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    Macbeth
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    2,9
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    183 critiques spectateurs

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    Jo R
    Jo R

    23 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 novembre 2015
    Faut il être illuminé pour apprécier un tel film?
    On se rapproche de 300 dans la façon de filmer ça à la limite c'est plaisant mais sinon...
    C'est pas dynamique, les dialogues sont à la limite de l'insupportable.
    On est beaucoup trop dans la poésie.
    Quel dommage moi qui attendait de cette histoire autre chose que de la déception et de la lassitude tout au long du film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 novembre 2015
    Michael Fassbender nous prouve à chaque fois son talent et sa grandeur en tant qu'acteur, hélas, ce n'est pas le cas pour Marion Cotillard : elle ne fait que confirmer son manque de professionnalisme, de charisme et de discipline (mais elle est très jolie alors... ça passe des fois).
    Le film paraît beaucoup plus intéressant en morceaux choisis, dans la bande annonce (bravo pour le montage!) qu'en sa totalité. Lent, mal joué et creux, il se regarde froidement sans aucune implication, avec une pause toilettes bien méritée qui n'empêchera pas le spectateur de retrouver le fil après avoir regagné sa place. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 novembre 2015
    Déçu. Le film est raconté au lieu d'être vécu. pour beaucoup de plans fixe la caméra a la tremblotte ce qui est très énervant. De beaux paysages certes mais ça ne suffit pas pour faire un bon film.
    traversay1
    traversay1

    3 602 abonnés 4 870 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    "Macbeth est la vision la plus pure et la plus profonde du mal chez Shakespeare" a écrit le critique britannique Wilson Knight. Il est vrai qu'en comparaison Othello, Le roi Lear ou Hamlet pourraient presque passer pour des bluettes. Le réalisateur australien Justin Kurzel a eu un sacré courage, et une belle dose d'inconscience pour s'attaquer à un tel monument, passant après Welles, Kurosawa ou Polanski. Respectant le texte original, mais avec des coupes qui restreignent parfois sa cohérence, Kurzel a fait de son héros un soldat en plein traumatisme, ivre de pouvoir et plongé dans une crise de couple abyssale. Le film est très inégal avec autant de scènes sublimées que de longueurs intenables et de moments "kitsch". Sa recherche constante d'esthétisme se fait au détriment de toute psychologie et si les paysages naturels d'Ecosse ont un talent fou, cette alliance de brumes et de cieux rougeoyants, symboliques du sang versé est vraiment trop. Michael Fassbender et Marion Cotillard (une tragédienne née) n'amusent pourtant pas la galerie, dans des compositions hallucinées. Tel quel, Macbeth est plutôt frustrant, non par son manque d'ambition mais par ses partis pris trop marqués. Ceci dit, il mérite sans doute une deuxième vision.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 novembre 2015
    Somptueux ... Lyrique ... Le souffle épique d'une tragédie intemporelle porté par un Michaël FASSBENDER incandescent dans des paysages de glace et de feu à couper le souffle . Marion COTILLARD ne démérite pas : jeu sobre et dense . Beaucoup , beaucoup d'éléments se conjuguent pour que le spectateur reste scotché et que ce drame magnifié par la langue de SHAKESPEARE nous donne envie d'aller plus loin .
    Jorik V
    Jorik V

    1 276 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 novembre 2015
    Quel purgatoire dans (presque) tous les sens du terme que cette adaptation littérale de l’illustre pièce de Shakespeare, « Hamlet ». L’intérêt éventuel de porter à nouveau sur grand écran cette tragédie aurait été d’actualiser le propos et le texte. Si les images ont effectivement de la gueule et semblent extrêmement travaillées, pour le reste c’est d’un ennui mortel. Quelques fulgurances de mise en scène via deux ou trois sublimes plans ainsi que l’esthétisme général empli de filtres ne sauvent pas le film de la platitude total. Nos yeux ont beau être plus ou moins comblés, si l’esprit et les oreilles ne suivent pas…
    On ne parlera pas de navet mais de film totalement déconnecté de son temps et par là même inutile et vain. L’australien Justin Kurzel sera donc l’homme du grand écart. Après son chef-d’œuvre qui a divisé il y a trois ans (« Les Crimes de Snowtown »), polar social ultra violent et glauque, il signe l’un des pires films de l’année. Il est vrai que ses qualités de mise en scène ne sont pas en cause, l’image étant de toute beauté, mais pour le reste… Pourquoi faire dire aux acteurs de tels dialogues que la majorité des spectateurs ne saisira pas ? Pourquoi leur mettre en bouche de telles logorrhées interminables ? Pourquoi ne pas transcrire la pièce de nos jours ou au moins la rendre compréhensible pour les moins enclins au vieux français (traduction de l’écossais avec accent en prime!) ? Mystère.
    Au bout d’une demi-heure on décroche totalement. Et malgré la conviction des acteurs en leur texte, Marion Cotillard et Michael Fassbender en tête, il ressemble davantage à des fantômes errant dans des décors sans âme et une Ecosse naturelle à la fois belle mais triste. Leurs échanges ou monologues sans fin nous endorment complètement. Et dire que l’objet dure presque deux heures vous fera cerner le supplice qui vous attend. Si vous cherchez un bon somnifère, allez voir « Mac Beth », il n’y en a pas de meilleurs.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 novembre 2015
    Une des plus grandes interprétations de Michael Fassbender.

