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Un visiteur
2,0
Publiée le 7 octobre 2013
Film sans aucun intérêt ni cinématographique, ni sur le jeu des acteurs. A aucun moment, je n'ai pu me laisser prendre par le jeu de l'actrice Naomi Watts au point de la confondre avec la vraie Diana. En cela c'est un échec. Ce film souille la mémoire de Diana, est-ce voulu ? Une femme très peu soucieuse de son image dans son intimité : cheveux non coiffés ou mal coiffés, tenues vestimentaires qui laissent à désirer avec des boucles d'oreilles de valeur? etc... Très regrettable pour ses enfants quand on sait combien ils sont attachés à leur mère.
Une romance dessinant l’anecdote « méconnue » d’une petite histoire derrière la grande. Noami Watts, est aléatoirement brillante mais ça ne sauve pas ce mélodrame pathétique, reproduisant toutes les pires erreurs inhérentes à ce type de projet, sorte de mélasse gluante insipide faite de clichés et de rabaissement constant de son histoire vers le soap de bas étage niais.
Catastrophe ! Diana est le navet de l’année. Assassiné par les critiques, Diana est bel et bien le biopic poubelle dont la presse parle tant. La mise en scène digne d’un feuilleton M6 : saccadé, baclée avec ses mouvements de caméra incessant sur les pieds de Naomi Watts (Diana). Ajouté à cela, des scènes musicales mélodramatique qui sont vraiment mal gérés ! Les dialogues sont quiches dans le meilleur des cas, et tellement mauvais qu’ils en frisent le ridicule. Vulguaire soap opera, Diana esquive les aspects intéressant de l’histoire mais à esquiver les questions qui fâchent c’est tout le personnage qu’il manque ! En résumé sans la ressemblance physique de Naomi Watts,on jugerait avoir vu le film 100 fois, un désastre pour ce biopic qui aurait du être unique. Le scénario est tangent et fait apparaître Diana pour une simple ménagère vulgaire, égoiste et manulatrice (les scènes au lit avec Naveen Andrews occupe largement une part du film). Verité ou pas , le film n’en reste pas moins ennuyeux et mauvais. Diana relève plus du téléfilm qu’autre chose.
C’est en cherchant à comprendre pourquoi le public britannique a reçu Diana de la même façon que le fit le public chrétien de La dernière tentation du Christ que l’on put cerner les points positifs et négatifs de la démarche de cette reconstitution des dernières années de l’ancienne princesse de Galles. Revenir ainsi sur les déboires amoureux d’un personnage qui, comme l’est encore Diana Spencer, représente pour les anglais un être intouchable symbole de pureté ne pouvait qu’être interprété que comme une attaque indirecte à son image. Un réalisateur anglais n’aurait en effet fait d’un film sur elle qu’une héliographie pompeuse et démagogique au possible, mais justement Oliver Hirschbiegel s’évertue à en faire un être psychologiquement fragile dont le comportement ne peut être qualifié d’irréprochable puisqu’on découvre dans le dernier quart d’heure de son long-métrage que sa relation avec Dodi Al-Fayed n’est qu’une coucherie destinée à rendre jaloux son ex. L’une des thématiques du réalisateur de La chute est le rapport de cette femme par rapport à sa situation, puisque la façon dont il présente Lady Di comme un être épuisé par le battage médiatique qui rend impossible sa vie privée est finalement l’élément le plus dramatique du film, mais celui-ci est justement sous-exploité à profit de cette petite bluette cousue de fils blancs digne du plus mièvre des romans de gare. Les rapports de l’héroïne avec la famille royale et ses enfants ne sont aussi que brievement abordés alors qu’ils auraient faits des sujets de films bien plus justifiés. Hormis Naomi Watts qui effectue un remarquable travail de mimétisme et Naveen Andrews qui trouve enfin un rôle après la fin de Lost, aucun personnage secondaire n’est doté de la moindre profondeur, tout comme le scénario qui aurait dû attendre quelques années pour être écrit s’il avait voulu se prétendre une quelconque pertinence tant historique qu’humaine.
