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linda amrane
1 critique
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0,5
Publiée le 28 mai 2023
J’en ai vu des navets, mais celui-là se pose là! Mon dieu quelle horreur. 1h20 de platitude, d’une Sophie Marceau qui ferait bien de se renouveler dans ses mimiques (les mêmes depuis La Boum), d’un François Cluzet qu’on a connu bien meilleur et qui n’est vraiment vraiment pas à sa place, des clichés de vie de famille « heureuse », d’un manque de profondeur hallucinant, bref 1h20 de souffrance… la seule note sympa de ce film, sa bande son. Le reste est à jeter aux oubliettes.
Malgré une idée de base attrayante autour de la thématique du fantasme, les invraisemblances et surtout incohérences de la narration au regard de la scène finale l'emportent. Au-delà de la crédibilité du couple Marceau-Cluzet, ce qui pose problème se concentre sur une réalisation emplie de clichés de romance adolescente (l'attitude initiale des protagonistes semblant pourtant les prévaloir d'emballements aussi véloces) et d'effets de style de midinette. Un concept maladroitement exploité.
Sophie Marceau reste toujours magnétique, inalterablement belle, charismatique, la petite fille du cinéma français, star iconique qui traverse le temps depuis la boum. Elle est l'actrice française qui a su échapper à son seul statut d'actrice et de star pour faire partie de nous même et du patrimoine français comme le fut adjani à un moment à la différence de la longévité en haut de l'affiche. Si Sophie Marceau apparaît surtout maintenant dans des comédies sentimentales françaises légères, elle n'en demeure pas moins charismatique. François Cluzet est parfait mais il aurait pu être interchangeable. On retrouve forcément le ton de lol, même réalisatrice, et ce rôle de mère célibataire qui continue à exister en temps que femme, retrouvant même des émois d'adolescente. C'est frais, tendre, cohérent et la fin est heureuse car elle évite le choix qui forcément conduirait à une déception en laissant planer le doute sur la réalité de ce qui s'est passé. Mais dieu que Sophie Marceau est belle et ne l'oublions jamais talentueuse.
Une rencontre est un film romantique assez banal. Malgré les grands noms présent que sont Francois Cluzet et Sophie Marceau.
Dommage le film à certains moment fait preuve d'une esthétique à la limite de la pub de parfum. spoiler: A un moment donné les protagonistes parle de clichés malheureusement le film entier du scénario, à la réalisation en passant par l'interprétation en est un.
Décidément Sophie Marceau en cette année 2014 elle les enchaînait les films romantiques sans saveurs on aura eu d'abord une rencontre puis pr finir l'année Tu veux ou tu veux pas avec Bruel.
Passez votre chemin sf si vs êtes en manque d'amour et de romantisme clichés.
Une histoire de coup de foudre beauf au possible, avec une fin pompée sur « L’amour l’après-midi » de…Rohmer (oui, oui, vous avez bien lu) ! Quant au non-sens qui conclut le film : « Pour qu’une histoire ne s’arrête jamais, il ne faut pas qu’elle commence », Lisa Azulejos aurait été bien inspirée de se l’appliquer à elle-même : « Pour qu’un film ne soit pas une daube, il ne faut pas le tourner ».
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18 103 critiques
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1,5
Publiée le 26 septembre 2020
Les acteurs Sophie Marceau et François Cluzet font leur travail mais c'est tous. Les sentiments ne sont qu'à la surface et ne décollent jamais. Il y a beaucoup de belles images mais peu convaincantes qui tournent en rond en montrant très peu de ce que ces personnes sont censées ressentir. C'est un film anémique c’est le moins que l'on puisse dire. Les personnages principaux eux-mêmes et leur histoire sont ennuyeux à suivre. Même les morceaux de musique sont dépourvus d'émotion réelle sauf peut-être la piste de fin. Il n'y a qu'un seul rebondissement ou une sorte de surprise et ce n'est pas convaincant. Les meilleures scènes étaient celles où les relations du personnage principal avec ses enfants étaient au centre où je les trouvais plus crédibles que dans leur relation l'un avec l'autre. Si vous voulez une histoire d'amour française fade je suppose que tout ira bien pour vous. Mais il y a peu d'inspiration à trouver et très peu voire rien sur quoi réfléchir dans Une Rencontre...
Une comédie légère et sympathique, écrite, jouée et dirigée par Lisa Azuelos. Par un montage habile, elle nous réserve de nombreuses surprises avec de charmantes scènes surréalistes. Son scénario, à priori très banal, se révèle finalement assez subtil. Cette réalisation est aussi assurée par la qualité des prestations d'acteurs avec les belles participations de Jonathan Cohen et d'Alexandre Astier et un superbe duo composé par Sophie Marceau et François Cluzet
Une rencontre comme cela peut arriver à chacun. Inattendue, provoquée par le hasard, à condition qu'il existe. Tout bascule, et tout bouscule. La vie de famille, la vie professionnelle ne tiennent plus qu'à un fil. L'amour suspend les êtres sur le fil de l'éternité. Sophie Marceau et François Cluzet jouent parfaitement ces deux êtres qui ne devraient pas tomber amoureux et pourtant... "Une rencontre" à le mérite de laisser le spectateur dans ses rêveries amoureuses et ses désirs peut être inavoués. Le film peut paraître un peu futile presque léger, un peu comme une brève histoire d'amour. À chacun d'en juger.
Je n’avais pas accroché à « LOL (Laughing Out Loud) » de Liza Azuelos mais, là, j’ai eu le coup de foudre pour « Une Rencontre » : c’est un film court (1h22) et intense, à mi-chemin entre rêve et réalité, qui s’inscrit dans un univers quotidien on ne peut plus crédible. C’est une expérience à vivre : les acteurs sont parfaits, au service d’un film plus profond qu’on ne pouvait l’imaginer initialement.
Une comédie romantique assez classique sauvée par la présence de la gracieuse Sophie Marceau et par sa BO. Ça fait un peu lège mais c'est déjà pas mal !
[Une rencontre] Peut-on renoncer à un amour évident ? Comment un homme et une femme irrésistiblement attirés l'un vers l'autre gèrent-ils cette attirance irrésistible ? Alors que leur rencontre surgit tandis qu'ils sont à mi parcours sur le chemin de la vie, que deviennent leurs conjoints, leurs enfants, leurs amis, leurs collègues, leurs habitudes et leurs arrangements avec la vérité dans ce tsunami qui leur redonne à vivre leurs quinze ans et leurs visages béats d'amoureux adolescents ? On se laisse emporter dans ce questionnement sans être transporté. Sophie Marceau et François Cluzet rattrapent par leur jeu une intrigue qui s'éffiloche. Etait-ce volontaire pour faire ressentir au spectateur le trouble ressenti par les personnages principaux ?
Marceau et Cluzet. Le couple amant fonctionne même si j'aurai préféré y voir à la place Vincent Lindon. Après LOL, Soso joue à nouveau dans un film de Lisa Azuelos. Elle s'y sent bien, ça se ressent. Une aura entoure Soso comme du temps de la Boum. Alors, la forme de l'histoire est d'un bon sentiment, j'ai eu l'effet d'être devant une adaptation d'un bouquin de Guillaume Musso, du moins un zest. L'amour éperdument, l'aspect de deux êtres flottants. Cet amour semble parfait, mais la bulle peut éclater à tout moment. Cela m'a plus. Sinon, c'est pas sans défaut, un passage un peu avant la fin confirme que la réalisatrice gagne du temps d'un scénario qui arrive au bout du bout.