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conrad7893
299 abonnés
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0,5
Publiée le 8 juin 2013
un mélo d'un ennui incommensurable !!! l'histoire d'une femme dans l'Angleterre des années 50 (plein de carcants) mariée à un homme puissant et riche , qui va vivre un amour passionnel pour un pilote de la royal air force très égoiste durant tout le film (avec nombreux flash back) esther est torturée je n'ai vraiment pas adhéré l'actrice est très belle
Une banal histoire d'adultère montée en épingle par la critique. Une réalisation ultra maniérée sert de cadre à deux personnages historique jamais attachant plus d'une seconde. On se demande pourquoi elle est amoureuse de lui (il est si égoïste et détestable à chaque instant) et elle, on a envie de la secouer en lui disant d’arrêter de geindre et de pleurer. Un grand moment de solitude !
Milieu du XXème siècle à Londres dans la bourgeoisie ; une femme mariée à un notable tombe amoureuse d’un pilote de la Royal Air Force. Divorcer n’est pas dans les mœurs de l’époque ; la belle qui un mari qui l’aime mais avec lequel elle s’emmerde pour rejoindre son beau pilote qui ne l’aime pas autant qu’elle ou qu’elle le souhaiterait. Tiré d’une pièce anglaise des 50’s, ce drame semble surrané de nos jours. Tourné comme un film d’époque, on s’ennuie trop souvent devant ce mélodrame daté dans lequel le jeu très marqué des acteurs prend le pas sur l’émotion. On aurait envie d’etre ému par par les choix de vie courageux de cette femme mais la sauce ne prend pas. Déjà le jeu est très téâtral, le réalisateur y ajoute une musique constante et puissante pénible. La première scène fait même opéra… déconcertant. Tout de même curieux de voir Rachel Weisz dans un autre film. « La mer bleu de la mélancolie » est très ennuyeuse.
Un vrai bijou. La musique, l'esthétique, l'absence de bavardages inutiles, les réminiscences littéraires et musicales, le jeu éblouissant des acteurs, tout y est et font de ce film un véritable chef- d'œuvre dont on sort bercé par les images et ébloui.
Toujours dans le cadre du festival Télérama...de profonde mer bleue il y a la passion comme maladie enviable , cette merveilleuse plongée dans la profonde mer bleue de la mélancolie...mélodrame d'une infini beauté, au rythme lent filmé dans des atmosphère surannées ... film surprenant qui glace autant qu'il brûle ...crépuscule d'une passion...j'ai beaucoup aimé !!
C'est sublime, bouleversant, intemporel, lyrique, tragique: c'est tout ce que j'aime L'histoire triste et banale d'une femme amoureuse d'un homme peu capable d'aimer, du moins à cette hauteur de sentiments et de sensibilité,touche ici à la tragédie déchirante par la grâce du regard de Terence Davies. Rachel Weitz incarne à la perfection Hester, femme passionnée et lucide,qui marche à sa perte en toute conscience.Le Concerto pour violon de Samuel Barber porte l'histoire de cette passion violente,traîtée avec délicatesse, à un niveau de beauté mélancolique rare http://www.youtube.com/watch?v=MdRD6gEa9CY&feature=related Un choc !
Bon film alliant le drame et la romance dans lequel l'actrice principale est partagé entre son mari et son amant. Film bien réalisé mais qu'il manque "de puissance" dramatique. Un peu mou aussi par moment. Bon jeu des différents acteurs.
Après trois longues et muettes scènes d'exposition, la première réplique, adressée par son futur amant à Hester (Rachel Weisz) : "you are the most attractive girl I met". Là, on a envie de crier "Oh Oui !" tant Rachel Weisz est l'une des plus séduisantes, sinon la plus séduisante des actrices. Ce très lent, mais profond et subtil, littéraire quoique peu bavard film de Terence Davies est porté par la présence et le talent de Rachel Weisz, qui illumine l'écran, même de dos ou dans la pénombre.
