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    Le BGG – Le Bon Gros Géant
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    benoitG80
    benoitG80

    3 429 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juillet 2016
    "Le Bon Gros Géant" dernier né de Steven Spielberg, assez surprenant en tant qu'adaptation du conte de Roald Dahl a semble-t-il divisé la presse et les spectateurs dont certains y ont vu de la laideur, jusqu'à utiliser le mot nullité pour cette réalisation, comme l'écrit le journal Le Nouvel Observateur...
    Face à ce déchaînement, il faut au moins rester mesuré devant cette réalisation loin de devoir être balayée d'un simple revers de manche un peu radical et restrictif.
    Car ce "Bon Gros Géant" ou BGG (Mark Rylance étonnant !), a un potentiel de sympathie et de bienveillance dont les seuls yeux malicieux et le sourire charmeur savent déjà nous enjôler, comme il sait si bien le faire avec Sophie, petite ou "petchotte" à lunettes, déterminée et brillante, avec laquelle il formera un duo assez convaincant !
    Pour ce faire, quelques ingrédients dont Spielberg a le secret ou la magie puisque c'est cela dont il s'agit (!), permettent de donner du sel et de l'énergie à cette fable !
    Comme ce langage qu'utilise ce géant, si imagé et succulent dont on cherche à l'avance les possibles déformations pour rendre un simple mot encore plus chantant, plus évocateur ou savoureux qu'il ne l'est déjà !
    Et justement on se prête ainsi au jeu des mots-valises, tel ce "savouricieux", mélange de savoureux et délicieux !
    Et cet univers si étrange où un trois mâts deviendra un lit, sans parler de cette usine à rêves lumineux, que découvrira avec émerveillement Sophie, travail à plein temps pour le BGG, dont la malice et l'humour, l'écoute et la compréhension feront le reste !!!
    Alors sans doute sur un rythme un peu lent, on se laisse séduire par ce monde irréel où méchants monstres, avaleurs d'enfants, seront un danger permanent pour la petite et vulnérable Sophie !
    À les voir d'ailleurs à côté d'elle si petite, on pense même aux sculptures gigantesques de Ron Mueck !
    Car même face à ces énormes créatures plutôt primaires et inquiétantes, notre héros est bien délicat, réduit en taille, presque à sembler frêle et fragile !
    Jouer ainsi sur les échelles, tout au long de l'histoire jusqu'à s'en amuser dans des situations drôles comme à l'intérieur du château de la Reine, réserve en définitive des instants savoureux et cocasses !
    La fin vaut également le détour, rien que par la réussite spectaculaire du plan imaginé dans la tête du fameux duo...
    Alors sans doute quelques maladresses, mais loin du navet attendu, cette dernière réalisation du célèbre cinéaste (véritable "Touche à Tout" dans son genre) vaut le coup d'être découverte !
    L'Otaku Sensei
    L'Otaku Sensei

