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    White Bird
    Note moyenne
    3,6
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    206 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 octobre 2014
    Je n'ai pas voulu voir ce film essentiellement par rapport au synopsis, que je n'ai pas lu d'ailleurs. Non, je me suis dit, je vais aller voir ce film parce qu'il y a Eva Green et que c'est pour moi une perle cinématographique. J'aime la voir à l'écran car elle a une présence impressionante. Surtout dans ce film. Ce qui est d'autant plus impressionant c'est cette présence scénaristique. Son personnage est omniprésent, nous obssède.
    Ce film c'est un tout. Un monde banal pourtant absurde, bien ancré dans les années 1980, ou les personnages sont confrontés à leurs désirs, à la liberté, au questionnement de la vie et de la mort. Ils se content de vivre, de profiter, d'aimer et d'oublier leur destin, laissant parfois le passé resurgir.
    Mais étonnement le film reste absolument léger, dramatique et drôle pour une situation morbide.
    Je pense certainement que c'est la force de ce film. Le seul regret reste les longueurs de temps à autre.
    César D.
    César D.

    37 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 octobre 2014
    l'atout majeur de ce film est sans conteste Eva Green, superbe dans tous les sens du terme. le scenario, lui, m'a semblé paresseux. j'ai été à un doigt de m'ennuyer. pour les fans de Gregg Araki et de Shailene Woodley. à noter que Christopher Meloni, que l'on connait surtout pour son rôle d'inspecteur dans New York Unité Spéciale, offre une belle composition.
    vidalger
    vidalger

    326 abonnés 1 252 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2014
    Greg Araki, ne révolutionne pas le cinéma avec cet oiseau blanc qui, sous prétexte du mystère de la disparition d'une mère et épouse très "middle class" de banlieue américaine, nous fait visiter les affres métaphysico-sexuelles d'une ado pas si différente de la fille de la porte d'à côté. Le scénario perd rapidement de son mystère, on a l'impression d'avoir déjà vu trop souvent ce personnage de femme qui s'ennuie au foyer en attendant le retour de son mari, celui de l'ado en conflit avec maman et papa, les potes de lycée frisant la caricature...Eva Green est encore une fois mal employée et...pas très aidée par une coiffure-choucroute plus sixties que eighties. Bref, rien qui ne ressemble pas à une banale série d'outre-Atlantique, hormis un rythme alangui, réveillé ça et là par des rebondissements de pacotille.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 096 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 octobre 2014
    J'ai vu deux films d'Araki et j'ai vraiment pas aimé, avec ce troisième, la présence de Woodley ne me rassurait pas... Mais ne dit-on pas que moins par moins fait plus ? Parce que oui, enfin, enfin ! Enfin ils sont là, enfin on peut les voir et ils sont beaux... On a envie de les téter, de les malaxer !!!

    Et c'est le principal. Je me doutais bien que Araki n'allait pas résister à nous les montrer ! Bon après je n'aime toujours pas Woodley, mais, mais, elle a du potentiel si elle continue sur cette voie.

    En fait j'ai apprécié le film, sans doute car c'est moins kitch qu'un kaboom, et moins glauque et racoleur qu'un mysterious skin. En fait c'est un film presque sobre, même si on a tout de même l'impression que les couleurs on été lavées avec Mir Laine machine couleur éclatantes et que je n'aime pas du tout... Les moments où il se lâche c'est dans du rêve et du coup ça passe un peu mieux que cet aspect néon permanent de Kaboom.

    C'est le troisième film en un mois qui traite d'une femme qui disparait entre Horns, Gone girl et maintenant White Bird... Et les trois films le traitent différemment, si ce n'est pas fabuleux ? Ici on va aussi voir les côtés "noirs" du mariage comme chez Fincher, la routine, le mépris, voir sa beauté disparaître... Parce que la mère est jouée par Eva Green, ce n'est pas rien question beauté. Ce film rappelle qu'un jour on sera triste en se regardant dans la glace et à se dire qu'on ne sera jamais aussi beau qu'on ne l'a été car le temps fait pression sur nous. C'est traumatisant limite.

    Le film propose aussi la découverte de la sexualité (enfin découverte)... et dit des choses assez méchantes, mais assez vraies également... Par exemple elle dit que son père et son copain sont transparents, on a la surface et si on creuse on a juste plus de surface... Mal qui contamine plus de personnes qu'on ne le croit.

