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Julien D
1 211 abonnés
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1,0
Publiée le 5 décembre 2012
Derrière une décoration et des costumes kitchs supervisés par la costumière du déjà volontairement vintage OSS 177, il n’y a rien a tiré de cette comédie sentimentale. Cette intrigue dénuée d’intérêt de course dactylographique est traitée sans la moindre originalité scénaristique et sans la moindre idée comique. Ne cherchez donc ni intensité dramatique ni un quelconque suspense dans cette petite histoire, les scénaristes ayant préféré miser leur écriture sur une relation suintant la mièvrerie. Ce manque de subtilité se retrouve d’ailleurs dans le jeu des comédiens, Romain Duris nous fait part d’un surjeu insupportable dans son rôle de petit patron égocentrique tombant sous le charme de sa secrétaire, interprétée par Déborah François, manquant pourtant de charisme. Le soutien médiatique de ce premier film risque d’en faire un énième succès injustifié alors qu’il aurait tout aussi bien pu n’être qu’un banal téléfilm devant lequel on s'ennuie terriblement…
Ce film est tellement artificiel que tout est faux. Les acteurs sont contraints d'adopter un jeu caricatural qu'ils imaginent d'"époque". Tout le monde est bien peigné, a la chemise bien repassée. On dirait que tout a été ripoliné chez le Petit Nicolas! Ajoutons à cela un scénario prévisible pour gamines de 12 ans, l'insupportable Nicolas Bedos qui incarne enfin ce qu'il est dans la vie: un arriviste laid, Romain Duris qui "joue" une sorte de sévérité totalement ridicule, et nous avons un film d'une bêtise assez crasse.
Le niveau est à peu près celui d'un mauvais roman photo de "Nous-Deux", c'est dire qu'il est très bas. L'idée de départ est originale et amusante, mais complètement gâchée, la mise en scène est plate, la seule bonne trouvaille étant le concours de frappe, mais sa répétition à foison devient gavante. Coté direction d'acteurs, Duris est mauvais, presque insupportable, Deborah François transparente, et certains seconds rôles font pitié (la seule exception est l'étonnante Mélanie Bernier en championne déchue) Mais c'est surtout au niveau du scénario que rien ne va, aucune subtilité, que du convenu, aucune surprise, aucun enjeu puisqu'on tout est téléphoné (et avec quels gros sabots !) et plus le film avance plus ça s'enfonce, ça aurait pu se terminer avec le Championnat de France, non il faut qu'on nous en ajoute une couche qui n'apporte rien sinon de la guimauve comme s'il en pleuvait. Quant à l'idéologie, ben, c'est winner, coaching et compagnie… il y en a qui adorent, ça doit expliquer le succès du film.
Je suis sidéré par les notes ultra généreuses attribuées à "Populaire" sur allociné, presse et spectateurs à l'unisson! Vous me faites hallociner... C'est niais, c'est prévisible, les scènes de "compétition" sont hyper répétitives. Romain Duris a rarement été aussi éxecrable et les seconds rôles sont mauvais et/ou inutiles (Eddy Mitchell, Nicolas Bedos, Miou-Miou...) Seul bons points, la reconstitution fidèle des 50's, ainsi que l'interprétation de Déborah François. Très grosse déception... Nan mais allo(ciné) quoi!
Une comédie chiante, plate... Bref, un film français qui ne sort pas du lot quoi. J'me suis même à moitié endormie tellement l'ennui me prenait. Les films français plus ça va, plus ça régresse... Et là c'est encore démontré... Ah là, là, là...
S il y a un sous texte à ce film j avoue que je suis passé à côté. En fait je me suis posé la question tout le long de l intérêt de ce film sur les concours de dactylo. Le côté kitch du film est sympa est la reconstitution de l époque (décors, costumes ...) est vraiment réussi ( on se rappelle d une époque ou tout n était pas sous contrôle et ou linon pouvait fumer ou l on voulait) mais la encore ou est l intérêt?? On se console avec le charme naturel de Déborah François malgré un rôle de petite fille modèle assez nais.
Premier film… premier raté ! Film nunuche que j’ai dû abandonner en cours de route pour cause d’ennui profond ; des acteurs confirmés qui surjouent jusqu’au ridicule, un bon rythme pour enfiler des séquences niaises, solidement misogynes. Un seul mérite : la qualité de la reconstitution des 5O’s mais alors, autant faire un documentaire. Ça nous épargnera la pluie de guimauve !
