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chrischambers86
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2,5
Publiée le 20 février 2016
Elle ne cherche pas l'originalitè et ses rêves sont peut-être banals mais au moins elle y croit..."Paris-Manhattan" se regarde avec douceur et donne à la fin de la projection le même rèsultat que le rèsumè à la lecture! Beaucoup d'invraisemblances (il s'en passe de belles dans cette pharmacie), mais aussi une naïvetè qui fait que le film n'aboutit pas totalement, qu'il ne touche pas plus que ça malgrè le charme de la resplendissante Alice Taglioni! Pourtant on voudrait aimer cette comèdie romantique où l'on dècèle un louable souci d'èchapper à la mièvrerie, un souci ègalement de traduire avec gaiètè nos espoirs, nos craintes, nos rèussites et nos èchecs amoureux! Dans les meilleurs moments spoiler: cela donne la sèquence finale où Alice fait de la trottinette en robe rouge dans les rues de Paris, dans l'espoir de rencontrer son idole de toujours, Woody Allen! il reste nèamoins que ce "Paris-Manhattan" mèrite que l'on s'y arrête pour son ècriture lègère et pour la craquante Alice Taglioni! Sans compter qu'il y a le beau Patrick Bruelspoiler: et surtout un camèo inattendu de Woody Allen...
Une comédie romantique emplie de charme et d’humour, écrite et réalisée par Sophie Lellouche. Une histoire « romantique » pas dans le genre « guimauve » mais dans l’option passion autant fantasmée que redoutée. La mise en scène est soignée et efficace. Le scénario, au rythme soutenu, nous distille des dialogues raffinés et acidulés qui font mouche à chaque réplique ; cela donne à cette comédie un souffle plaisant et drôle. Cette comédie nous gratifie d’une superbe distribution avec la belle pertinence d’Alice Taglioni et de Patrick Bruel toujours aussi convaincant qu’efficace. Les rôles secondaires sont également très bien assurés avec de brillantes prestations de Marine Delterme, qui jour la sœur d’Alice, de Michel Aumont qui interprète le père d’Alice, et une sympathique participation de Woody Allen Himself !
Une histoire simpliste et courte ! L'actrice Alice Taglioni interprete une cinéphile passionné de Woody Allen qui est très peu convaincant. Les relations entres les personnages sont corrects. Heureusement que Patrick Bruel sauve ce film.
Une comédie romantique de 77 minutes. Rien que ça,ça n'annonçait rien de bien. Et il n'y a pas de miracle. "Paris-Manhattan" pose son unique argument originel sur cette pharmacienne,obsédée de Woody Allen,et qui se rêve donc en héroïne libre et spirituelle. Alice Taglioni fait ce qu'elle peut avec ce pitch catastrophique,d'autant que l'alchimie avec Patrick Bruel n'est pas du tout au rendez-vous. Comment dès,croire à leur coup de foudre. On sent aussi que la réalisatrice a voulu créer un univers gentiment loufoque pour rendre hommage à Allen,mais les situations sont trop pauvres pour cela. Enfin,comment a t-elle pu convaincre Woody Allen lui-même de faire une apparition dans son film? C'est un coup d'éclat,qui ne change rien au mépris que l'on éprouve pour ce film opportuniste et vide.
Le minimum syndical pour une "comédie romantique" est la légèreté. Or ce "Paris-Manhattan" est pataud, décousu, avec "effets" lourdement serinés (la famille d'Alice est censée être "originale" : si les protagonistes ne le rappelaient pas régulièrement pour s'en convaincre - et en convaincre le spectateur - on peut dire que cela ne sauterait pas à l'oeil !). Sophie Lellouche a voulu par ailleurs innover en faisant dialoguer son héroïne avec un "ami imaginaire" illustre, Woody Allen soi-même (mais on ne comprend pas bien le pourquoi d'un tel engouement chez la jeune femme, qui n'a pour sa part d'"allenien" que le prénom). Le procédé, à défaut d'être unique, représentait un effort louable de fantaisie. Essai non transformé, car la réalisatrice (et coscénariste) n'en tire qu'un parti paresseux (voir à titre de comparaison l'emballant "Looking for Eric" de Ken Loach, sur une idée de base similaire). Une étoile, mais pas plus, pour une partie de la distribution : Michel Aumont (tellement de métier qu'il passionnerait même en lisant l'annuaire !) et Alice Taglioni (qui fait ce qu'elle peut pour donner un peu de tonus à cette romance pâlotte et poussive à souhait). Patrick Bruel déçoit (déjà au physique : un peu trop « passé-fleur »), étant loin de faire son « maximum »…. tout comme les seconds rôles, effacés ou caricaturaux.
