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Incertitudes
218 abonnés
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3,5
Publiée le 10 juin 2013
Paris Manhattan a ceci d'original que l'héroïne du film est une fan absolue de Woody Allen tout comme la réalisatrice. Elle a un poster géant qui trône dans son salon, elle lui parle et lui en retour la conseille, lui donne son avis. Mieux, comme elle est pharmacienne, elle file des DVD de ses films à ses clients comme médicaments. Pour le reste, c'est relativement classique. Sa vie amoureuse ne la comble pas, elle rencontre un fabricant d'alarmes désabusé et de fil en aiguille vont tomber amoureux sous l'oeil de Woody Allen qui a même une scène avec Bruel à la fin. Comment la réalisatrice a fait pour le convaincre ? ça restera un mystère. Le propos est léger, respecte les conventions du genre avec ses personnages bien dessinés : le père juif possessif, l'ado rebelle...Le film fait moins d'1h20, ça reste une petite friandise au plaisir éphémère.
Un hommage Woody Allen, et à son cinéma… une jolie comédie romantique décalée, pétillante qui sort du lot… Malgré un scénario mince et une fin prévisible, passé le premier quart d’heure, on suit avec intérêt cette jeune femme rêveuse et passionnée interprétée par la jolie Alice Taglioni. La balade est romantique, légère, jamais dégoulinante. Le casting est bon. A côté de la belle actrice, Patrick Bruel, L’attachant Michel Aumont, Marine Delterme, Louis-Do de Lencquesaint, Marie christine Adam, Yannick soulier, …. et la participation de Woody Allen himself !
Une jolie comédie romantique, ne pas hésiter à entrer dans l’univers, le moment est charmant…
Paris-Manhattan est une belle romance. Cette comédie romantique est médicament homéopathique avec beaucoup de fraîcheur. Les dialogues donne un ton humoristique et drôle. Les acteurs donnent un charme sympathique à l'image de Woody. Un beau voyage...
Sophie Lellouche dont c'est le premier film y a tout raté en voulant nous séduire avec une histoire brouillonne, peu trépidante et qui l'aura surtout intéressée elle. Son scénario,, avec Woody Allen dedans (parce qu'elle l'aime bien) est consternant de désintérêt. . Nous, on subit. De plus, Alice Taglioni au sein d'un bon casting par ailleurs, n'a pas du tout le profil de son personnage et joue en permanence à côté de son personnage, sans nous convaincre. Lassant. Pas étonnant qu'elle soit encore "vieillie fille". Pas crédible du tout, voire pénible. Quant à Bruel, on se demande comment il a pu se laisser entraîner dans cette galère. Le plus dommage, c'est qu'on aurait pu faire un film amusant avec cette aventure mais ici elle est dénuée d'humour. Pas surprenant que seulement 222 800 spectateurs en salles aient suivi. La cata sur le plan financier ! Ce seul film de S.Lellouch serait-il déjà son chant du cygne, car jusqu'en 2017, on n'en a plus de nouvelles. willycopresto
On ne le dira jamais assez, la comédie romantique au cinéma est un genre ultra balisé, il est donc très difficile de réussir à s’extirper du lot. Sorties américaines et françaises confondues le dernier film en date à avoir su tirer son épingle du jeu avec brio est "L’amour c’est mieux à Deux" de Dominique Farrugia. Depuis plus rien. La réalisatrice Sophie Lellouche ("Dieu, que la nature est bien faite !") se lance avec son "Paris Manhattan" emmené par le duo Alice Taglioni / Patrick Bruel et le résultat, bien loin des espérances, n’inversera pas la tendance. Le principal point d’originalité qui justifiait la sortie de ce film étant la présence physique et spirituelle de Woody Allen, on aurait pu s’attendre à une histoire en forme d’hommage caché à ce génie, mais pas du tout. En effet ses intervenions sont tellement mal utilisées qu’on se demande vraiment d’où sort son intérêt pour le projet. Le casting est à la limite de l’acceptable, saccageant les rares répliques valant le coup par une interprétation très peu inspirée, le duo principal compris. La mise en scène conventionnelle n’a aucune chance de relever la pauvreté scénaristique et artistique de ce film des plus soporifiques.
Un sous Woody Allen français qui ne prend malheureusement pas! Le scénario patine à vouloir multiplier à l'infini les intrigues sans jamais les résoudre (des fois sans même les développer)! Bruel cabotine dans son personnage mal écrit de Woody Allen au snobisme intellectuel qui ne lui sied guère! Bref oublions Paris_Manhattan et replongeons nous dans Manhattan tout court!
