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Le film met en vedette Gabrielle Marion-Rivard dans le rôle de Gabrielle une femme atteinte du syndrome de Williams. Gabrielle a le syndrome de Williams une maladie génétique. Les personnes atteintes du syndrome de Williams ont un léger retard de développement et une personnalité et une apparence distinctes. Elles sont généralement extraverties et amicales. Elles sont généralement très verbale et souvent talentueuse sur le plan musical. Elles rencontrent le monde avec une vraie joie de vivre. Toutes ces caractéristiques sont vraies pour Gabrielle. On dit que l'apparence physique des personnes atteintes du syndrome de Williams est elfique. Étant donné que personne n'a réellement vu un elfe il est difficile de dire comment nous pourrions savoir que quelqu'un ressemble à un elfe. Cependant certains anthropologues pensent que la connexion a fonctionné dans l'autre sens. Les personnes atteintes du syndrome de Williams ont peut-être été à l'origine de ce que nous considérons comme l'apparition d'elfes. L'intrigue du film repose sur la sexualité croissante de Gabrielle et sur la capacité de Gabrielle à vivre sans le soutien de sa sœur. Le partenaire de Sophie est en Inde et Sophie veut le rejoindre. Elle est déchirée entre son amour pour sa sœur et son désir d'être avec l'homme qu'elle aime et elle est exceptionnelle dans ce rôle. La réalisatrice Louise Archambault construit avec brio son film autour des problèmes très réalistes qui pourraient en effet défier Gabrielle . Gabrielle se transforme en une merveilleuse performance. Et tous les acteurs ceux qui ont un retard de développement et ceux qui n'en ont pas donne une grande performance...
Gabrielle, tu brûles mon esprit, ton amour ètrangle ma vie! Non, rien à voir avec la chanson de Johnny! Mais plutôt la rencontre d'une ècole qui s'appelle « Les Muses » , basèe à Montrèal et spècialisèe pour les gens qui ont un handicap intellectuel : autiste, trisomique [...] Ce très beau film canadien ne verse ni dans le misèrabilisme, ni dans la sensiblerie et encore moins dans le moralisme! il y a juste le dèsir de parler de l'humain au-delà de la dèficience! Une histoire èmouvante entre deux jeunes personnes avec des obstacles, un dèsir d'indèpendance et un lien avec la musique qui transcende l'idèe du handicap mais aussi les frontières! Comme toujours avec Louise Archambault, tout passe par la pudeur de la mise en scène! La manière dont la cinèaste dirige ses comèdiens non professionnels est juste et convaincante! Avec Gabrielle Marion-Rivard, lumineuse et enthousiaste, avec un coeur incroyable et une fraîcheur qui n'appartient qu'à elle! Le film lui doit beaucoup! Atteinte du syndrome de Williams, ne mèrite t-elle donc pas des rôles spècialement ècrits pour elle ? Instants magnifiques avec deux belles chansons au centre de loisirs dans la chorale : « Pendant que les champs brulent » de Niagara et « Lindberg » de Robert Charlebois qui joue dans le film...
Histoire d'amour entre deux personnes mentalement moins bien nanties qui est pratiquement parfaite. Le jeu est incroyablement bon et frais, l'histoire touchante. Simple mais efficace.
Film magnifique et émouvant sur le handicap et le droit au bonheur !! L'actrice principale (qui est réellement handicapée) est excellente et la romance entre Gabrielle & Martin est bouleversante !! Mon ami Maxime (qui est québecois) a adoré ce film et j'ai pris grand fun à le regarder en sa compagnie !!
Le cinéma de la canada contient un nombre impressionnant de films. Un des thèmes présents dans les cinémas de la canada est la sensibilisation à la différence, quelque exemple de film originaire de la canada qui permet la sensibilisation à la différence est « Sam, je suis Sam, Le Huitième Jour, Gabrielle … ». Le film « Gabrielle » est le film qui sera le sujet de cette critique, car ces films permettent de sensibiliser davantage le spectateur qui à visionner ce film à la maladie mentale. En plus, ces films nous sont présentés en ordre chronologique, car au début du film le personnage principal participe à une chorale, mais à l’intérieur de ce choral, Gabrielle, exprime une attirance démarquer envers un garçon qui est présent dans la même chorale que Gabrielle, et l’histoire montre l’évolution de l’amour qui unit les deux être de manière entièrement chronologique. En bref, le film « Gabrielle » est un très bon film qui peut changer la perception de certain envers la maladie mentale, car lors du visionnage de ce film, on peut rapidement ressentir un sentiment d’empathie envers les personnages présent dans ce film.
Ce long-métrage porte un regard positif sur la différence. Il nous montre que les personnes handicapées, sont des personnes comme les autres, qu'elles ressentent des émotions comme tout le monde, et surtout qu'elles veulent vivre comme nous. C'est un très beau film, touchant, poétique, émouvant. Cette histoire fait penser à celle de Roméo et Juliette, qui sont prêts à tout pour vivre leur amour. Ce qui est remarquable également, c'est que la plupart des acteurs du film, sont eux-mêmes handicapés, y compris l'actrice principale. Alors qu'en général, les acteurs employés pour ce genre de film, ne font que jouer un rôle.
