Le septième long-métrage réalisé par Nicole Garcia se veut être un drame social s’appuyant sur la rencontre entre deux individus dans la galère. Si pour la première (Louise Bourgoin) on en comprend dès le début les raisons, pour le second (Pierre Rochefort, fils de Jean et de la réalisatrice), on en découvre les contours au fil des minutes. Sorti en 2013, ce film manque d’écriture et reste d’un académisme affligeant. Les personnages, bien qu’attachants, sont peu approfondis et se mouvent au gré d’un scénario cumulant les invraisemblances. Bref, une œuvre sans aucune intensité.
Un très joli film encore une fois de Nicole Garcia qui porte un regard fin et lucide sur notre société. Le récit d'un beau week-end mais la romance n'exclut pas une critique acerbe d'un mépris de classe qui fait des ravages.
Merci pour ce très beau film. J'ai beaucoup aimé. Louise Bourgoin et Pierre Rochefort sont deux acteurs remarquables, d'une grande intensité et d'une belle présence, subtils, tout en justesse et sincérité. Nicole Garcia est une excellente réalisatrice. Je ne comprends pas du tout les mauvaises notes...
Malgré le charme de Louise Bourgoin, ce drame ne va pas vous passionner. Le scénario est pauvre. Au bout d'heure, l'histoire s'enlise et l'ennuie s'installe. A éviter.
Je suis très étonné par la dureté de certains avis. Les images sont belles, les acteurs tous impeccables, la musique bien choisie et l'histoire très intéressante (les portraits me semblent tous très justes). Un beau film.
Le principal problème du film de Nicole Garcia c'est qu'elle ne traite pas du tout l'histoire d'amour, plus préoccupée par l'observation de deux classes sociales, les pauvres et les bourgeois. C'est dommage parce que sa mise en scène est assez fluide et que les acteurs sont corrects. Mais on s'ennuie ferme. On attend qu'il se passe quelque chose de plus passionné mais rien ne vient pas a part quelques gentils rêglements de compte chez les bourges. Pierre Rochefort a une belle présence mais son personnage est globalement passif et Louise Bourgoin a du caractère, quelque chose de plus sauvage mais ça ne suffit a relevé un script relativement balisé et rempli ça et là de choses assez grotesques.
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1,5
Publiée le 18 octobre 2021
Il est rare que je me sente perplexe après avoir fini de regarder un film. Il est bon ou mauvais ou entre les deux mais rarement ou en fait jamais je n'ai eu l'impression d'avoir été trompé. Avec Un beau dimanche j'ai eu l'impression que ça n'avait pas encore commencé. Cette heure et plus n'était qu'une introduction et le divertissement promis n'a jamais commencé. Il commence par une intrigue qui se développe en une autre apparemment étrangère à l'idée principale de l'histoire du film. Les deux intrigues sont incroyablement faibles irréalistes et ennuyeuses et tellement clichées. Le jeu des acteurs n'est pas bon non plus l'enfant acteur n'ayant pas pu livrer sa performance et les deux acteurs principaux ne sont pas terrible non plus. C'est une surprise plutôt désagréable d'un cinéma français habituellement très bon...
moi, j'ai bien aimé ce film , il m'a fait un peu rêver et m'a permis de passer une bonne nuit sans cauchemar .. alors, j'ai lu toutes ces critiques ereintantes, oui, c'est un peu beaucoup rempli de clichés et d'invraisemblances, oui, ça "ne se passe pas comme ça en vrai", mais ce n'est pas un documentaire , n'est ce pas, et le cinéma, n'est ce pas aussi et surtout pour s'évader et rêver ? par exemple, j'aimerais bien savoir où est exactement cette merveilleuse plage !
un beau dimanche : pas sûr ; le film commençait bien avec le personnage de l'instit qui était interessant mais quand vient la serveuse ça devient cliché ; je n'ai pas tenu jusqu'au bout ; la réalisation est mauvaise ; louise bourgoin est décidément une actrice décevante qui pourtant en promettant beaucoup après le rôle d'Adèle
M’attendant au pire au vu des critiques négatives, je suis resté absorbé du début à la fin de ce beau film, comédie romantique des temps modernes, au ton et au scénario original. Très beau jeu des acteurs. Un excellent moment.
Pas mal, on se laisse emporter, et découvrir la famille de Baptiste, la famille qu'il a quitté, et l'on découvre son passé, des flash-back, d'où la compréhension d'un début décousu. Tel un puzzle, éparpillé. Baptiste, trouvera son âme sœur. La singularité, et la découverte de chaque personnage de sa famille, fait froid dans le dos. Baptiste quant à lui est détaché de toute cette fortune, de cette haute bourgeoisie. D'un coup de main, il deviendra plus que l'instituteur, et son élève deviendra plus avec le temps. Je vous laisse le découvrir....
À travers l’histoire de cet instituteur entrant en relation intime avec la mère d’un de ses élèves, comme un père de substitution, Nicole Garcia aborde le thème du mépris de classe. Elle vise juste et ce n’est pas forcément très agréable (je me suis senti, en tant que spectateur, avoir le même rejet que Baptiste envers sa famille bourgeoise superficielle).