Derniers Avis : La Femme du gardien de zoo - Page 2

La Femme du gardien de zoo a certes tous les défauts de la reconstitution historique, mais réussit à les dépasser par l’attachement qu’il manifeste à son personnage éponyme et à ce qu’il représente : l’héroïsme révélé par un contexte politique marqué par le déchaînement de forces maléfiques. Le parc zoologique devient le laboratoire d’analyse et d’observation dans lequel se décante une humanité à plusieurs visages, faite de bravoure et de lâcheté, d’amour et de haine. Et ce que réussit fort bien la réalisatrice Niki Caro, au sein d’une œuvre parfois plan-plan, c’est à accroître petit à petit le sentiment d’abandon des Nazis, comme prisonniers dans la cage d’un zoo qu’ils ont eux-mêmes annexé et vidé de ses animaux. Le sous-sol des Zabinska se transforme en conservatoire d’une vie préservée et réglée par les morceaux de piano, un lieu de liberté et d’espérance au sein d’un Enfer qui ne parvient pas à anéantir les valeurs les plus nobles et essentielles de l’homme. Jessica Chastain est parfaite dans le rôle-titre, trouve en Daniel Brühl un adversaire aussi séduisant que monstrueux. Car c’est de monstre dont il est question ici, de ce que l’on montre du doigt dans un zoo ou ailleurs ; pas d’animaux à proprement parler – ils ont pris la fuite ou se sont fait tuer –, mais du monstre humain qui forge autour de lui les barreaux de sa propre prison de solitude.

Film mou et peu crédible.
- à un moment le gardien du zoo offre du porc à des Juifs... ceux-ci l'acceptent sans sourcilier.
- le sympathique (mais fourbe) zoologue allemand devient en une fraction de seconde officier SS (évidemment décoré de la croix de fer) ! C'est une promotion rapide.
- le gardien de zoo qui fait évidemment partie de la résistance polonaise est blessé lors de l'insurrection de Varsovie, il est alors fait prisonnier par l'armée allemande bien connue pour sa mansuétude envers les mouvements de résistance. il reviendra à la fin du film retrouver sa petite famille.
Bref, un film larmoyant qui n'apporte rien à l’histoire terrible de l'occupation en Pologne.

Un bon film historique qui n'échappe pas au pathos, mais comment faire autrement justement ? Scenario original tiré d'une histoire vraie et très bien interprété par Jessica Chastaing et Daniel Brühl.

L'histoire vraie de Jan Zabinski, gardien d'un zoo de Varsovie, et de son épouse Antonina, qui sauvèrent 300 juifs emprisonnés dans le ghetto de Varsovie suite à l'invasion des Nazis.

Film tirée d'une histoire vraie qui est émouvant et captivant cela grâce a des acteurs qui savent émouvoir le spectateur, des décor éblouissant et réaliste et enfin une ambiance profondément travailler et qui est très réaliste cela alors nous aide a nous plonger dans le film. Ce film est une pépite des films sur l'histoires des déportations juives cela grâce a une histoire originale et réaliste ou l'histoire ce passe dans un zoo.
Je vous le recommande fortement.

Un scénario qui va puissé dans les facettes les plus tragiques de la seconde guerre mondial au travers la colonisation des Allemand en Varsovie. Mais au delà de cette histoire qui n'est pas fictive, ce sont les relations qui sont brillamment mises en scènes entres les différents protagonistes et de part le jeu de ces acteurs, qui, rendent vie au film et ne cesse de magnifié là tout le tragique abordé ici. Un régal.

Tiré d'une histoire vraie, ce couple à été élevé au rang des Justes. Le 1 septembre 1939, les troupes allemandes envahissent la Pologne. Hitler applique alors la répression contre le peuple juif. Grace à leur zoo qui aura été dévasté par les bombardements, Antonina et son mari prendront de grands risques pour sauver un grand nombre de personnes en danger. Cette réalisation nous offre une belle reconstitutions d'époque ou la magnétique Jessica Chastain interprétant le rôle d'Antonina, ,nous offre une prestation 4 étoiles. Cette mise en scène puissante, nous fait revivre la grande détresse de ce pays seul face à cette agresseur sans limite.

Très bon film.

Jessica Chastain ENCORE une fois époustouflante de charisme.
L'histoire est bien prenante, très fluide.
Du bon cinéma.

