Votre avis sur Le Crocodile du Botswanga ?
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vous êtes dur . le scénario est faible mais bon ça reste un film comique . j'ai beaucoup ri tout comme le reste de la salle . à voir ... vraiment hein !
Je sors du cinéma et comment dire...je crois que c'est le plus mauvais film qui m'a été donné de voir en salle ! Un scénario plat et lourd, des dialogues d'une faiblesse incroyable,a aucun moment on rigole ( original pour un film censé être drôle ). J'avais trouvé " Case Départ " bien mais sans plus, mais si on devrait faire la comparaison, ce serait un véritable chef d’œuvre comparé à se navet...donc ne permet des pas votre temps et votre argent, avoir dépensé 8€ pour se film j'ai eu le sentiment amer qu'on s'était bien foutu de ma geule de se point de vue c'est réussi au moins on pourra pas leur retirer ça !!!
Vraiment déçu, pourtant la bande annonce donne envie de le voir mais je l'ai trouvé trop cliché, trop caricatural et vulgaire par moment...
Evidemment, il faut aimer l'humour potache et quelques blagues politiquement incorrectes, mais, cela dit, voilà une comédie très réussie, qui n'épargne personne, pas même la célèbre multi-nationale Totelf!
Bonne comédie, ne vaut pas case départ, mais le film est a voir on rigole bien et on passe un bon moment.
Nul, je suis désolé, ma chérie et moi, plutot bon public, n'avons pas ri. La salle était remplie d'adolescents et ont tous beaucoup ri. La bande annonce était alléchante mais le film est plat, les dialogues pauvres et le temps ne passe pas vite. Encore désolé, mais nul...
Film a voir une fois!!!
Pas bcp de rire de ma part . Les inconnus ont été cassé par les critiques, mais il vallait plus que ce film ci!!!
Pas bcp de rire de ma part . Les inconnus ont été cassé par les critiques, mais il vallait plus que ce film ci!!!
Affligeant de nullité, le scénario tiens sur un morceau de PQ et je n'exagère pas, comment on peut autoriser des films comme ça au cinema ? Je ne comprend pas du tout les critiques plutôt positives, il y a vraiment quelque chose qui m'échappe, j'ai un doute sur leur véracité...
Moi qui suis plutôt bon public mais la c'est allé trop loin au niveau foutage de gueule.
Le seul truc intéressant dans ce film c'est cette vague tentative de dénoncer des faits qui fâchent de notre société mais tout cela sans aucune épaisseur ni crédibilité.
Heureusement que j'ai un pass illimité sinon j'aurais eu vraiment les boules de dépenser 10 euros pour le film le plus NUL de ces 10 dernières années.
Je le dis clairement ce film est une pure M..DE servi sur un plateau de M..DE.
Moi qui suis plutôt bon public mais la c'est allé trop loin au niveau foutage de gueule.
Le seul truc intéressant dans ce film c'est cette vague tentative de dénoncer des faits qui fâchent de notre société mais tout cela sans aucune épaisseur ni crédibilité.
Heureusement que j'ai un pass illimité sinon j'aurais eu vraiment les boules de dépenser 10 euros pour le film le plus NUL de ces 10 dernières années.
Je le dis clairement ce film est une pure M..DE servi sur un plateau de M..DE.
Beaucoup moins réussi, le nouveau film réunissant le tandem Farbice Eboué / Thomas N'Gijol ne réussit pas à amuser sur une heure et demie. Trop centré sur le personnage du président Bobo (une caricature bien pensée d'un dictateur africain), interprété par un bon Thomas N'Gijol, le scénario, très mince, se déroule au détriment des autres personnages, totalement accessoires.
Dommage, on attendait mieux du duo plutôt politiquement incorrect et à l'humour féroce sur un tel sujet.
Dommage, on attendait mieux du duo plutôt politiquement incorrect et à l'humour féroce sur un tel sujet.
