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    Le Colosse de Rhodes
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    2,7
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    40 critiques spectateurs

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    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 406 abonnés 4 440 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 novembre 2024
    Le Colosse de Rhodes est le premier film de Sergio Leone, pas son plus connu, pas son meilleur sans doute, mais dans le registre péplum on reste quand même sur le haut du panier de l’époque pour le cinéma italien. Ok, l’ensemble n’est pas exempt de défauts, et en particulier, dans le scénario. Outre qu’on est sur une histoire de complot pas très passionnante et qui est vraiment un leitmotiv beaucoup trop utilisé dans le genre péplum, il y a pas mal de choses un peu grotesques, des facilités (le coup du levier !), d’heureuses coïncidences légèrement abusé. Si le film tient plutôt bien ses deux heures grâce à de l’action, des revirements de situation, des scènes de foule et de destructions plutôt sympathiques (quoique redondantes à la fin), force est de constater qu’il y a beaucoup de facilités dans un scénario qui prend parfois des tournures assez bancales, sûrement à cause du nombre abusivement élevé de gens crédités au scénario !
    Ces soucis d’écriture, qui donnent quand même un charme assez kitsch à l’histoire (il y a un côté naïf), sont dommages, car le film a par ailleurs des moyens et ça se voit. Les scènes de foule sont impressionnantes, les décors opulents, les passages de destruction fonctionnent vraiment bien, le film a visuellement de l’allure encore aujourd’hui. Sergio Leone assure une mise en scène plutôt dynamique, notamment lors des passages d’action, nombreux et particulièrement appréciable pour la touche de violence qui s’en dégage. C’est bien de voir un peu de sang dans un péplum de cette époque. Après, et je dois quand même le reconnaître, Leone étire souvent trop longuement ses scènes d’action. Il y a notamment un combat interminable, mais vraiment, et l’épilogue s’étire aussi et se répète parfois.
    Côté casting, on ne peut pas dire que ce soit hyper relevé. Rory Calhoun assure ce qu’il faut, mais force est de constater qu’il n’a pas du tout le type athénien ! Son brushing ne fait pas illusion, et autant on peut croire aux seconds rôles, dominés par des types latins très crédibles, autant Calhoun fait cow boy et pas émissaire grec ! Cela dit il joue pas trop mal, face à une Lea Massari plutôt convaincante et qui hérite du personnage le plus intéressant du film. Il est ambigu, rusé, c’est vraiment le personnage qui surnage dans un ensemble un peu caricatural entre des méchants très méchants, des gentils sans peur et sans reproche. Elle apporte le gris qui manque un peu à cette production somme toute trop académique, réalité qui se retrouve aussi dans la bande son sans aucune originalité.
    C’est probablement cet académisme qui fait du Colosse de Rhodes le film le plus mineur de la filmo de Leone, et cela, alors même que Leone le tenait en particulière estime. Néanmoins, il faut avouer que sous ses moyens opulents qui en font un spectacle encore très solide aujourd’hui, ses scènes d’action plutôt emballantes quoique trop longues, l’intrigue reste convenue, les personnages globalement assez plats et que seul le personnage de Lea Massari apporte de l’ambiguité et une dimension tragique à une production qui ne lésine pas sur le manichéisme et les facilités. Franchement, à voir comme un honnête divertissement de luxe, mais en dépit de ses qualités, Le Colosse de Rhodes ne peut pas s’élever aux côtés des meilleurs péplums américains. 3
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 154 abonnés 5 140 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 octobre 2024
    Jalousie et complot au cœur de ce péplum passionnant.
    Le récit qui s’articule autour de la fameuse statue mythique lui donne un grand souffle épique.
    On rajoutera aussi les poursuites des innocents et surtout les combats finaux plein de fougue.
    VOSTTL
    VOSTTL

    96 abonnés 1 939 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mai 2024
    Des péplums, j’en ai vu de « Ben Hur » (1959 William Wyler) à « Agora » (2009 Alejandro Amenábar), de « La terre des Pharaons » (1955 Howard Hawks) à « Gladiator » (2000 Ridley Scott), de « Cléopâtre » (1963 Joseph Leo Mankiewicz) à « Troie » (2004 Wolfgang Petersen), de « Quo Vadis » (1951 de Mervyn LeRoy) à « 300 » (2007 Zack Snyder) en passant par « Spartacus » (1960 Stanley Kubrick) et « Caligula » (1979 Tinto Brass) ou encore « Alexandre » (2005 Oliver Stone).
    Evidemment, la liste est longue et je pourrais souler mon monde en y ajoutant des séries comme « Spartacus », « Barbarians » ou « Rome ».

