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    Voie rapide
    Note moyenne
    2,4
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    48 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 juillet 2013
    Une nullité affligeante au début on s'ennui mais bon on attend que la trame se lance, qu'il se passe quelque chose mais rien, les acteurs en plus n'articulent pas en gros 20 minutes de perdus avant de passer à autre chose...
    Aspro
    Aspro

    14 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 juillet 2013
    Un des débuts les plus propices de l'année 2012 est celle de Christophe Sahr, qui, dix ans après avoir écrit la première ébauche de son scénario, a finalement réussi à mettre son moderne Crime et Châtiment de Dostoïevski sur grand écran. Il n'est pas difficile de voir pourquoi Sahr avait une telle difficulté à trouver un bailleur de fonds pour son film. Voie rapide est un genre transmembranaire, une bizarrerie, comportant des éléments de réalisme social et drame psychologique sans monter facilement dans aucune de ces catégories. Pourtant, le film est loin d'être un hommage conventionnel et il foulera ce qui semble être un territoire familier avec un flair remarquable et originalité.

    Un homme commet un crime, mais lentement rongé par la culpabilité et est finalement conduit à chercher la rédemption. Le cadre est aussi familier: la course vers le bas, sur banlieues peuplées de Paris, où l'espoir est aussi rare que l'argent. C'est Christophe Sahr a pu prendre ces deux thèmes éculés et fondre en quelque chose de frais et distinctif témoigne de sa promesse en tant que cinéaste. Le film a ses défauts - quelques-uns des développements de l'intrigue sont un peu difficile à avaler et il ya une légère surabondance d'artistique, trop d'indulgence , mais ceux-ci sont facilement pardonnés à cause de l'élégance austère de la mise-en- scène et l'authenticité qui saute hors de l'écran pendant une bonne partie du film.
    ,
    Ce qui rend Voie rapide efficace et gratifiant, c'est qu'il évite tous les pièges et se contente de raconter une histoire simple, sans s'embourber dans la sentimentalité et artifice stylistique. Contrairement à beaucoup de drames réalistes sociale d'aujourd'hui, qui recourt ont a des clichés condescendants ou gesticulation politique trop sérieux, ce film présente un compte rendu honnête de ce que cela représente pour les jeunes d'aujourd'hui à vivre en marge, de tirer le meilleur de ce que la vie a à'offrir et de faire face aux problèmes de la journée à l'existence d'une journée sans tomber dans l'hystérie . La nécessité d'Alex pour l'évasion est quelque chose que nous pouvons facilement comprendre. Il est évident qu'il a été contraint à la paternité avant qu'il ne soit suffisamment mature pour faire face aux responsabilités que cela implique. Alors, toujours aux prises avec la mentalité d'un adolescent égoïste, il fait de sa Honda Civic sa maîtresse, lui prodiguant tout son temps libre et l'argent durement gagné , au détriment de sa compagne et leur enfant.

    Alex, un personnage égocentrique et généralement sans charme, est dépeint avec tant de réalisme et d'intensité par Johan Libéreau. Comme James Dean dans le célèbre film de Nicolas Ray, Alex est un rebelle urbain égoïste qui est clairement mis sur un cours d'auto-destructrice, poussé par un désir obsessionnel de vitesse afin qu'il puisse échapper à la vie . Ce qui fait du portrait d'Alex de Libéreau si convaincant, c'est qu'il révèle si peu de ce qui se passe dans l'esprit du personnage. Alex a du mal à parler, et encore plus difficile pour lui de s'exprimer émotionnellement. Quand il renverse un piéton malheureux au cours d'une de ses promenades nocturnes, son manque d'intérêt manifeste est choquant. C'est seulement quand Alex a eu le temps de réfléchir à ce qu'il a faitque la culpabilité commence à s'affirmer et que son vrai caractère commence à émerger. Voyage intérieur ultérieure d'Alex vers la rédemption est d'autant plus poignant

    Christa Théret est tout aussi convaincant . Parce que son personnage se trouve etre plus facile à exprimer, elle est cependant bien plus attrayante et nous sommes plus enclins à voir les choses de son point de vue. Rachel est la victime, celle qui fait tous les sacrifices, et il doit donc en conclure que Alex est le méchant. Au départ, Sahr et Libéreau semblent tout faire pour aliéner le public à Alex - tout comme Dostoïevski fait avec son personnage Raskolnikov - pour faire la renaissance spirituelle de la principale protagoniste d'autant plus profonde et surprenante. La scène la plus émouvante est celle où Alex doit faire face à la mère du jeune homme qu'il a tué accidentellement (joué avec une immense sensibilité par Isabelle Candelier). C'est le moment où nous savons avec certitude que Alex a une âme et ne peut pas échapper à expier son crime. Le film suit alors un cours assez prévisible vers sa conclusion. pour cela que je note 2.5/5
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 juillet 2013
    un bon gros navet, le film et plus plat que nous York comment perdre 1h30 de ça vie!!!!
    Sylvain P
    Sylvain P