Cette adaptation d'une pièce de théâtre de Terence Rattigan, dramaturge britannique détesté par les "jeunes cinéastes en colère" dans les années 1960 et aujourd'hui démodé, ressemble à une vieillerie de brocante. C'est un mélo suranné, d'un classicisme poussiéreux et ennuyeux. Cette histoire d'amour malheureux, doublée d'une critique de l'english way of life, d'un débat sur la raison et les sentiments, sur la passion et la morale, on l'a déjà vue mille fois. Le premier quart d'heure du film, qui présente la détresse du personnage féminin et rappelle son passé en flash-back, à grand renfort de violons stridents et d'images ouatées ou tournoyantes, apparaît comme une caricature des mélos d'antan, presque une parodie. Et puis ça se calme un peu. Terence Davies déroule un long fleuve de déchirements et de souffrances, prévisibles, en appuyant bien sur le pathos. Rachel Weisz n'en finit pas de minauder et de retenir ses larmes de façon démonstrative ; Tom Hiddleston s'emporte à outrance. Rien n'émeut ; tout (ou presque) agace. Alors oui, il y a ce soin apporté à la réalisation, à la lumière, aux décors, d'une élégance feutrée. Mais qu'est-ce qu'on en a vraiment à faire ? Quel intérêt y a-t-il aujourd'hui à reprendre ce mélodrame bourgeois d'un autre âge, digne d'un roman à l'eau de rose, sans en transcender la matière ou le style ? Quasiment aucun.
Non mais ALLO !! Même en regardant par la fenetre de ma chambre y a plus de chose qui se passent que durant les 1h30 de ce film !!! C'est mou c'est ennuyeux sans interet ! 0,5/5
Si la critique a été envoûtée par cette romance et Rachel Weiz , dont j'ai ressenti plus la glace que le feu . Je suis restée à distance mais je reconnais la beauté formelle de ce film
Ce sont deux noms qui m'ont attiré vers ce film. Tout d'abord celui de Terence Rattigan, auteur que je n'ai jamais lu mais dont une des pièces a donné au cinéma britannique un chef d'oeuvre de justesse et d'émotion avec "L'Ombre d'un homme", et ensuite celui de Rachel Weisz, comédienne très talentueuse et charismatique dont je ne suis pas insensible au charme. Là on le droit au triangle amoureux classique sauf que la sensibilité de Rattigan va faire que le mari d'un abord froid et sinistre va s'avérer au final être plutôt un chic type alors que l'amant d'un contact en apparence cordial va se montrer un connard de puérilité, entre les deux une femme incapable de faire face à ses émotions. La réalisation est classique et impersonnelle mais l'histoire et la qualité de l'interprétation, en particulier celle de Weisz, font de "The Deep Blue Sea" un film doté d'une certaine force.
La différence entre un bel homme et un bellâtre est souvent ténue. Le bellâtre a une belle gueule, un regard intense, une stature rassurante et la séduction facile. Le bel homme, aussi. Mais il a aussi tout le reste : de la verve, de l’humour, de la profondeur. Hester est mariée à un homme vieillissant, mais aimant. Elle s’amourache d’un jeune aviateur. Freddy est séduisant, mais peu aimant. Et il a l’alcool mauvais. Pourquoi un tel trouble envers un tel homme ? A trop jouer avec la mort, Hester oublie l’essentiel. Elle oublie tout simplement ce qu’aimer veut dire. Tout comme ce film, noyant dans cette histoire d’amour contrariée et compliquée, des travellings et des clairs-obscurs pourtant pleins de tendresse. Souhaitons à Hester de quitter sans regret ce bellâtre pour se trouver un bel homme. Ou, mieux encore, de rejoindre son tendre époux.
The Deep Blue Sea (2012) est l'adaptation de la pièce de théâtre éponyme (1952) de Terence Rattigan. Elle avait déjà connue une première adaptation cinématographique en 1955 par Anatole Litvak, avec Vivien Leigh & Kenneth More. Ce qui frappe en premier lieu, c’est la mise en scène complètement amorphe qui finira par nous assommer, alors que le film dure un peu plus de 90 minutes, on aurait juré qu’il en faisait double, c’est dire à quel point on a pu trouver le temps long. Certes les reconstitutions de l’époque (le début des années 50) y sont parfaitement retranscrites, surtout les intérieurs, mais l’ensemble s’avérant tellement linéaire et contemplatif, seules les prestations de Rachel Weisz & Tom Hiddleston parviendront à nous extirper de notre léthargie.