    Comparé à ce que j’ai enduré ces derniers temps « Hercule se déchaîne », « La vengeance d’Hercule », « Les derniers jours d’Herculanum », « Cléopâtre, une reine pour César » et « Ponce Pilate » - les deux derniers sont acceptables, « Le colosse de Rhodes » est au-dessus du lot. Même si ça blablate, je ne m’y suis pas trop ennuyé.
    C’est Sergio Leone qui est aux manettes.
    Cela sous-entendrait-il que c’est une valeur sûre ?
    Pourtant, ce n’était pas évident, c’était son tout premier film en tant que réalisateur à part entière. A cette époque, nous ignorions tous que Sergio Leone allait apporter une pierre importante à l’édifice du cinéma.
    Quand il a commencé son « Colosse de Rhodes », Sergio Leone a fait ses armes dans le péplum avec « Quo Vadis » comme technicien et comme co-réalisateur pour « Les derniers jours de Pompéi ».
    Et quelque part, ça se sent un peu même si son péplum reste dans l’esprit de ceux que j’ai cités ci-dessus, naïf et bavard.
    Toutefois, ses nombreux figurants sont nettement plus concernés que les films cités. On sent une implication et un suivi à tous les étages de son film.
    Une impression de rigueur…
    Shiba Otoko
    Shiba Otoko

    46 abonnés 291 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 avril 2024
    Ce film est un sommet du péplum kitsch des années 1950-1960. L'intrigue proposée est assez faible en soi, et absurde historiquement. Mais c'est une évidence, donc ceci dérange beaucoup moins que dans les oeuvres à vraie prétention historique. Ce film, dans un genre très limité, dégage une forme de charme suranné, avec ses décors, ses costumes, et se laisse voir volontiers.
    cinetophone
    cinetophone

    7 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2022
    Je suis un inconditionnel de ces peplums, fastes et grandoises tournés pour le grand écran.En outre, quandj'ai sû .que sous un pseudonyme"fabriqué", se cachait le Grand Sergio LEONE, j'ai été emerveillé..
    Benjamin A
    Benjamin A

    713 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 février 2022
    Si Sergio Leone fait fi de la réalité historique (et ce jusqu'au costume) lorsqu'il met en scène Le Colosse de Rhodes, et ce n'était de toute façon pas forcément son objectif, il propose tout de même un péplum intéressant à plus d'un titre.

    Celui qui inaugurera et popularisa le western-spaghetti dès son film suivant, en est ici à son second long-métrage, un film qu'il a pris plaisir à tourner et où il apparaît à quelques reprises en tant qu'acteur parmi les foules. C'est le premier film qu'il a totalement à sa charge et si ça ne saute pas aux yeux, on retrouve quelques aspects qui deviendront typique de son cinéma, à l'image de la duplicité humaine ou tout simplement d'avoir un protagoniste qui se retrouve au milieu d'un conflit qui ne le concerne pas dans un premier temps.

    Alors, Le Colosse de Rhodes ne laisse pas un souvenir forcément marquant, il lui manque principalement un souffle, une vision moins académique ou tout simplement l'alchimie que Leone trouvera dans les six films qu'il tournera par la suite. On passera aussi sur quelques passages trop longs et un ensemble qui manque finalement de tension ou d'émotion, mais on a là un film qui n'hésite pas à aller loin, à proposer de grandes scènes, qui tente d'insufler un souffle épique à cette histoire mêlant trahison et révolte.

    Sergio Leone démontre déjà tout un savoir-faire, quelques séquences d'actions sont superbes, tout comme la traversée de Rhodes à cheval ou les percées au cœur de la ville ou sur le port. Les personnages sont intéressants, s'inscrivent dans une histoire qui l'est tout autant, avec des péripéties, surtout au milieu du récit, très bien amenés. Leone joue bien avec l'espace et les mouvements de foules, et sublime de somptueux décors. Devant la caméra, l'américain Rory Calhoun est charismatique en Darios, et la jolie Lea Massari lui rend très bien la réplique.