    Marion Cotillard y est magnifique.

    Une photographie et une mise en scène éclatante.

    D'une réel sensibilité cinématographique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 novembre 2015
    Un film presque sensoriel, une mise en scène incroyable, et des plans... à couper le souffle. On remarque immédiatement la qualité du travail de photographie ! et que dire de la beauté des paysages écossais ! Des plans somptueux et des acteurs habités !! Les acteurs sont incroyablement mis en scène ! Bons nombres de plans sont visuellement parfaits ! Alors il est vrai qu'il y a quelques longueurs mais adaptez Shakespeare n'est pas chose aisée pourtant Justin Kurzel s'en sort extrêmement bien. (je m'en vais d'ailleurs regarder "Snowtown" prochainement) Quelle rage ! quelle folie ! habite Macbeth et sa Lady ! Plus on avance dans le film et plus la luminosité (très travaillée) s'adapte au service de l'histoire. Ces palettes de couleurs caressent parfaitement les paysages Écossais, on y retrouve aussi grandement la folie du roi.. La performance du duo Fassbender/Cotillard est impressionnante ! Un film a voir
    selenie
    selenie

    6 288 abonnés 6 192 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 novembre 2015
    Énième adaptation de la tragédie de Shakespeare réalisé par Justin Kurzel qui s'était fait remarqué avec "Les Crimes de Snowtown" (2011). Ce film est riche d'une production franco-anglo-américaine et d'un casting aussi inspiré qu'investi. Les acteurs offrent des performances justes inouïes, aussi impeccables et épatants que la beauté formel du film. Un esthétisme stylé qui n'est pas sans rappeler le chef d'oeuvre "Valhalla Risinh - le Guerrier silencieux" (2009) de Nicolas Winding Refn. Un grand et beau film qui tient toutes ses promesses...
    framboise32
    framboise32

    151 abonnés 1 290 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 novembre 2015
    MacBeth a été, pour moi, une excellente surprise. Pas sûre que cela plaise aux plus grands nombres. Mais cela serait dommage de passer à côté de ce film puissant. Si vous y allez, accrochez vous, les premières scènes sont un peu laborieuses mais ca vaut le coup… pour la suite.
    alain-92
    alain-92

    319 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 novembre 2015
    "La vie n’est qu’une ombre qui passe …"

    Justin Kurzel livre avec ce Macbeth une réalisation particulièrement noire et angoissante. Si certaines séquences sont trop longues et inutiles, d'autres, au contraire, restent totalement déroutantes, voire envoûtantes. La photographie d'Adam Arkapaw y est pour beaucoup. Elle tout simplement remarquable.

    Le réalisateur plonge au plus profond de la noirceur et de la dérive sanguinaire de ce couple assoiffé de pouvoir. "Le moment était également opportun sur le plan des thèmes abordés dans la pièce : en effet, l’avidité et ses ravages sont plus que jamais d’actualité." Déclare la production.

    Le film nous entraîne dans un puits sans fond avec une rage omniprésente, destructrice et d'une violence inouïe.
    La direction d'acteurs est remarquable.

    Les comédiens donnent le maximum. David Thewlis, Jack Reynor, Paddy Considine sont les principaux protagonistes aux côtés desquels Michael Fassbender et Marion Cotillard, habités par leurs personnages, sont véritablement pris au piège des ambitions de ce couple meurtrier qu'ils incarnent à l'écran.
    Pierrick Jean D.
    Pierrick Jean D.