Très bonne surprise de l'année 2011, Case Départ, le premier film de Fabrice Eboué et Thomas Ngijol avait révélé une facette des deux humoristes jusque là insoupçonnée. Sortis très rapidement du lot de la première saison du Jamel Comedy Club, ils ont su se démarquer par des spectacles très drôles sans pour autant que l'on puisse se douter que leur humour pourrait fonctionner aussi sur grand écran. Deux ans plus tard il récidive avec Le Crocodile du Botswanga pour dénoncer avec humour les dérives de l'Afrique.
Bienvenue au Botswanga, un pays imaginaire pas si éloigné de la vérité dans lequel Didier, un minable agent sportif accompagne son nouveau poulain : le talentueux Leslie Conda. Celui ci veut profiter de son invitation par le président de la République Bobo Babimbi pour déposer les cendres de sa mère près de son village d'origine. Les deux hommes vont cependant vite déchanter en découvrant la véritable nature d'un président plus proche du dictateur que du grand démocrate qu'il se voudrait être.
C'est en s'échangeant sur YouTube des vidéos hilarantes de véritables présidents africains souvent si ridicules que l'on a du mal à croire qu'ils puissent réellement diriger un pays que Fabrice Eboué et Thomas Ngijol ont trouvé le sujet de leur second film. Un sujet qui a déjà fait l'objet de nombreux sketchs chez les humoristes black comme Dieudonné et Eric Blanc mais qui dénonce toujours en même temps comment l'Afrique est en permanence pillée par de grands groupes industriels qui a coup de lobbying installent des chefs d'états de pacotille qui profitent des richesses tout en laissant leur pays se faire piller toutes ses ressources.
Le Crocodile du Bostwanga suit un peu la même trame que le film Le Dernier Roi d'Ecosse. On découvre un dictateur sévère mais qui parait aussi sympathique et accueillant. Ce n'est qu'un peu plus tard que Didier va découvrir les manigances de ce chef d'Etat qui s'occupe plus de ses intérêts personnels que ceux de son pays. C'est bien sur dans une version beaucoup plus drôle que Fabrice Eboué et Thomas Ngijol font passer leur message. Un scénario écrit en collaboration avec Blanche Gardin qui était avec eux chez Jamel. Les deux humoristes prouvent encore que l'on peut définitivement rire de tout si cela est fait de manière intelligente.
Pour ce deuxième film Thomas Ngijol a laissé les manettes entièrement à Fabrice Eboué qui a écrit l'histoire et réalisé le film toujours en compagnie de Lionel Steketee pour la caution technique. Du coup il a pu se consacrer à sa prestation épatante de dictacteur à la fois hilarante mais aussi parfois inquiétante très inspirée par le président guinéen Dadis Camara. Fabrice Eboué lui retrouve un rôle pas si éloigné de celui qu'il tenait dans Fatal puisqu'il y était déjà un agent. Un personnage à l'image de son humour sur scène, une sorte d'enfoiré qu'on ne peut cependant pas détester comme lorsque sur scène il sort une vanne limite qui nous fait pourtant bien marrer.
Une grande partie du casting de Case Départ est également de retour dans Le Crocodile du Botswanga : Franck De La Personne qui jouait le curé est ici le conseiller du Président, Eriq Ebouaney qui jouait leur ancêtre est le chef militaire, Etienne Chiquot le riche propriétaire est ici un Patron véreux venu arroser le Président et David Salles (Monsieur Henri) fait un petit caméo en journaliste. Se rajoute au lot Gloria Tagbo et Amelle Chahbi issu elles aussi de la 1ere année du Jamel Comedy Club ainsi que deux petits nouveaux Ibrahim Koma dans le rôle du footballeur et la révélation Hélène Kuhn dans un rôle très sexy.
