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    La prima cosa bella
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    3,3
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    38 critiques spectateurs

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    conrad7893
    conrad7893

    300 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 septembre 2012
    je me suis ennuyé dans ce film retraçant la vie d'une femme belle et frivole et une mère aimante
    film en flahsback
    je pense qu'en VO ce film doit être plus intéressant
    belle actrice
    Lucille T.
    Lucille T.

    38 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 octobre 2011
    Diaphane, adj : Qui laisse passer à travers soi les rayons lumineux.
    petitbandit
    petitbandit

    89 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 juin 2011
    petit film italien sans prétention dont le rythme lent et les flash back incessants finissent par lasser. Les acteurs sont assez bons mais on a du mal à s'attacher à ce personnage qui regarde sa vie, celle de sa mère, de sa soeur et de son entourage sans réelle émotion. Le scénario est assez commun et les situations n'apportent pas de sentiment particulier. Reste cette belle langue italienne et quelques situations cocasses et fraîche. A ne voir que si on a comme moi une carte illimitée, sinon, passer son chemin pour voir quelque chose de mieux...
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 178 abonnés 4 173 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2017
    C'est le parcours d'une femme libre que nous conte Paolo Virzi avec cette sensibilité si particulière aux réalisateurs italiens qui mélangent parfois dans la même scène les rires et les pleurs. Au début des années 70, Anna remporte le concours de beauté d'une station balnéaire sous les yeux de son mari et de son fils jaloux. Grâce à cette introduction explicite, Virzi expose ce que sera la vie d'Anna et par voie de conséquence celle de ses deux enfants que l'on retrouve 30 ans plus tard alors qu'Anna aborde la fin de sa vie minée par un cancer en phase terminale (sans doute à cause d'avoir trop fumé, signe en ces années machistes de l'émancipation des femmes). L'envie de liberté de cette mère volage et insouciante a forcément fait des dégâts sur ses progénitures, tiraillées toute leur enfance entre leurs deux parents qui se livrent des bagarres homériques avec la soeur d'Anna pour arbitre. Quand il voit sa sœur cadette venir le débusquer dans la grande ville où il s'était réfugié pour tenter de se construire loin de cette mère envahissante, Bruno (Valerio Mastandrea) refuse tout d'abord d'affronter son passé avant de cèder aux supplications de Valeria (Claudia Pandolfi). Dès lors Paolo Virzi alterne les scènes de retrouvailles de la fratrie et les flash backs qui nous font mieux comprendre combien les deux enfants ont du lutter pour se faire une identité dans le tourbillon que fut la vie de leur mère. Même si Anna devenue vieille et malade tente avec malice de reconquérir tout son monde, acceptant d'épouser Lenzi le vieux professeur qui l'aime en silence depuis des années, les rancœurs du fils sont encore bien présentes. Dans une ultime pirouette Anna tentera de renouer les liens distendus au fil de ses foucades passées. Le mariage donne l'occasion à Paolo Virzi de finir sur une scène un peu trop larmoyante où Anna à l'image de toute sa vie donnera dans le même temps à ses enfants la joie et la peine. Les acteurs sont souvent justes et viennent conforter un Virzi pas complètement en maîtrise de son œuvre qui reste quelquefois un peu trop artificielle. La grande Stefania Sandrelli un peu trop souvent réléguée au second plan derrière les Sophia Loren, Gina Lollobrigida et Claudia Cardinale, campe une Anna tout simplement humaine qui assume jusqu'au bout ses choix concluant son parcours par un touchant et faussement rassembleur "Qu'est ce qu'on a été heureux !"à destination de ses deux mioches enfin réunis. N'est-ce pas là l'essentielle leçon donnée à son fils à qui elle rappelle que chacun a son destin entre ses mains et que la solution ne se trouve pas dans le rejet des siens ? Si "la prima cosa bella" est une œuvre méritoire qui cherche à retrouver le parfum perdu des comédies amères des années 60 et 70 on reste quand même à bonne distance des perles des Risi, Petri ou Scola. Cette légère insatisfaction provient sans doute du décalage de ton entre Stefania Sandrelli et Michaela Ramazzotti, on a du mal en effet à retrouver dans le jeu un peu trop grave de Ramazzotti la pétillance d'Anna au soir de sa vie. Ce déphasage est un peu nuisible à la crédibilité du propos et ne permet pas à Virzi de nous embarquer complètement avec lui. Reste une jolie réflexion sur la fin de vie et sur la difficulté à réussir celle-ci sans nuire à ses proches
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 septembre 2012
    Une vie. De la rose éclatante à la rose fanée, de la douceur de la peau à son dessèchement, de la joie à la tristesse, de la vie à la mort. La Prima Cosa Bella n'est autre que la représentation d'une vie dans son entièreté, de ses hauts et de ses bas, la plume du réalisateur parcourant le chemin d'une famille originaire de Livourne sur plusieurs décennies. L'élément central de cette famille en est la mère, l'épouse, la femme. Son caractère frivole mais aimant, irresponsable mais touchant, va contribuer à créer ce qu'on pourrait appeler une implosion au sein de son couple, dont les conséquences s'abattent inévitablement sur les deux enfants : Bruno et Valeria.