    317 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 juillet 2016
    "Le magiciens Spielberg est de retour"...ah là là, les critiques ne croient pas si bien dire ! Je sort de la séance encore tout retourné de ce que je viens de voir, la claque mais quelle claque !^^
    Et pourtant ce n'était pas avec grande impatience que j'attendais forcément ce film. Non pas que je n'y croyais pas non non, j'ai confiance en Spielberg qui plusieurs fois m'a bien fait plaisir (E.T, Indiana Jones, Tintin entre autres...), c'est juste que ce film se situait au beau milieu du torrent de Blockbusters et autres grosses productions sur ma liste à voir en cet été 2016 très chargé. C'est donc sans grandes attentes que je me suis décidé à aller tester ce nouveau film assez élogieusement critiqué lors du dernier festival de Cannes...et le résultat dépasse largement toutes mes attentes ! En coproduction avec Walt Disney Pictures, S.Spielberg pour son nouveau film, à choisit de piocher dans le large catalogue des oeuvres écrites par Roald Dahl (Mathilda, Charlie et la chocolatrie...) et d'apporter un nouveau souffle à l'histoire du Bon Gros Géant (BGG). Le récit se passe à Londres, Sophie, jeune orpheline croyant aux histoires merveilleuses vivant sous les dures règles de l'orphelinat passe ses nuits à observer les ombres qui courent dans l'obscurité jusqu'à cette nuit ou l'enfant est enlevée par un géant de 7 mètres; ce dernier la conduit chez lui, au pays des géants. D'abords hostile au colosse, la petite découvre très vite que sous cette apparence terrifiante se cache un être pur et très gentil. Les deux apprennent à faire connaissance l'un l'autre mais cette amitié est menacée par les autres géants de la tribus, bien moins sympathiques et mangeurs d'hommes. Pour se défendre de ces brutes, Sophie et le BGG décident de demander l'aide d'une personne haut placée...la Reine d'Angleterre, rien que ça^^. Voilà pour le pitch global du film.
    Et qu'est ce ça fait du bien ! Quel film incroyable ! Le BGG est un véritable enchantement de tous les instants ! Une histoire pleine de magie, d'aventure et d'amitié qui vous fait littéralement voyager dans le temps et vous fait redevenir un enfant de 8 ans., c'est magique,. Serte ça a ce caractère naïf mais on prend un grand plaisir à suivre les péripéties de ce sympathique géant et de cette fillette intrépide. C'est inventif, bien pensé et on arrive facilement à ressentir cette touche de magie made in Disney à la Peter Pan, semblable à celle des bon vieux grands classiques de la boîtes à Mickey. Le récit prend son temps pour introduire et développer cette belle amitié qui s'installe entre les protagonistes, un soin narratif qui permet à chaque scène de dégager son lot d'émotion. On rigole, tantôt on est ému (presque aux larmes), et sans parler du visuel qui est absolument sublime ! Mention spéciale à la scène de spoiler: la chasse aux rêves au pied de l'arbre à rêve. Tous ces plans sur l'arbre gigantesque et toutes ces lumières bleus/dorées brillantes qui scintillent comme des lucioles en se déplaçant à toutes vitesse, le ciel étoilé et les reflets sur le lac...^^
    et c'est pas comme si j'avais eu la bouche et les yeux grand ouverts hein ^^. Les personnages sont hyper attachants, vraiment on s'y attache tout de suite, dès leur première apparition. D'abords la petite Sophie qui nous rend directement complice de sa veillée tardive à l'orphelinat, on découvre à travers ses yeux d'enfants en quête de rêve et d'aventure cet univers gigantesque (c'est bien le cas de le dire^^). Mignonne, calme, intelligente, on est admiratif devant sa détermination et son courage, chapeau à la petite Ruby Barnhill pour son jeu d'acteur excellent. Le Bon Gros Géant, très attachants également par son caractère poli et attentionné, amusant par sa fâcheuse tendance à s'emmêler les pinceaux verbalement et dans son vocabulaire, et un personnage doté d'un très beau sens moral. spoiler: L'idée de faire de lui un chasseur et un gardien de rêves (matérialisés sous forme de loupiotes colorées brillantes fait de lui quelqu'un de très généreux, toujours soucieux du bonheur des autres.
    On a aussi pitié de lui car il est spoiler: persécuté par ses paires
    . Mark Rylance a vraiment bien assuré dans la peu de ce personnage unique, il en va de même pour Danny Boon au doublage Français qui vraiment s'est investit à fond et son timbre de voix correspond très bien à ce géant au grand coeur. La Reine d'Angleterre est convaincante aussi bien qu'on la voit moins. Sinon, autre grande qualité du film, l'humour fait mouche ! Déjà par les décalages de langues entre Sophie et le bon gros géant mais également grâce aux éléments du pays des géants comme la limonade pétillante à l'envers (dont j'ai oublié le nom), la différence de tailles qui amène aussi pas mal de situation rigolotes comme spoiler: la scène du déjeuné à Buckingham palace, avec tous les soldats aux petits (ou plutôt grands dans ce cas là^^) soins du géant
    . On notera aussi le superbe travail de John Williams à la composition de la bande originale du film, cette musique imprègne toute la féerie de cette aventure. On pourrait éventuellement faire deux trois petits reproches au film bien sûr, il y a toujours à débattre, je pense surtout au fait que spoiler: les géants soient vaincus un peu trop rapidement à la fin
    mais bon c'est de l'ordre du chipotage. Pour ma part j'ai passé un moment tellement agréable que bon, malgré quelques petites lacunes ici et là, il m'est impossible de mettre moins que 5/5, ce film le mérite. Merci Spielberg pour ce bijoux cinématographique, le BGG est un enchantement de tous les instants pour petits et grand avec lequel vous êtes sur de retomber en enfance.
    tony-76
    tony-76