L'effet de surprise de Case Départ passé, Le Crocodile du Botswanga ne déçoit cependant pas. Le duo a gardé le même niveau d'humour et même les scènes vues et revues de la bande annonce arrive encore à nous faire rire. Un duo définitivement très prometteur dont on va surveiller de près les prochaines apparitions même si ils ont déjà l'air de vouloir aller voir chacun de leur coté. Thomas Ngijol préparant actuellement un film en solo pour cette année.
Si on pouvait craindre un deuxième film moins réussi, Fabrice Eboué et Thomas Ngijol ne mettent à peine que quelques secondes pour nous rassurer. On rigole tout autant devant la nouvelle fantaisie des deux humoristes qui arrivent toujours à nous faire rire d'un sujet pourtant grave. De l'humour intelligent qui les place sur le dessus du panier d'une nouvelle génération d'humoristes qui réussissent aussi bien sur scène qu'au ciné bien au dessus d'un Kev Adams ou Max Boublil.
Bienvenue au Botswanga, un pays imaginaire pas si éloigné de la vérité dans lequel Didier, un minable agent sportif accompagne son nouveau poulain : le talentueux Leslie Conda. Celui ci veut profiter de son invitation par le président de la République Bobo Babimbi pour déposer les cendres de sa mère près de son village d'origine. Les deux hommes vont cependant vite déchanter en découvrant la véritable nature d'un président plus proche du dictateur que du grand démocrate qu'il se voudrait être.
C'est en s'échangeant sur YouTube des vidéos hilarantes de véritables présidents africains souvent si ridicules que l'on a du mal à croire qu'ils puissent réellement diriger un pays que Fabrice Eboué et Thomas Ngijol ont trouvé le sujet de leur second film. Un sujet qui a déjà fait l'objet de nombreux sketchs chez les humoristes black comme Dieudonné et Eric Blanc mais qui dénonce toujours en même temps comment l'Afrique est en permanence pillée par de grands groupes industriels qui a coup de lobbying installent des chefs d'états de pacotille qui profitent des richesses tout en laissant leur pays se faire piller toutes ses ressources.
Le Crocodile du Bostwanga suit un peu la même trame que le film Le Dernier Roi d'Ecosse. On découvre un dictateur sévère mais qui parait aussi sympathique et accueillant. Ce n'est qu'un peu plus tard que Didier va découvrir les manigances de ce chef d'Etat qui s'occupe plus de ses intérêts personnels que ceux de son pays. C'est bien sur dans une version beaucoup plus drôle que Fabrice Eboué et Thomas Ngijol font passer leur message. Un scénario écrit en collaboration avec Blanche Gardin qui était avec eux chez Jamel. Les deux humoristes prouvent encore que l'on peut définitivement rire de tout si cela est fait de manière intelligente.
Pour ce deuxième film Thomas Ngijol a laissé les manettes entièrement à Fabrice Eboué qui a écrit l'histoire et réalisé le film toujours en compagnie de Lionel Steketee pour la caution technique. Du coup il a pu se consacrer à sa prestation épatante de dictacteur à la fois hilarante mais aussi parfois inquiétante très inspirée par le président guinéen Dadis Camara. Fabrice Eboué lui retrouve un rôle pas si éloigné de celui qu'il tenait dans Fatal puisqu'il y était déjà un agent. Un personnage à l'image de son humour sur scène, une sorte d'enfoiré qu'on ne peut cependant pas détester comme lorsque sur scène il sort une vanne limite qui nous fait pourtant bien marrer.
Une grande partie du casting de Case Départ est également de retour dans Le Crocodile du Botswanga : Franck De La Personne qui jouait le curé est ici le conseiller du Président, Eriq Ebouaney qui jouait leur ancêtre est le chef militaire, Etienne Chiquot le riche propriétaire est ici un Patron véreux venu arroser le Président et David Salles (Monsieur Henri) fait un petit caméo en journaliste. Se rajoute au lot Gloria Tagbo et Amelle Chahbi issu elles aussi de la 1ere année du Jamel Comedy Club ainsi que deux petits nouveaux Ibrahim Koma dans le rôle du footballeur et la révélation Hélène Kuhn dans un rôle très sexy.