    Deux jeunes enfants qui vont être trimballés dès leur plus jeune âge au gré des courants, tumultueux et virevoltants, de leur mère. C'est à travers les yeux de Bruno, ce garçon devenu un adulte froid et distant que va s'opérer le récit. Lui qui avait décidé de se refaire une nouvelle vie va devoir, à l'annonce de la maladie avancée de sa mère, replonger dans des souvenirs qu'il avait souhaité oublier pour toujours. C'est en tant que spectateur complice, lié à ce personnage attachant, que nous allons nous-mêmes découvrir les évènements qui ont conduit la famille à une telle conclusion, dévoilés à travers une chronologie et un montage d'une véritable qualité, ne perdant jamais l'attention de son spectateur et ne le troublant à aucun moment malgré les diverses ellipses temporelles.

    C'est ainsi que l'on va découvrir cette famille à quatre, ou plutôt à trois, le père étant rapidement isolé malgré lui. C'est la beauté indéniable de la mère qui va être la raison de crises perpétuelles, objet constant de désir, image dont elle n'essaiera pas vraiment de se défaire, malgré son rôle de mère et l'attention qu'elle porte à ses enfants. Voir une femme à la fois si aimante envers ses enfants et pourtant si indépendante, devient touchant dans le sens où l'on comprend le malaise qu'elle instaure de manière inévitable chez eux, sans qu'on ne puisse pour autant lui en vouloir. Elle n'est pas diabolisée, bien au contraire, même si les séquelles de cette éducation élastique se ressent dans le présent des personnages. Elle est perçue comme un être humain, un vrai, avec ses défauts et ses qualités, ce qui en devient une grande source d'empathie. Il en est de même pour le duo de frère et sœur, très touchant à tout âge, lié par cette autonomie précoce et ce vide émotionnel.

    Ce sont des moments de vie intenses qui nous sont montrés, sur trois décennies, avec des acteurs pour chaque période qui font vivre leur personnage aussi bien les uns que les autres. L'humour qui se dégage des relations, et son rapport étroit avec le drame, les diverses tragédies, est parfaitement dosé au point que les deux sentiments se rejoignent et que nous les ressentons à merveille l'un comme l'autre. Le regard posé sur leur vie, avec ses moments joviaux et ses moments tristes est comme un regard posé sur un vieil album de famille : Un condensé de souvenirs, certes pas toujours heureux, mais ineffaçables car ils font partie de nous, ils ont déterminé qui nous sommes et il n'y a pas de raison d'en regretter un seul. Cet au revoir inévitable devient la dernière chose à faire ensemble, comme le dernier chemin d'un long voyage, qui aura été éprouvant mais où chaque pas aura eu son importance. Le film sonne donc comme la transition d'un voyage à un autre, comme si Bruno et Valeria devaient terminer celui effectué avec leur mère pour pouvoir commencer le leur.

