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Votre avis sur Arnaque à la carte ?
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Identity Thief est un film sans prétention qui est léger, divertissant et drôle. La fin démagogue est un peu lourde mais prévisible dans ce genre de film.
Ciné2909
Comment tuer son boss ? avait arraché beaucoup de rires et on se réjouissait à l’idée de découvrir cette nouvelle comédie de Seth Gordon. Ce sont donc les malheurs vécus par le pauvre Jason Bateman qui vont essayer de nous amuser d’autant plus qu’il trouve une partenaire en la personne de Melissa McCarthy qui est tout sauf discrète. On embarque alors pour un road-trip qui ne manque pas d’action mais l’essentiel, à savoir l’humour, lui semble être resté au bord de la route. On est vraiment loin de s’éclater d’autant plus que ça manque de surprises comme ce dénouement qu’on voit arriver à des kilomètres et donc le temps parait parfois long. Arnaque à la carte oui mais aussi dans la salle non ?
C'est l'histoire d'une escroc lourdingue, sur-maquillée et persuadée à tort d'être drôle, à l'image du film finalement.
Je suis surpris qu'il ne s'agisse pas d'une production Netflix tant Identity Thief coche tous les critères : on parvient à rasembler deux bons acteurs dans un projet poussif. Les ressorts humoristiques graveleux entre homophobie et vulgarité accouchent d'un alignement de gags prévisibles et déjà vus. Ils nous arrachent péniblement deux sourire en 112 min.
Suivre les tribulations de ce budddy movie au sentimentalisme bêta jusqu'à son terme est un petit exploit
Je suis surpris qu'il ne s'agisse pas d'une production Netflix tant Identity Thief coche tous les critères : on parvient à rasembler deux bons acteurs dans un projet poussif. Les ressorts humoristiques graveleux entre homophobie et vulgarité accouchent d'un alignement de gags prévisibles et déjà vus. Ils nous arrachent péniblement deux sourire en 112 min.
Suivre les tribulations de ce budddy movie au sentimentalisme bêta jusqu'à son terme est un petit exploit
Histoire et scénario bien travaillés. L'humour est présent et le rythme est bon. Malheureusement ca traine un peu en longueur, et on n'échappe aux niaiseries scato de l'humour américain.
Même pas amusant ! Vulgaire et outrancier.
On se demande ce que Battman est allé faire dans ce navet.
Pour enfants.
On se demande ce que Battman est allé faire dans ce navet.
Pour enfants.
Ce film est assez drôle et fait passer le temps. Il n'y a pas vraiment d'intrigue, juste des scènes drôles voire un peu burlesques. À voir si on s'ennuie
Une entrée en matière fracassante avec une Melissa McCarthy complètement barrée, cette actrice excelle dans ce genre de rôle, alors que quand elle pleurniche, ça ne le fait plus du tout. Nous avons ensuite un gros coup de mou avec un Jason Bateman peu convaincant. Le film continue ensuite en road-movie parfois amusant mais avec des cascades automobiles vues et revues, et en buddy-movie sans surprise. Et puis, cette fin ! Là où on pouvait avoir du décalé, du surprenant, du cynique, on a droit à ce qu'il y a de pire en dégoulinade de bons sentiments sirupeux. De plus le film se permet une pique anti lesbienne aussi gratuite que déplacée.. Sinon j'avoue avoir bien aimé la description de l'horrible recouvreur de dettes.
Arnaque à la carte fait une erreur fatale lorsque Seth Gordon tente d'incorporer un élément dramatique à la trame de l'histoire. En allant dans cette direction il n'est plus possible de considérer ce film comme une compilation de blagues marginales sur la graisse, de gags sexuels et d'humour burlesque. Au lieu de cela nous sommes obligés d'absorber un aspect sérieux qui est si mal rendu qu'il est insupportable à regarder. le film commence comme une comédie sur un type sympa et propre nommé Sandy Patterson (Jason Bateman) qui voyage de la maison du Colorado qu'il partage avec sa femme et ses deux filles vers la Floride. Son objectif retrouver la femme qui lui a volé son identité a détruit sa carte de crédit et lui a fait perdre son emploi. Elle s'appelle Diana (Melissa McCarthy) une femme grossière qui dépense sans compter. Ce qui se passe c'est une série de situations totalement invraisemblables qui le transforme en film de copains mal assortis. Et c'est là que la roue s'est complètement détachée. Les Razzies sont un concurrent de taille et pour ceux qui ne sont pas familiers ils reconnaissent et récompensent le pire film de l'année. Regardez le avec prudence vous êtes prévenus...