    1 082 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juillet 2016
    Après un biopic conventionnel mais passionnant qu'était Le Pont des Espions, Steven Spielberg retourne derrière la caméra pour nous présenter une oeuvre fantastique : Le BGG. Et, on peut dire que le cinéaste a toujours cette magie pour séduire le public comme l'a était son incroyable Tintin en 2011. Il s'attaque cette fois-ci à un classique du mythique romancier Roald Dahl (Charlie et la Chocolaterie). Le tout sous les bons soins de Disney qui s'y connaît en la matière. Tout débute dans un orphelinat en Grande-Bretagne où la jeune Sophie (Ruby Barnhill) est incapable de dormir et en sortant sur le balcon, elle aperçoit un gentil géant (Mark Rylance) spoiler: qui décide de la kidnapper...
    Là commence une aventure fabuleuse qui prend son temps à se mettre en place. spoiler: Il ne s'y passe pratiquement rien : que des mots échangés entre deux individus.
    Un rythme lent qui ne s'adresse pas pour tout le monde... Malgré ceci, on est vite plongé dans l'univers du royaume des géants. Sur le plan purement visuel, le BGG impressionne : caméra souple et élégante, direction artistique riche et soignée (Mark Rylance en tête), animations très fluide des géants de synthèse et musique impeccable de John Williams. A noter, la jeune Ruby Barnhill, dans le rôle de Sophie, réussit sa première prestation au cinéma ! La voix vocal de Dany Boon colle bien au géant, ce qui le rend attachant. L'humour s'avère malin et bon enfant spoiler: - le repas avec la Reine et le géant est fort cocasse -.
    Il n'y a pas vraiment d'émotion, spoiler: peut être dans la dernière séquence ?
    Mais, Le BGG - Le Bon gros géant est un conte gentil, plaisant et naïf qui plaira à un jeune public.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 952 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 août 2016
    La phrase promotionnelle en haut de l'affiche de "The BFG" stipule que « Le magicien Spielberg est de retour » . Elle ne nous prècise pas cependant que c'est une oeuvre mineure d"un « gèant » de l'histoire du cinèma! Ces rèserves faites - et qui sont, au fond, de peu d'importance - on peut louer le travail remarquable de l'èquipe des effets visuels car la force de ce film c'est avant tout le regard de Mark Rylance (on regrettera que sa jeune partenaire ne soit pas aussi dèlicieuse) que l'on retrouve à travers ce regard gentil du Bon Gros Gèant! Melissa Mathison, la scènariste, a rèussi à trouver une histoire dans l'histoire! Très populaire en Angleterre et aux Etats-Unis, le livre à succès de Roald Dahl est une suite de dessins mais l'oeuvre avait besoin d'une intrigue, d'une structure solide! De gros moyens, un visuel souvent magique (en 2D comme en 3D), un Bon Gros Gèant attachant où Spielberg rèussit à crèer une ambiance assez prenante dans les rues londoniennes avec, peut-être, trop d'effets de mètier, trop de « ficelles » , trop de guimauve! Reste que le cinèaste hollywoodien reste fidèle au style de Dahl et du Bon Gros Gèant! Du coup, les lecteurs retrouveront ses valeurs et sa philosophie dans le film! En fait, le but de "The BFG", c'est d'explorer nos diffèrences et ça tonton Spielberg le fait super bien en apportant des valeurs à un monde où la diffèrence n'est pas reconnue mais plutôt condamnèe! Le Bon Gros Gèant chante toutes ses vertus! C'est une reconnaissance de la vie du Bon Gros Gèant, de la diffèrence de Sophie, sa jeune hèroïne, car ces deux personnages se retrouvent sur des valeurs communes! Beaucoup de longueurs dans la première partie mais beaucoup de trouvailles hilarantes dans la seconde, notamment dans le château de la Reine d'Angleterre. « Quand on fait un film comme ça, nous sommes tous des enfants » dixit Steven Spielberg! On le croit sur parole...
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    637 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juillet 2016
    Histoire écrite par l'auteur du roman "Charlie et la chocolaterie" et réalisé par monsieur Steven Spielberg, "Le BGG", bien que donnant peu envie à première vue, a des bases solides pour ne pas être un navet. S'il y a bien une chose qu'on peut reconnaître, c'est la qualité de Spielberg à raconter des histoires et il nous le prouve une fois de plus en adaptant un conte destiné aux enfants où un géant enlève une jeune orpheline et l’amène dans son monde. Pas de surprises ; la réalisation est impeccable, les décors sont splendides et l'image teintée de couleurs vives rappelle alors un conte intemporel et magique. On repense au récent "Paddington" ou à "Hugo Cabret". De plus, la partition musicale de John Williams ne fait qu'une avec la narration et contribue efficacement à la féerie de cet univers. Les sonorités des premiers volets d'"Harry Potter" résonnent au loin comme un souvenir qui se ravive... Cependant, le scénario m'a paru plutôt inégal, privilégiant une mise en bouche fantastique où les deux personnages se rencontrent, et laissant flotter le rythme de l'histoire lorsque le géant se met à parler et que la petite fille découvre son quotidien. En effet, le géant confond tous les mots et baragouine un langage singulier, difficile à saisir dans un premier temps (peut-être est-ce le doublage de Dany Boon qui m'a dérangé ?), et on découvre également son occupation principale qui consiste à chasser des rêves et d'en créer pour les distribuer aux humains, idée sympathique mais peu emballante car j'ai trouvé cette partie très longue, voire ennuyeuse. Et y étant allé avec ma petite sœur, je peux vous confirmer qu'elle a aussi trouvé le temps long. Le milieu du film forme un creux, rythmiquement parlant, contrastant avec le travail visuel qui est de haute précision. Heureusement, dès lors qu'ils reviennent à Londres, le rythme repart de plus belle avec la rencontre de la reine d'Angleterre et la talentueuse Rebecca Hall (dans un rôle moindre, certes) qu'on ne voit plus beaucoup ces derniers temps. On rigole à nouveau grâce à une fin efficace, enfantine certes, mais burlesque. Il ne faut surtout pas omettre de signaler le talent énorme de la petite Sophie, jouée par Ruby Barnhill, qui joue le tiers du film toute seule face à un fond vert fluo, et ça, à 11 ans, ça relève de l'exploit, surtout lorsqu'on se pose absolument pas la question pendant le film tellement ça nous parait normal, mais qu'on y repense bien après ! Malgré ce manque de rythme, "Le BGG" reste une belle réalisation de Steven Spielberg qui confirme sa place de conteur au cinéma. Mais on est loin de ses meilleurs films qui font partie des grands classiques...
    VinzParker
    VinzParker

