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    Pieta
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    46 critiques spectateurs

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    Alice L
    Alice L

    169 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 avril 2013
    Pretentieux, ennuyeux, vide... Autant de raisons pour éviter ce film! Moi qui suis habituellement fan de kim ki duk j ai cru mourir d ennui...
    etoile_du_jaguar
    etoile_du_jaguar

    3 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 avril 2013
    Inregardable.
    Il y avait 6 personnes dans la salle, au bout de 30 minutes 4 sont parties.
    A éviter. Sans intérêt, on ne va pas au cinéma pour tomber dans le sordide.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 355 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 avril 2013
    Bon... Il y a toujours une part de « too-mucherie » dans le cinéma de Kim Ki-duk, aussi bien dans la rudesse du style que dans le contenu du propos. Mais là, personnellement, le problème que j'ai rencontré avec ce film, c’est l'explosion du baromètre du too-much... Les situations sont vraiment trop grossières et c'est franchement souvent de la provocation, voire de la vulgarité gratuite. Moi ça m'a tellement pas parlé que je m'en suis endormi. Désolé Kim, la plupart du temps j'aime tes trips, mais là c'est sans moi...
    Emile Strogonoff
    Emile Strogonoff

    50 abonnés 98 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 avril 2013
    Crevard ayant morflé tout moujingue, le retour d'une daronne qu'on espérait plus vient chambouler l'existence blécharde du héros. Plutôt salopin sur les bords, celui-ci perd les pédales et fait l'expérience du doute. "Et si je m'étais gouré"... Un scénar à l'esthétique bien ripolinée mais qui souffre de conformisme dans la réalisation. Les adeptes de la rédemption expresse prendront leur pied, les autres le perdront...
    Flore A.
    Flore A.

    35 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 avril 2013
    Film bouleversant et extrêmement noir qui m'a scotchée de la première scène très réussie jusqu'à la dernière. Une critique féroce de la banalisation de la violence en Corée et du pouvoir de l'argent qui en est la cause ... et le récit d'une vengeance savamment orchestrée, le tout bien servi par des acteurs impeccables. On ressent la haine, les désespoirs, ... Les premières rencontres entre les 2 héros sont une vraie réussite spoiler: et on voit comme l'héroïne nos sentiments changer à l'égard de ce "monstre" qui se découvre une part d'humanité.
    Une grosse claque mais il vaut mieux avoir l'estomac bien accroché pour les nombreuses scènes d'humiliation, de violence ... d'une cruauté et d'une perversité infinies que Sade lui-même n'aurait pas reniées : âmes sensibles s'abstenir ! mais c'est aussi ce qui fait que ce film est de ceux qui vous marquent.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 132 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mars 2013
    (...) Avec de si solides bases, Kim Ki-Duk a juste loupé le coche et est passé à côté du choc émotionnel qu’il désirait déclencher. Un petit raté auquel il ne faudra retenir que le démarrage divinement orchestré et l’interprétation parfaite de l’acteur principal.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 388 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 février 2015
    Pieta est l’histoire malsaine d’un fils sadique qui retrouve sa mère trente plus tard avec beaucoup d’inceste. On a l’impression que le réalisateur se plait dans cette crasse dramatique et ignoble. L’histoire avance avec démonstrations et reproches mais ne donne jamais d’explication. La rédemption du fils reste donc inappropriée et négativement surprenante. On soulèvera cependant la qualité du jeu des acteurs, en particulier celui de la mère, Min-soo Jo.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    Gabith_Whyborn
    Gabith_Whyborn

    39 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 août 2014
    Un film dur, cruel et difficile d'accès mais beau! J'ai été touché.
    james93
    james93

    9 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 avril 2013
    La grand retour de KKD.
    Son meilleur film de loin depuis PRINTEMPS, ETE...et LOCATAIRES
    Oui c'est noir, oui c'est violent...mais c'est ça la vie et c'est ça la Corée !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 avril 2013
    Un film fort qui malgré quelques lenteurs m'a beaucoup plu
    Julien D
    Julien D

    1 212 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 avril 2013
    Derrière le thriller psychologique bien ficelé, le scénario de ce film choquant est un drame poignant. Aussi bien drame intime, à travers la rédemption de ce personnage inhumain, qu’un drame social dépeignant avec froideur la situation économique de la Corée. L’imagerie crépusculaire et la violence des rapports humains aident à créer un univers littéralement terrifiant, voir insupportable, que le rythme allongé du récit veut nous faire découvrir en profondeur au risque de perdre en chemin ses spectateurs qui, pour la plupart, ne profiteront pas du choc émotionnel escompté et ne feront qu'en conclure que Kim Ki-Duk ne s'est par remis de sa dépression nerveuse.
    Clingo
    Clingo

    62 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 avril 2013
    Piteux Pieta ( spoilers dans le texte ).

