Derniers Avis : Le Crocodile du Botswanga - Page 44

Un vrai navet, malgré une belle prestation de deux acteurs principaux. Je me suis endormie. L humour est lourd, les blagues sont vides, malgré que j ai adoré l avant première avec F. EBOUE. Pas mon genre de film. J ai préféré '' Case départ ''

Après le pas terrible "Les Rayures du zèbre" de Benoît Mariage avec Benoît Poelvoorde et Marc Zinga, cet au tour de Fabrice Eboué et Ibrahim Koma avec "Le Crocodile du Botswanga" de s'attaquer au joueur de foot talentueux venu de l’Afrique, repéré par un recruteur français. Décidément, c'est un sujet qui ne permet pas d'avoir une lecture intéressante sur ce monde à travers des films. Pourtant après les cinq premières minutes, fort drôles et bien amenées, on assiste à des scènes jouées comme des sketches en salle de spectacle, les acteurs marquant comme un temps d'arrêt pour attendre les rires du public et usant de mimiques sur leur tête pour exprimer "oh mais qu'est-ce qu'il me dit, lui ?", croyant que cela peut suffire à faire rire. Non, c'est pas bon du tout même si c'est bien filmé et que les propos sarcastiques restent toutefois bien vus. Heureusement, Thomas Ngijol apporte une très bonne prestation dans son rôle de dictateur africain contrairement à Claudia Tagbo, qui surjoue son rôle d'épouse...

Mon propos va sembler contradictoire : ce film a un bon rythme sans jamais vraiment se lancer. Bien que plusieurs scènes soient marrantes, aucune ne nous procure un vrai fou rire. Par ailleurs, j'ai trouvé certaines scènes vraiment lourdes... En ce des deux points, Le Crocodile du Botswanga contraste avec son petit frère, une petite pépite (on ne peut éviter la comparaison au regard de la ressemblance du casting). Bref, ce film est à regarder chez soi en streaming un dimanche (car les films comiques ne sont malheureusement pas légions) mais je déconseille d'aller acheter une place au ciné pour aller le voir.

Nul Nul Nul ! On s'improvise pas réalisateur monsieur éboué même les blagues étaient lourdes ! Quand on manque de talent on travail beaucoup pour comprenser et c'est manifestement c'est pas le cas là !

Bonne comédie française avec le duo Thomas Ngijol/Fabrice Eboué (duo encore gagnant) après Cas Départ. Bien que les gags manquent souvent de finesse (limite puérils), les répliques drôles fusent, et l'humour reste plein de vérités autour des dictatures africaines et la "Francafrique". Sinon le scénario est plutôt simple, la caricature assumée, le casting gère (Ibrahim Koma -aperçu précédemment dans la Cité Rose- spoiler: pousse même la chansonnette avec sa version de la Marseillaise
), les décors et la mise en scène sont très soignées. Donc à comparer, Case Départ était beaucoup plus réussi. Comédie à voir quand même et à prendre au 2nd degré (minimum).

Après Case Départ, le deuxième essai est aussi réussi.
Une bonne comédie qui montre les vices de tous les profiteurs qui tournent autour des dictateurs.

Le Crocodile du Botswanga, le film où tout le monde est MDR.
De belles références aux "démocraties" africaines et à leurs dictates...
A voir pour passer un agréable moment!

Le crocodile est à voir pour les 2 acteurs principaux : Thomas Ngijol et Fabrice Eboué. On passe un bon moment. Le film est dépaysant et on prend du plaisir à rire. La mise en scène et le scénario ont quelques faiblesses, mais l'ensemble reste assez agréable à voir. A voir entre potes, juste pour ce changer les idées et rigoler un bon coup.
vu bp94-170314

Les mêmes acteurs, la même recette, la même toile de fond mais plus le plaisir de la première fois dommage. Contrairement à case départ la performance et le rôle de Thomas est bien plus intéressant que celui de Fabrice quelque peu mou du genou. Les personnages secondaires sont moins savoureux aussi je trouve. De temps en temps filtre un dialogue d'anthologie bien recherché mais la magie n'a pas pris, pour moi.