    328 abonnés 1 350 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 août 2012
    Le charmant petit couple de « La Brindille » renaît à l'écran dans un style bien différent. Si les situations initiales posent un décor réaliste (ces jeunes hommes qui veulent montrer qu'ils ont la plus grosse, euh le plus rapide des bolides / Ce couple amoureux qui ne partage rien / etc...), le n'importe quoi qui s'ensuit est risible.
    ffred
    ffred

    1 667 abonnés 4 008 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 août 2012
    Ce premier film de Christophe Sahr, n'a vraiment rien de particulier pour se démarquer du reste de la production actuelle. Cela se veut dans l'air du temps, les jeunes et leurs problèmes, la crise... Même le film traite avant tout de culpabilité. Des thèmes que l'on a vu mille fois...Quand c'est bien fait cela peut être tout à fait regardable. Mais ici, entre un scénario pas du tout crédible, une mise en scène insipide et une erreur de casting sur toute la ligne, cela fait beaucoup pour un seul film. On arrive pas à être indulgent...
    La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-voie-rapide-108738173.html
    Bunta F
    Bunta F

    2 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 septembre 2013
    Voie rapide, je ne vois pas ce qui est rapide si ce n est l'ennuie qui arrive très vite, sans même sans rendre compte.

    cliché du tuning boy qui préfère sa voiture a femme et qui conduit sans ce soucier des autres.

    A par ça, bin je pense que le scénario a été écris sur un parking tout comme le choix du casting.

    Beaucoup de vroum vroum, pour des courses sans intérêt a moins de 50 km/h.

    Pour conclure, de la pellicule qui aurait du rester vierge.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 31 juillet 2013
    Je trouve que Voie rapide montre une certaine catégorie sociale jeune française que l'on voit peu au cinéma et c'est très intéressant. Les acteurs sont vraiment convaincants. Le film n'en fait pas trop, ne force pas et dénote dans les films français d'auteur. Réalisateur à suivre .
    Hastur64
    Hastur64

    218 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 décembre 2013
    « Voie rapide », premier long-métrage de Christophe Sahr, est un petit drame qui ne démérite pas, mais qui doit quand même beaucoup à la prestation de son acteur principal Johan Libéreau. Solidement ancré dans le réel le film explore le thème de la culpabilité et de la difficulté de devenir adulte en faisant le deuil de sa vie d’avant le couple et ce particulièrement pour les jeunes hommes. Si la psychologie des personnages et bien travaillée, particulièrement celle d’Alex, et que les relations dans le couple sont plutôt bien rendues ; le film pêche par une linéarité du récit qui pauvre en péripéties semble parfois manquer un peu de souffle. De plus certaines séquences sont assez peu crédibles voire peu compréhensibles comme la séquences intime entre Alex et la mère du jeune accidenté ou l’errance d’Alex sur les pas de sa victime. Le peu de moyens est assez bien compensé, hormis pour les séquences de courses de voitures qui sont filmées avec une économie de moyens qui les rend peu spectaculaires pour ne pas dire un peu cheaps. L’ensemble ne démérite pas et est sauvé par l’excellente prestation de son couple phare tous deux nommés au César du meilleur espoir. À voir pour passer malgré tout un bon moment et encourager un jeune cinéaste pas déméritant.
    Kinopoivre
    Kinopoivre

    29 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 août 2012
    Alex, âgé de 25 ans, vit avec Rachel, et ils ont une petite fille de deux ans. Mais Alex ne sait pas exprimer ses sentiments, et met toute sa passion dans sa voiture – une grosse et puissante voiture, dont on se demande comment il a pu la payer, puisque tous deux sont de petits employés dans un supermarché. Mais sans cela, il n’y aurait pas de film...

    Un soir, alors qu’il roulait trop vite, comme d’habitude, sur une voie rapide, il renverse et tue un jeune homme. Il prend la fuite, fait réparer les dégâts matériels par un copain auquel il avoue la vérité, mais ne dit rien à sa compagne. Néanmoins, le remords le ronge, et il s’arrange pour connaître la mère de sa victime. Comme il revient la voir sans aucune raison, elle devine qu’il est l’auteur de l’accident, lui révèle qu’il n’a rien à se reprocher car son fils s’est jeté sous la première voiture venue afin de se suicider, et là, cliché, se place la scène de trop : ils sont à deux doigts de coucher ensemble !

    Puis Rachel tente de quitter Alex parce qu’elle ne supporte plus ses sautes d’humeur, il tente d’envoyer dans le décor son copain mécanicien et sa voiture, endommage une fois de plus la sienne, et se trouve à deux doigts de se suicider lui aussi. Mais une réconciliation avec Rachel semble pointer, et le film s’arrête là.