    Le Colosse de Rhodes marque la fin du péplum pour Sergio Leone, qui s'en ira dépoussiérer le western par la suite, et c'est avec démesure qu'il dit adieu à ce genre, offrant un film imparfait mais généreux.
    Le Guerrier
    Le Guerrier

    77 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2022
    On a là un film qui a beaucoup vieilli, et surtout qui manque d'authenticité. Les anachronismes sont légion et surtout flagrants: le colosse de Rhodes date par exemple de l'époque hellénistique et on nous parle de "Phéniciens" alors que ce n'est pas du tout la même époque. Les "jeux du cirque" sont incongrus Les décors ou les bâtiments ne sont pas conformes à l'image que je me fais de l'Antiquité, il y a un manque de monumentalité, certains décors font carton-pâte...Le fameux Colosse, qui devrait être l'écrin du film, est laid. Les mouvements des acteurs sont dans certains scènes d'action un peu lent et manquent de rythme. Ces défauts sont rédhibitoires. Toutefois, tout n'est pas à jeter: il y a de nombreux figurants; et par ailleurs le scénario est plutôt bien conçu, avec de multiples rebondissements. Mais ça ne suffit pas à racheter un film globalement raté.
    kieran_h3ld
    kieran_h3ld

    30 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2021
    Premier film de Sergio Leone, et oui ce n'est pas un western mais bel et bien un péplum. Un péplum qui traite de la chute du Colosse de Rhodes. Malgré une histoire très intéressante, Sergio Leone n'arrive pas à faire prendre une ampleur considérable au récit. Pourtant il y a de magnifiques scènes de combats et des décors extraordinaires, mais je ne sais pas, c'est très mou dans la première partie. Et puis il n'y a pas de réel plus-value par rapport aux restes des péplums de l'époque, c'est très classique. Au delà de ca comme je l'ai dit les scènes de combats sont excellentes ainsi que les décors et costumes mais aussi la performance des acteurs. Je ne sais pas si ils sont réellement connu du grand public, je suppose que non, personnellement en tout cas je ne savais pas qu'ils étaient, et bien ça prend parfaitement.
    Donc voilà un plutôt bon péplum sans plus, on ne ressent pas du tout la patte Leone, mais c'est pas si mal pour un premier film.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 575 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 mars 2021
    Plus d'une demi-douzaine de scénaristes sont crédités dont le réalisateur Sergio Leone qui ont assemblé ce péplum typique du début des années 60 dans lequel le Colosse du titre est presque quatre fois plus grand que l'original ne l'était et sert en quelque sorte de Bastille et d'étoile de la mort combinées autour desquelles les discours et l'action se concentrent pendant plus de deux heures tentaculaires. L'intrigue est totalement fantaisiste et comme dans ses westerns spaghettis qui l'ont rendu célèbre par la suite Leone massacre beaucoup de gens inutilement mais l'action est ici plus désordonnée et plus longue. Ce film n'a rien a voir avec ce qui c'est passé car personne ne sait vraiment ce qui c'est vraiment passé et c'est un habitant de Rhodes et qui connaît l'histoire de son ile qui vous le dit...
    selenie
    selenie

    6 259 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 août 2020
    On ne peut s'empêcher de penser au film "Les Derniers Jours de Pompéi", l'équipe reprenant presque le même trame. Si l'équipe et Leone semblent s'être plus appliqués sur l'esthétique et la mise en scène (référence certaine de "Metropolis" de Fritz Lang), avec notamment un souffle épique plus pregnant mais on se demande toujours pourquoi la rebellion veut s'attacher à Darios ?! Sergio Leone semble encore sous influence de son passé d'assistant et n'ose pas encore pousser ses idées de mise en scène. Un bon moment, qui reste un des meilleurs peplums italiens mais un peu faible face aux chefs d'oeuvre du genre. Précisons toutefois que Sergio Leone déclarera que c'est le "film qu'il a le plus aimé réaliser".
    Site : Selenie
    Ricco92
    Ricco92

    225 abonnés 2 150 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 mars 2020
    Contrairement à ce que l'on pourrait parfois penser, la carrière de Sergio Leone n'a pas commencé avec le western mais avec le péplum. Etant un assistant-réalisateur renommé, il remplaça au pied levé un Mario Bonnard malade sur Les Derniers jours de Pompéi. Ce sauvetage de dernière minute lui permit d'être promu officiellement réalisateur d’un premier film : Le Colosse de Rhodes. Le péplum n'est pas, d'après les interviews qu'il a pu donner, un genre auquel il croyait beaucoup et cela se ressent dans ce film. Si ces mêmes entretiens révèlent qu'il accepta de le diriger parce qu'il y voyait certains éléments lui permettant de subvertir le genre, ce long métrage, vu de nos jours, ressemble beaucoup à un très banal péplum comme le cinéma italien en produisait par dizaines à l'époque (et qu'il abandonnera au profit du western spaghetti suite au succès de Pour une poignée de dollars d'un certain… Sergio Leone). La flamboyance formelle dont fera preuve Leone dans ses films suivants n'est que très peu visible : si on observe déjà un certain sens du cadrage, le film est peu découpé, privilégiant les plans larges aux gros plans (cela permet de d'admirer les décors) et le sens du rythme si marquant dans les œuvres qui lui succédèrent n'est ici pas présent. Si on ajoute à cela des personnages et une intrigue guère intéressants et certains effets ratés spoiler: (un singe apparaissant en arrière-plan n'est pas crédible du tout et étant visiblement un être humain dans un costume)
    qui sont heureusement rares spoiler: (le tremblement de terre final est plutôt réussi pour l'époque)
    , il est difficile de reconnaître le génie qui sera à l'origine de la trilogie des dollars et de celle des Il était une fois. Le Colosse de Rhodes est donc au final un péplum très banal, une grosse déception quand on est amateur du cinéaste et le plus mauvais film de Sergio Leone.
    Redzing
    Redzing