Malgré un scénario un peu trop "déjà vu", voici une jolie comédie romantique avec juste ce qu'il faut d'humour. Alice Taglioni est toujours aussi somptueuse et les autres acteurs assez bons, avec un sérieux bémol pour Patrick Bruel qui nous fait, une fois encore, un peu trop "du Patrick Bruel". La référence à Woody Allen ne m'a pas semblé très justifiée, à part le désir de donner un coup de chapeau à ce grand artiste... Il n'empêche que son apparition plutôt inattendue à la fin du film a été pour moi une heureuse surprise et m'a donné envie de compléter ma culture cinématographique, assez incomplète en ce qui le concerne. Un bon moment de cinéma dans l'ensemble.
quelle finesse dans les dialogues! on sourit du début à la fin, chaque phrase d'alice taglioni fait mouche! bravo pour ce premier film, on attend avec impatience le suivant...
que dire de ce film ? que les acteurs surjouent en nous donnant l'impression qu'ils se sont retrouvés là par erreur, ou par appat du gain ? que la realisatrice a confondu "faire un film qui parle de woody allen de temps en temps" et "un film de woody allen". on sent l'amour de la realisatrice pour ce dernier mais le film n'a que la dynamique de monsieur allen. sans le charme. la légereté et la loufoquerie charmante de ses films n'est ici que mal copié et indigeste. exemple : un braqueur se fait sauver par l'héroine agréssée par peur que patrick bruel ne le tue et lui donne avant de le mettre dehors, quelques dvd de allen concernant les délis..... du grand n'importe quoi. quand on veut copier, on essaie au moins de le faire avec talent.
j'en sors et je suis assez déçue... Dommage y avait tous les ingrédients pour un film réussi. Dans le genre vu dernièrement j'ai préféré "Un bonheur n'arrive jamais seul".
Comédie très brève, dans lequel Alice taglioni récite son texte sans grande passion et où Patrick Bruel est très inutile. Le scénario de départ semblait malin, avec des interactions entre Alice et Woody Allen, mais on tombe vite dans des histoires de familles banales qui rend le film beaucoup trop pertinent. Peu de folie, avec une mise en scène assez parisienne
Cette comédie romantique mollassonne n’a pas grand chose à offrir. La référence très respectueuse au cinéma de Woody Allen et le charme d’Alice Taglioni ne suffisent pas à sauver ce film dont les dialogues d’une platitude navrante et la conclusion prévisible renforcent le sentiment de ratage. Un Patrick Bruel physiquement empâté et mal à l’aise n’apporte pas sa faconde habituelle, et seule les cinq dernières minutes avec l’apparition pétillante de Woody Allen retiennent notre attention. On sort de la salle avec l’envie de revoir Manhattan. C’est la principale contribution de la première réalisation de Sofie Lellouche qu’on espère revoir mieux inspirée.
Comédie sentimentale par excellence, "Paris-Manhattan" regorge de toutes les bonnes intentions d'un premier film. Mais ce n'est pas convaincant sur toute la ligne... Pour donner un semblant de consistance au scénario épais comme une plume, l'héroïne du film se trouve être une fervente fan de Woody Allen. Youpi.
Ainsi, une sorte de petit hommage à la philosophie de ce grand Monsieur se met en place, et ce dernier a même droit à sa guest apparition, car ça semble plus vendeur. Il y a quand même un léger goût de futilité dans l'air! Pire, ça donne l'impression d'être le seul objectif du film.
En effet, ce n'est pas l'histoire sentimentale qui donne une touche d'originalité. Avec une fin complètement inévitable, le film a du mal à trouver un charme qui ne tombe pas dans la mièvrerie. Tout est cousu de fil blanc, et les sentiments ne sont pas très crédibles. Alice Taglioni n'a d'ailleurs pas un jeu terrible. (Elle n'est pas la seule). Les relations amoureuses ou familiales qui se tissent ne font pas preuve d'une grande conviction.
L'écriture est légère, et la banalité des dialogues n'aurait pas été un défaut s'il y avait eu moins d'archétypes. Pour conclure, ça reste donc sympa pour le public féminin visé. Soyons honnête, on s'attendait pas à un chef-d'oeuvre. En ce sens, "Paris-Manahattan" remplit son rôle.
C'est léger, c'est court, c'est dispensable.
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