Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
2,0
Publiée le 9 avril 2013
il y a le gentil policier avec la tête au carré et le méchant al capone.
rien que le nom et la pochette, on sait que c'est déjà un film d'action (republicain) et que ce ne serront que des clichés imaginés pour faire dire aux gens que c'est ce qu'ils aiment. certains ont surement besoin de se rassurer.
ambiance cartoon de tex avery avec le loup et la pin up. vous travaillez! vous avez le droit a votre film! spoiler: c'est que le smic est payer par la collectivité.
Mauvais...un scénario qui s'est tiré beaucoup plus vite que Mickey Cohen, des répliques à deux balles déjà mille fois utilisées, des acteurs en sur-jeu constant, pas une once d'émotion (et pourtant ils essayent^^), aucun rebondissement, c'est prévisible et pas aussi violant qu'on nous l'annonçait. Gangster squad a du style...mais c'est tout. Bref, un film largement en-dessous des classiques tels que "L.A Confidential" ou "les incorruptibles". 2/5
J'avais très envie de voir Gangster Squad Parce que ce film de gangsters, avait un parfum de LA Confidential - un de mes films préférés. Parce que Hollywood sait lécher une reconstitution aux petits oignons du Los Angeles des années 40 avec décors rétros, grosses cylindrés et jolies pépées. Parce que Ryan Gosling me semble (et là je vais dire un truc hyper original) l'un des acteurs les plus sexy et les plus prometteurs de l'année Parce que j'ai un (gros) faible pour Emma Stone, l'héroïne de la Couleur des Sentiments. Parce que chaque fois que je vois Sean Penn, je me l'imagine en train de coucher avec Madonna ...
La première demi-heure est excellente. L'intrigue tarde à se mettre en place. Et paradoxalement ce flottement donne au film un intérêt qu'il va vite perdre. On découvre Josh Brolin, un policier incorruptible toutes mâchoires saillantes (Eliot Ness ! sors de ce corps !), son collègue Ryan Gosling, dont la vocation est sur le point de flancher, Sean Penn qui campe un Mickey Cohen grimaçant et hystérique. Hélas, le scenario creuse ensuite un filon mille fois exploité : Josh Brolin est chargé par le patron de la police locale (Nick Nolte) de constituer une équipe qui, en marge de la légalité, aura pour mission de sauver la Cité des Anges de la mainmise de Mickey Cohen. A partir de là, le film perd tout intérêt. Comme on pouvait s'y attendre, le "gangster squad" enregistre quelques succès, mais aussi quelques pertes (c'est l'avantage quand on est une équipe : on peut sacrifier quelques membres sans risquer de finir le film trop tôt !) jusqu'au final aussi prévisible que caricatural où - ô surprise - le Bien finira par l'emporter sur le Mal. Et je ne suis même pas sûr que ce soit un spoiler !
Un film de gangsters, loin des Incorruptibles et autres affranchis, divertissant mais sans grande surprise. Sean Penn est affligeant, son maquillage et ses grimaces incessantes le décrédibilise. Manque de psychologie des personnages, qui ne nous séduisent que par leurs beaux costumes. Sympathique mais dispensable.
Le genre de film que l'on déteste les 30 premieres minutes, passé le cap on finis par réaliser que l'on vient d'investir la coquette somme de 7 euros dans une énorme bouse. On passe alors en mode treizième degrés, et les 200 clichés à la minute deviennent alors votre salut, on en rigole. Ce film ne fonctionne pas, à aucun moment. Malgré la pléiade de références aux monuments tels que "La Confidential" et "Les Inccoruptibles", ce navet n'arrive pas sortir de sa merde ( et là le nez en sort à peine) et ceci malgré l'énorme casting mobilisé pour cette célébration du Blokbuster Américain.
