"La liste de Schindler" au zoo mais en ne parlant que très brièvement du sort des animaux durant la guerre (3 minutes en tout) et en beaucoup moins poignant. La réalisatrice ayant préféré raconter comme un mélodrame, la vie de la femme du gardien du zoo et passer rapidement sur le sort de la Pologne honteusement lâchée par toute l'Europe et dont personne ne parle beaucoup vainqueurs ou vaincus tant les décisions prises à l'égard de ce pays furent d'une cruauté et d'une lâcheté sans nom. Naturellement, elle passe également rapidement le fait que le mari de son "héroïne" soit celui qui prenne le plus de risques, soit à l'initiative de toutes les décisions courageuses et soit celui qui se conduit en véritable héro résistant tandis que madame joue du piano en papotant avec les réfugiés de son époux des divers drames de son existence. Le titre du film est donc assez ridicule au regard de l'histoire en particulier si on tient compte du fait qu'on nous prévient dès le début qu'il s'agit d'une histoire vraie. Un peu comme si on avait choisi "la femme du patron de l'usine" pour "la Liste de Schindler" et qu'on avait axé toute l'histoire sur la vie d'une bourgeoise allemande pendant la guerre, en n'évoquant l'usine que 5 minutes et en ajoutant par ci par là, rapidement, que son époux avait fait deux ou trois choses un peu sympathiques pendant qu'elle avait de très durs moments d'angoisses tous les matins pour choisir la manière qu'elle aurait de se coiffer. C'est un peu la limite du féminisme face à la réalité. On peut tordre la vérité tant qu'on veut, en temps de guerre, les hommes sont toujours en première ligne. Il n'en reste que si le film fait un hors-sujet grossier, son ton, son énergie ne sont pas beaucoup plus convaincants. C'est très dommage car le sort des animaux durant la guerre tout comme l'histoire de la Pologne durant cette même période méritaient mieux qu'un exercice narcissique sur les émotions d'un seul personnage féminin finalement, assez passif et factuellement peu utile.
Inspiré de l'histoire vraie d'un couple valeureux qui cacha dans leur zoo des juifs exfiltrés du ghetto de Varsovie, un biopic honorable mais trop académique et peu crédible.
j'aurai aimé aimer ce film. parce que l'histoire est bouleversante, parce que le livre dont c'est l'adaptation est formidable. Nous sommes devant un film, donc, nous nous devons à une critique cinématographique. D'un point de vue humain, il est plus qu'important de rappeler encore et encore le combat des "justes". D'un point de vue cinématographique, tant de maladresses dans la narration, le montage (tout est trop appuyé), la mise en scène (on vous montre les choses plutôt deux fois qu'une, l'art de l'élipse et de la suggestion est inconnu du réalisateur) et malgré la qualité de l'interprétation, il manque ce petit quelque chose qui fait qu'on n'oublie pas un film.
Magnifique ! un film qu'on n'aura pas besoin de revoir pour s'en souvenir pour toujours ! Une belle, très belle histoire vraie. Qui honore les Justes parmi les Nations.
Je trouve ce film remarquable et émouvant, mettant en lumière un épisode sombre de l'histoire où Varsovie a été écrasée sous le poids du nazisme puis du communisme. « La Femme du Gardien de Zoo » rend hommage à l'extraordinaire courage d'un couple ordinaire pris dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale. Le film réussit à capturer l'essence de leur héroïsme sans tomber dans le piège du pathos, illustrant leur lutte pour sauver des vies du ghetto de Varsovie avec une tension palpable. Bien qu'il existe de nombreux films sur la résistance et l'holocauste, celui-ci se distingue par son focus sur le destin de ces « héros ordinaires » et leur lien avec les animaux de leur zoo, détruit par la guerre. Jessica Chastain brille dans son rôle, portant le film avec force et vulnérabilité. Malgré quelques facilités scénaristiques, la reconstitution minutieuse de l'époque et les performances convaincantes rendent ce film poignant et témoignent de la complexité de l'humanité face à la barbarie. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
belle reconstitution d' un drame en pologne. Le scénario relate un couple de gens simple devenu des héros par leur courage face à l horreur nazi. original dans son lieu un zoo , touchant par ses relations humaines, bouleversants face à la cruauté permanente de la guerre.... Le film se regarde facilement et nous sommes pris par l intrigue bien emmener par une Jessica chastain juste sobre et émouvante. belle mise en scène , des décors crédibles le zoo le ghetto.... une jolie fresque de la guerre comme on aime afin de ne pas oublier et de rappeler qu il y avait des gens extrêmement courageux.