Cette comédie est un bonheur, car l'humour est là où on ne l'attend pas forcément. Une scène d'émotion pleine de tristesse et de compassion va être désamorcée par une séquence si grotesque et où les personnages ne regrettent pas leurs actions mais sont soit juste gênés par la situation soit eux-mêmes entrain de rire, car c'est drôle tout simplement. spoiler: Pour ne citer que celle-là, quand Fabrice Eboué annonce à la femme du ministre des toilettes qu'il est mort et qu'elle commence à se tondre les cheveux pour respecter une coutume botswangaise et que là on voit son mari arrivait et dit "quelqu'un est mort", on si attend mais la dérouillé que se prend Fabrice Eboué est tellement bien faite que c'est drôle à s'en casser les côtes.
Et ce type de passage sont assez nombreus que l'on passe un très bon moment devant ce film. Certes, il est bourré de stéréotypés et de clichés sur les dictateurs, les dérives de la france-afrique ou l'Afrique en général. Ce qui donne un scénario très prévisible et pourtant on a quelques bonnes surprises toujours très drôles. En ayant gardé une équipe similaire à celle de "Case départ" (production, acteurs et réalisation), le film est d'une qualité identique et se maintient à niveau plus que respectable. Bonne comédie avec un fond sérieux (dédramatisé sans être ridiculisé) qui me donne envie de voir leur prochain long métrage.

"Case départ" était déjà un sacré succès et je n'avais déjà pas été parmi la plupart des gens qui l'encensait. Rebelote ici : plus d'un million d'entrées et je ne fais toujours pas parmi des gens enthousiasmés. En effet, le manque de rythme nous laisse relativement impassible devant cette comédie.
Mais, une question me trotte dans la tête : pourquoi les comédies françaises se déroulant en Afrique, je pense notamment à Safari d'Olivier Baroux, ont autant de mal à exploiter leur environnement et à nous faire rire alors qu'ils ont tant à portée de main ? Un sacré gâchis qui, je l'espère, s'arrêtera un jour avec l'arrivée d'une bonne comédie sur le sujet !
En attendant, on pourra toujours apprécier l'humour corrosif de Fabrice Eboué et les transgressions des différents tabous. Ce qui est bien ici, c'est que personne n'est épargné. Je pense que c'est surtout ça qui permet au Crocodile du Botswanga de survivre à ses défauts. Cela et les différents acteurs qui s'éclatent et qui le montrent. Il suffit de voir l'interprétation survitaminée de Thomas Ngijol pour le comprendre immédiatement.
Cependant, reste toujours ce manque de rythme et ce petit je-ne-sais-quoi qui empêche de rentrer dans le film malgré quelques bonnes trouvailles comme le dictateur nostalgique de la Bavière. Dommage.

Adeptes de l'humour à la Fabrice Eboué ou Thomas Ngijol ? Ce film est pour vous ! Autant Case Départ paraissait plus comme une comédie c'est à dire une leçon de vie historique. Le crocodile du Botswanga nous offre non seulement du rire mais aussi une dénonciation des dictatures africaines. Du début à la fin, on a un Thomas N'gijol aux allures de Dadis Camara. C'était un célèbre dictateur guinéen très dévergondé et Fabrice Eboué en agent de footballeur corrompu et hilarant. Une histoire bien construite, drôle sans être trop lourde, avec un propos politique et économique intéressant. On a une belle photographie et un casting assez similaire de Case Départ. Bref, je conseille ce film à tous les amateurs de leur humour et tout le monde en prend pour son grade. A prendre au second degrés !

Franchement excellent. Comme Case Départ, une vraie comédie avec du fond, c'est suffisamment rare pour le noté.