Troisième réalisation pour Ruben Fleischer après l’amusant Bienvenue à Zombieland. Ce dernier change de registre avec Gangster Squad, film de gangster à l’excellent casting. Il ne faut pas se voiler la face, il y avait beaucoup mieux à faire. Le divertissement est présent, c’est indéniable et c’est relativement plaisant. Mais artistiquement Ruben Fleischer passe à côté de son sujet. Il s’enferme dans un style aux couleurs beaucoup trop accentuées, enlevant un côté naturel qui n’aurait pas été négligeable. Ajouter à cela des ralentis à répétition pas réellement justifiés et souvent agaçant. Il semble jouer avec les codes des grands films de gangsters (Le parrain, les affranchis etc...) sans les maîtriser. C’est parfois efficace, parfois désolant. Un casting excellent oui, mais les prestations ne sont pas à la hauteur escomptée, avec en tête un Sean Penn affligeant de grossièreté, c’est simple il a rarement été aussi mauvais. Un film qui ravira néanmoins le grand public pour son grand spectacle et ses nombreuses scènes d’actions. L’avantage c’est que l’on n’est pas prêt de s’ennuyer.
Beaucoup d'action et une bonne dose d'humour au programme... Et j'ai donc passé un assez bon moment de cinoche, tout en restant un peu trop conscient des défauts qui émaillent le film (montagne, mise en scène, script). Un réalisateur plus aguerri aurait sans aucun doute produit une œuvre plus aboutie.
On en garde une amère sentiment de déception, quoi qu'on en dise. Tout y était de l'époque, jusqu'au talent de la distribution. Il manquait juste l'audace d'en faire autre chose d'autre qu'un frugal Blockbuster. En réalité, je ne m'attendais vraiment pas à ça. Donc d'où mon désappointement. J'imaginai un film plus sombre, avec plus de densité et de nuance dans son déroulement. A la place, on nous sert un film d'action revisité, qui, en somme, n'innove en rien. On appréciera toutefois le décor et la place. Les USA d'après-guerre, c'est juste un univers fascinant à mes yeux. Et c'est ce qui sauve le film. Mettez la même histoire au 21ème siècle, et c'est déjà presque un navet complet. J'exagère juste un tantinet, puisqu'on appréciera quand le charisme XXL de son casting. Gangster Squad, plutôt que de venir garnir le panthéon des films mythiques, se rangera timidement dans le rang des divertissements efficaces, et malheureusement bien dispensables. Bien regrettable.
Déçue! Manque complétement de crédibilité. Gros manque dans le scénario il y a des sauts dans l'histoire, on ne comprend pas comment ils trouvent certaine chose (pour ne pas dévoiler). Trop de scène d'action inutile qui n'apporte rien à l'histoire. Film pas assez cousu!
Ruben Fleischer avait marqué toute la planète geek avec son excellent "Bienvenue à Zombieland". Il nous avait laissé dernièrement un arrière goût amer avec son "30 minutes maximum" mais il revient aujourd'hui avec son "Gangster Squad". Son premier film noir ou il va essayer de rivaliser avec "Les Incorruptibles". Bonne chance Ruben !
Ruben nous plonge dans un Los Angeles d'après guerre, en 1949, empire macabre du très célèbre Mickey Cohen incroyablement surjoué par un Sean Penn fatigué, qui en fait trop et qui lasse vite le spectateur en tirant constamment une gueule de colérique. C'est la même chose avec la plupart du casting, Ryan Gosling déçoit énormément puisqu'il devient vite fatiguant en jouant le héros américain coureur de jupons. Le seul qui s'en tire vraiment bien dans ce casting 4 étoiles mais décevant dans le jeu, c'est bien Josh Brolin, qui, on espère, aura plus souvent des rôles comme celui-ci.
La réalisation très sombre est toutefois très jolie. Les plans de caméras sont pas dégueulasses, les décors sont à la fois colorés mais lugubres mais cependant, des petits effets de style comme le gros plan sur le briquet de Mickey Cohen sont bien tentés mais nuisent sérieusement à l'ensemble du film ce qui brûle intégralement les yeux du spectateur puisque ces effets sont en réalité moches. On prendra malgré tout un plaisir malsain en admirer la brutalité du film avec des scènes de violences assez gores, des fusillades jouissives même si au final, le "gun-fight" final nuit sérieusement au mythe de Mickey Cohen puisque avec ce final tiré par les cheveux, on remet sérieusement la crédibilité des faits en question ayant du mal à croire au "inspiré d'une histoire vraie" en plus de certaines scènes absurdes. Mais ça, c'est le côté hollywoodien qu'on ne peut manquer aujourd'hui.