    38 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 juillet 2016
    Beaucoup de cinéphiles comme moi ont été bercés par les films de Steven Spielberg, tous intemporels dont ils représentaient à eux seuls l'âme du cinéma et qui nous incitaient à payer notre place pour s'évader loin de notre quotidien pendant 2 heures... Je veux bien sûr parler de la magie du cinéma, et Steven Spielberg en est le maître absolu. D'ailleurs, son dernier film, "Le Bon Gros Géant", ne va pas me contredire sur l'impression que j'ai pour cet homme car le magicien est bel et bien de retour..
    En effet, cette fable permet au spectateur de retrouver le "Steven Spielberg" d'antan qui nous a fait rêver avec des films magiques dont « Le BGG » complète merveilleusement cette lignée. S'inspirant de l'oeuvre de Roald Dahl écrite en 1982, ce film raconte la fabuleuse amitié entre un Géant de 7 mètres et Sophie, une jeune orpheline âgée de 10 ans. Même s'il l'emmène par obligation au Pays des Géants spoiler: où l'on rencontre d'effroyables Géants mangeurs d'Homme de terre
    , Le Géant éprouvera de la sympathie au fil du temps pour cette fille curieuse et courageuse qui apprendra d'elle et vice-versa..
    Ruby Barnhill fait ses premiers pas au cinéma, et elle se débrouille super bien pour son âge, surtout que le défi était de taille car la plupart des personnages sont en « motion capture », hormis, a Reine d'Angleterre et ses serviteurs entres autres( spoiler: la scène au palais de Buckingham est jubilatoire, j'en pouvais plus tellement je riais
    ). Le BGG est incarné par Mark Rylance, un acteur génial qui arrive à nous faire rire et à nous émouvoir par son regard expressif lorsque la caméra s'avance sur son visage, dont on reconnaît tout le talent de Weta Digital sur ces effets spéciaux impressionnants..
    Après "E.T.", Steven Spielberg retrouve son âme d'enfant, guidé par la plume de sa scénariste Melissa Mathison, qui avait le secret de toucher le spectateur, mais qui nous a quitté prématurément en novembre dernier suite à un cancer en nous laissant comme héritage un récit captivant, constructif, jouissif et émouvant. Elle a réussi à adapter « le BGG » sous plusieurs angles afin de plaire aux petits comme aux grands, qui ne verront pas un simple divertissement mais bien un film envoûtant porteur de messages forts et passionnants. Le film évite les clichés et les longueurs pour ne garder que le meilleur, à savoir un mélange savoureux d'humour, d'émotion et de bons sentiments. Un chef d'oeuvre de poésie qui nous démontre que l'amitié peut être la plus belle preuve d'amour de la vie, avec deux êtres complètement opposés mais qui vont se rassembler pour une même cause : continuer à faire vivre les rêves des enfants du monde entier..
    Steven Spielberg ne change jamais son équipe, quelque soit le genre de film qu'il va réaliser, comme c'est le cas par exemple pour Janusz Kaminski. Il nous offre une parfaite photographie, notamment spoiler: à l'intérieur de la grotte du BGG ou durant la scène finale en plan-séquence pour être au plus proche de l'action et des personnages
    . Il y a aussi Rick Carter qui s'occupe des décors fabuleux spoiler: (ex : la grotte du BGG, La ville de Londres, l'arbre des rêves au Pays des Géants,...)
    , accompagné par Robert Stromberg. Le duo avait par ailleurs remporté l'Oscar des meilleurs décors en 2010 pour « Avatar », n'est-ce pas emballant ? ^^
    Pour finir sur cette critique les amis, je voudrais féliciter John Williams, qui nous éblouit une fois de plus à chaque note de musique. On ne peut être qu'admiratif de cet homme sensationnel dont Steven Spielberg a de la chance de l'avoir à ses côtés. Pas étonnant qu'il est des nominations aux Oscars presque chaque année, et cela n'est pas près de changer..
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    252 abonnés 884 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juillet 2016
    La magie de Steven Spielberg opère à nouveau à merveille dans Le BGG, Le Bon Gros Géant malgré un problème de rythme. Une formidable histoire d’amitié improbable entre une jeune orpheline et un géant trop gentil qui émerveillera encore une fois petits et grands. John Williams signe ici l’une de ses plus belles partitions à ranger à coté de ses plus grands classiques tant elle accompagne à la perfection les somptueuses images du film. Il va s’en dire qu’il faudra mieux si possible découvrir cette histoire dans sa version originale pour profiter des mots inventés par Roald Dahl avec le charme de l’accent anglais et choisir aussi une séance en 3D qui pour le coup mérite vraiment de payer un supplément. [lire la critique complète sur le site]
    framboise32
    framboise32

