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    Sleeping Beauty
    Note moyenne
    2,0
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    189 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 novembre 2011
    De l'ecriture au cinèma julia leigh étonne, sous légide de sa mentor Jane campion, la rèalisatrice reussit un tour de force, imposer un mélange habile entre "eyes wide shut" et "virgin suicide", meme si le film ne ressemble a aucun des deux, le style glaçant est impose des les prèmieres images, , mais le rythme lent et l absence totale de musique , vous plonge dans un univers étrange et parfois déroutant, si la premiere moitié du film fontionne à merveille, la deuxieme traine un peu la patte, la réalisatrice a force de mystere, perd un peu son spectateur; mais le talent de sa jeune comédienne, garde le niveau du film.
    Si vous avez aimez les livres de la realisatrice (ailleurs , le chasseur), vous serait tres probablement seduit par ce film, hypnotique et abyssal.
    ml-menke
    ml-menke

    41 abonnés 551 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 novembre 2011
    Grande question cinématographique qu'est ce film moralisateur sur la pudeur, le sex et la conscience. C'est un film inachevé qui nous est montré. Un brouillon qui a le seul mérite de contenir de bons acteurs dans ses rangs ( Emily Browning et Peter Carroll ).
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 28 février 2012
    2zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzezzzzzzzzz pas tres interessant
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 226 abonnés 7 515 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mai 2013
    Premier long-métrage pour la romancière Julia Leigh, soutenue par celle que l’on ne présente plus (Jane Campion). Elle réalise ici un étonnant, mystérieux et repoussant drame australien, deux mois après "L'Apollonide" de Bertrand Bonello (qui traitait de la prostitution dans une maison close parisienne en 1900), Sleeping Beauty (2011) dresse le portrait d’un univers feutré et réservé à une élite de vieillards impuissants qui viennent se rincer l’œil chez une hôte de luxe qui leur réserve ce qu’ils ne trouveraient nul par ailleurs. On y fait la connaissance d’une étudiante fauchée qui accepte un boulot assez surprenant au premier abord (mais qui paie excessivement bien), celui d’une serveuse en petite tenue (auprès des fameux vieillards). Mais l’appât du gain et l’irresponsabilité de la jeune femme vont la pousser encore plus loin, emmenant alors le spectateur dans ses derniers retranchements, à la rencontre de personnages tous aussi inquiétants que vicelards (pour certains). Morbide, dérangeant, glacial mais magnifiquement retranscrit par le biais d’une mise en scène filmée avec sobriété (qui ne justifie en rien la censure française) et interprété avec beaucoup de justesse. Julia Leigh dérange pour mieux surprendre, une cinéaste (en herbe) très prometteuse !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 février 2013
    Avant d'aller voir ce film, j'ai beaucoup hésité à cause des mauvais retours. Sans surprise, nous n'étions pas nombreux dans la salle de projection : il y avait moi, seul, et puis deux ou trois groupes d'amis, adultes et lycéens. Ces derniers commencèrent à pouffer dès les premières scènes de nudité (notamment la nudité des vieux messieurs, manifestement une chose très drôle), et s'en allèrent très vite. Quant aux autres, tous restèrent jusqu'au bout, mais certains ne cachaient pas leur ennui. Il faut donc bien comprendre que ce film déplaira au plus grand nombre. Je veux dire, à moins d'avoir un réel attrait pour le romantisme noir, le décadentisme, l'esthétique (crypto) bdsm, ou d'avoir un regard sincèrement pervers sur le monde, vous n'aimerez pas le film. Sinon, bien sûr, vous allez adorer. Ç'a été mon cas !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 24 novembre 2011
    Trois choses m'ont poussé à aller voir ce film:

    1) Julia Leigh, une réalisatrice Australienne dont j'ignorais la totale existence.
    2) Emily Browning, que j'avais vue une unique fois dans "Sucker Punch" et que je voulais donc voir une seconde fois dans CE type de rôle.
    3) Une interdiction aux moins de 16 ans...

