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    O Ornitólogo
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    Sosa
    Sosa

    9 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 octobre 2022
    D'un côté on a El Topo qui avec une multitude de références Biblique réussi à rester un temps soit peu fin, de l'autre
    ce film qui une fois la moitié passé pullule de messages homo et biblique, mauvais mélange.

    La scènes où les chinoises pratique shibari sur leurs guide est surprenante mais c'est pas une pratique japonaises ?
    De toute façons il n'est pas à ça prêt dans le mixage Mr le réalisateur ( Dieu ? )
    Pendant que les français naissent libre et égaux en droit, les asiatiques sont livrés avec un doctorat en Bondage, c'est plus utile en même temps dans certains pays l'esclavage est encore au goût du jour. Pour ça -1000 étoiles

    C'est fin aussi de faire parler le protagonistes principal mille langue.

    ah est oui les acteurs joue comme des pieds ou plutôt un pied celui de Trezguet en 2006...ils sont totalement détaché de leurs personnages, on dirait qu'ils lisent Valeur Républicaine.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 480 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 septembre 2021
    On ne peut pas regarder L'Ornithologue comme un film traditionnel. Il faut au contraire l'aborder comme on le ferait d'un poème en s'ouvrant simplement aux sensations et aux images pour voir ce qu'elles peuvent nous dire. Je ne peux pas vraiment apprécié ce type de visionnage car je pense à un film comme L'année dernière à Marienbad ou à n'importe quel film de David Lynch. Mais ils doivent être extrêmement bien faits pour fonctionner et ce n'est pas le cas de celui-ci. Les motifs de cette histoire sont en grande partie soit sexuels soit religieux ou spirituels. Un observateur d'oiseaux se retrouve perdu dans la nature lorsque son canoë chavire. Il est capturé par deux autres randonneurs qui ont l'intention de le castrer dans le cadre d'un étrange rituel mais il s'échappe. Il rencontre un type au hasard et couche avec lui sur la plage avant de le poignarder. Il rencontre d'autres gars habillés en oiseaux qui se livrent à une sorte de bacchanale de minuit. Vers la fin l'acteur qui joue cet homme est remplacé par le réalisateur du film lui-même. En cours de route le réalisateur montre plan après plan des oiseaux lorsqu'il n'a apparemment rien d'autre à faire ou à dire et parfois nous avons même des plans du protagoniste du point de vue des oiseaux. Bien sûr on sera tenté d'imposer un sens à tout ce hasard et on sera probablement frustré par la résistance à rendre cette tâche facile. J'ai bien voulu me laisser porter mais lorsque j'ai réalisé que ce film ne me disait pas grand-chose je l'ai abandonné et j'ai cessé de me soucier de ce qui se passait à l'écran. Le fait que je ne sois pas du tout religieux ne m'a pas aidé et les thèmes religieux forts du film n'ont rien signifié pour moi. Peut-être que quelqu'un qui s'intéresse davantage aux grandes questions entourant Dieu et la foi y trouverait son compte mais de toute façon comme je ne le saurai jamais alors je m'en fiche...
    Uther Zendrest
    Uther Zendrest

    4 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 janvier 2020
    Un genre d'Into the wild mais avec un marginal qui a des hallucinations. C'est très long par moments et la fin est grotesque.
    vindiesel
    vindiesel