    155 abonnés 1 290 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2016
    Le Bon Gros Géant est un film familial. Un conte poétique que petits et grands apprécieront même si il est clairement destiné aux enfants. Le seul petit problème du film est son rythme qui faiblit et ennuie les plus grands. Pour le reste, le conte est joli, fantaisiste, et plein de bon sentiments. La rencontre de Sophie la jeune orpheline avec le Bon Gros Géant est épatante. Le géant mesure ,5 mètres. il est « souffleur de rêves ». Il est végétarien. Il est gauche, a un langage approximatif, adore le « frétibulle » , une boisson de sa création qui provoque des « crépiprouts » . Des Crépiprouts qui provoquent dans la salle les rires….La jeune Sophie va vivre de belles aventures et sa relation avec le BGG est tendre et amicale. Les décors et les lumières sont magnifiques, extérieurs ou intérieurs. On se balade dans le vieux Londres, dans les grands paysages des géants, dans le chateau de la Reine. L’équilibre entre le réel et l’imaginaire est parfait.

    La jeune Ruby Barnhill est charmante. Sam Rylance incarne le personnage un peu gauche et naïf du BGG. Une prestation apparemment réussie. Vu en français, Le doublage de Dany Boon est également réussi (j’avais un doute).

    L’histoire entre Sophie et le BGG ne vaut pas celle de ET et du petit Elliot mais le BGG est un film familial très plaisant. Poétique et destiné aux enfants, le conte est féérique.
    mataza
    mataza

    3 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 août 2016
    A quoi bon faire des critiques sur internet, lorsqu'on est un amateur me direz-vous ? Mais justement, l'amateurisme a du bon, ça nous permet de garder un certains recul, ou de ne pas crier au plagia à tout va car nous ne connaissons pas toutes les références, tous les films (qui d'ailleurs pourrait se vanter de cela). Mais j'ai l'impression que le cinéma, et surtout le cinéma d'effets spéciaux souffre actuellement d'un désenchantement, on entend partout dire "trop d'effets visuels tue l'effet visuel", dès que l'on en trouve en abondance dans une film, on parle d'overdose, on va même jusqu'à dire que c'est moche, car on confond le dégout et la laideur...et ce sont ce genre de personne qui disent cela qui s'autoproclame critique cinéma, sans prendre en compte l'imagination, le temps, le boulot ET LA PASSION qu'il y a derrière. Est-ce une répercution du phénomène Star Wars 7 (qui était mauvais malgré toutes ses bonnes intentions) ? Toujours est-il que Spielberg revient avec un film en grande partie numérique, après son Tintin 100% numérique et motion capture et que c'est une réussite pure et simple, n'en déplaise à certaines mauvaises langues qui aurait été déçu quoiqu'il en soit. Le BGG est une fable, un conte enfantin, pacifique, avec tout de même une pointe de noirceur, nécessaire pour faire avancer l'intrigue et pour donner du relief à l'univers. Parlons de l'univers d'ailleurs qui est d'une richesse hallucinante, auquel je ne m'attendais pas. Le BGG, ce collectionneur, créateur et distributeur de rêves nous fait découvrir son pays, son laboratoire, qui fourmillent de petits détails incroyables qui contribuent à la crédibilité de l'univers. On sent que le BGG est vieux, très vieux, et son côté méticuleux dans son travail contraste délicieuse avec son côté gauche et bêta dans la vraie vie. En bref, personnalité des personnages et cadre se marrient parfaitement, et nous fait croire en cette histoire qui garde tout de même la naïveté de l'enfance. On hurle de rire à certains moments (à condition d'aimer l'humour pipi caca) et parfois on est triste pour le géant ou pour la petite fille. Niveau casting, un sans faute, nulle doute là-dessus et à toutes les mauvaises langues (encore) qui crachent sur le jeu de la jeune Ruby Barnhill, sans déconner, vous ne ressentez pas toutes la passion de la petite qui a dû s'éclater sur le tournage ?
    Bon je crois que nous pouvons le dire, Spielberg a encore marqué un point avec ce film et ravi beaucoup de coeurs, du moins je l'espère.
    Jamais Content
    Jamais Content

