Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
2,0
Publiée le 29 mai 2013
Un film qui démarre plutôt bien, Halle Berry se débrouille et l'intrigue paraît intéressante mais très vite ça devient du vu et du revu, aucun suspense car la fin est prévisible et pour le dire franchement, on se croirait dans un épisode moyen des experts. Le kidnappeur n'a pas vraiment de charisme et endosse les clichés dont une petite allusion (faites exprès ou non) à Maniac et celui ci finit par devenir ridicule avec son attitude "cool" qui devient très vite celle d'un malade mental (même s'il l'est). Enfin bref, tout ça pour dire que à part une bonne mise en scène The Call n'a pas grand chose à vous apporter peut être même pas en tant que divertissement.
(...) Que faudra-t-il retenir de The Call au final ? Hypnotique dans sa première partie, le film bascule subitement dans le grand n’importe quoi en bout de course. Le contraire aurait été préférable. Là, on reste sur notre faim avec la désagréable impression d’avoir trouvé une grenouille morte au fond de notre plat en sauce.
Deux étoiles hyper-indulgentes uniquement pour la sublime Halle Berry, qui plus est très convaincante en opératrice d'un centre d'appel d'urgences. Car pour le reste, on est quand même limite. Après une introduction plutôt efficace et maligne, nous tombons très rapidement dans une grande banalité, qui a quand même ses bons moments (toute la partie « routière » est plaisante), mais souffrant surtout de lourdeurs et de faiblesses narratives criantes. On a beau ne pas (trop) s'ennuyer, on a l'impression d'avoir vu cela des centaines de fois, mais en plus subtil et nettement plus inventif. Cela dit, on aurait quand même été plus indulgent s'il n'y avait pas ce final ultra-réac, laissant sur une très mauvaise impression un spectacle jusque-là vaguement regardable. Pour les inconditionnels d'Halle donc, et uniquement pour eux...
un peu long et adieu la coupe de cheveux mais plus sérieusement tjs la meme histoire de la fille plus intelligente que les autres qui trouve le méchant toute seule .
J'attendais avec impatience de voir ce thriller à la bande-annonce alléchante. La réception presse étant plutôt sceptique, à l'inverse de l'accueil du public, corrélation d'ordinaire signe d'un bon film de divertissement, je n'en étais que plus impatient de le voir. Mal m'en a pris. Hormis la demi-heure de course-poursuite, the Call n'est qu'un boulet de plus au pied du cinéma américain. Un boulet rempli par les clichés, les raccourcis, les maladresses toutes plus énervantes les unes que les autres. Tout ça, c'est du vu et du revu. On n'en démord pas les gars, il faut vous renouveler. Il y avait pourtant là de quoi faire du beau travail. Un pitch de départ franchement alléchant (merci l'auteur du livre adapté): Une opératrice d'un centre d'appel reçoit l'appel de détresse d'une jeune adolescente kidnappée par un tueur qui s'avère ne pas lui être inconnu. Elle doit se débrouiller pour faire échapper la jeune fille, au téléphone, et sans que l'agresseur ne s'en aperçoive. Pourquoi ne pas couper toutes les scènes larmoyantes au possible, furieusement inutiles, frôlant le ridicule, pour ne laisser que les scènes de tension? Par exemple celles de la fuite sur l'autoroute, juste et réussie? D'accord, il fallait traiter des histoires personnelles de chaque personnage. Mais par pitié, faites-le avec un peu d'originalité, pour une fois.
Le rythme est soutenu et l’interprétation est sans faille. J’ai revu avec plaisir Abigail Breslin (Little Miss Sunshine) en teen-ager dont vous reconnaîtrez le regard dans les premiers plans, car ensuite… L’originalité du scénario réside dans la découverte, pour nous Français, de l’activité des opérateurs au 911. Un centre d’appels de détresse, que les Américains surnomment la Ruche, et au sein duquel le spectateur salue le stress intense et la haute tension permanente vécus au quotidien par ces opérateurs. C’est à peu près tout, car pour le reste le cinéma regorge de ces poursuites haletantes pour coincer les détraqués. Comme d’autres avant lui, ce film n’évite pas les invraisemblances et ne laissera pas un souvenir impérissable. Efficace, novateur car c’est une opératrice du 911 qui est aux manettes, mais tellement prévisible que The Call s’inscrit comme un film très moyen.
Et bien encore une fois (et ça commence à devenir une habitude), je reste carrément sur ma faim avec un film qui aurait du tenir toutes ses promesses. La première moitié est presque réussie car nous sommes plongé à fond dans l'histoire et au fur et à mesure des minutes, on tombe presque dans ... je sais pas trop quoi. Alors déjà, Halle Berry est plus insupportable qu'autre chose avec son personnage qui comme par hasard peut se venger d'un de ses "ennemis". On peut dire qu'on baigne dans pas mal de clichés alors qu'au contraire par moments, il y a certaines choses qui m'ont bien plu car justement, on ne les voit pas souvent (je pense notamment à la traque mais je vous laisserai découvrir par vous même). En fait, les vingt dernières minutes a les caractéristiques types du type horreur. Je ne savais plus trop quoi penser et puis le dénouement est pas si mauvais que ça, enfin je parle vraiment de la toute fin. Il est assez difficile de juger ce genre de long métrage pour moi car je ne comprends pas qu'avec autant de fonds, on puisse réaliser quelque chose d'aussi moyen. Comme d'habitude, je n'arrive pas à voir ce qui pourrait sortir "The Call" du lot. Bref, je mets donc tout juste la moyenne. 10/20.