Oui Naomi watts ne ressemble pas à lady di mais qu est qu elle joue bien et qu est ce qu elle prend bien ses mimiques donc bravo pour cette prestation honnêtement j ai bien aimé le film et je n ai pas vu le temps passé mais bon suis fan de la monarchie anglaise alors c est peut être pour ça
Le film est nettement en demi-teinte, et même décevant. Il livre le portait humain d'une femme malheureuse et amoureuse porté par l'excellente et émouvante Naomi Watts. Toutefois, les points négatifs s'accumulent : le film démarre très lentement et se révèle parfois ennuyeux et trop mélodramatique, quoique parfois émouvant, la musique est limite assourdissante et le personnage d'Hasmat Khan, interprété avec brio par Naveen Andrews, est assez antipathique tant il est indécis et lâche. Il est de plus regrettable que le film soit à ce point centré sur sa liaison, plutôt que sur son travail humanitaire, au moins aussi intéressant et relégué au second plan. Par ailleurs, le film n'a pas grand chose du biopic puisqu'il est basé sur des suppositions, ne montre qu'un point de vue nécessairement partial qui victimise Diana. Il a de surcoît un côté voyeur gênant.
J'ai été assez déçu par ce film. Cette actrice fait le nécessaire pour ressembler à la vrai princesse de Galles. La vrai Diana était largement supérieur au personnage décrit dans ce film. J'avoue sincèrement que je me suis ennuyée. Elle avait un rôle hyper important à jouer pour tous ce qui concerne les œuvres humanitaires. Rien ne prouve qu'elle aurait une liaison avec un chirurgien d'origine indienne. Elle fait tout pour le séduire puis pour le rendre jaloux; Bien jouée mais manque de véracité.
il faut vraiment avoir du temps à perdre.... ou être fan et plus que fan de Diana!! la pauvre.... rien n'est intéressant dans ce film ... à part faire de la monnaie!!
Il fallait s’y attendre, le destin incroyable de la princesse de Galles Diana Spencer est dans les salles. Tout comme Steve Jobs, sans recul dans l’histoire, le biopic avait tout pour décevoir avant d’être vu. L’ombre de la princesse Diana planant encore un peu partout, il aurait fallu attendre encore une bonne dizaine d’années pour que les langues se délient ou avoir un point de vue plus global. Mais Oliver Hirschbiegel était pressé. Au final, un film mi-figue mi- raison qui ne devrait pas plaire à tout le monde...
Non pas que j’attendais ce film avec impatience mais j'étais curieux de voir ce que Oliver Hirschbiegel, réalisateur allemand de L'expérience et La chute, avait pu faire des dernières années de Diana. Et puis la vie des princesses, je m'en fiche un peu...Fût-elle morte sous le pont de l'Alma. Et puis il y a Naomi Watts. Elle n'a rien à se reprocher. Elle est comme toujours...
le réalisateur a décidé de s'intéresser aux deux dernières années de la vie de la princesse ce qui heureusement nous permet d'éluder toute la famille royale et ses traditions ancestrales d'un autre siècle. nous assistons a son combat désespéré pour de grandes causes humanitaires et son dernier grand combat pour essayer d'aimer et être aimé. Naomi Watts interprète de façon convaincante Diana.
Je suis assez étonnée de voir autant de critiques négatives au sujet de "Diana". Je suis allée le voir et je ne vous cache pas que j'ai été émue par moments, que ce soit par le rire ou les larmes. Le film est surtout concentré sur l'histoire d'amour entre Diana et ce chirurgien Pakistanais, ce n'est effectivement pas un biopic. Et ce n'est certes pas un Blockbuster, mais il a le mérite d'être touchant et sincère.
Pour finir, Naomie Watts incarne réellement bien le personnage de Lady Di.
Film très anecdotique et pas très intéressant sur les 2 dernières années de Diana et son histoire d'amour secrète, les lectrices de gala vont adorer! Reste une mise en scène par moment inspiré et des acteurs plutôt convaincant
C est un film magnifique et émouvant Superbement interprété La presse française est vraiment nulle par moment Pourquoi tant de haine et surtout pourquoi recopier la presse anglaise dont on connait l absence de morale a tous point de vue