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Un visiteur
2,5
Publiée le 4 juin 2015
Les décors et la présence de Douglas sont les seuls point positifs de ce film, la présence de ce dernier ne réussit d'ailleurs pas à sauver ce divertissement très moyen ! (au passage, tout le film, sauf la fin, est résumé dans la bande annonce, je ne supporte pas ça...)
une chasse à l'homme qui manque cruellement de rythme et d'une réelle implication des protagonistes. Faute à un scénario trop mince mais surtout à des personnages caricaturaux et sans aucune épaisseur.
Une demi étoile pour l'ambiance angoissante et une pour les paysages...
Scénario peu crédible. La fin est vraiment pitoyable...
C'est dommage il y avait de l'idée mais certaines parties de l'histoire ne sont pas assez travaillées ( ou détaillées ) pour que l'histoire tienne debout.
Un jeune guide accompagne un chasseur millionnaire et arrogant à travers le désert des Mojaves. Sauf que la chasse tourne rapidement au vinaigre, et le jeune homme, devenu témoin gênant, se retrouve traqué, à devoir survivre sous un soleil de plomb. "Beyond The Reach" ne perd pas de temps, et fait très vite démarrer son intrigue. Le film se veut efficace, mais on reste un peu sur sa faim (ou plutôt sa soif !) au niveau des péripéties, parfois un peu répétitive ou pas exploitées à fond, sans parler d'un final un peu grotesque. Néanmoins, on ne s'ennuie pas, et Jean-Baptiste Léonetti filme joliment les paysages désertiques. Côté acteurs, outre brèves apparitions de Ronny Cox, Jeremy Irvine campe de manière solide un protagoniste déterminé à survivre malgré sa situation désespérée, avec face à lui Michael Douglas, très à l'aise en incarnant une version de Gordon Gekko en safari. Divertissant.
Ils ne sont que 2, et pourtant ils arrivent avec brio à occuper tout l'écran et tout le scénario Un Duel à la Spielbierg dans le désert du Mojave qui couvre 3 états américains. spoiler: Un bon thriller désertique, ou la connaissance du terrain va sauver le plus vulnérable
la fin est loupé.
pas mal sans plus , une chasse à l'homme dans le désert suite à un accident de chasse , le scénario est assez simpliste, mais l'interprétation est bonne de la part des 2 acteurs, les décors sont grandioses, mais ce n'est pas suffisant pour une sortie cinéma, un film donc sans surprise avec un mickael douglas en fin de carrière, morale de l'histoire : avec de l'argent tout s'achète
Gekko part à la chasse... "Beyond The Reach" est réalisé par le français Jean-Baptiste Leonetti qui adapte le roman de Robb White "Deathwatch", c'est un film assez simpliste au niveau du scénario qui ne réserve pas vraiment de surprise, mais l'histoire est captivante et haletante jusqu'au bout ce qui est suffisant pour passer un bon moment et se divertir en plus le cadre est superbe en plus d'être idéal pour ce genre d'histoire et Michael Douglas qui produit également le film est très convaincant dans ce rôle-là. Au départ, j'avais des craintes de voir ce grand acteur dans un DTV, mais apparemment le film va avoir droit à un sortir en salle pas sur, que ça soit une bonne idée, mais bon, le film est pas mal.
Le personnage principal est le désert australien et son décor magnifique. Ce film n'est pas sans évoquer Desierto. Le scénario de cette traque est classique, mais il tient en haleine de bout en bout. Le fossé social qui sépare le jeune guide de son richissime client donne de la profondeur au film. Dommage qu'un rebondissement inutile et totalement invraisemblable vienne gâcher la fin.
Un petit film sans grande prétention qui reprend les intentions d'un téléfilm made in ABC de 1974 peut faire peur à priori. Or, ce film se révèle être un petit bijoux porté notamment par des acteurs qui n'ont plus de réputation à se faire (Michael Douglas) ou encore par une jeune génération (Jérémy Irvine) qui se doit d'être connu. La réalisation orchestrée par Jean Baptiste Leonetti est sublime notamment grâce à une photographie qui relève les courbes et les formes du désert américain (il faut dire que travailler dans la publicité ça aide globalement) mais également par l’alchimie porté par les deux acteurs; c'est magnifique, l'histoire est prenante malgré le petit bémol de la fin qui semble un peu tiré par les cheveux. Cela reste un pur divertissement qui reste maîtrise.
Sur un sujet rabâché, Michael Douglas fait le méchant tout en soignant sa renommée. Mais il échoue dans l'intérêt que l'on portera à cette oeuvrette sans suspense aux péripéties téléphonées et inachevées. Franchement on se barbe tout le long, et on n'a qu'une hâte c'est que cela finisse. Le scénario ne pouvant être original, il se perd dans des niaiseries. Aucun oscar en vue pour tout ça.
Sans possible suspense -on se "doute" bien, dès le début, de qui, du Bon ou du Méchant, va l'emporter...-, sans psychologie, sans surprise, un film rapidement ennuyeux.
Un second film américain produit par Michael Douglas lui-même après avoir été remarqué (peu d'entrées salles mais excellents retours) pour son premier film "Carré Blanc" (2011). Michael Douglas interprète ici le financier Madec qui ne peut que faire écho à son personnage de Gordon Gekko dans le chef d'oeuvre "Wall Street" (1987) de Oliver Stone. Même arrogance, même fortune, même idéologie sur le monde de la finance, bref le même requin à la différence près que ce Madec à un côté "psychopathe" plus avéré. Finalement la vraie déception c'est de réaliser un film hollywoodien lambda après un premier film audacieux et original.
Une chasse à l'homme dans un cadre et une photographique magnifique. Michael Douglas est truculent dans ce rôle de magnat richissime au-dessus des lois. Il manque juste un peu de rebondissement et de surprises, et il est vrai que la romance avec le guide n'apporte pas grand chose au film et en ralentit le rythme. La fin est également un peu bâclée et trop rapide, mais ça reste un bon moment de détente.
Madec, impitoyable homme d'affaires, part faire une chasse dans le désert de Mojave avec le jeune Ben comme guide. Mais très vite, la chasse vire au drame et la tension monte... Sujet classique mais prometteur, décor superbe, mise en scène soignée, tout est réuni dans "Hors de portée" pour que l'on passe un bon moment. Dommage que le scénario ne tient pas sur la longueur et ne parvient pas à entretenir la tension, nous offrant un final totalement improbable, le film n'assumant pas à fond son côté série B pour rendre le tout crédible. Reste un Jeremy Irvine très convaincant face à un irrésistible Michael Douglas, toujours aussi doué lorsqu'il s'agit d'incarner les salauds.