    27 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 novembre 2015
    Macbeth! C'est désormais l'australien Justin Kurzel qui s'attelle à la lourde tache la pièce du dramaturge anglais, marchant ainsi sur les traces de quelques grands, parmi lesquels Orson Welles ou Roman Polanski, excusez du peu... On ne présente pas l'ouvrage, Macbeth est l'une des pièces maîtresses de l'oeuvre globale de Shakespeare, peut-être même la pièce qui illustre le mieux la notion de drame shakespearien. Pour commencer, le réalisateur fait deux choix majeurs qui orientent directement la mise en abîme, le film conserve le texte tel que les âges nous l'ont transmis, et surtout, il est tourné en décors naturels, là où l'histoire prend place, dans une Ecosse sauvage et envoûtante! Le film est une réussite absolue, on frise la perfection... La grandeur de l'oeuvre est surtout retranscrite visuellement, Le récit a souvent tendance à s'étirer pour laisser le spectateur se prendre au ressenti des personnages grâce à une photographie très travaillée et vraiment bien pensée! L'image est tantôt filtrée pour accentuer un effet, tantôt simpliste pour laisser parler la spectaculaire force des paysages des terres calédoniennes. e qui vient appuyer la tragédie vécue par les personnages. L'interprétation, justement, est grandiose, Michael Fassbender campe un Macbeth terriblement investie, accentuant sa folie au fur et à mesure de sa démence meurtrière! Marion Cotillard, elle, impressionne en Lady Macbeth d'abord manipulatrice puis folle à son tour. La construction du film est chargée de symbolique, Justin Kurzel a su comprendre avec subtilité toute l'imagerie qui se cache dans les pièces du dramaturge tout en jouant très finement avec les codes de la tragédie. Tout repose sur le jeu prenant de l'intégralité du casting et sur la beauté de l'image. Le tout est agrémenté de bonnes idées de montage et de rythme pour accentuer le ton. On se surprend parfois à faire des parallèles avec le cinéma de Winding Refn, notamment à Walhalla Rising dont l'esthétique et l'épique, également sur fond de terres écossaises, sont comparables à cette version de Macbeth. Il n'en fallait pas plus pour réussir l'adaptation d'une telle oeuvre. C'est une réussite, il n'y a pas d'autre mot. Une pièce terrible et magnifique retranscrite dans un film époustouflant et d'une beauté rare. A voir c'est une certitude, et à ne rater sous aucun prétexte si l'on aime Shakespeare!!! Allez dans les salles obscures, et vive le cinéma!!
    poet75
    poet75

    272 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 novembre 2015
    Quel dramaturge se prête davantage aux adaptations cinématographiques que Shakespeare ? Et quelle pièce convient davantage que « Macbeth » ? Avec ses batailles, ses prophéties, ses sorcières, ses meurtres, ses paysages de landes et ses brumes, elle n'a pas manqué de séduire des réalisateurs aussi prestigieux qu'Orson Welles, Akira Kurosawa et Roman Polanski. De tels noms n'ont cependant pas intimidé, semble-t-il, le cinéaste australien Justin Kurzel dont l'adaptation comptera sans nul doute comme l'une des meilleures.
    Tout commence dans la brutalité et la sauvagerie : les visages se teintent de peintures de guerre avant que ne se déchaîne une sanglante bataille qui donne la victoire à Macbeth (Michael Fassbender), chef des armées du roi d'Ecosse Duncan, contre les ennemis de ce dernier. Tout semble alors se dérouler sous le signe de la fatalité, de ce qui écrit et annoncé par les sorcières de la lande, d'une série d'événements dont on ne peut changer le cours : c'est Macbeth qui sera roi à la place de Duncan, mais c'est à la descendance de son ami Banquo que la couronne sera ensuite transmise. Mise au courant de ces prophéties, Lady Macbeth (Marion Cotillard) incite son époux à s'emparer du trône. Commence alors un cycle de folie meurtrière visant à la conquête et à la conservation du pouvoir et que résume on ne peut mieux la plus fameuse des répliques de la pièce : « La vie est une histoire racontée par un idiot, pleine de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien ».
    Mettre en scène une telle histoire cependant et la confier à des acteurs (dont il faut souligner la performance), c'est nécessairement lui donner une teinte particulière. Les choix voulus par le réalisateur Justin Kurzel n'ont rien, à mon avis, que de très légitime. Ils font du personnage de Macbeth un homme ambivalent, physiquement fort mais mentalement faible. « Le sang appelle le sang », dit-il comme pour se justifier de commettre crime après crime. Mais la vérité, c'est que, comme un enfant, il se laisse impressionner par des prophéties de sorcières et, comme une marionnette, il se laisse manipuler par son épouse.
    Car c'est elle qui conduit la danse macabre. Danse sanglante à laquelle elle s'accroche jusqu'à la démence et la mort, tant elle est avide de pouvoir. On aurait tort de voir dans le rôle dévolu à cette dernière quoi que ce soit de misogyne. Dès sa venue en scène, Shakespeare lui-même a pris grand soin de lui faire renier sa propre féminité : elle clame son désir d'être « désexuée » et de ne plus voir sourdre de ses seins autre chose que du fiel ! Elle n'est plus dès lors, à proprement parler, une figure féminine mais inexorablement l'être qui tire Macbeth du côté de la nuit sans fin, ce que le réalisateur Justin Kurzel a su parfaitement mettre en image dans le film.
    En fin de compte, l'appétit de pouvoir dont il est question dans cette pièce s'accompagne sinon d'un retour au paganisme, en tout cas d'un refus du Dieu chrétien. Les sorcières-démones sont-elles autre chose que des pythies conduisant au chaos ? Cet aspect n'a pas échappé à Justin Kurzel qui, sans être démonstratif, insère dans son film des indices : les signes chrétiens sont présents dans bien des scènes, mais jamais ils ne sont invoqués par les personnages. Si une croix se détache parfois derrière Lady Macbeth, c'est pour indiquer précisément que celle-ci s'en détourne. Quant aux évêques apparaissant lors de quelques scènes, comme des spectres, ils sont si blafards qu'ils semblent venus d'outre-tombe. Seules règnent la violence et la mort, au point que l'écran finit par se teinter de rouge sang.
    spoiler: Jusqu'à l'ultime scène où, sur le champ de bataille, sa femme étant morte et lui-même mortellement blessé, Macbeth se mette à genoux comme s'il retrouvait enfin le Dieu qu'il avait perdu !

