Vous n’allez pas aimer … mais 50 Nuances Plus Sombres est un sacré bon film à mes yeux ! Fini l’aspect cul-cul du premier, cette suite sonne bien plus mature, moins vulgaire. On ne se sent plus face à une histoire cherchant l’érotisme à tout bout de champ, mais face à une romance émotionnellement torride ! Cela se retranscrit notamment au travers de l’écriture : l’évolution des personnages est logique, cohérente et, désormais, bilatérale (le personnage d’Anastasia s’affirmant bien plus que dans le premier). Je vous accorde que le scénario ne décroche pas la lune, c’est évident ! Mais c’est efficace, on s’attache à cette histoire. Et puis, l’avoir vu avec ma compagne nous a permis de débattre sur les thèmes abordés au travers de Christian créant une affinité supplémentaire avec le film. Franchement, apprenez à ouvrir votre esprit car quand on essaie de comprendre le personnage de Christian, on comprend tout l’intérêt du film …
Je dois dire que j'ai plus qu'aimer cette deuxième partie de la trilogie. Elle est égale à la première partie. Avec autant de scènes chaudes plus captivantes les unes que les autres. Je pense que je ressemble un peu au personnage féminin aussi têtue qu'elle et elle ne laisse pas marcher sur les pieds. Je le recommande fortement pour les personnes qui aiment regarder cette trilogie avec autant de plaisir que moi.
J’ai trouvé cette suite un poil au dessus du précédent mais les mêmes problèmes persistent. De nombreuses scènes sont manquantes ou modifiées et le tout est encore décousu. Je pense qu’ils auraient dû faire plus de films afin de respecter le plus fidèlement les livres. Néanmoins, nous avons droit à certains flashback de Christian lorsqu’il était enfant, au bal masqué, à la confrontation avec Elena Lincoln, à l’intrigue Leila, le sabotage de Charlie Tango, la demande en mariage, au début de l’intrigue autour de Jack Hyde,.. Cependant, j’ai trouvé que le tout manque d’émotions. Mention spéciale pour la chanson I Don’t Wanna Live Forever de Zayn et Taylor Swift.
Après une belle note minimale décernée au premier volet, on va me prendre pour un masochiste à vouloir regarder cette suite. Mais justement, comme je l’expliquais dans ma critique de l’opus précédent, j’aime bien de temps à autre regarder un navet assuré, afin de réapprécier les bons films derrière. Mission accomplie, « Fifty Shades Darker » est encore pire que son prédécesseur ! J’ai néanmoins beaucoup d’admiration pour les producteurs de ce film. Parvenir à pondre un long-métrage de deux heures qui ne raconte rien, et qui fait près de 400 millions de dollars de recette, je dis chapeau. Messieurs, je pense que vous pouvez enseigner en école de commerce de cinéma ! Car « Fifty Shades Darker », c’est le vide intersidéral. Comme le premier, le film est relativement propre sur la forme… à tel point qu’il en est aseptisé. Aucune émotion ne se dégage, et ce n’est pas l’absence totale d’alchimie entre les deux acteurs principaux qui changera la donne. Les dialogues sont raz-des-pâquerettes, les personnages inintéressants. Quant aux scènes de sexe, oui elles sont nombreuses. Mais expédiées en quelques minutes, et elles-aussi très épurées : pas de sueur, pas de marque, très gentillettes, là encore la communauté S&M va se poiler. Le seul vrai sadisme c’est de nous infliger une soupe abominable sur toute la BO… y compris pendant les parties de jambes en l’air ! Le film cherche toutefois à se construire autour d’un semblant d’intrigue : Anna va-t-elle se mettre en couple avec Christian (attention suspense insoutenable) ? Sauf que ceci est résolu dès le premier quart d’heure. Ensuite, on nous sert deux vagues antagonistes qui auront peut-être 5 minutes de présence cumulées. La botoxée Kim Bassinger (choix en forme de clin d’œil à « 9 ½ Weeks » ?) incarne une ancienne maîtresse qui se mêle de ce qui ne la regarde plus. Tandis que le boss d’Ana est un cliché sur pattes d’agresseur sexuel, qui sera évacué en deux minutes du scénario. Et puis, outres les divers faux-raccords et facilités, il faut parler du dernier acte, risible à souhait. En particulier, la gestion d’une séquence d’hélicoptère (je n’en dirai pas plus). Que ce soit la manière de l’amener, de la filmer, ou de montrer ses conséquences, c’est absolument hilarant de bêtise. Allez, je tenterai le troisième volet quand j’aurai vu trop de bons films…
On touche le fond avec cette suite. Un beau navet marqué par une intrigue scenaristique totalement ratée. Je ne sais pas ce que donne les bouquins, mais sans doute que l'adaptation cinématographique ne pouvait pas faire pire.