L'effet de surprise de Case Départ passé, Le Crocodile du Botswanga ne déçoit cependant pas. Le duo a gardé le même niveau d'humour et même les scènes vues et revues de la bande annonce arrive encore à nous faire rire. Un duo définitivement très prometteur dont on va surveiller de près les prochaines apparitions même si ils ont déjà l'air de vouloir aller voir chacun de leur coté. Thomas Ngijol préparant actuellement un film en solo pour cette année.
Si on pouvait craindre un deuxième film moins réussi, Fabrice Eboué et Thomas Ngijol ne mettent à peine que quelques secondes pour nous rassurer. On rigole tout autant devant la nouvelle fantaisie des deux humoristes qui arrivent toujours à nous faire rire d'un sujet pourtant grave. De l'humour intelligent qui les place sur le dessus du panier d'une nouvelle génération d'humoristes qui réussissent aussi bien sur scène qu'au ciné bien au dessus d'un Kev Adams ou Max Boublil.
comédie trés réussite dans laquelle on retrouve le duo Ngigol Éboué qui ne decoit pas . Il n'y a pas de temps morts ce qui va dans le bon sens du film .
Bonsoir a tous ou bonjour . Je sort tous juste de la seance de cinéma donner sur bel epine.
Sincèrement le film est très très nul . Sa fesais bien lgt que je n'avais pas vu un film aussi nul
Que celui ci . Aucun rapport dans l'histoire. .. des blagues humoiristiques
Sur la religion , la place des maghrébines ... on prend la tête a dieudonné pour une quennelle
Mais qu'une actrice dans un film pose la sainte bible a même sa poitrine afin de forniquer avec un homme
cela ne choque personne !!!??? Le clishė de la marocaine a la Zahia sa vas 5 mins aussi trop de clichés
Qui m'ont personnellement choquer les acteurs aurais mieux fais de rester au Jamel Comedy Clubs .
Au france en crise ne perder pas votre argent a aller voir ce film qui est vraiment nul .
Sincèrement le film est très très nul . Sa fesais bien lgt que je n'avais pas vu un film aussi nul
Que celui ci . Aucun rapport dans l'histoire. .. des blagues humoiristiques
Sur la religion , la place des maghrébines ... on prend la tête a dieudonné pour une quennelle
Mais qu'une actrice dans un film pose la sainte bible a même sa poitrine afin de forniquer avec un homme
cela ne choque personne !!!??? Le clishė de la marocaine a la Zahia sa vas 5 mins aussi trop de clichés
Qui m'ont personnellement choquer les acteurs aurais mieux fais de rester au Jamel Comedy Clubs .
Au france en crise ne perder pas votre argent a aller voir ce film qui est vraiment nul .
Petit frère de case départ avec nos deux compères ( plus Franck de la Personne ainsi que Étienne Chicot), ce film était simplement une bonne franche rigolade dans une histoire farfelue. Bien je n'ai pas été déçu, bien que je ne pourrais pas affirmer avoir autant ris que dans son aîné, ce film se laisse bien voir et vous fera rire a coup sûr quand même.
On met un moment avant d'exploser de rire dans cette comedie , mais comme dans case depart , ya un vrai message la dedans.
Attention aux clichés !
Que chaque personnage soit stéréotypé et poussé à l'extrême est logique dans ce type de comédie mais c'est justement ainsi que peuvent s'ancrer les idées reçues et les rejets imbéciles. La subtilité sera dès lors de manier l'humour sans mépris et c'est véritablement tout l'art de la comédie.
Que chaque personnage soit stéréotypé et poussé à l'extrême est logique dans ce type de comédie mais c'est justement ainsi que peuvent s'ancrer les idées reçues et les rejets imbéciles. La subtilité sera dès lors de manier l'humour sans mépris et c'est véritablement tout l'art de la comédie.