Le film commence par une sorte de documentaire sur le 911, centre d'appel de la police de Los Angeles. C'est la partie la plus réussie, en dépit de son caractère clairement propagandiste en faveur des braves flics au service des citoyens. Le suspense reste haletant jusqu'à la dernière partie où le réalisateur tombe dans les pires clichés de films de serial killers. Quant à la chute, elle fait l'apologie de la self justice dans la tradition des films sécuritaires. Si on ajoute le caractère absolument invraisemblable de l'intervention de l'héroïque opératrice, sans arme, face à un psychopathe sanguinaire, la dernière partie est franchement ratée et la morale très déplaisante.
Si durant sa 1ère moitié The Call fait illusion et parvient à nous maintenir en haleine force est de constater que Brad Anderson déçoit dans ce thriller cousu de fils blancs. Quand on a vu un certain nombre de films basés sur le même schéma le suspense de The Call surprend rarement malgré ses multiples rebondissements, la partie sur l'autoroute est la meilleure mais le clou final est franchement raté. Niveau interprétation ça tient la route même si la coupe caniche de Halle Berry surprend un peu sinon un truc peu crédible spoiler: c'est vraiment étrange que le ravisseur ne pense pas à vérifier que la fille ait un portable de nos jours les seuls ados qui n'en possèdent pas sont ceux de Corée du Nord.
sans surprise sans fulgurance voire même déjà vu...the call n apporte pas grand chose et son scénario est tres linéaire voire même prévisible. halle Berry n est pas non plus surprenante dans ce rôle très simple. thriller qui se regarde mais sur lequel on ne reviendra pas
"The call" repose sur un concept fort : une opératrice du célèbre 911 doit tout faire pour repérer une jeune fille enlevée qu'elle a au bout du fil. Le film reposant sur le suspens que peut générer un tel dispositif. Et bien que le procédé ne soit pas ultra original le scénario est suffisamment solide pour maintenir la tension et donc l'attention du spectateur pendant une bonne heure. Malheureusement ça se gâte à mesure que le film avance et que la conclusion se rapproche et à ce niveau la dernière demi-heure est vraiment très décevante avec le passage obligé qui voit l'héroïne intervenir physiquement pour aider la jeune fille en détresse. Cette évolution scénaristique détruisant un concept jusque là intéressant à défaut d'être novateur. L'interprétation est à la mesure de l'ensemble de ce long-métrage efficace sans être brillante, à l'exception peut-être d'Abigail Breslin qui arrive à sortir une partition un peu au-dessus de celle de ces partenaires; en tout cas cela ne méritait pas une nomination aux Razzies Awards telle que celle qu'a eu Halle Berry. Un thriller efficace qui malgré un coup de mou en toute fin tient suffisamment en haleine pour permettre de passer une soirée assez sympathique, mais à qui il ne faudra pas en demander plus. À voir pour une soirée détente entre amis.
Brad ANDERSON livre un film de serial killer en panne d'inspiration. "The Call" comprend un nombre incalculable d'incohérences. C'est invraisemblable et prévisible, les acteurs jouent mal et le final laisse vraiment à désirer. Cet appel a fait beaucoup de bruit pour rien. Il y a beaucoup mieux dans le genre !
Quand j'ai vu le sigle de la WWE, j'ai eu grand-peur. Je me suis dit : "encore un film d'action moisi avec un catcheur moisi". En fait, non. C'est un thriller dans la lignée de Phone Game et Cellular. C'est censé nous accrocher à notre fauteuil. Ça le fait dans la première partie du film. Mais pas grâce à Halle Berry. C'est marqué dans le manuel. Elle ne doit pas s'impliquer émotionnellement ? Elle le fait. spoiler: Ce qui cause une fin tragique pour l'otage . Bim. Elle devient formatrice en récompense suite à cette probante expérience et continue de dire tout et son contraire. La traque du kidnappeur est plus efficace. Mais là aussi, ce n'est pas grâce à la police mais plutôt grâce ou à cause de l'attitude du tueur glaçante. On se demande quand tout ça va s'arrêter, comment, et s'il aura le temps de commettre un dernier meurtre. Las. Le final grotesque bascule dans l'auto-justice. Parce que c'est vrai que c'est plus intelligent de se mettre au niveau de l'assassin, de jouer les bourreaux, au lieu de laisser la justice décider de son sort. C'est-à-dire probablement, de le laisser moisir en prison jusqu'à ce qu'il devienne fou. Après, c'est difficile de dire comment on réagira dans telle ou telle situation. Avec l'adrénaline, la peur, l'urgence, la vitesse où vont les choses. Mais une fois les crédits de fin apparaissant à l'écran, il y a quand même un goût amer dans la bouche.