    On pourra certes regretter quelques effets de mise en scène : on se passerait volontiers de la surabondance des ralentis lors des séquences de batailles. Cela étant dit, les qualités du film l'emportent de loin sur ses défauts : si l'on fait exception des scènes de batailles, celui-ci ne manque pas de sobriété. Les décors eux-mêmes, faits de landes austères et de paysages brumeux, ont été choisis avec soin pour s'accorder aux personnages. Quant à ceux-ci, on ne dira jamais assez avec quel talent ils sont interprétés : Michael Fassbender comme Marion Cotillard méritent tous les applaudissements ! 8/10
    LALALALALERE
    LALALALALERE

    18 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 novembre 2015
    Le cinéaste ne sait pas raconter une histoire, il est amoureux de ses plans, l'action n'avance pas, le rôle de Lady Macbeth n'a plus aucune profondeur... Un ratage complet. Un ennui mortel.
    cylon86
    cylon86

    2 530 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 novembre 2015
    Shakespeare, Michael Fassbender, Marion Cotillard... Cette adaptation de ''Macbeth'' était attendue, ne serait-ce que pour voir Fassbender se frotter à un rôle par lesquels Orson Welles et Toshirô Mifune sont passés. Mais vu que derrière la caméra se trouve Justin Kurzel, réalisateur du très laid ''Les Crimes de Snowtown'', on était en droit de se demander ce que ça allait donner. Les premières minutes font peur, avec sa scène de bataille mélangeant plans d'action brutale et ralentis foireux. Et puis très vite, la magie fait son effet et le film trouve son ton. Le ''Macbeth'' version Kurzel sera brutal, violent mais aussi superbe et le réalisateur ne tarde pas à très vite l'affirmer. Tourné dans de superbes décors, baignant dans une photographie totalement envoûtante (aux aspects tantôt fantomatiques tantôt rougeoyants), le film est une version fascinante de la pièce de Shakespeare, pleine de bruit et de fureur dont la beauté est avant tout visuelle. Parfois lent, parfois lancinant, ce ''Macbeth'' est aussi l'occasion pour Michael Fassbender de livrer une prestation totalement hallucinée et de témoigner une fois de plus de son talent d'acteur, frôlant un peu plus la folie au fil de son ascension meurtrière. Face à lui, les seconds rôles sont solides mais c'est surtout Marion Cotillard qui étonne, composant une Lady Macbeth vile et parfaitement convaincante, sombrant elle aussi peu à peu dans la folie. Aussi imparfait soit-il lors de certains moments (quelques ellipses étranges et des idées de mise en scène pas toujours saisissantes), le film est tout de même un grand moment de cinéma, une adaptation somptueuse, brutale et magnifique, témoignant d'une ambition certaine et d'une envie de secouer le spectateur (comme en témoignent la musique résonnant en nous ou encore les scènes de violence).
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