Histoire vraie d un couple gérant un zoo à Varsovie et dont la vie est bouleversée par l arrivée des nazis avec la seconde guerre mondiale. Ce couple ordinaire plongé dans l horreur de la guerre va devoir faire face à un dilemme : continuer de se voiler la face ou essayer d engager des actions a leur niveau pour sauver des vies. Couple engagé, qui n hésite pas à prendre des risques donne de l espoir pour cette humanité qui peut se montrer si cruelle ! Histoire du ghetto de Varsovie, ce film empreint de tendresse, d espoir et de combats aussi ne laisse pas indifférent. Heureusement qu a chaque époque où période historique sombre de l humanité, des voix courageuses se font entendre au loin... Un film à voir absolument et qui porte à réfléchir... Un devoir de Mémoire !
Histoire poignante, tirée d'une histoire vraie, d'un zoo tentant tant bien que mal de de la résistance durant la seconde guerre mondiale. Beaucoup de beaux moments de solidarité qui réchauffent le cœur et qui donne foi en l'humanité. Mais aussi beaucoup de moments difficiles à regarder et qui glacent le sang. On oscille donc entre ce que l'humanité à de plus beau et de pire à offrir. Certes, ça manque parfois un peu de subtilité mais il faudrait être sans cœur pour le lui reprocher. Sans arriver à détrôner "Le Pianiste" ou d'autres classiques du genre, on assiste ici à un film touchant plein de bonnes intentions.
Le titre du film veut faire fuir certains : c'est un tort. C'est un film historique et sentimental à la fois, qui réussit à éviter le piège des films miéleux.
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0,5
Publiée le 4 août 2021
J'y suis allé dans ce film sans trop m'attendre a quelque chose et j'ai eu exactement ce que j'attendais c'est a dire rien. J'aurais probablement même eu une meilleure expérience en regardant un écran noir pendant deux heures en mangeant mon popcorn. Ce film manque de presque tout ce dont un film a besoin. Dire qu'il avait un rythme lent serait un peu exagéré car il n'y avait pas de rythme du tout il s'est traîné en longueur sans direction et rien ne se passe dans cette histoire en plus c'est plus qu'ennuyeux. Il y a tellement de choses stupides comme nourrir les cochons avec les ordures du ghetto. Ou une autre scène idiote vers la fin du film où Lutz oblige Rys à enfermer sa mère après qu'ils aient traversé le tunnel cela vous ramènerait à la porte défoncée en une minute. Pourquoi Lutz se donnerait-il la peine de découvrir combien de Juifs se sont échappés par le zoo quelle importance à ce moment-là. La guerre était terminée tout ce qui intéressait un Nazi à ce stade était de partir. Pour moi regarder ce film a certainement été ma plus grande perte de temps depuis plusieurs années...
Bon film vu sur Netflix, relatant , à la manière de la Liste de Schindler, comment une famille de Varsovie, gérant un zoo, a sauvé pendant la guerre 300 juifs d'une mort certaine en les arrachant du tristement célèbre ghetto. Belle composition de Jessica Chastain. J'ai par contre trouvé que le trait émotionnel était un peu gros au détriment du réalisme de l'ensemble. Si le résultat final est tout à fait respectable, on est tout de même loin du film précité ainsi que du Pianiste de Polanski, deux chefs d'oeuvre.
LA LECON DE PIANO. Le jour de la bête ou comment Hitler pour sa pureté germanique a permis de sauver des humains. Eteindre une espèce pour en créer une plus noble. La liste de Zabinski, entre agir et cas de conscience. Un devoir pour une leçon un peu trop romancé.