    Les procédés esthétiques sont à la hauteur du récit, à la fois colorés et sombres, nous plongeant dans une Italie galvaudée, hésitante, torturée de l'intérieur, mais qui respire pourtant la vie. Les choix artistiques renforcent l'émotion plurielle du film et traverse les âges avec une virtuosité incontestable. Paolo Virzi livre un film aux profondeurs intimistes et aux aspects grandioses, ambitieux dans le fond et dans la forme, sans jamais se trahir à un seul instant. La comédie rejoint la tragédie avec une simplicité étonnante, faisant figurer La Prima Cosa Bella aux côtés des chef-d'œuvres du genre, ce qui prouve une nouvelle fois qu'en terme de comédies dramatiques, les italiens sont très certainement les meilleurs. Le film est semblable à une chanson d'enfance, aux sons inoubliables et aux notes nostalgiques : Impérissable.
    vidalger
    vidalger

    321 abonnés 1 249 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 juin 2014
    Beaucoup de faux départs, de scènes bienvenues mais aussitôt plombées par une démonstration larmoyante ou lourdingue. Le rythme est sans cesse interrompu par des bavardages où l'absence d'ellipse le dispute au néant de certains dialogues. Alors? On rit certes et plusieurs scènes parviennent à nous émouvoir. Les acteurs se démènent avec talent pour nous emmener dans leurs délires. L'image parvient à nous donner cette impression de nostalgie du "c'était mieux avant".Mais le cinéma italien nous a déjà tellement fait décoller qu'on regrette ici de rester à basse altitude!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 juillet 2011
    Compte tenu des critiques assez flatteuses que j'avais lues a priori sur ce film, j'ai été un peu déçu. Le montage est un peu brouillon, les retours en arrière ne sont pas très bien identifiés ni gérés, et la sauce a donc du mal à prendre. Le 3ème tiers du film relève un peu le niveau, avec l'apparition de Cristiano, le demi-frère "rapporté" et quelques scènes qui apportent un peu d'émotion à cette chronique somme toute assez plate.
    officiel76
    officiel76

    46 abonnés 411 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2011
    un film formidable, avec la fougue italienne, et tant pis pour quelques critiques chagrins qui regrettent qu'il n'y ait pas de message politique ou le souffle des anciens cinéastes italiens. moi j'aime autant. un beau message sur la difficulté de s'aimer quand on ne se comprend pas. l'acteur principal est formidable.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 624 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 août 2012
    Eté 1971 au bord de la mer en Toscane, Anna est la gagnante d’un concours de beauté…Il est vrai que Micaela Ramazzotti est ravissante. 30 ans plus tard, on retrouve ses 2 enfants à son chevet.
    A coup de flash back, le film des 30 dernières années se déroule devant nos yeux afin de nous faire comprendre l’état actuel des relations mère-enfants et frère-sœur. Le problème est que l’on ne comprend toujours pas à la fin du film la position de chaque membre de la famille. Louvoyant entre mélodrame larmoyant et comédie gentillette ; l’émotion se retrouve sacrifiée sur l’autel d’une pâle copie des comédies italiennes des 60’s.
    Trop de personnages, le réalisateur perd le fil rouge de son histoire et aussi ses spectateurs. Son intrigue est brouillonne et aucun personnage ne parvient à attirer franchement notre attention. Dommage, l’entame était pourtant très agréable.
    Comédie de mœurs à la manière d’Ettore Scola, la comparaison s’arrête là. Plébiscité par les italiens, ce film a remporté 3 Di Donatelo (équivalent des César) en 2010 et a même représenté l’Italie aux Oscar.
    Sympathique, mais gentillet ; agréable, mais poussif ; intéressant, mais brouillon : pas indispensable… même pour des italophiles comme moi
    OresteA
    OresteA