J'ai adoré !!! Une belle histoire d'amour différente entre 2 jeunes différents.
C'est simple, humble, c'est l'amour pour tous. Un film presque thérapeutique pour sa luminosité, sa bienveillance, le naturel et la tendresse qui en découle. Alexandre Landry est tout simplement bluffant de vérité face à la joyeuse et jolie Gabrielle. Une tranche de vie qui fait du bien au cœur et à l’âme.
Une belle histoire d'amour sincère, honnête, loin des clichés habituels et interprétée par des acteurs pétillants (je n'ai pas arrêtée de sourire durant tout le film). Le film est drôle, solaire et rend hommage à l'amour dans ce qu'il a de plus noble et beau, sans tomber dans la mièvrerie. Le réalisateur tend à raconter non pas une histoire d'amour entre deux autistes mais entre deux personnes qui s'aime tout simplement et croyez-moi cela fait tout la différence car encore une fois : c'est raconté avec beaucoup de simplicité et sans ridiculiser les handicapés par des stéréotypes touts faits.
Louise Archambault offre, avec Gabrielle, un très joli cadeau aux spectateurs.
C’est admirablement bien orchestré ; un pur moment de grâce duquel on ressort grandi par cette très belle leçon de vie.
J'ai beaucoup aimé.
C’est admirablement bien orchestré ; un pur moment de grâce duquel on ressort grandi par cette très belle leçon de vie.
J'ai beaucoup aimé.
Un film bouleversant, émouvant, sublime ! Aimer lorsqu'on est déficient mental, est-ce que cela doit se faire sous contrôle parental ou institutionnel ? Drôle de question tout de même. Ces acteurs sont magnifiques, ils crèvent l'écran! Et puis, l'apparition de Robert Charlebois est aussi très émouvante. Quelle vision porte la société sur la maladie mentale, quelle intervention est acceptable ou inenvisageable dans ce qui fait qu'une rencontre a lieu entre deux êtres, voilà de quoi nous pencher sur de tels enjeux. Bravo pour ce magnifique film chère Louise Archambault !
Très bon film qui raconte une histoire d'amour entre personnes un peu différentes des autres. Si ici c'est le handicap mental qui est ici la toile de fond, ça aurait pu être la religion, la couleur de peau, la culture... Peu importe l'obstacle, une histoire d'amour, pour se développer, nécessite beaucoup de foi en cet amour pour faire tomber les barrières, de l'audace et se fiche du regard des autres. Louise Archambault déroule magnifiquement le fil de cette histoire et je lui dis un grand bravo et merci pour rappeler que l'amour et autres belles choses arrivent également dans la vie des gens handicapés.
Yetcha
Une jolie histoire romantique dans le milieu des handicapés mentaux qui donne une bonne leçon quant au regard que certaines personnes portent sur eux. Jolie romance avec l'accent québécois. À découvrir même si ce n'est pas un très grand film. Les acteurs sont natures.
Le prétexte facile étant le handicap de départ... La mise en scène est basique, sans relief rendant ce film fade et plat.L'accent québécois très prononcé ne rend pas l'affaire facile. Film ennuyeux bien que certains passages sont émouvants... A voir en tâche de fond!
Fritz L
On se souvient toujours des jolies choses et il est fort à parier que ce «petit film » intimiste restera gravé à jamais dans ma mémoire. Sur le fond comme sur la forme Gabrielle est excellent… D’abord parce qu’il traite d’un sujet délicat peu évoqué au cinéma : le droit à l’autonomie des personnes en situation de handicap, au niveau de la vie quotidienne mais surtout affective. Ensuite, le film nous touche par cette manière toute décomplexée avec laquelle Louise Archambault traite son sujet. Loin de tout pathos, du genre docu fiction choc, elle nous livre avec beaucoup de simplicité la passion qui illumine Gabrielle et Martin. Une love story pleine de tendresse et d’ingénuité. Bien évidemment, comme dans les plus belles histoires d’amour contrariées, cela ne se passe pas aisément. Et cette idylle devient alors prétexte à une démonstration des comportements contradictoires de l’entourage qu’on peut imaginer en pareille circonstance, contrastes qui se jouent aussi entre nos deux tourtereaux… C’est là, toute l’intelligence de cette œuvre qui écarte résolument tout angélisme. De ces morceaux de vie choisis, de ces moments presque volés, le tout assemblé donne un film d’une rareté troublante. Et l’on peut compter sur les deux formidables acteurs amateurs, Gabrielle Marion-Rivard et Alexandre Landry, pour nous donner frissons et serrement de cœur. Et quand ils se mettent à chanter… alors là… c’est la gorge nouée que l’on se dit que nous sommes des gens ben ordinaires. Eux sont des anges !
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