Pas terrible, moins sulfureux, moins fascinant. Il ne se passe pas grand chose à part des scènes de sex. On en apprend un peu plus sur Christian mais ça manque d'intérêt.
Je me réjouis que cette suite ait été moins médiatisée que le premier opus de cette saga de la déviance. Ce malade mental de Christian est de retour pour jouer des mauvais tours. Très mauvais tours. Le mec se montre encore plus malsain que précédemment. Oui, c'est possible.
Cette suite introduit par ailleurs de nouveaux personnages pour ajouter un peu de piment à la chose. Parce que les "oui non, oui mais non, je t'aime, moi non plus" entre Christian et Anastasia, ça devient gonflant. Bon, on reste dans le domaine de l'amour destructeur avec tentative d'attouchements et jalousie maladive, m'enfin…
Je reprocherai surtout à cette suite d'un peu partir dans le n'importe quoi (même si cette saga toute entière au cinéma et en prime time, c'est du grand n'importe quoi de base). Christian se dévoile comme un ramassis de clichés plus ou moins vraisemblables. Le mec a eu une enfance difficile, pauvre chou. Mais il a été recueilli par une famille aimante, Dieu soit loué ! Il a donc réussi à passer outre ces débuts difficiles pour devenir un homme d'affaire ultra charismatique. Et surtout, extrêmement riche; j'aimerai bien savoir comment il a construit toute sa fortune. Car la richesse est invoquée pour résoudre tous les problèmes scénaristiques possibles et inimaginables : tu veux une nouvelle voiture ? Hop une nouvelle caisse ! Je veux resserrer mon emprise sur toi ? Hop, je rachète ton entreprise. Wtf...
On atteint l'apogée du délire quand Christian invoque son enfance compliquée pour justifier qu'il prend du plaisir à taper sur des bonnes femmes. Sachant qu'il reconnait lui-même que c'est un comportement malsain et destructeur. Qu'est- ce qu'il attend pour se faire soigner alors ?
Bref, le mec force à mort pour qu'Anastasia (qui, je le rappelle, voulait fuir cette relation toxique) revienne. Elle revient et il affirme qu'il n'y aura plus de contrat BDSM. Ils se marient. Morale : même si le gars en face présente des déviances mentales, tant qu'il renonce à sa dominance au lit, c'est bon vous pouvez y aller les girls ! L'emprise toxique au quotidien, c'est de l'eau…
Une suite dans la même idée que le premier. Le duo Johnson-Dornan est excellent, la bande son bien choisie et adaptée aux scènes. La mise en scène est solide donnant une certaine puissance au film. Cependant le scénario est totalement absent sans aucun entrain et rythme. On arrive pas à voir où le film veut mener le spectateur. Une oeuvre sans fil rouge.
Une suite qui reprend les mêmes ingrédients, d'une photographie luxueuse figée, avec de petites intrigues annexes vaines car mal exploitées. Le tout manque de saveur, subit des incohérences de temps et les nombreuses scènes érotiques lassent définitivement. Une romance décidément compliquée et sans arrêt contrariée qui ne parvient à toucher!NB: un petit clin d'oeil à maman Dakota, M. Griffith, avec la reprise d'une tirade de Working girl (1988).
Évidemment comme il y à plusieurs tomes au roman à l eau de rose, on poursuit la production cinématographique... résultat avec les mêmes acteurs sur la même veine ... une daube intersidérale... tout est mauvais, le scénario, les acteurs... enfin bon une caricature de roman Harlequin en pire ...
Beaucoup de déception! Au lieu d'une progression psychologique, les 2 personnages deviennent transparents et incohérents. Anastasia ne le veut plus mais elle demande des fessées. Christian renonce à ses pratiques pour la reconquérir. Une ex-soumise apparait et menace de tuer Anastasia. Mais à la vue de Christian elle se re-soumet. Scéne si mal amenée et si mal conclue! Les scènes d'amour n'ont aucun intérêt car sans préliminaires et elle aime ça. Bidon! Il évite le crash d'hélicoptère avec moteur en feu sans égratignure. A quoi sert cet épisode? La fifille ne grandit pas. Le chef d'entreprise disperse son argent et des roses pour la reconquérir! Vraiment Bidon!
Absolument affligeant... Le scénario est.... Bah en fait y n'y en a pas..... spoiler: Une nana est kidnappée et on l'a retrouve .... Le reste au tour manque de jusqu'au boutisme... Manque de charisme violent... Aucun premice d'excitation, ni d'érotisme... J'ai regardé er jusqu'à la fin pour voir si elle pourrait sauver... Mais non déluge de m..... A proscrire. Au secours... 😱