    8 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 juillet 2016
    C'est un film réussi avec une belle histoire. Spielbeg qui est un vrai créateur d'histoire et a réussit à nous transporter dans un univers pleins de rêves. Son film s'adresse aux enfants mais les plus grands se laissent également aller à aimer ce bon grand géant. Cette aventure navigue entre rêves et réalités. Petit bémol une mise en route un peu longue, une certaine lenteur comme si l'histoire avait du mal à débuter et une fin un peu raté.
    jamesgray33
    jamesgray33

    29 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 juillet 2016
    QUEL CHEF-D'OEUVRE, poétique, enchanteur, magique. Je viens de retrouver toute la puissance technique et narrative de Spielberg et ça m'a fait un bien fou. C'est une pure rêverie, ôde à l'innocence et la pureté, éléments confrontés à l'abandon (comme souvent dans l'œuvre de Spielby). La force de ce "Bon Gros Géant" c'est qu'il nous plonge littéralement dans son univers plein de pureté qui nous émeut par ses messages (une pureté que finalement assez peu pourront capter, vu les critiques que je vois, mais ce genre de réactions me paraissant plutôt normal face à un film aussi beau et pur, où il faut saisir toutes les subtilités et toute l'humanité qui s'en dégage : ce qui est sûrement trop demandé dans ce monde, surtout que l'industrie hollywoodienne ne nous offre presque plus du tout ce genre de beau film, et c'est bien triste). Bref, la magie de BBG m'a fait rêver comme dans les productions Amblin des années 80/90. Encore merci Spielby, je ne pourrai jamais assez te remercier pour l'amour du cinéma et de l'humanisme que tu m'as transmis depuis tant d'années maintenant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 juillet 2016
    Un véritable chef d'oeuvre, acteurs au top, images fantastiques, effets spéciaux incroyables, une vraie belle réussite mention spéciale pour Dany Boon qui m'a touché pour la première fois pour son doublage du BGG.
    Vanessa L
    Vanessa L

    284 abonnés 821 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 août 2016
    Je ne savais pas trop à quoi m’attendre en allant voir ce film mais un film de Spielberg ne se laisse pas réellement passer et vaut toujours le déplacement. Je dois dire qu’il est plus que plaisant de revoir Spielberg retourner dans ce registre. Il nous donne de la magie dans les yeux avec une techniquement d’effets spéciaux parfaite. Esthétiquement magnifique, le personnage du BGG ressemble à une personnelle réelle et c’est assez bluffant. Les décors sont également magnifiques et originaux. Le monde des rêves est splendide et j’ai littéralement adoré ce passage. L’humour est également présent dans ce film et je dois dire qu’il a des passages à mourir de rire en particulièrement ceux de la fin. Ruby Barnhill qui joue Sophie est particulièrement brillante dans son rôle. Elle est drôle, elle a des expressions marrantes et colle parfaitement avec Sophie. C’était assez sympa de revoir Penelope Wilton (Downton Abbey) dans le rôle de la reine.

    Malgré la magie du film et son scénario efficace, il m’a manqué quelque chose pour l’adorer à sa juste valeur. Il manquait peut-être un peu de rebondissement ou d’action pour avoir un rythme plus soutenu. Je n’arrive pas totalement à trouver la raison. J’ai adoré le travail sur la façon se parler du BGG. Je ne sais pas trop ce que cela donne au niveau de l’anglais mais en français cela sonnait réellement bien. On ressent vraiment un travail énorme sur ses paroles. D’ailleurs, certaines sont réellement originales, bien trouvé et poétiques. J’adore !

    En résumé, Le BGG est un très beau film aussi bien techniquement qu’au niveau de son histoire. C’est une belle histoire qui aurait mérité de sortir à Noël. C’est typiquement le genre de films que l’on aime regarder à cette période de l’année. Visuellement parfait, l’histoire nous transporte dans le monde des géants qui est loin d’être rose. Mais le BGG est là pour donner un peu de douceur dans ce monde de brutes et donner à Sophie de l’aventure et des rêves. Un film vraiment original qui vaut le détour !
    Housecoat
    Housecoat

    124 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2016
    Le BGG - Le Bon Gros Géant de Steven Spielberg, et sa toute première collaboration avec Walt Disney Pictures. Et dernier film scénarisé par Melissa Mathison, scénariste de E.T l'Extra-Terrestre et de L'Indien du Placard. Repose en paix, tu laisses un coup d'éclat derrière-toi.