Au final, "Gangster Squad" est un simple divertissement qui se laisse apprécier pendant 1H50 multipliant les références aux films noirs. En tout cas, aussitôt le générique fini, le film est aussitôt oublié.
Si vous avez déjà vu les films de référence du même genre (Les incorruptibles, ou quelques scorsese), passez votre chemin. Je ne sais pas ce qui m'a pris d'y aller... On m'a louer le scénario, l'ambiance LA 50's, le jeu d'acteur. Et bien j'y ai trouver un scénario remplit d'eau, une ambiance pas si terrible que l'on prétend (le cadrage la met pas bien en valeur de toute façon), et il manque certains éléments primordiale d'un film de gangster (fumée de cigarette devrait-être présente dans plus de lieu). Et le jeu d'acteur.. Sean Penn pas au point (poing?) du tout. Il n'y a que Ryan Gosling et son coté charmeur qui relève un tout petit peu la barre. Mention spéciale au Spoiler : A moins que je me sois tromper et que ce film soit une parodie, ce serait un must du genre !
Avec Gangster Squad, Ruben Fleischer s’attaque à un projet ambitieux : la traque du gangster Mickey Cohen par une équipe de flics idéalistes. Surfant sur le créneau des Incorruptibles (Sean Penn dans le rôle de Cohen marche clairement sur les pas d’Al Capone version De Niro), Fleischer n’en atteint malheureusement ni l’intensité ni la virtuosité.
Pourtant, la reconstitution historique est somptueuse, l’image soignée et le casting de caractère. Mais l’ensemble est au final trop posé, trop propre, trop prévisible. C’est une bonne idée de filmer une histoire de gangster comme un western, mais le réalisateur préfère se regarder filmer au lieu de se concentrer sur ses personnages. Beaux mais vaporeux, ces derniers semblent être sortis de l’imagination d’un créateur de jeu vidéo.
Et c’est dommage car Fleisher a créé un vrai univers graphique auquel il réussit à imposer quelques touches d’humour salvatrices. La preuve qu’il ne suffit pas d’avoir tous les ingrédients (femme fatale, méchant sadique, flic intègre) pour réussir la recette d’un bon polar.
Quelle différence entre une escouade de police et les mafieux qu’ils veulent coincer ? La question n’est pas nouvelle et la réponse, qui paraît a priori évidente, s’avère finalement plus complexe qu’on aurait pu le croire. Si bien que, quand le « cerveau » de la bande la pose au sergent qui les dirige, il a droit à un discourt complètement à côté, façon langue de bois.
Ganster Squad n’est ni novateur, ni génial. Il n’y a rien de profondément inédit à revisiter le genre du film noir et encore moins à le faire à Los Angeles (L.A. Confidential, entre autre). Mais le film a la finesse d’osciller de façon parfois brillante entre premier et second degré, jouant ainsi sur une sympathique, plus que troublante, ambigüité. Il mêle les codes du film classique à mise en scène plus moderne, et leur insuffle un humour un peu décalé. Deux exemples illustrent bien ce principe: Sean Penn et la scène finale (commentée sans spoil, rassurez-vous !).
Mickey Cohen, incarné par un Sean Penn terriblement enlaidi, est introduit dès la séquence d’ouverture. Dramatisée, esthétisée, la scène peut être aussi bien vue comme une parodie qu’acceptée de façon littérale. L’hésitation se poursuit dans la scène de torture qui lui succède, aussi risible que vomitive. Sean Penn lui même joue de son jeu, cabotine à outrance, se parodie lui même en super méchant. Et, bien sur, il en est un. Un peu comme le Nicholson des Infiltrés, il s’amuse tant à faire le diable que son personnage atteint une autre dimension, contribuant à donner cette double facette au film.
Le final, ensuite, pose le même problème : jusqu’où est-il sincère ? L’est-il même tout simplement ? (...