    Après Amour à Cannes l'année dernière, un autre film misanthrope sur l'humiliation rafle le plus prestigieux prix d'un grand festival de cinéma. Voici donc Pieta et son Lion d'Or obtenu à Venise ( où concourait également Spring Breakers, comme le disent les frères Coen, la vie n'a aucun sens ). Depuis une dizaine d'années a surgi une vague de films sud-coréens qu'on pourrait résumer - de manière un peu schématisée, certes - à une oeuvre stylisée sur la vengeance, à la violence extrême, graphique, passionnée. Là où le scénario habile et la mise en scène inspirée d'Oldboy sauvaient le film, où le point de départ et la virtuosité de J'ai rencontré le diable donnaient un intérêt au Kim Ji-woon, quasiment tout dans Pieta contribue à l'échec du nouveau Kim Ki-duk. Son scénario mal écrit par exemple, qui empile les situations misérabilistes et mélodramatiques ( les gens que va voir Kang-do sont tous des pantins pathétiques et inconsistants ) sans faire le moindre effort dans le développement de l'intrigue. Tout est traité sans finesse, à l'image de la relation mère-fils qui voit un bloc de violence déshumanisé soudainement s'attacher à un autre personnage. Et le film ne montre pas l'évolution de sa figure centrale, pas plus qu'il ne donne la possibilité au spectateur de se l'imaginer par le biais d'un hors-champ, lieu possible d'une réflexion personnelle. Sans prendre non plus la peine d'analyser ce qui se produit sous nos yeux, se contentant de l'asséner, de l'imposer sans autre solution pour le spectateur que de subir. On pourrait alors rétorquer à cette critique que le film ne cherche pas cela, qu'il est froid et donc détaché. Sauf que décrire froidement la naissance de sentiments " nobles " n'a aucun sens et que ce parti pris sonne la mort des personnages et l'intérêt que l'on pourrait leur porter. Que la froideur imprègne la première partie de Pieta est compréhensible, mais que le film prolonge cette approche au fil de son déroulement l'est beaucoup moins.

    Pieta ressemble à une ( mauvaise ) caricature du film de vengeance sud-coréen. La violence y est gratuite, et n'est motivée par rien d'autre qu'une esthétique choc qui se complaît dans son propre encrassement et dans une surenchère de mauvais goût. Le film semble constamment à la recherche du pire, les scènes malsaines ( mais vaines ) se succèdent, et l'on apprend que la Corée du Sud est un pays très sympathique où l'on passe son temps à se suicider, à gifler des gens, les mutiler, les masturber ( peu importe qu'il s'agisse de son propre fils, du moment qu'il a besoin d'affection ), violer sa mère ( le côté psychanalytique du film, raccourci très facile et degré zéro de la pensée ). Il y avait, dans les films cités plus haut, un autre rapport à la violence, qui faisait écho à la tragédie vécue par les deux personnages. Elle n'en demeurait pas soutenable pour autant ( aux deux sens du terme ), mais faisait sens. Ici, cette violence n'est qu'une démonstration de force, un jeu d'humiliation, où comme chez Haneke, l'amour n'est qu'une illusion qui masque la perversité du processus filmique et des sentiments humains. La seule bonne surprise de Pieta est une idée narrative qui s'éloigne pour le coup du film de genre : en déplaçant la vengeance du côté de la fausse mère, le film gagne enfin en subtilité après l'avoir si longtemps évitée. La machination à l'oeuvre sonne comme un refus du scénario de s'aventurer vers le terrain trop connu du déferlement de violence cathartique, qui n'a pas lieu d'être puisque Kang-do n'a à se venger de personne. Mais cette seule idée ne sauve même pas ce film grotesque et hideux, où la vengeance n'est plus un plat qui se mange froid, sinon une tambouille écoeurante sans aucune saveur.
    JoRod
    JoRod

    63 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 mai 2013
    Lion d’or à Venise, Pieta, dernier film de Kim-ki-duk, déjà connu notamment pour Adresse inconnue, Printemps, été, automne, hiver... et printemps ou encore Locataires, raconte l’histoire d’un homme seul et monstrueux qui découvre sa mère pour la première fois de sa vie. Une œuvre immorale, complaisante et grossière.

    Il y avait de quoi espérer pas mal de choses de l’œuvre de Kim-ki-duk avant visionnage. Le lion d’or décerné par Michael Mann était l’une des principales raisons mais aussi un talent certain et affirmé. Mais dans ce Pieta rien ne va et c’est peu de le dire.

    Le film est un voyage mélangeant fantasmes et remords. Le propos tenu par le film est déjà très maladroit. Mais c’est surtout la mise en avant d’un manque de subtilité totalement consternant. Le film est bourrin, grossier et la violence mise à l’image ne trouve aucune justification.

    Kim-Ki-Duk fait souvent preuve d’amateurisme dans sa réalisation. La démonstration étant appuyée à outrance. L’œuvre s’accompagnant d’une immoralité constamment présente et prouve une certaine absurdité de l’œuvre du réalisateur Sud-Coréen.

    C’est un cinéma qui ne produit rien mis à part du négatif. On est déçu et consterné par tant de médiocrité.

    Le réalisateur semble perdu dans sa complaisance. A chaque plan on sent qu’il est persuadé de son talent et qu’il impose une vision profonde mais pourtant son symbolisme bidon et lourd est désolant le reste nous laissant totalement de marbre.

    On comprend mal qu'une distinction telle que le Lion d'Or vienne glorifier une oeuvre aussi maladroite et consternante et à quel point le Jury présidé par Michael Mann ait pu se laisser berner à ce point.
    Thierry M
    Thierry M

    166 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 avril 2013
    ce film prête à rire parfois tellement c'est idiot.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 188 abonnés 5 194 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2017
    Le film est une chemin sans fin vers la violence. De part son travail, l’homme s’assombrit et devient une machine sans pitié jusqu’à la rencontre de sa mère qui le fait réfléchir. Kim Ki Duk choisit la brutalité pour expliquer le manque d’amour en nous entrainant en même temps dans la douleur folle de cette femme venue de nulle part.
    Très sombre de par son titre déjà: la mère qui pleure son fils sur ses genoux….. Titre vraiment bien choisi par l’aspect aimant mais également par l’aspect rédempteur qui donne un ton particulier à la toute fin qu’on ne peut dévoiler.
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