    Steven Spielberg, le King of Entertainment qui travail main dans la main avec Disney, ça fait rêver pas vrai ? Et bien c'est exactement ce que nous offre ce film: du Rêve.
    Adapté d'une nouvelle de Roald Dahl, Spielberg nous plonge dans une histoire colorée, magique, créative et mise-en-scène avec brio pour son retour aux divertissements. Le film est certes enfantin et naïf, mais c'est exactement ce qui fait sa force.

    Les acteurs sont tous très bons, on y croit qu'ils sont dans un univers magique tant tout paraît vraie à leurs yeux.
    La jeune Ruby Barnhill qui joue Sophie est très bien dirigée, on sent tout l'émerveillement à travers elle. Elle est certes rêveuse mais sait quand même être terre-à-terre. Son introduction dans l'histoire est très efficace pour nous la faire connaître, elle est mature, intelligente, et a beaucoup de caractère pour une enfant de son âge. Et sa relation avec le Bon Gros Géant est touchante à souhait.
    Parlons de lui justement, le Bon Gros Géant, le BGG (ou méchamment nommé Microbe par ses pairs). C'est l'oscarisé Mark Rylance qui endosse la motion-capture pour montrer sa valeur en tant que nouvel acteur fétiche de Speilebrg. Et le titre est mérité car il est excellent, aucun défaut, aucune fausse note dans son interprétation. La motion-capture fait honneur à cet acteur et il le rend bien. Il est très expressif, on sent immédiatement de l'attachement pour lui tant il dégage énormément de tendresse autant pour son caractère que pour sa façon de parler.
    Son "Charabiage" est très inventif et nous fait une découverte et de l'intérêt pour lui à chaque phrases.
    Et pour le doublage de Dany Boon qui a dû en faire trembler plus d'un, il n'y a aucune crainte à avoir. On sait qu'il est derrière le micro mais il convenait au final parfaitement, il renforce la tendresse et le caractère enfantin de ce gentil géant et jamais il ne fait sortir du film. Un bon dosage et un bon doublage.
    Tout la dimension enfantine de Roald Dahl et Steven Spielberg se ressent à travers ses deux personnages. On ressent une forte honnêteté et sincérité entre les deux, les scènes entre Sophie et BGG sont émouvantes et chaleureuse. Une magnifique relation.

    Penelope Wilton (Harriet Jones premier ministre pour les fans de Doctor Who) incarne la Reine d'Angleterre et elle donne étrangement ce qu'on pourrait attendre de notre Elizabeth II actuelle, mais en plus enfantine et très sage. Elle sait quoi faire et elle y croit.

    Les Géants sont quand à eux très drôles. Leur meneur (désolé j'ai oublié son titre, il faut mémoriser chacun de leur...critères. Mais ils se démarquent visuellement) est cruel et fait bien rire.

    Pour les autres acteurs, ils n'apparaissent pas suffisamment pour pouvoir en juger car on se concentre avant tout sur Sophie et le BGG.

    Visuellement c'est magique ! On a droit à un véritable festival de couleurs.

    spoiler: En particulier la séquence avec l'arbre à rêves avec toutes ces boules lumineuses colorées qui volent dans tout les sens. La nuit étoilée avec en plus le reflet de l'eau. C'est exactement la partie mémorable visuellement, rien que ça justifierai le visionnage.


    La maison de BGG regorge de détails mais ce qui est réellement marquant avec son habitat c'est à quel point son gigantisme est mis en valeur avec Sophie minuscule. Les travellings constant dans cette partie du film nous donne l'impression de vivre une attraction bien ficelée quand Sophie se débrouille au milieu de tout cet intérieur. Ce ne sont pas les seuls moments où tout est bien filmé bien sûr.
    Et ces travellings et ces longs-plans ne sont pas là que pour marquer la taille, la 3D est excellente, si on est prêt à sacrifier un peu de lumière, on en a pour notre argent et les couleurs restent sublimes.
    Quant au monde des hommes de terre, toujours montré de nuit avec des halos de lumières sur les fenêtres (éclairage maîtrisée

    spoiler: et seul Buckingham Palace est montré de jour et bien lumineux.


    La Bande-Originale composée par John Williams est excellente. Celle de Star Wars VII en avait refroidi plus d'un mais le maître Jedi de la musique montre qu'il en a encore à revendre. On retrouve le style de symphonie qui faisait le charme de E.T l'Extra-Terrestre et de Hook. On sent l'émerveillement, la magie, l'émotion.
    Ce n'est pas aussi mémorable et créatif qu'autrefois mais ça se trouve dans la bonne moyenne qu'on attend de lui. Et puis il y a God Save the Queen.

