotomisé!

    Une bande son affligeante, là encore réalisé par la famille (Abd al Malik et Wallen) histoire de profiter au maximum de l'argent d'un contribuable obligé malgré lui d'engraisser les délires mégalomanes d'un type persuadé de tutoyer les sommets du génie en vociférant ses inepties sur un timbre de voix confinant au ridicule.

    Sur point là, l'intégration prônée par Régis est parfaitement réussie!!
    cinoque
    cinoque

    11 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 décembre 2014
    Plaidoyer geignard pour l'intégration (c'est la pauvre Sabrina Ouazani qui se tape les dialogues édifiants et parfaitement improbables...) centré sur l'itinéraire (supposé être édifiant lui aussi) de l'auteur, allant du vol à l'arraché et le deal, à la conversion en passant par hypokhâgne et le rap comme ascenseur social... Vaste programme... Que le réalisateur ne remplit pas. Le film est gauche, erratique et vaguement mièvre. Le cinéma est un art exigeant, plus que le rap, probablement...
    Christoblog
    Christoblog

    826 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 décembre 2014
    Ce soir 2 décembre, salle comble à l'UGC Lille pour le premier film d'Abd al Malik.

    Avant d'en venir aux réactions de la salle, mieux vaut le dire tout de suite : le film est une nouvelle preuve que les bons sentiments ne font pas les bons films.

    Rien à redire quant aux intentions d'Abd al Malik : montrer les jeunes de la cité, l'islam et le rap (quel programme !) sous un jour différent, et fondamentalement plus optimiste. Tiré de son autobiographie romancée, le film porte la forte d'empreinte de son créateur et de ses idées : la France républicaine, la France des idées et des grands intellectuels, cette France là peut sauver un jeune délinquant, fut-il strasbougeois d'origine congolaise.

    En guise d'illustration à ces nobles propos, le film ne propose qu'une série de poncifs cinématographiques d'un intérêt très médiocre : plans approximatifs, ellipses brutales qui sentent le manque de moyens, dialogues pauvrement écrits, manque de rythme, acteurs parfois peu inspirés, romance à l'eau de rose. Difficile de descendre plus le film qui a un fond sympathique, mais disons pour être clair que je ne suis pas sûr qu'il ait trouvé un chemin en salle si le réalisateur ne s'appelait pas Abd al Malik.

    Lors des questions en fin de séance, le réalisateur n'a laissé que quelques miettes aux deux acteurs présents, trustant la parole et assénant son message républicain devant un public applaudissant à chacune de ses interventions. La surprise vint comme souvent d'un spectateur qui s'interrogea sur le moment précis lors duquel le film passe du noir et blanc à la couleur .... alors que ce dernier est intégralement en noir et blanc ! Grand moment de solitude pour le spectateur (daltonien ?), mais révélateur du rapport que chacun d'entre nous peut entretenir avec l'écran de cinéma !

    A la toute fin, à la demande d'une spectatrice, Abd al Malik a offert un petit slam à la salle, et tout à coup, il y eut plus de magie dans l'air que pendant toute la soirée.

    Aux 1000 critiques :
    Sham A.
    Sham A.

    33 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 décembre 2014
    Qu’Allah bénisse la France ma déçus un film très mal fait il dure 1h30 mais ont a limpréssion quil dure 2h40 télement il est lourd il ya des scènes si ont est pas musulman ont comprend pas ,des scene qui dure 3h alors quel peuvent durée 1 minute jai l'impression que par moment il balance des ambiance de musique dans certaine scène car si il le fait pas le film est vide defois ya pas de transition entre les scène il passe de tt a rien franchement je suis déçu il fait télé film d'arté je vous conseille de pas payer pour aller voir ce film franchement ......
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 décembre 2014
    Sous couvert d'un message politique niais et sans consistance, le film se traîne dans une pathétique démonstration de comédiens amateurs et de clichés en tout genre. Le film est aussi mal réalisé que le titre est insultant. Le réalisateur (qui n'en est pas un) adapte son livre (qui n'en est pas un) parce qu'avec une idéologie aussi gauchiste, on vous ouvre les portes du cinéma ce qui n'aurait jamais du arriver, tant le talent lui fait défaut. C'est encore un tract politique et rien de plus. Le "réalisateur" (ça mérite plus de guillemet) a dit en interview qu'il voulait faire un Anti Scarface. Mission accomplie. Il vient de réaliser un Anti-Chef d’œuvre, un Anti-Film qui sera rediffuser sur Arte ou sur une chaîne du service publique pour insulter toute une nation
    Jean-FC.
    Jean-FC.

    10 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 novembre 2014
    Impression de déjà vu, l'auteur a du talent, sa sincérité intègre, mais vision beaucoup trop simpliste et optimiste d'un sujet particulièrement complexe.
    PLR
    PLR

    465 abonnés 1 558 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 décembre 2014
    Le propos aurait-il été différent si ce film avait été tourné en couleurs et non pas en noir et blanc ? La réponse, ma réponse, est non. Alors, pourquoi donc ce choix ? Pour l'esthétisme et pour une référence au film La Haine, nous dit-on. L'esthétisme ? Depuis quand le noir et le blanc sont-ils plus esthétiques que la vraie vie... en couleurs même si elle est par certains aspects moche ? Et par la manière dont le sujet est traité, plutôt soft, on est loin, très loin de La Haine. Un choix sur la couleur de la pellicule qui désarçonne plus qu'il ne convainc. Pour le reste, le sujet est raconté comme un texte de rap. Monocorde, répétitif. Et puis ces intonations, ces accents agaçants, d'autant qu'ils ont manifestement été forcés par les acteurs qui dans la vraie ne parlent certainement pas comme ça. C'est lassant. Personnellement, je suis resté assez distant. Au registre des films (et ils sont nombreux dans la période) qui mettent en scène la France multiculturelle et multicolore, il y a eu de bien meilleures démonstrations.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 14 décembre 2014
    Un film intéressant mais sur un sujet déjà revu trop de fois. Le film se perd dans des longueurs et des idées de mise en scène décousues.
    soumiya75
    soumiya75

    6 abonnés 158 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 décembre 2014
    Qu'Allah bénisse la France ...

    Euh que dire
    Déjà pourquoi ce titre ? C'est quoi le rapport .. (Ok il retranscrit son livre en version film mais encore?)
    Quel message a-t-il voulu faire passer si ce n'est sa mégalomanie ?
    Aucun intérêt
    Les acteurs principaux ne sont pas bien choisi
    Sabrina ouazzani a l'air d'une cruche ... C'est dommage; on l'a vue bcp plus pétillante et plus convaincante dans d'autres films ...
    Pour le reste c'est tjs le même cliché : la cité, le rap, la police, les larcins, la drogue... On épice le tout avec de l'islam pour bien faire monter la sauce et alimenter les amalgames...,Rien de bien nouveau
    L'histoire n'a ni queue ni tête et aucun fil conducteur
    Bref je déconseille
    kheops1789
    kheops1789

    4 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 janvier 2015
    Prétentieux et dégoulinant de bonne volonté. Un film gonflant et boursouflé par l'auto glorification de son auteur et personnage principal.
    Les meilleurs films de tous les temps
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