    C'est un peu longuet par moments, cependant j'ai aimé la résolution de l'histoire, même si j'aurai aimé qu'on nous laisse en plan... En fait le gros défaut du film, c'est que si Araki s'est calmé du coup, ce qui rend le film regardable pour moi, c'est que du coup c'est un peu quelconque. Sympa, mais je vais vite l'oublier, sauf le gros détail mentionné en introduction. Aussi il y a un flash back sur un cadenas dont on aurait pu se passer, on a compris... difficile d'être plus lourdingue que ça... J'aime pas qu'on me prenne pour un abruti, j'ai suivi le film, merci, pas la peine de me rappeler ça...

    Bref, agréable surprise.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    112 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2014
    Au-delà de l'aspect thriller, qui ne semble pas passionner Araki qui l'expédie dans les dernières minutes de manière abrupte, le film évoque l'éveil sexuel d'une jeune fille, entre son boyfriend très beau mais pas assez intelligent selon elle et le flic chargé de retrouver sa mère, un quadra poilu, viril et direct. (...) S'il ne parvient pas à atteindre les sommets cette fois, Araki n'en livre pas moins un film remarquable et captivant.

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 octobre 2014
    Film touchant et original malgré qu'il soit un peu noir, le jeu d'acteur assez fort. Shaileen Woodley est excellente.
    Le doute plane tout le long du film, on ne sait pas comment cela va se terminer, du coup c'est un peu le choc à la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 octobre 2014
    Allégorie du passage à l'âge adulte, White Bird nous emmène dans les années 80. Couleurs jaudes et musique pop. C'est délicat, c'est naïf, c'est détaché. C'est un regard adolescent. Critique complète en cliquant sur le lien.
    Fritz L
    Fritz L

    187 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2014
    Greg Araki est un réalisateur malicieux. Sous l’apparente disparité, voire l’inégalité de son œuvre, il n’a de cesse de traiter ce moment clé et si particulier de la vie, le passage traumatique du monde adolescent à celui des adultes. Loin de tout dogmatisme, ou d’analyse, il pose sa caméra au niveau de l’adolescent en mutation replacé dans un contexte social et sociétal d’une époque. C’est le cas avec « White bird » nimbé visuellement et musicalement des années 80. Kat, jeune fille épanouie sereine et déjà blasée, voit sa mère disparaître du jour au lendemain. Cette absence creusera petit à petit une faille qui viendra ébranler sa belle suffisance face à l’existence. A l’image du périple dans les limbes de la pensée morbide de « « Nowhere », du traumatisme des deux héros de « Mysterious skin » ou des délires psychédéliques de « Kaboom », « White bird » commence de manière anodine. Une multiplicité de petits détails malsains s’immisce au fur et à mesure jusqu’à un dénouement dramatique attendu. Chez Araki, ce n’est pas le sujet qui fait le film, mais bien les failles humaines qu’il peut en retirer et mettre en scène. Il se veut une espèce de marionnettiste, qui triture les âmes et les sentiments jusqu’à la prise de conscience. Formellement très proche de « Mysterious skin », « White bird » se distingue par son détachement, au point tel que l’émotion qui s’en dégage est nettement moins forte, même si la crédibilité de l’ensemble est parfaitement cohérente. Les acteurs, à commencer par Shailene Woodley et Eva Green, sont surprenants d’authenticité. Leur jeu mimétique des eighties est surprenant. Tout aussi incroyable, la direction artistique voulue par Araki, avec son ambiance visuelle, son cadre, est sa lumière est extrêmement fidèles à cette période. Il signe là un film sobre d’une très grande qualité, prompt à ébranler toutes les réticences d’un démarrage un peu mollasson.
    ATON2512
    ATON2512

    60 abonnés 1 140 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 octobre 2014
    Le film est essentiellement porté par Shailene Woodley et Eva Green admirable et par des rôles moins importants certes mais joués avec précision. Pour autant un film où au fur et à mesure de l'action la trame se déroule . Prévisible à souhait et c'est dommage pour faire un très bon thriller.
    Daniel C.
    Daniel C.