    4 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 mai 2020
    Ce film doit etre interdit au moin de 16 ans ! Au depart il commence tres bien et l'idée de sur l' histoire partait du bon pied.Mais au fil du temps il y certaine scenes choquantes qui sont a la hauteur d'un film erotique .
    Car a mon souvenir je me rappel pas avoir vu un film avec une femme avec sa vulve en gros plan !
    Dans le cinema de nos jour on ne voit pas l'equivalent entre femme et homme .....pour un penis on montre une touffe chez la femme .... pour une erction chez l'homme on ne montre pas plus chez la femme ....Pour une masturbation masculine on montrera en gros plan .....mais qu en ai t il de la femme quiest aujourd hui toujours a se cacher derriere tout sa !C est bien malheureux car on y voit l 'egalité homme et femme !
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    680 abonnés 2 990 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 septembre 2019
    L’Ornithologue est une vie de saints. Et en cela un chemin de croix. Ou comment la pratique contemplative – dans le sens aristotélicien qui associe le temps libre à l’étude – de l’ornithologie se transforme peu à peu en chasse à l’homme au cours de laquelle l’objet de la contemplation (l’oiseau) devient une menace planant au-dessus du héros, incarnation de ce fanatisme divinement inspiré. Car du volatile unitaire naît une masse obscure qui se meut dégagée de toute contrainte relative à la pesanteur, à l’instar de ces deux touristes asiatiques qui s’emparent des propriétés de l’oiseau : ces dernières se substituent aux animaux contemplés et occupent la vision des jumelles, sautent d’un lieu à un autre sans être vues, sont littéralement des jumelles que Fernando confond. C’est attester leur statut d’allégorie. Comme l’entièreté des protagonistes, d’ailleurs : allégorie de la nature maladive de l’homme. Allégorie de sa foi gorgée de souffrances. Nous voyons des rondes autour d’un feu suivies du sacrifice d’un sanglier, nous apercevons un jeune homme boire directement aux pis de la chèvre, nous découvrons des amazones montées sur leur destrier et prêtes à l’attaque. Nul doute à avoir : homme et nature se raccordent au sein de cet espace boisé subitement élevé au statut de jardin des délices et des supplices. Une juxtaposition de rencontres change le périple de Fernando en récit mythologique, dont l’axiologie intrinsèque aurait toutefois été renversée : le héros avance seul et subit davantage l’odyssée qu’il ne la porte. Ses égarements lui font traverser des scènes paraboliques, du ligotage à l’arbre fruitier sous lequel il croque le fruit défendu. Rodrigues entend ainsi exhiber le martyre contemporain d’un Jésus homosexuel ; il pense son décor comme le cadre naturaliste d’une série d’hallucinations à effets de réel et brosse, par tableaux successifs, la passion comme un art de composition. Des gravures du Moyen Âge aux installations contemporaines formées d’un kayak et de poches gonflées, le film élabore de petites vignettes qui se trouvent dédoublées par la visite d’une chapelle abandonné : Fernando y découvre les étapes de la passion du Christ qui l’ont porté sur la croix. L’Ornithologue suit donc une dynamique d’entrée en martyre par un apprentissage conscient de la douleur : avec beaucoup de cynisme, il adapte dans le monde d’aujourd’hui la violence des textes et de l’idéologie qu’ils contiennent. Ce martyre repose sur le questionnement qui préoccupe notre personnage : l’hésitation entre la vie et la mort. Le crâne porté à sa hauteur dans une position de dialogue rappelle Shakespeare et le dilemme existentiel. Le crâne dans une main, les médicaments dans l’autre. C’est en réalité le sida et la persécution qui se trouvent ici incarnés : faut-il se battre contre vents et marées, ou disparaître en acceptant sa condition d’être faible, d’individu que la religion juge taré ? Car le film, à l’instar des deux lorgnettes d’une même paire de jumelles, aborde la solitude sous deux dimensions. Il s’agit d’abord de celle d’une homosexualité prohibée qui plonge celui qui la vit dans un désarroi constant. Sur ce point, le film va plus loin et refuse tout droit à la masculinité en la réduisant à l’image figée d’un attribut viril constamment représenté par le prisme de l’outrance et qui, en cela, met sur le devant de la scène les pratiques homosexuelles que l’Église réprouve. Pratiques que la nature, elle, rend néanmoins naturelles : la seule scène de sexe se déroule à même le sol, sans aucune forme de dramatisation ni d’excès phallique. Les corps sont nus et sont là, c’est tout. L’interdit est donc une construction idéologique et pèse sur l’homme, et encore plus sur l’homosexuel qui a le malheur de redoubler son pénis par celui de son compagnon. La deuxième solitude est, elle, intérieure. À une persécution communautaire qui empêche le marginal de s’intégrer aux structures sociales en place correspond la crise que vit un couple ne parvenant plus à communiquer – pas de réseau –, dessinant en creux l’ébauche d’un passé douloureux que l’on suppose marqué par le sida. Ces deux solitudes évoluent au fil des retournements scénaristiques et reproduisent les événements marquants de quelques saints (François, Thomas, Antoine). Le réalisateur prend un malin plaisir à se servir de la religion qui bannit l’homosexuel pour chanter le martyre glorieux d’un saint qui finira par canoniser cette même homosexualité, donc refonder la religion sur des valeurs inversées. Pied de nez énorme. Œuvre sur le fanatisme, L’Ornithologue se plaît à brouiller les frontières entre une réalité douloureuse et une rêverie cauchemardesque dans laquelle surgit un groupuscule d’hommes et de femmes à tête de poisson ou d’autre animal, évoquant au passage The Wicker Man premier du nom. En croisant comme il le fait les dérives sectaires que les siècles ont égrenées, le film aboutit à une peinture acerbe du marginal face à une communauté qui ne le comprend pas et le traque afin de le supprimer mais, sans le vouloir, va lui permettre d’accéder à la vie éternelle. Il puise dans cette atemporalité autant rugueuse que fantasmatique ce qu’il lui faut d’énergie pour dépasser le plaidoyer politique et s’ériger en errance d’un déshérité, d’un être qui n’a de cesse de passer d’une rive à l’autre jusqu’à, enfin, trouver la voie de la sanctification. Voici venir au monde Saint-Antoine, saint patron des naufragés et des marginaux. Celui qui restaure le souffle vital à celui qui l’a perdu, apporte la fertilité comme remède à la stérilité. Voilà, en fin de compte, la bible ironique de l’homosexuel, une œuvre qui extrait de la souffrance des signes de vie. Rodrigues affirme ici que la persécution crée le martyre, et que le martyre est la seule condition susceptible de faire entrer l’homosexuel dans la vie éternelle. Ou comment immortaliser celui que l’on a, pendant si longtemps, cherché à détruire. « Tu es vivant, tu n’as jamais été mort ».
    lilyzab
    lilyzab