Beau film poignant tiré d’une histoire vraie.
Cela se passe en Pologne avant et pendant la 2d guerre mondiale. Bons jeux d’acteurs. Bon scénario même si parfois trop lisible et prévisible

Excellent film. Historique émouvant bien joué. Incroyable que les médias français n'en aient pas parlé. Encore un excellent film occulté par la presse.

C'est toujours positif de découvrir des histoires de gens ordinaires dont la vie a été extraordinaire (le gardien du zoo de Varsovie et sa femme qui vont sauver la vie de 300 juifs du ghetto). Le scénario fait inévitablement penser à la "liste de Schindler" mais avec une différence de moyens et en beaucoup moins émouvant . Peut être parce que les moments de sauvetage des juifs sont noyés au milieu de nombreuses scènes (au zoo, les rencontres entre Jessica Chastain et Daniel Bruehl...) qui diluent le niveau d'intensité dramatique. Mais à voir, pour le devoir de mémoire et parce que les acteurs sont convaincants.

La femme du gardien de zoo (The Zookeeper’s wife) est un film réalisée par Niki Caro, celui-ci fut sortie à Varsovie (Pologne) le 7 mars 2017 et puis mondialement le 31 mars de la même année. L’histoire représente l’invasion de la Pologne et fut en premier écrite par Diane Ackerman dans un livre du même nom publié en 2007, il fut basé sur le journal intime de Antonina Zabinski, le personnage principal de l’histoire. La production débute en Varsovie (la capitale de la Pologne) un jour ou deux avant que l’Allemagne bombarde cette ville. Nous faisons connaissance de la famille Zabinski, Jan, Antonina et leur fils: Rys, ceux-ci possède un zoo très grand et célèbre avec multiples animaux et en prennent énormément soin. Le 1er septembre 1939, le zoo ne fut pas épargné des nombreux bombardements de l’armée allemande et la plupart des animaux périrent, après que la Pologne capitule au mains de Hitler, son zoologiste en chef, Lutz Heck vint collecter certains des animaux qui avaient survécus pour les amener à Berlin, les autres furent tirés à coups de fusils, et c’est ainsi que le zoo fut fermé pour de bon. La famille se retrouve donc dans une ville envahie par les nazis et appartiennent encore leur énorme propriété qui se retrouve désormais sans aucun usage. Peu de temps après, les juifs commencent à se faire emporter dans le ghetto de Varsovie dont des amis de la famille Zabinski, c’est après un dernier souper avec eux que le couple décide de cacher leur amie dans une petite chambre à l’étage. Leur vie devient alors en grand danger a partir de ce moment, donner un simple verre d’eau a un juif pouvait être fatal, en cacher un était inimaginable. Quelques jours plus tard Jan et Antonina prennent un décision qui changera leur vie à tout jamais: leur zoo sera transformé en une ferme de cochon pour aider à nourrire les soldats allemands. Cependant, ce projet qui peut sembler simple et innocent à un autre but: avoir un permis pour pouvoir entrer dans le ghetto. La nourriture des cochons est composés de restes de nourritures des juifs, à chaque jours Jan rentre chercher ces déchets mais en sortant prend avec lui quelques juifs. Tranquillement pas vite, leur maison devient un refuge pour de nombreuses personnes, le temps de leur trouver des faux passports et de les envoyer dans des endroits sécuritaires. La famille sauva ainsi plus de 300 juifs, tous ont survécu à l’exception de deux femmes. spoiler: Jan fut blessés gravement en 1944 et pris prisonnier, heureusement il pu retrouver son chemin à la fin de la guerre et vint retrouver sa famille, le zoo fut rouvert en 1949 et existe encore à ce jour.