Le duo Melissa McCarthy et Jason Bateman fonctionne très bien. On passe donc forcément un bon moment.
J'ai beaucoup apprécié les gags loufoques avec Melissa McCarthy!
Un film qui ne se prétend pas être plus qu'une bonne comédie familiale mais qui répond parfaitement à ce critère!
J'ai beaucoup apprécié les gags loufoques avec Melissa McCarthy!
Un film qui ne se prétend pas être plus qu'une bonne comédie familiale mais qui répond parfaitement à ce critère!
Dik ap Prale
Le rythme est lent et les situations poussives. On pouvait espérer mieux de ce duo sur les routes, poursuivi de toute part, mais on y trouve rien d'extravagant à part son actrice qui trouve un rôle à sa mesure. Des arguments peu convaincants.
AMCHI
Je suis assez étonné de vous des notes si basses pour cette comédie qui n'est certes pas fabuleuse mais tout à fait divertissante.
Le casting m'attirait, j'aime bien Melissa McCarthy et Jason Bateman et leur duo fonctionne bien d'ailleurs Arnaque à la carte repose beaucoup sur leurs épaules mais la réalisation est efficace aussi avec quelques scènes d'action bien filmées de plus l'ensemble est bien rythmée mise à part la dernière demi-heure moins inspirée (cette comédie d'une durée proche de 2 heures aurait sans doute pu faire 10 minutes de moins).
Le scénario est pas mal du tout avec cette usurpation d'identité, le ton manque peut-être de cynisme et cette comédie américaine tombe par moment dans un certain moralisme quoique l'on regarde tout de même ce genre de films car on sait que tout se terminera bien.
Une sorte de buddy-movie qui marche bien, rappelant un peu d'anciens films des années 80 du même genre, il y a aussi ce côté road-movie que j'aime bien dans les films se passant aux USA, l'humour ne fait pas toujours pas dans la dentelle mais McCarthy dans le rôle d'une chieuse (finalement pas si méchante que ça) est convaincante.
Le casting m'attirait, j'aime bien Melissa McCarthy et Jason Bateman et leur duo fonctionne bien d'ailleurs Arnaque à la carte repose beaucoup sur leurs épaules mais la réalisation est efficace aussi avec quelques scènes d'action bien filmées de plus l'ensemble est bien rythmée mise à part la dernière demi-heure moins inspirée (cette comédie d'une durée proche de 2 heures aurait sans doute pu faire 10 minutes de moins).
Le scénario est pas mal du tout avec cette usurpation d'identité, le ton manque peut-être de cynisme et cette comédie américaine tombe par moment dans un certain moralisme quoique l'on regarde tout de même ce genre de films car on sait que tout se terminera bien.
Une sorte de buddy-movie qui marche bien, rappelant un peu d'anciens films des années 80 du même genre, il y a aussi ce côté road-movie que j'aime bien dans les films se passant aux USA, l'humour ne fait pas toujours pas dans la dentelle mais McCarthy dans le rôle d'une chieuse (finalement pas si méchante que ça) est convaincante.
Ayant quasiment tout poncé sur Netflix, je me trouve à regarder ce genre de grand cru. Tout est prévisible et le duo ne colle pas du tout. Circulez
C'est dommage ! Il y a une bonne idée de base et une bonne morale.