    24 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 septembre 2019
    Gros soupir ...... on peut peut etre y voir de l'onirisme ou une démarche christique??? moi je n'y vois que du glauque! Désolée mais l'univers du réalisateur ne me porte pas, aucun réel univers, on peine à croire qu'il est perdu en pleine "jungle" dans la scène ou il est attaché par les chinoises dont d'ailleurs je n'ai pas compris la "quête " si tant est qu'elles en aient une? on ne voit que le sexe de l'acteur en érection ! autre exemple ....il rencontre un berger dès la première scène on comprend qu'ils vont baiser Tanathos les contacts téléphoniques ???? ... et aussi déception sur les images d'oiseaux filmés quasi constamment à travers les jumelles aussi l'image est-elle assez moche! bref je préfère encore voir un vrai documentaire animalier que m'emmerder dans ce film .......Passez votre chemin
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 avril 2018
    Un personnage mélancolique, mystérieux d’abstraction, son métier l’occupe dans sa solitude, volontaire et observateur obstiné de la nature sauvage, son chemin d’aventure sinueuse croise la route de gens plus ou moins étrange, rappelant «Cemetery of splendour�, l’obsession comme thème principal, un film bizarre et pas si mal que ça, des clins d’œil aux voyages expérimentaux du réalisateur portugais.
     Kurosawa
    Kurosawa

    578 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 février 2018
    Il suffit parfois d'une dizaine de minutes pour reconfigurer tout ce qui nous avait échappé, pour donner du sens à une matière hétéroclite qui avait jusque-là fasciné et envoûté mais dont la démarche restait obscure. Car si l'on s'en tient à une simple description, "L'Ornithologue" peut rebuter par sa construction en blocs, qui comporte entre autres deux jeunes asiatiques castratrices, une troupe d'hommes masqués dansant autour d'un feu, un jeune berger sourd-muet ou encore des amazones parlant latin. Si on ne peut prétendre lier tous ces personnages, on est tout de même en capacité d'effectuer des rapprochements grâce à un final qui lève le voile sur certaines de ces interrogations. Le film est en fait une relecture originale de la vie de Saint Antoine de Padoue, mais greffe au sacré une dimension profane et carnavalesque aussi déroutante que jubilatoire. Il ne faut donc pas s'étonner de voir dans le même film des ébats homosexuels au bord d'une rivière et des symboles bibliques très forts tels l'apparition d'une colombe, une hétérogénéité qui sert une réflexion complexe sur la foi puisque Fernando est un ornithologue athée, à l'instar du cinéaste, qui va progressivement devenir l'objet d'une transmutation en Saint Antoine de Padoue, paradoxalement interprété par João Pedro Rodrigues, achevée dans une fin à la fois sanglante et apaisée. Cette thématique du double, qui ne vaut pas que pour le personnage principal mais qui se voit généralisée à l'échelle du film, représente bien l'ambiguïté assumée de Rodrigues par rapport à Antoine de Padoue dans sa volonté d'en extraire une part biographique et de la mêler à des fantasmes – autant sexuels que cinématographiques. Et quand retentit au générique de fin la merveilleuse chanson"Canção de Engate" d'António Variações, on réalise à quel point "L'Ornithologue" est avant tout un grand film d'amour.
    vincent L.
    vincent L.