Selon moi, ce film devrait définitivement être utilisé pour enseigner pour enseigner l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale pour plusieurs raisons. Premièrement, le film est entièrement basé sur une histoire vrai, les faits et l’histoire qui s’y retrouve c’est vraiment passé. Il n’y a rien qui sortent de l’imaginaire de l’auteur ce qui veut dire qu’il est presque impossible que les élèves aient des fausses informations au sujet de l’invasion de la Pologne.Deuxièmement, ce film offre une différente perspective historique que l’on ne retrouve pas assez dans les productions de ces événements: celle des femmes. La productrice Caro a expliquée que la guerre est souvent vu de la perspective des hommes et que même si la guerre est souvent associée à eux elle n’a pas seulement touché ceux-ci, la guerre à aussi grandement affectée les femmes, les enfants et même les animaux. Elle voulait montrer à quel point la guerre a affecté tout le monde et comment les femmes en faisait grandement parties. En effet, Antonina est vu comme étant une femme femme forte et courageuse qui est prête, avec son mari, à risquer leur propre vie pour sauver celle des autres, c’est important de se rappeler que plusieurs personnes ont pris des risques énormes pour continuer à défendre ce qu’ils pensaient était juste.C’est aussi intéressant de voir que même quand Jan était au combat avec la résistance, le rôle de sa femme est tout aussi important à la maison en train de protéger leurs réfugiés en créant une atmosphère sécuritaire et en leur fournissant du confort et des biens essentiels. troisièmement, une dernière raison pourquoi ce film est un bon outil d’enseignement est qu’il n’est pas comme les autres en tant que matériel de filmage. Quand on pense à des films de guerres les premières choses qui nous viennent à la tête c'est des scènes de batailles, des fusils et du sang. La femme du gardien de zoo par contre se trouve à avoir presque aucune scène de bataille et presque aucune blessure graphique. Même sans avoir tous ces aspects des films de guerre traditionnel cette production fait quand même l'effet voulu, spoiler: par exemple quand on vois les enfants juifs rentrer dans leur petit compartiment de train pour se rendre dans les camps d’extermination, on a un sentiment d’impuissance et de tristesse extrême et on ne peut que compatir avec Jan qui se retrouve à devoir les aider à se rendre dans leur mort.
Pour conclure, la femme du gardien de zoo est un très bon film qui montre une différente perspective de l’invasion de la Pologne, étant une histoire vrai, il est un excellent outil pour enseigner la deuxième guerre mondial.

Comment Niki Caro a-t-elle pu se retrouver à réaliser « La femme du gardien de zoo » ? Sa filmographie est assez éloignée de l’horreur décrite ici, et le thème appelle inévitablement la comparaison avec « La liste de Schindler » de Spielberg (qu’il n’égale pas, loin s’en faut). Pour ce faire, la réalisatrice reste fidèle à son style, mélange d’authenticité et de maîtrise. Ainsi pour la véracité, tous les animaux sont réels, les costumes et les uniformes (en tissus épais comme à l’époque) font vrais et Varsovie à été reconstituée à Prague avec minutie. La maîtrise se retrouve comme toujours dans la direction d’acteur sans faute, malgré le nombre conséquent conséquent à diriger. Elle se retrouve aussi dans l’intelligence des situations, faisant surgir l’horreur qui sous tend toute la deuxième partie du film, mais sans prévenir. Comme Urzula emmenée par deux SS pour la violer, qui ressurgit deux scènes plus loin, les cuisses ensanglantées. Où encore mère et fille que l’on pensait sauvée, abattue d’une balle dans la tête dans une scène aussi brève que chirurgicale dans sa construction. Mais aussi dans la relation obligatoirement malsaine avec l’officier SS Lutz Heck. Ou encore avec les valises des juifs déportés brulées sur le quai de la gare, faisant bien comprendre dans ce raccourci macabre, que leur propriétaire n’en auront plus besoin. Mais d’où vient alors cette tension inégale, ce suspens qui parait convenu par moment et cette impression que l’impact est comme amorti par instants? NiKi Caro avait présenté un film de près de trois heures et demie. A la demande de la production, il fut réduit à deux heures 15 lors du montage. Peut être des mauvais choix et des erreurs de timing ont été opérés à ce moment. Toujours est-il que malgré toutes ses qualités techniques, a cinéaste un bon film, sans plus, très en deçà de “McFraland, USA�, son précédent film, réalisé deux ans plus tôt.

une reconstitution d'un drame historique terrible sur un épisode de la Pologne, pas si souvent évoquée au cinéma. même s'il manque un côté palpitant, dans sa seconde partie, le récit s'accélère et s'intensifie. un témoignage forcément important, qui rend hommage à des anonymes solidaires, courageux résistants, sur un ton juste et illuminé par J. Chastain.

Réalisation bâclée, voire très bâclée, La Femme du Gardien de zoo se fait piéger par le trop plein d'émotion que le film a voulu transmettre en oubliant les fondamentaux : une bande originale forte et puissante, des acteurs investis ce qui n'est pas le cas ni de Jessica Chastain ni de Daniel Brühl, dont on se demande encore quand est-ce qu'il va quitter ces rôles sous côtés de représentants du 3ème Reich. C'est bien dommage car l'histoire réelle aurait pu offrir une vraie émotion, avec un vraie réalisation mais ce n'est pas du tout le cas.