Etant une grande admiratrice de Lady Diana (sa mort m'avait bouleversé), j'attendais avec appréhension et hostilité cette biographie signée par l'auteur de La Chute. En fait de biographie, c'est plus précisément sur son histoire d'amour avec le docteur Khan que l'on va se pencher. Avec beaucoup d'humanité et de subtilité, Diana est ici tout simplement une femme amoureuse et fragile. Un magnifique portrait donc, porté aux nues par une Naomi Watts plus incroyable que jamais.
Naomi Watts est énorme ! au bout de 5 minutes on oublie la comédienne et on ne voit que Lady Di ! Je suis allé avec ma copine sans beaucoup d'attentes et on est sortis très touchés par ce biopic. Très conseillé !
J'y suis allée craintive mais intriguée par le débat suscité au Masque parmi les critiques. Et bien il y a certes de quoi discuter . Discutable pour moi le choix des acteurs qui modifie le rapport aux personnages devenus stéréotypés : Hasnat à l'esthétique valorisé joue imperturbable et glamourisé; Diana parait plus par son physique une "college girl" déçue mais sympathique qu'une aristocrate profondément blessée en recherche de vengeances compensatrices amoureuses et multi media , malgré toute sa sensibilité Naomi Watts rayonne solaire et volontariste, pour moi Diana était plus nocturne et mystérieuse: La beauté de la princesse de GALLES portait les traces observables et attractives de sa quête d' amour . Par contre je ne m'offusque pas du parti pris "feuilletonesque" de cette romance car le film est plutôt conforme a l'idée que l'on se fait de l'imaginaire de la vraie Diana. En conclusion Naomi Watts s'en tire plutôt bien et rend la princesse sympathique excusable de ses cotés manipulateurs . Cela aurait fait un bon télé film.
La mode du film de princesses commence. Avant le Grace de Monaco avec Nicole Kidman, c'est au tour de Naomi Watts (bien trop jolie pour ce rôle) d'incarner Lady Diana, pour un faux biopic, se concentrant sur une romance et sur la période 1992-1997, après la séparation de Diana et Charles. En transformant Diana en une femme pleine d'amour et de douceur, pauvre victime de l'amour et des hommes, on s'éloigne du réalisme et Naomi Watts fait ce qu'elle peut avec un personnage mièvre et peu crédible. Le film se regarde tout de même, mais n'est clairement pas bon. Ce n'est pour autant pas non plus l'horreur décriée depuis plusieurs semaines...
Même si on croit tous connaître la vie de Diana et les circonstances de sa mort par coeur, allez quand même voir ce film pour réellement sentir son état d'esprit durant les deux dernières années de sa vie, vous verrez qu'il y a certaines choses que vous ignoriez finalement. Le film est touchant, Naomi Watts et Naveen Andrews jouent très bien...deux heures d'émotions garanties...
la vie de Diana alors qu'elle est séparée mais pas encore divorcée du prince Charles sa relation particulière aux médias ses difficultés rencontrées avec celui qui devait être son amour le chirurgien musulman et dont les parents ont refusé le mariage parce qu'elle était divorcée même si c'est une version que l'on veut nous donner je ne me suis pas ennuyée et même si l'actrice qui joue Diana ne lui ressemble physiquement pas totalement on se prend au jeu et comme elle l'imite trés bien dans ses mymiques on y croit les critiques étaient tellement négatives que je suis allée voir ce film avec du recul et finalement j'ai passé un excellent moment et je le recommande
Quoiqu'on ait pu lire ou entendre, allez voir DIANA pour vous faire votre propre opinion, et croyez-moi vous ne serez pas déçus! C’est une histoire d'amour extraordinairement belle et touchante!
Diana est un biopic romancé, très, trop…. Le film raconte donc la passion secrète entre Diana Spencer et le chirurgien pakistanais Hasnat Kahn. Le livre et le film racontent aussi que la relation entre Diana et Dodi Fayed n’était qu’un prétexte pour rendre Hasnat Khan jaloux. Cette version est rejetée par les proches de la princesse. Hasnat Kahn, 54 ans et exerçant dans un hôpital de l’Est londonien, n’a jamais confirmé publiquement sa relation avec Diana.
Le réalisateur nous présente une femme perdue, seule, excessive et en quête d’amour. Le film donne aussi l’image d’une femme un peu « nunuche » accro aux séries télé, ne sachant pas cuire des pâtes.. (par ex.) difficile de croire à sa "nullité en cuisine" car Diana vient d’une famille moyenne, elle a eu une vie avant de devenir princesse … Le film est sirupeux et mièvre ! une cata !!! Quelle déception …… sans parler de la musique qui arrive sur certaines scènes… Et là on atteint le ridicule (ne me quitte pas de Jacques brel à deux reprises…
Naomi Watts est Diana Spencer. L’actrice a passé des heures à tenter de se glisser dans la peau de son personnage, allant jusqu’à habiter en face de Kensington Palace, la résidence de la Princesse de Galles. Contrairement au film, l’actrice offre une prestation de qualité, pas facile d’incarner une telle icone. Naveen Andrews est parfois un peu trop ‘playboy’
Diana est un film mièvre, décevant. Tout sonne faux… Largement dispensable !!!! !
Naomi est souvent brillante et ses choix de carrière sont toujours fort judicieux. Ce film du réalisateur de l'inoubliable La Chute tourne hélas très vite au soap opéra. C'est léger mais très creux, aucune substantifique moelle n'est apparente. Autant Bruno Ganz semblait habité par le Furher, là Miss Watts tente du mieux qu'elle peut à faire apparaître dans son jeux toute la complexité de l'ex Princesse de Galles. Il n'en est rien, le film survole par ailleurs, toute analyse sur la psyché des personnages.
Bref il s'agit là d'une déception qu'il convient de nuancer en disant que le film est adapté d'une oeuvre littéraire il me semble. Des lors difficile de donner plus corps à ces personnages à travers autre chose que des coupures de presse ou des photos de la presse people
J'ai trouvé l'actrice fade et ressemblant à une speakerine des années 60. Coiffée parfois plus comme Camilla que comme Di ! Le sujet rebattu n'offre pas grand chose en plus des reconstitutions de reportages et d'émissions télé. C'est de toutes façons pénible un biopic car on ne peut s'empêcher de s'extasier - ou pas - sur le clone qui joue.