    Après-coup:

    1) Julia Leigh ne sera probablement pas une des mes réalistrices fétiches.
    2) Une performance plus que parfaite pour la douce Emily Browning au visage d'ange.
    3) Une interdiction éventuellement un peu trop "exagérée"?

    Julia Leigh propose ici un sujet phare de notre société d'aujourd'hui, la prostitution. Elle l'aborde avec des pincettes, spoiler: adoucissant l'acte sexuel en endormant la protagoniste, d'où le titre de ce film qui s'y prête parfaitement.

    J'ai trouvé ce film un peu lent, parfois même ennuyant. Je retiens une chose: la présence et le jeu d'Emily Browning.
    belo28
    belo28

    69 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 novembre 2011
    Intéressant... C'est le terme qui définirait le mieux ce film australien. Provoquant et choquant voila ce qu'il en retourne en sortant de la salle et finalement les éteincelles de la première demi heure ne reste que de vagues souvenirs... C'est bien dommage! Cependant, Emily Browning entre dans la catégorie des grandes actrices en devenir!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 novembre 2011
    Nul. Cloque. Pas intéressant. Pas d'histoire. Vu en avant première au mk2 bibliothèque, à mon grand regret..
    arnaud1996
    arnaud1996

    6 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 novembre 2011
    Ce film des "belles endormies" n'est passionnant.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 novembre 2011
    " A vous de juger" C'est nul et sans appel. Que la chair est triste. Aucun érotisme, aucun plaisir, aucune sensualité. Les acteurs communiquent un ennui mortel aux spectateurs mais aussi un certain dégout et sentiment de voyeurisme malsain. A éviter
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 novembre 2011
    Aucun intérêt. Sauf si on aime sortir d'un film en ne comprenant pas la fin et l'intérêt de l'histoire.
    Irmanik
    Irmanik

    14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 novembre 2011
    A la fois très ennuyeux et prétentieux, d'une sophistication ridicule qui prêterait à rire si on arrivait encore à conserver le sens de l'humour devant une tel navet qui ne mérite pas la qualification de film.
    N'y allez pas. La vie est trop courte. (moi j'étais obligé...)
    ffred
    ffred

    1 704 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 novembre 2011
    Avant même sa sortie le film défrayait la chronique. Interdiction aux moins de 16 ans (injustifiée à mon sens, les jeunes voient bien pire tous les jours à la télé ou sur internet), projection cannoise houleuse, affiches enlaidies d’un laconique « censuré » ou d’un inutile « à vous de juger ». Tout cela ne fait que de la publicité gratuite au film, tant mieux. Le bouche à oreille négatif allant de « nul » à « porno chic » n’arrangeant pas les choses, je me suis donc déplacé plus par curiosité que par envie. Résultat : une excellente surprise, j’ai adoré...
    La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/
    cylon86
    cylon86

    2 517 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 novembre 2011
    Que penser de ce film vraiment troublant et parfois dérangeant qui montre tout avec une crudité étonnante ? La mise en scène de Julia Leigh, faite surtout de plans fixes, est statique mais souvent fascinante par son esthétisme épuré. Par contre le scénario semble être ce qu'il manque aux nouveaux auteurs qui se démarquent de toute dramatisation, de toute narration claire et de toute identification aux personnages ce qui tue le plus souvent l'adhésion au film comme c'est le cas ici. Il ne suffit pas de miser sur la forme pour faire un bon film même si certains grands y sont parvenus et "Sleeping Beauty" souffre de son scénario. Reste Emily Browning, troublante dans un rôle éprouvant qui n'a pas du être facile à jouer.
    cristal
    cristal