    18 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2020
    Intéressant par sa façon de traiter les cicatrices que laisse l'enfance et les non dits entres parents et enfants. Mais ne reste pas dans l'histoire du cinéma Italien malgré les multiples clins d'œil que ce film rend au Cinéma Italien.
    Christoblog
    Christoblog

    827 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 juillet 2011
    Les critiques sont globalement injustes vis à vis de La prima cosa bella. Certains lui reprochent d'être abusivement tire-larmes, d'autres comparent le film de Virzi à des chefs-d'oeuvre du cinéma italien, en particulier à Nous nous sommes tant aimés de Scola. Or le film est effectivement un mélo, ce qui n'est pas en soi un défaut, et le comparer à des films des années 70 parce qu'il se passe en partie dans les années 70 n'a pas beaucoup de sens.

    Anna présente la double caractéristique d'avoir un corps superbe, tout en étant nunuche et optimiste. Cela en fait, aux yeux de certains, une femme volage, ce qui à mon avis est une preuve de strabisme critique. Le film est en effet beaucoup plus subtil dans sa façon d'analyser les rapports entre la mère et son environnement, dont font partie ses deux enfants : Bruno et Valeria. Le scénario alterne les séquences au présent montrant Anna en train de mourir (joyeusement), et les flashbacks reconstituant sa vie. J'admets que le procédé n'est pas d'une originalité folle, mais il fonctionne, avec des variantes plaisantes (le pharmacien).

    Le film est servi par une brochette d'acteurs et actrices époustouflants (l'acteur et l'actrice principaux ont emporté chacun un Donatello, équivalent de nos Césars), en particulier Valerio Mastandrea qui joue un fils déprimé, ne s'assumant pas, et perpétuellement en recherche de drogues. Ce personnage de Droopy sous opiacés est vraiment craquant. J'ai également beaucoup aimé le moulin à parole qu'est le mari de Valeria. Je ne pense pas qu'il soit à l'écran sans parler (sauf à la fin bien sûr).

    Comme dans tout bon mélo, le film ménage son lot de coup de théâtre : apparition d'un fils caché, mariage inattendu, séparation surprise.

    La mise en scène est relativement efficace, et parfois spectaculaire (à la limite du vulgaire, c'est vrai).

    Un bon moment pour l'été, dans une atmosphère italienne à souhait, à savourer comme une gelato al limone. D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/
    gemini-hell
    gemini-hell

    26 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2011
    Histoire d’une famille pas comme les autres et portrait d’une « mama » assurément hors du commun, un rôle tenu magnifiquement par le binôme Micaela Ramazzotti (une vraie bombe) et Stefania Sandrelli (sexagénaire radieuse). A l’image d’un cinéma italien jadis florissant et d’une grande diversité, le film de Paolo Virzi nous fait chavirer du sourire aux larmes et le dernier quart d’heure de projection ne peut laisser indifférent. Le scénario, riche en événements et en personnages, fait alterner les différentes époques où se situe le récit, sans jamais faire perdre pied au spectateur. Les différentes récompenses internationales attribuées à ce film sont amplement méritées. Vraiment dommage que le public français passe à côté de ce bijou.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    130 abonnés 2 230 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 octobre 2012
    RESPIRO. Comme au bon vieux temps du cinéma italien populaire. C'est frais , joyeux et Micaela Ramazzotti est pétillante.
    Sildenafil
    Sildenafil

    77 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 août 2011
    3 "césars" italiens pour La Prima Cosa Bella, on s'attend au moins une fois à sourire, à compatir, à s'émouvoir. En vain.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 décembre 2012
    Film à gros succès en Italie, mais qui a du mal à me transporter..l'histoire d'une mère face à la difficulté d'assumer ses enfants..bof
    Les meilleurs films de tous les temps
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