    Johan Libéreau est le principal attrait de cette histoire, construite à partir d’une bonne idée, mais gâchée par une réalisation qui a les défauts habituels propres aux cinéastes débutants : la manie de la caméra portée qui filme de (trop) près le moindre mouvement des acteurs, sans aucune raison dramatique – du genre : il ouvre la porte d’un frigo, la caméra se penche pour montrer le contenu du frigo. Collez là-dessus des conversations insipides à base de « Génial ! » et de « Super ! », sonorisez avec du rap en fond sonore, et vous avez un film qui partait bien, mais raté à l’arrivée.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    89 abonnés 1 546 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 septembre 2013
    "Voie rapide" dure 1h20 mais on a l'impression d'avoir vu facilement 20 minutes de plus tellement le rythme est mou. Alors oui, je sais qu'il y a très probablement une volonté pseudo-auteurisante du réalisateur et que le rythme fait parti intégrante de ce système mais c'est bon juste pour les festivals de cinéma, pas pour le spectateur lambda. En clair, il faut vraiment être dans le délire pour apprécier ce film bien qu'il ait quelques qualités tels les dialogues ou le réalisme ambiant. Côté mauvais point, je citerai les acteurs qui ne sont vraiment pas crédibles dans certaines scènes (on dirait parfois les interprétations foireuses des clips de rap amateur) et les scènes ultra-répétitives qui font que le scénario tient sur une enveloppe.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 044 abonnés 7 454 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2012
    Voie rapide (2012) n’a absolument rien à voir avec les films habituels sur le tuning tels que Fast and Furious (2001) ou encore Autoroute racer (2004). Si la typographie du générique de début et les images de voitures customisées vous mettent dans l’ambiance, les amateurs (les vrais) de tuning risquent fort d’être déçu, pour les autres, ce sera alors un grand soulagement de ne pas avoir affaire à un énième film sur une tendance beauf, voir ringarde. Pour son premier long-métrage, Christophe Sahr dépeint avec une telle véracité l’univers dans lequel ses personnages évoluent, que l’on croirait avoir affaire à un énième reportage de "Confessions Intimes" où l’un des membres du couple voue une passion dévorante pour son bolide qu’il chérit nuit & jour. Ici, on fait la connaissance d’un jeune couple (ils ont tous deux la vingtaine) et ils sont parent d’une petite fille. Ils forment un beau couple, l’ennui c’est qu’Alex a une passion dévorante (et destructrice), il est un grand passionné de tuning et passe le plus clair de son temps avec sa voiture ou son meilleur ami mécanicien (c’est une échappatoire à sa vie de couple). Rachel commence à ne plus supporter cette situation, d’autant plus que depuis quelques temps, Alex devient odieux, s’isole et ne prête plus aucune attention à elle ou à sa fille. Christophe Sahr instaure rapidement un climat pesant, voir étouffant, nous laissant impuissant assister à l’éclatement de cette famille en apparence sans problème. Rare sont les premiers longs-métrages à faire preuve d’autant de maturité et de talent, et cela, Christophe Sahr le doit en grande partie grâce à deux excellents jeunes acteurs que l’on ne voit pas assez sur le devant de la scène et c’est fort regrettable car ils ont du potentiel. Johan Libéreau & Christa Theret, deux nominés au César du Meilleur espoir (lui en 2008 et elle en 2010) incarnent ce fameux couple à la dérive, Libéreau y est véritablement saisissant et mériterait d’être plus souvent sous le feu des projecteurs (sans oublier aussi la participation poignante d’Isabelle Candelier). Un drame psychologique réellement captivant, réaliste, bouleversant et magnifié par de très belles interprétations.
    norman06
    norman06

    339 abonnés 1 653 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 août 2012
    Premier film sensible et émouvant. La subtilité de la psychologie des personnages, le montage maîtrisé et le jeu étonnant de Johan Libéreau captent l'attention. Un auteur à suivre.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 13 août 2012
    Alors que la bande-annonce de ce film m'avait donné un préjugé favorable, ce film m'a finalement déçu... C'est au départ une sorte de réquisitoire assez net contre la religion de la bagnole "gonflée et tunée", du machisme qui va avec, et de la déesse vitesse, exutoire moderne des frustrations de la vie pour les esprits faibles. Alex aime davantage sa "caisse" et son pote Max que sa compagne Rachel et leur petite fille. Lorsqu’Alex tue accidentellement un jeune (qui en fait s'est plus ou moins suicidé, mais Alex ne le sait pas) et y ajoute un délit de fuite, les choses dérapent pour lui. Cette mort l’obsède et il s'éloigne un peu plus de sa famille et de son entourage. A partir de là, le film dérape aussi complètement. Alex noue une relation totalement invraisemblable avec la mère de sa victime et la fin du film nous laisse sur l'impression qu'ayant avoué son méfait à Rachel, tout va se normaliser et que la vie reprendra son cours comme avant. C'est vraiment lamentable quand on pense au message fort que ce film aurait pu délivrer si le sujet avait été mieux maîtrisé. Acteurs corrects, mais mal servis pas un scénario bien légèrement traité.
    Thierry M
    Thierry M

    153 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juillet 2012
    Vue en AV premiere , scenario assez banale, j'aurait aimer que le realisateur y mette un peu plus de profondeur.. Bravo aux comediens.
    Guiciné
    Guiciné

    155 abonnés 1 233 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 août 2012
    Un film non dénué d'intérêts, qui arrive à tirer son épingle du jeu, malgré des références me semblant trop présentent et de certaines faiblesses bien marquées. Honorable sans pour autant être indispensable.
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