MAIS, le truc avec la poursuite avec les agents, ça gache vraiment tout. Ils ne savaient pas quoi mettre en obsactes, alors ils ont mit deux agents dont une avec un accent (parce-que ça fait stylé). Si encore ce n'était que le gars barbus, ok. Mais les deux nases (les deux agents) gachent tout le film.
MAIS, le truc avec la poursuite avec les agents, ça gache vraiment tout. Ils ne savaient pas quoi mettre en obsactes, alors ils ont mit deux agents dont une avec un accent (parce-que ça fait stylé). Si encore ce n'était que le gars barbus, ok. Mais les deux nases (les deux agents) gachent tout le film.
C sur ce n est pas un chef d œuvre cinématographique mais je pense pas non plus que c était le but recherché .
Clairement on passe un bon moment pour souffler, rire, c est un bon divertissement.
Ce qui est étonnant c est que c est plutôt un film léger mais qui traite pour le coup d un sujet grave qui est l’usurpation d identité ...,
Il y a des passages grotesques et cette voleuse d identité on finit par la prendre en pitié et en sympathie Car il y a une certaine détresse chez cette « voleuse »
Clairement on passe un bon moment pour souffler, rire, c est un bon divertissement.
Ce qui est étonnant c est que c est plutôt un film léger mais qui traite pour le coup d un sujet grave qui est l’usurpation d identité ...,
Il y a des passages grotesques et cette voleuse d identité on finit par la prendre en pitié et en sympathie Car il y a une certaine détresse chez cette « voleuse »
Fêtons le cinéma
Un bon buddy movie repose avant tout sur la qualité de son duo de tête, des acteurs certes mais aussi des personnages qu’ils doivent camper. Avec Arnaque à la Carte, Melissa McCarthy et Jason Bateman trouvent une alchimie rare qui détermine en partie la réussite du long métrage, assez classique dans sa forme, mais au comique savoureux et volontiers grossier. Faire rire demande un sens du rythme, et Seth Gordon s’en sort plutôt bien ici, l’ennui étant banni de l’écran alors même que le film dure deux heures : ce ne sont pas des gags qui s’empilent et s’enchaînent mais les étapes d’une cavale improbable et jubilatoire, étapes ponctuées par moult quiproquos, punchlines et coups de poing. Notons également que l’ensemble dispose d’une profondeur certaine, en dépit des apparences : il s’agit bien d’incarner cette angoisse de l’usurpation et de la fraude au sein d’une société où la réussite individuelle est synonyme d’efforts et de sacrifices. Le personnage interprété par Bateman est intéressant en ce sens où il représente un certain type de statut professionnel à la fois peu épanouissant et précaire – son chef menace d’ailleurs de supprimer son poste – mais nécessaire pour subvenir aux besoins de sa famille. Face à lui, une voleuse sans foi ni loi, sans attaches véritables sinon les collections d’articles piqués à droite à gauche et entassés dans sa maison. Elle est seule au monde, il est père de famille et employé dans une société fondée par l’un de ses amis. Solitude d’une part, appartenance au groupe et à la communauté d’autre part. Leur rencontre, sous la forme d’un road trip détonnant, équivaut donc à un choc des modèles culturels : deux visages de la réussite américaine s’affrontent dans cette arène qu’est la voiture, que sont la chambre d’hôtel ou le restaurant. Avec comme propos de fond une réflexion, certes primaire, sur la détresse affective qui gouverne Diana et la pousse à s’entourer d’objets et de soins pour mieux noyer son chagrin, de la même manière qu’un alcoolique le ferait avec de l’alcool. Le film nous dit quelque chose des dérives d’une certaine société de consommation, où l’entassement frénétique des biens a remplacé la valeur de gagner les choses jugées utiles ou agréables ; de criminelle, Diana évolue en victime d’une société qui incite à la réussite individuelle sans tenir compte de l’épanouissement et du bonheur de chacun. En ce sens, Arnaque à la Carte mute en œuvre de conversion au terme de laquelle la voleuse se repent et, ce faisant, réussit à intégrer une famille de substitution. Deux acteurs formidables pour une comédie alerte et plus intelligente qu’il n’y paraît.
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