    177 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 novembre 2011
    C'est sous le titre heureusement non traduit de "La belle au bois dormant" que sort ce premier film australien d'une réalisatrice inconnue du monde cinématographique, et qui risque de ne pas tarder à se faire un nom... à fuir. C'était pourtant l'une (la plus belle?) des promesses du dernier festival de Cannes, où le film s'est retrouvé par un très curieux hasard en compétition. Cela tient à l'apparition d'un nom féminin derrière la caméra, du label australien (cinéma rare s'il en est), et de celui de premier film. Et en réalité peu importe tout ça, "Sleeping Beauty" dont le titre se réfère à l'image de cette jeune fille endormie et non pas au conte (car ce n'en est pas un malgré toute volonté de mystère, de codes et de décors), est une vaine tentative de produire de la matière contemporaine, rebutante, singulière, alors même que le film est d'une platitude et d'une sagesse hors normes. Certes l'absence d'intrigue peut éventuellement révéler un rejet du consensus habituel (notamment celui qui voudrait nous faire croire qu'un film réalisé par une femme est un film forcément féministe), mais rien d'autre que l'ennui ne peut nous atteindre ici dans cette vidéo poseuse pour galerie d'arts. L'enchaînement hasardeux de plans-séquences sinistres et sans âme, appliqués par une science de la lumière qui tend à démontrer un quelconque savoir-faire du cadre (mais la beauté d'un cadre ne saurait se réduire à cela), noie le film dans un rythme abscons de petite mort dont on ne parvient jamais à savoir ce qu'il signifie. Julia Leigh tourne un film d'auto-égérie où seule la présence d'une équipe technique bien formée peut faire valoir son talent (qui n'est rien d'autre que celui d'être bien entourée), car son auteur n'a strictement rien à dire, ni à montrer, ni à faire ressentir. On dirait ici qu'il faut louanger la capacité de la cinéaste à être hors-sujet - audace? singularité? onirisme? - , à construire des séquences qui ne viennent de nulle part et qui ne savent pas où elles vont. Même les personnages, les attitudes et les dialogues affichent cette obscurantisme de la forme et cette structure du hasard. Le langage du film est raidi par ce détournement du sujet au point qu'on ne sait plus du tout de quoi parle le film. D'un rêve? D'une parenthèse? D'un fantasme? Mais il y a dans tous les cas une matière vivante qui témoigne d'un temps, d'un espace. Ici il n'y a rien d'autre que l'effrontée répétition, la déshumanisation (peut-être le véritable sujet du film), la langueur métamorphosée en ennui. Et malheureusement quand un film se déjoue de toutes ses volontés - de n'importe quelles sortes : énigmatiques, esthétiques, narratives - ou pire encore quand la volonté est absente au-delà du fait que la caméra tourne pour le plaisir de tourner, on ne peut le prendre tout à fait au sérieux. Et c'est pourtant avec une rigidité glaciale que le film continue, apparemment maîtrisé mais incertain de son destin, naviguant on ne sait où dans une tambouille d'inspirations très mal digérées (la nudité violente de Pasolini, le flou Lynchien, la sensualité des personnages de Campion), dont les finalités restent mystérieuses. Il y a une scène tout à fait ridicule qui caricature toute seule l'ambiance et le style faussement surréaliste du film : le meilleur ami de Lucy mange ses corn-flakes dans un bol rempli de vodka. On se demande bien pourquoi, si ce n'est que cette posture 'pas comme les autres' dénote bien une envie de faire tout l'inverse de ce que le cinéma comme la raison impose. Concluons en vain sur cette impasse cinématographique : ou bien le film nous parle de la mort de l'amour et du sexe, de la mort du sentiment et du désir, de la mort du fantasme et du coeur, de la disparition éternelle des corn flakes plongés dans un bol de lait, auquel cas l'auteur peut encore se justifier de l'insoutenable ennui de la forme et des images (mais ça serait être bien peu exigeant que d'accepter une telle défaite), ou bien il n'y a ni point de vue ni idée dans cette oeuvre aléatoire déconnectant par une prétentieuse obsession de joliesse le plaisir du regard, de l'esprit, du cul et de l'âme.
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