    150 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 octobre 2014
    A l'aube du vingtième siècle, Sigmund Freud découvrait que la voie royale d'accès à l'inconscient était le rêve. Dans White bird, à la suite de la disparition de son épouse, le père envoie sa fille consulter une psychothérapeute, qui déclare que les rêves ne veulent rien dire! Lorsque Freud se rendit aux Etats Unis, il déclara: "ils ne savent pas que je leur apporte la peste". En fait, l'usage que font les américains de la théorie de l'inconscient est parfois discutable... A viser l'adaptabilité, on passe à côté de la portée subversive de la dimension de l'inconscient et du caractère parfois sulfureux de ce que le rêve peut nous révéler. White bird est un thriller de haute volée. Les acteurs sont excellents, le scénario bien ficelé. Je viens de découvrir qu'Eva Green est la fille de Marlène Jobert, elle est formidable dans son rôle, tout comme elle l'était également dans The salvation. Shailene Woodley incarne magnifiquement l'étape adolescente, qui d'entrer dans la sexualité n'en interroge pas moins le fonctionnement ou les éventuels dysfonctionnements de celle de ses parents. Chaque personnage de ce film mériterait d'être détaillé. Le mieux, c'est finalement de courir voir cet excellent film!!
    norman06
    norman06

    351 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2014
    Si Araki semble assagi, son cinéma gagne en épure et intensité dramatique. Ce faux teen movie sous fond policier est l'un de ses meilleurs films. On appréciera l'atmosphère envoûtante et le charme d'un casting sans faute.
    Anne M.
    Anne M.

    75 abonnés 643 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2014
    Dans les années 80, aux USA, Kate, 17 ans, habite une banlieue ennuyeuse avec ses parents. Un jour sa mère disparaît. Son petit ami s'éloigne d'elle et elle commence une relation avec l'inspecteur chargé de l'enquête.

    Le film explore la vie de Kate avant et après cette disparition, à ses côtés ses deux amis inséparables. Elle est suivie aussi par une psy.

    L'intrigue du thriller est assez prévisible, malgré le coup de théâtre final. Celui-ci ne rajoute rien au suspense déjà peu existant.

    Eva Green est belle dans ce rôle de mère pourtant hallucinée.

    La narration s'effectue à travers les yeux et la voix de l'adolescente, c'est surtout cela que j'ai beaucoup aimé dans ce film.

    La jeune femme scanne son entourage et la vie de ses parents, avec lucidité et une ironie parfois décapante. J'ai vraiment trouvé beaucoup de passage drôles, -j'ai beaucoup ri sous cape - du fait des remarques de l'adolescente et de ses amis.

    Le film s'apparente assez à "American beauty" par son côté satirique.

    C'est un film à voir.
    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    185 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 octobre 2014
    Un film étrange à l'ambiance glauque porté par de bons comédiens, notamment Eva Green, impériale.
    Une critique plus détaillée et d'autres sur
    annereporter94
    annereporter94

    52 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 octobre 2014
    Déroutant, intrigant... Difficile de classer ce film qui mêle maints univers sans jamais vraiment en abandonner un seul. On est parfois un peu perdus, mais toujours attirés par l'intrigue...
    Fabien D
    Fabien D

    183 abonnés 1 140 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 octobre 2014
    White bird, le nouveau film de Gregg Araki est, une fois n'est pas coutume pour le cinéaste, une œuvre magistral. Retour à une veine plus réaliste, après le génial et délirant Kaboom, Araki nous livre un film bouleversant assez proche dans sa structure du très beau Mysterious Skin. On y suit Shailene Woodley, sublime en adolescente à la découverte d'elle-même et de son propre corps, qui fait subitement face à la disparition de sa mère incarnée par une Eva Green absolument éblouissante. Le film avance, ente présent et passé, évoque la jeunesse insouciante de l'héroïne avant de basculer dans une seconde partie proche du sublime dans un mélodrame bouleversant. Si l'image est léché et le kitsch cher au cinéaste toujours présent, le film surprend par sa sobriété. Les séquences oniriques qui pourraient être ridicules deviennent tour à tour poétiques et dérangeantes. White bird est un grand film car il ne cherche pas forcément de réponses. La conclusion finale digne d'un thriller quelconque est transcendé par le jeu des acteurs avec en tête un Christopher Méloni assez exceptionnel. Araki se sert de son intrigue de polar pour mieux raconter la détresse d'un couple et d'une famille. Subtil, bouleversant accompagné d'une bande original incroyable reprenant quelques grands titres pop indé de la fin des 80's , White bird est la preuve que Gregg Araki est l'un des plus grands cinéastes encore en activité.
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