Sophie Lellouche a voulu faire du Woody Allen mais de toute évidence tout le monde ne peut pas faire du Woody Allen. En quelques mots, je trouve le film mal écrit et mal joué. Il ne suffit pas de musiques jazzy et de conversations pseudo intello pour que le charme opère. Globalement, les dialogues ne sont pas très bien écrit et ne font pas naturels. Aucun acteur ou actrice ne m'a pas tapé dans l'oeil dans ce film, sauf peut être Michel Aumont, égal à lui même. Patrick Bruel, que j'avais pourtant aimé dans Le Prénom, reste pour moi un chanteur recyclé dans le cinéma, je ne le trouve pas très bon. Alice Taglioni n'est pas excellente non plus, elle est loin de son niveau qu'elle avait pu montrer dans Notre univers impitoyable. Tout le long du film, j'ai trouvé que ce n'était pas cohérent et crédible (la musique de jazz dans le supermarché ou le couple de jeune qui danse dans la rue). La surprise de la fin ne sauve pas les meubles. Bref, un film qui ne restera pas dans les annales du cinéma français.
Film agréable, bonne interprétation, dialogues qui rebondissent. Je ne crois pas que Sophie Lellouche ait voulu faire du Woody Allen. Ce dernier fonctionne par intertextuallité tout simplement. il ne faut pas bouder son plaisir avec cette comédie contemporaine et aux dialogues intelligents.
Une bonne petite comédie romantique, sans prétention, qui nous fait passer un bon moment avec des comédiens attachants. Le scénario peut être pas assez poussé réserve quelques bonnes dont le final. Bruel et Taglioni forme un beau couple de cinéma et les seconds rôles sont bien joués Michel Aumont en tête.En résumé, un petit film sympa.
Pour son premier long-métrage, Sophie Lellouche semblait nous offrir une "rom-com" originale centrée sur la passion qui unie son héroïne au cinéaste américain Woody Allen (le titre du film fait référence à l’un de ses plus célèbres films, à savoir Manhattan - 1979). Mais très rapidement, Paris-Manhattan (2012) nous montre clairement ses faiblesses, un scénario qui ne cesse de tourner en rond entre deux protagonistes (dont on sait à l’avance comment cela va se finir). Ajoutez à cela des dialogues pompeux (ou trop philosophique), des échanges ridicules entre Alice Taglioni et le poster représentant Woody Allen. Voir cette dernière prescrire des DVD du cinéaste à ses clients (elle est pharmacienne), ça frise trèop souvent le ridicule. Long et ennuyeux (pourtant le film ne dure pas plus de 75 minutes), en fin de compte, seul la présence surprise de Woody Allen à la toute fin du film aura su nous redonner le sourire (et nous convaincre que nous n’avions pas fait le déplacement pour rien).
Cela aurait pu être pire en terme de boursouflure scénaristique et de dialogue, mais finalement comme un bon Woody Allen, dont il tourne autour sans cesse, ce film de Sophie Lellouche à plus de bons côtés que de mauvais. Au rang des bons, on trouve un très agréable Patrick Bruel, juste et frais, qui fait souffler un vent de coriandre tout juste ciselé sur le quotidien du personnage congestionné d'Alice Taglioni, relevant la performance de cette dernière devant la caméra comme sur la pellicule. C'est le personnage de Bruel qui ajoute cette folie Allennienne au récit, ce côté pince sans rire donneur de morale sans avoir l'air d'y toucher, rendant même l'apparition surprise de ce dernier carrément grotesque et démagogique. Pour le reste, le tout se laisse agréablement regarder comme un bon Woody Allen avec malgré une toute petite dose de féminisme bien pensant omniprésent en fil rouge.
L'idée est bonne, le film est nul !!! Dommage...Malgré le prénom Alice, aucun rapport avec le film de Woody Allen où est la légèreté est le maître mot ce que visiblement Sophie Lellouche ne sait absolument pas faire, tout est lourd, appuyé et. pachidermique