    240 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 février 2018
    Sublime !
    Des paysages somptueux de la vallée du Douro, la lumière, les oiseaux et... la beauté animale et troublante de Paul Hamy toujours aussi charismatique. Le film lui doit beaucoup. cette épopée bucolique nous démontre une fois de plus qu'il peut relever haut la main tous les défis. Bravo !
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    584 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 janvier 2018
    J’affirme qui faut savoir de quoi il s’agit en entrant dans la salle sinon le nombre des spectateurs sortant mécontents nuira à la réputation de ‘’l’ornithologue’’ dont déjà le titre est une duperie. Cela étant dit, il est également nécessaire d’aimer les différents thèmes présentés et si possible de les connaître pour apprécier pleinement le film car ses seules qualités cinématographiques sont loin de mériter des éloges. Le cinéma n’est pas un catalogue de belles images fussent t elles bien photographiés, la mise en scène doit participer au spectacle. Filmer des extérieurs, même avec soin, ne peut suffire pour cela. De plus la fin totalement surréaliste subit un changement de rythme qui ne peut artistiquement se justifier…Nous ne sommes pas dans un vrai rêve du héros mais dans l’imaginaire de l’auteur. La confusion entre le narrateur et le héros est toujours une faute. D’autre part, si Rodrigues est libre de ses choix il a le devoir de mieux nous les faire comprendre, ce qui n’est pas le cas avec une séquence finale que l’on peut qualifier de n’importe quoi. Les films de Bunuel ou d’Almodovar respectent beaucoup plus les spectateurs tout en étant aussi iconoclastes.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 décembre 2017
    Voilà un film "branlette mayonnaise" ! Au moins à l'époque de la pellicule les réalisateurs frappadingues avaient tellement de mal à monter leur financement que ça faisait le ménage, aujourd'hui avec le numérique et les divers fonds et mécènes de tout poil on se retrouve à régulièrement perdre son temps avec des films comme l'ornithologue. Ce qu'il y a de bien avec internet c'est que les critiques ne sont pas laissées au mains des journaleux. Vous êtes prévenus !
    David M
    David M

    26 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 décembre 2017
    Pour résumer ce film, je dirais que c’est une sorte de « projet Blair Witch » version David Lynch Portugais.
    Un trip satanique dans la forêt avec une fin totalement absurde et incompréhensible à la « mulholand drive »
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 8 février 2017
    Fernando, jeune ornithologue passionné par son métier, explore une rivière en kayak à la recherche de cigognes noires.Emporté par les rapides il est sauvé par de 2 jeunes chinoises égarées sur le chemin de Compostelle.
    Le cinéaste revisite la liturgie et identifie son héros à Saint Antoine de Padoue (ou de Lisbonne, c'est le même). Ce jeune homme va traverser différentes aventures au cours de son périple, et s'en trouvera transformer. Est-ce une ode à l'acceptation de l'homosexualité, je dirais que oui.
    Cinéma contemplatif où la nature et le désir se font écho. Belle mise en scène.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 16 janvier 2017
    qùst ce que je me suis ennuyé dans ce film un coup de badigeon de religion une bzlade dans le Portugal qui prend des airs d'Amazonie à fuire
    Wilde
    Wilde

    28 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    Au départ, je pensais m'abstenir de faire une critique de ce très étrange et très perché "Ornithologue", car je n'ai saisi que très peu de choses de son histoire et de ses messages... bibliques? catholiques? C'est en tout cas très étrange, et trop alambiqué pour m'avoir touché.

    Je suis pourtant ouvert d'esprit et sensible à la poésie d'un film, son ambiance, même quand celle-ci ne m'est pas parfaitement perméable. Mais là, non. Son étrangeté est trop floue et au final, il est agaçant de tenter de saisir le message du réalisateur quand celui-ci ne semble pas avoir fait d'efforts pour rendre ce dernier accessible au public que nous sommes. La salle de ciné s'est vidée de moitié et la projection fut longue me concernant... cette quête spirituelle et cette transformation finale sont finalement beaucoup trop abstraits. Alors 2 étoiles pour le courage du réalisateur de sortir et assumer ce film, pour les paysages et pour Paul Hamy qui apporte une touche sensible à cet ensemble un peu glauque.
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