    1 121 abonnés 4 471 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 février 2019
    Un guerrier grec lubrique effectue un séjour sur la petit île tranquille de Rhodes, dominée par un imposant colosse de métal. Il ne se doute pas qu'autour de lui se trament des complots, entre des rebelles cherchant à renverser un roi incompétent et cruel, et des Phéniciens voulant dominer l'île... Difficile de croire que c'est Sergio Leone qui est à la barre pour ce péplum, tant la mise en scène relativement impersonnelle n'a rien à voir avec ce que sera son style sur la trilogie du dollar ou la trilogie historique. Néanmoins, ce serait bouder son plaisir que de cracher sur "Il Colosso di Rodi". Certes, le scénario contient quelques longueurs, et les acteurs ne sont pas des grands (Rory Calhoun a tendance à alterner entre une mine sérieuse et un sourire colgate !). Mais il s'agit d'un film ambitieux, aux décors variés et impressionnants (outre les jolis paysages, les intérieurs sont très réussis), aux figurants en nombre, et proposant de nombreuses scènes d'action pleines de punch. On y retrouve également de bonnes idées de péripéties, notamment autour du fameux colosse, bien exploité dans le dernier acte. Un divertissement honorable.
    Wagnar
    Wagnar

    82 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2017
    Premier film de Sergio Leone, le Colosse de Rhodes est également sa seconde incursion dans le péplum après les Derniers Jours de Pompéi. Il livre un film offrant un bon divertissement, contenant un lot de bonnes scènes d'action, parfois assez impressionnant comme le combat sur le colosse ou encore le cataclysme final. Rory Calhoun, vu dans la Rivière sans retour (où il incarnait l'amant de... Marilyn Monroe !) est plutôt convaincant et joue un rôle assez à contre-emploi des héros traditionnels du péplum : malgré une certaine virilité renforcée par son habilité guerrière, Darios est davantage un bellâtre séducteur se faisant continuellement manipulé par les femmes. Ce n'est pas de sa main que périra le méchant. On retrouve aussi Georges Marchal et Lea Massari. Un péplum de bon niveau. Le plus grand bémol est que certains passages du film n'ont pas été conservés dans la version française notamment celui où Pelioclès et ses hommes se font torturés avec de l'acide et une cloche à assourdir.
    Estonius
    Estonius

    3 365 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 août 2016
    Le moins qu'on puisse dire c'est que le film ne soulève aucun enthousiasme, ça se regarde d'un œil distrait sans que l'on éprouve aucune empathie pour les protagonistes. Il faut dire que le héros joué par Rory Calhoun ne fait que sourire à tout propos en nous montrant la ,blancheur impeccable de sa dentition, Lea Massari semble partie ailleurs et Marshall teint en blond-roux surjoue. On n'en revient pas d'une si médiocre direction d'acteurs chez Leone ! La réalisation est inégale mais on perçoit déjà le goût de Leone pour les grandes chevauchées (par moment on se croirait dans un western), les mouvements de foules sont bien gérés, les combats sont moyens, et le clou du spectacle, le tremblement de terre est superbement orchestré. Le scénario voit défiler tous les poncifs du genre (le traître, les scènes de sadisme, les passages secrets, les femmes manipulatrices) mais (et c'est un bon point) notre héros n'en est pas un il est là par hasard, il prend parti par obligation et ne résout rien, spoiler: le tremblement de terre s'en chargeant à sa place
    . On va dire que c'est moyen et que ça occupe les yeux. En matière de péplum italien, on peut préférer par exemple "Hercule et les tyrans de Babylone", bien plus jouissif malgré un budget moindre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 juillet 2014
    Premier film d' un futur réalisateur de génie , Sergio Leone , qui signe ici l' un des rares chef d' oeuvre du péplum a l' italienne . 3 ans plus tard , " Pour pour une poignée de dollars " voit le jour , le succès et prouve que Leone est l' un des meilleurs ! A voir pour les fans de péplum et les fans du réalisateur .
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