    En ce qui concerne l'humour, les retours à Cannes en avaient parlé et étaient pour le moins...insatisfaits. Et pourtant Spielberg a su trouver des plaisanteries que l'on jugerait puéril en les réinventant.

    spoiler: Il a carrément réussit à rendre un gag de pet drôle ! La salle riait aux éclats durant cette scène. Bon évidemment on peut faire un rejet à ce genre de plaisanterie mais c'était si bien amené qu'on en rigolait avant même l'arrivé du gag. La scène la plus longue et pourtant la plus drôle. Bravo !


    Et quant à l'humour global du film. C'est souriant, ça ne prend pas de place, pas de gags abusifs, juste l'histoire qui se laisse porter par le caractère de ses personnages. Le langage des Géants et leur comportement font tout le reste.

    Cependant, si Le Bon Gros Géant possède des qualités indéniables, il y a néanmoins certains manques. Il n'y a aucun défaut significatif, juste des attentes que l'on a d'habitude pour un Spielberg mais qui sont absentes.

    spoiler: Le ton enfantin et naïf du film ne s'en va quasiment jamais. Il y a des moments sombres qui ne sont pas suffisamment appuyés. Comme celle où BGG et Sophie rentrent au Pays des Géants pour voir ces derniers emmener des enfants pour sans doute les tuer et les manger. On ne va pas au cœur du problème, on ne ressent pas l'ampleur tragique de ce que ça représente (et pour ce qu'ils ont fait, leur punition est très sévères mais assez minimes quand on y pense).

    spoiler: Et la naïveté a beau être un point fort du film, on pourrait quand même se dire que ça va un iota trop loin une fois arrivé à la rencontre avec la Reine d'Angleterre. Cela dit, on peut y faire abstraction ou ne pas y être sensible. Mais il n'empêche qu'arrivé à ce troisième acte, tout ressemble à un délire que l'on s'imaginerait dans un rêve. Un peu comme le rêve du garçon et du président.


    spoiler: Les dilemmes du film sont bien amenés mais sont trop courts. Lorsque BGG envoie Sophie à l'orphelinat pour sa sécurité, elle trouve rapidement le moyen de le convaincre qu'elle souhaite rester avec lui pour toujours. C'est sincère, c'est bien amené, c'est bien trouvé mais c'est trop rapide.


    spoiler: Et le climax est beaucoup trop court et même trop facile, en plus d'être assez forcé qui plus est.

    spoiler: Le Pays des Géants quant à lui est minuscule, on ne voyage pas suffisamment à hauteur d'humain dans cet environnement pour en ressentir tout le gigantisme qui s'en dégage. ça plus le fait qu'à part la maison de BGG et l'Arbre à rêves c'est assez pauvre en terme de créativité (remarque, ces Géants étant bêtes comme leur pieds, ça peut se comprendre), heureusement cependant que l'on voit ce Pays en extérieur que très peu dans le film.


    spoiler: Et aussi, c'est quelque chose d'assez surprenant mais il n'y a pas de double lecture ni de message dans le film. Sophie rencontre le BGG, ils deviennent amis, puis font appel à la Reine d'Angleterre pour arrêter les Géants qui dévorent les enfants. Et quand tout est fini, Sophie finit par avoir une famille comme dans son rêve et reste liée au Bon Gros Géant qui vit heureux au Pays des Géants. C'est aussi simple que ça. Au final, le BGG a appris à se rebeller face aux Géants qui le martyrisait mais l'évolution de Sophie est quand même beaucoup moins retranscrit, elle s'est adapté au langage du BGG et elle a appris à croire aux choses improbables mais on peut pas dire que c'était un point bien central dans le film pour elle. Après, on peut y voir dans le film une symbolique sur les rêves avec la symbolique de la fenêtre qui revient souvent pour marquer les moments où le fantastique entre en jeu: Le BGG capture Sophie à travers la fenêtre. Elle convainc le BGG à la récupérer en sautant à travers la fenêtre. La Reine d'Angleterre se laisse convaincre par Sophie debout devant sa fenêtre. Et le BGG transmet des rêves aux humains à travers les fenêtres grâce à sa trompette. Steven Spielberg donne des halos de lumières par les fenêtres dans tous ses films, et ils leur donne un rôle significatif en en faisant une sortie de notre réalité vers les rêves. On dit que les rêves sont un moyen de s'évader, cette métaphore n'a jamais été aussi vraie qu'à travers ce film.


    Au final Le BGG - Le Bon Gros Géant est un concentré de rêves en bocal.
    Un excellent divertissement, une perle visuelle et une bonne histoire portée par ses deux personnages principaux.

    Steven Spielberg arrivera toujours à émerveiller et ce film en est la preuve. Un rêve de toute beauté.
    jaja77
    jaja77

    61 abonnés 1 326 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juillet 2016
    Encore une fois " steven spielberg" nous offre un bon film entre rêve et réalité avec de très belles images, une jolie histoire ainsi que de bons acteurs. il plaira aussi bien aux enfants qu' aux adultes. j'ai donc passé un agréable moment en salle obscure.
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