Attention! Gros nanar adulé par une certaine presse complaisante! Niaise, prévisible, redondante, cette histoire de concours de dactylographie s'avère pathétique de nullité. Les insupportables violons chargés de tirer des larmes et les décors kitchs et moches achèvent l'ensemble. Une véritable daube bien calibrée pour un public captif.
Quelle est gironde la France de Regis Roinsard. Les gisquettes s'émancipent avec une batteuse et les patrons s'improvisent coach sportif. Nous sommes en 1958 et Rose Pamphyle, 21 piges, est résolument "moderne". Loin d'épouser les desseins de son daron qui voudrait la voir rangée, bobonne docile et appliquée, celle-ci voit les choses en grand. Elle sera gratte-papier ou ne sera pas ! Elle fait donc ses valoches pour Lisieux et enquille chez un assureur du coin qui, espère-t-elle, lui filera son premier groupin. Malheureusement, celle-ci, avec ses deux mains gauches, foire son entretien d'empaumage. Sa vitesse de frappe vertigineuse à la batteuse aidant, elle tape néanmoins dans les mirettes du taulier qui, épaté par tant de pétulance, la prend dans son écurie et décide d'en faire une bête de foire. L'histoire s'arrêterait ladé si nous ne vivions pas à cette merveilleuse époque où, Cupidon, pas encore au 35 plombes, avait du temps pour faire chavirer le battant des mignonnes ! Amour impossible entre classe laborieuse et haut du panier ? Que nenni, rien n'est impossible en 58. Le temps pour le réalisateur de nous ficeler l'amourette dans du papier de soie et de barder le bifteck avec quelques rebondissements, l'affaire est dans le sac. Le concours, prétexte s'il en fallait pour nous vendre les clichés surannés de ces annoches d'émancipation féminine, nous rappelle que, bien que nous ayons fait du chemin depuis, les greluses ne sont jamais bien aussi considérées que lorsqu'elles sont drivées par un julot à poigne. Du cinoche pour les mirontons qui se mordent les pouces de ne pas être nés plus tôt où pour les vioques nostalgiques d'une époque qu'ils n'ont pas conobrée, quand bien même l'auraient-ils vécue.
très déçu, peu d'originalité, j'ai du (sou)rire une fois pendant tous le film. Le pire, c'est l'arrivée de Nicolas Bedos qui a failli me faire quitter la salle... Seul point positif : la reconstitution des années 50-60...
Bien que la déco et les costumes 70's soit sublimes on ne retient rien de ce film. Celui-ci a la maldresse de vouloir se laisser emporter par le flot du récit. Le peu de caractères des acteurs ne suffisent pas. "Un mitigé médiocre". Ce sera tout pour ce film.
J'ai vu ce film hier soir et le seul souvenir qui m'en reste est cette lutte incessante contre le sommeil que j'ai dû faire durant les 1h50 que dure ce ce film. Vous allez me dire : "Mais pourquoi ne suis je pas parti avant la fin"? Parce que la personne avec qui j'étais à mon grand regret a apprécié ce film. En général j'aime pourtant bien les comédies Française mais là c'est gros comme une maison. Tout est prévisible et ce n'est pas très marrant. Les points positifs : les décors et costumes années 50 et le jeu de cette comédienne que je ne connaissais pas : Déborah François. je ne conseille évidemment pas! :-/
Comprends pas cet engouement général...Je me suis fait ièche pendant une bonne vingtaine de minutes suite à quoi je suis passée à autre chose. Aucun intérêt.
Ambiance années 50 pour une comédie superficielle qui verse dans la facilité et si ce n'était la belle prestation de l'adorable Déborah François, on ne daignerait même pas regarder jusqu'au bout... en dépit de l'originalité de ces courses de boniches de la machine à écrire. Populaire s'étire jusqu'à la rupture du moindre intérêt parce qu'il n'a rien à dire, rien à raconter : il s'étale donc de tout son long comme un vieux paillasson qui tente en vain d'attirer votre attention.
Heureusement Déborah est là : je l'avais déjà remarquée dans La tourneuse de pages : elle fait patienter le spectateur qui s'énerve de plus en plus devant ce ramassis niaiseux. Vivement qu'elle trouve enfin un film à la hauteur de son talent. De talent il n'est point question en ce qui concerne Romain Duris : ce tocard confirmé tire le film si besoin en était encore davantage vers le bas, tout en bas. Et il creuse encore le bougre ! quelle misère !